Wikilivres frwikibooks https://fr.wikibooks.org/wiki/Accueil MediaWiki 1.45.0-wmf.6 first-letter Média Spécial Discussion Utilisateur Discussion utilisateur Wikilivres Discussion Wikilivres Fichier Discussion fichier MediaWiki Discussion MediaWiki Modèle Discussion modèle Aide Discussion aide Catégorie Discussion catégorie Transwiki Discussion Transwiki Wikijunior Discussion Wikijunior TimedText TimedText talk Module Discussion module Sécurité des systèmes informatiques/Sécurité informatique/Le domaine SSI 0 8600 745179 676229 2025-06-21T12:38:42Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Fonctions du RSSI */Pallier les risques, pas "aux risques" 745179 wikitext text/x-wiki <noinclude>{{Sécurité informatique}}</noinclude> == Fonctions du RSSI == Les fiches de définition de poste du Cigref identifient les grandes missions suivantes pour la fonction de « Responsable de la Sécurité du Système d'Information », fréquemment abrégée « RSSI » : Définition de la politique de sécurité : construire le référentiel normatif de l'organisation vis à vis de la sécurité informatique, en accord avec les objectifs de la direction générale et les contraintes de mise en place ou les risques identifiés. * Analyse de risques : identifier et évaluer les risques liés au système d'information (et notamment son informatisation). * Sensibilisation et formation aux enjeux de la sécurité : accompagner les utilisateurs et les informaticiens de l'organisation pour mettre en lumière les enjeux liés à la sécurité et les moyens d'y répondre. * Étude des moyens et préconisations : être une force de proposition de moyens techniques permettant d'atteindre les objectifs de sécurité de l'organisation ou de pallier les risques inacceptables, notamment par le biais d'études techniques. * Audit et contrôle : contrôler la mise en place des règles de sécurité, vérifier le niveau de vulnérabilité réel du système d'information, et éventuellement effectuer (du point de vue technique) des enquêtes ou des audits internes si besoin. * Veille technologique et prospective : effectuer un suivi général des offres du marché de la sécurité, mais aussi des évolutions théoriques de ce secteur, et assurer un suivi des vulnérabilités et des alertes de sécurité concernant les systèmes informatiques auprès des entités agissant sur ce thème (constructeurs, CERT, etc.). Ces missions conduisent donc à donner au RSSI des rôles de conseil, d’assistance, d’information, de formation et d’alerte. Il s'agit de rôles demandant à la fois des capacités d'intervention variées et des compétences multi-disciplinaires ; ce qui rend la fonction assez difficile à remplir dans son ensemble. Dans la mesure du possible, ces missions doivent être accomplies dans une structure indépendante de la direction informatique. <ref name=CNILcorresp>Cela pourrait même être obligatoire pour profiter des dernières évolutions de la loi « Informatique et libertés », et notamment des facilités offertes par la nomination d'un « correspondant à la protection des données à caractère personnel » (les détails restant à préciser).</ref> == Organisation == Les principaux composants de l'organisation d'une entreprise pour la gestion de la SSI sont les suivants : * Un « responsable » (RSSI) : qui assure seul la coordination sur ce thème, ou qui gère éventuellement une équipe technique chargée des systèmes de sécurité informatiques dédiés à ce domaine. * Comité de sécurité informatique : un comité regroupant les acteurs décisionnaires sur le domaine de la SSI (direction générale, direction informatique, RSSI notamment) et faisant autorité pour les questions de politique générale et de moyens matériels affectés à la SSI. * Groupes de travail : des groupes de travail opérationnels sont généralement nécessaires, notamment par thèmes, pour faire progresser les différents sujets impliqués dans l'atteinte des objectifs de sécurité (réseau, poste de travail, systèmes, etc.) * Veille technologique : la veille technologique des alertes de sécurité (vulnérabilités, menaces, etc.) demande généralement une structure identifiée qui peut être directement réalisée par une équipe technique SSI (ou le RSSI) mais qui peut également bénéficier du filtre de documentalistes professionnelles ou de prestataires extérieurs. * Suivi de la sécurité opérationnelle : la gestion quotidienne de la sécurité peut impliquer un travail d'exploitation et de suivi (notamment des équipements de sécurité). * Surveillance et contrôle : la surveillance continue du système informatique, sous l'angle par exemple de la détection d'intrusion ou du contrôle de la conformité des systèmes aux règles de sécurité définies sont une autre facette du travail technique quotidien consacré à la sécurité du système informatique. * Sensibilisation des utilisateurs : la sensibilisation des utilisateurs aux problèmes et aux efforts de sécurité est une action importante dans la pratique, à mener en général avec le service ou les actions de communication interne. * Autorisation et gestion des habilitations : la délivrance des autorisations aux différents employés et la gestion (éventuellement manuelle) des habilitations associées peut constituer une activité déterminante dans le domaine de la sécurité, cette fois-ci au sens large en incluant les droits d'accès et les fonctions des personnes dans l'organisation (souvent en coordination avec la gestion des ressources humaines). * projet ''X'' : pour les différents projets, des équipes spécifiquement chargées de la prise en compte des exigences de sécurité, ou des réalisations techniques associées peuvent être identifiées ; en règle générale, seul les projets d'envergure, les projets risqués, ou les projets spécifiques à la sécurité nécessitent (ou font l'effort de constituer) une équipe spécifique sur ce thème. * Gestion de crise : une cellule de crise peut éventuellement être constituée en prévision de réaction à des situations exceptionnelles du point de vue de la sécurité informatique, suivant le niveau de risque et les enjeux associés au système d'information de l'organisation. == [[/Documents SSI/]] == On peut identifier un certain nombre de [[/Documents SSI/|documents]] entourant la gestion de la sécurité : * Politique de sécurité (PSSI) : C'est le document de plus haut niveau fixant notamment les objectifs de sécurité détaillés de l'entreprise (et donc les décisions politiques de protection de ses actifs par rapport aux risques identifiés ou éventuels) et les règles de sécurité à mettre en place pour les atteindre. Validé par la direction générale, ce document permet d'organiser et de légitimer la mise en place de l'organisation relative à la SSI et des recommandations plus spécifiques qui découlent de la politique de sécurité. * Spécifications de sécurité : Dans un certain nombre de domaines, il est en effet utile de décliner les règles de haut niveau adoptées dans la PSSI pour les adapter à un contexte particulier. Par exemple, dans le domaine contractuel, la PSSI peut se trouver décliner dans un modèle de clause de sécurité pour les marchés établis par l'entreprise avec ses sous-traitants (notamment s'il s'agit de marchés publics) rédigé en concertation avec le service juridique de l'entreprise. Dans le domaine de la surveillance interne, la PSSI peut devoir être précisée pour clarifier les modalités de surveillance des salariés via des moyens informatiques, en liaison avec les instances représentatives du personnel et la DRH en conformité avec les prescriptions diffusées notamment par la CNIL (dans le domaine de la « cyber-surveillance »). D'un point de vue plus technique, la PSSI peut également se trouver déclinée dans les principaux domaines du système d'information pour détailler les règles de protection : du réseau, des systèmes d'exploitation, d'un SGBD, des serveurs HTTP, etc. * Guides de configuration ou de recette sécurité : Pour une mise en place efficace, ces règles de protection doivent par contre pouvoir être précisément décrites dans le cas de certains systèmes d'exploitation, certains équipements réseaux ou certains logiciels. C'est alors le rôle des documents opérationnels. Ceux-ci peuvent prendre la forme de guides de configuration ou de cahiers de recette SSI. La principale distinction entre les deux documents tient avant tout à leur mode de mise en œuvre : dans une logique de coopération avec la SSI il peut s'agir d'aider les administrateurs à mettre en place les mesures de sécurité décidées dans l'entreprise, dans une logique de validation et de contrôle il peut s'agir d'une procédure de recette (tests) permettant d'autoriser formellement l'ouverture d'un service ou d'un système agréé du point de vue de sa sécurité. * Analyse des risques : En complément des documents de mise en place, la PSSI peut être accompagnée par un document d'analyse des risques qui permet de mieux comprendre la réalité des principaux biens, des menaces identifiées et des risques recensés dans l'entreprise. * Synthèse/Suivi : Du point de vue du suivi de la sécurité, il est également important de prévoir l'existence de documents permettant de suivre la mise en place des règles de sécurité (et d'éventuelles violations repérées par des audits par exemple), de consolider les alertes de sécurité identifiées par exemple par certains équipements de sécurité et enfin d'offrir une vue synthétique de la configuration effective des règles de sécurité (telle qu'elle est mise en œuvre dans les équipements de filtrage par exemple). * Tableau de bord : Enfin, on peut envisager de rassembler un certain nombre d'indicateurs de sécurité au sein d'un tableau de bord de la sécurité. L'objectif de ce tableau de bord est d'offrir à la direction un état de la situation générale de la SSI, dans l'objectif de présenter les effets de la mise en place de la politique de sécurité de l'entreprise ou éventuellement pour susciter cette mise en place. Ces différents documents sont présentés plus en détail dans la [[/Documents SSI/|section correspondante]]. === Méthodologies === * OpenSAMM (Software Assurance Maturity Model)<ref>https://www.opensamm.org/</ref> * BSIMM (Building Security In Maturity Model)<ref>https://www.bsimm.com/</ref> === Classifications === * {{w|STRIDE (security)|lang=en}} * {{w|DREAD (risk assessment model)|lang=en}} == La SSI des projets informatiques == === Vision idéalisée === L'illustration 1 positionne certaines actions relevant de la SSI par rapport à des étapes classiques du cycle de vie d'un projet de développement logiciel. Ces activités viennent compléter les activités naturelles du déroulement du projet. On peut également distinguer plusieurs types de positionnement par rapport aux projets informatiques vis à vis desquels la gestion pratique de la sécurité informatique pourra être très différente. * Projets SSI ** Associés à l’infrastructure de sécurité elle-même ** Jonction avec les autres projets d’infrastructure * Assistance aux projets ** Apporter des compétences ** Intégrer les projets à la démarche sécurité (et vice versa) ** Clauses contractuelles * Validation et contrôle des projets ** Identifier des vulnérabilités et des risques résiduels ** Accorder des autorisations d’ouverture == Activités concrètes d’un RSSI == Dans la pratique, les activités suivantes dominent largement le quotidien : * La veille régulière sur les vulnérabilités, notamment par le biais des CERT (www.cert.org). * Certains activités opérationnelles : paramétrage du firewall, suivi des IDS. * Les activités de gestion de la SSI dans l'entreprise : animation du comité de sécurité et des groupes de travail SSI. * Une activité de production de documentation (PSSI, guides, etc.). * La gestion des échanges avec les organismes extérieurs (mise à disposition de données pour des partenaires, d'applications, déclarations CNIL, etc.). * La prise en charge ou le suivi des procédures de l'organisation relatives à la SSI : suivi des tests d’intrusion, gestion des autorisations et des habilitations. == Notes == <references/> crungytbd26gfedwoqlb0xskuea8fk1 Sécurité des systèmes informatiques/Sécurité informatique/Protection réseau et firewall 0 8623 745178 679195 2025-06-21T12:27:09Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Authentification utilisateur */Correction d'une faute de français 745178 wikitext text/x-wiki <noinclude>{{Sécurité informatique}}</noinclude> Le composant privilégié de la protection réseau sur TCP/IP reste le firewall. Sous cette désignation générique, qui cache parfois des technologies extrêmement différentes, on désigne en réalité la mise en place d'un système informatique placé en situation de coupure par rapport aux flux de communication réseau, et capable d'autoriser ou d'interdire ces flux en fonction de son paramétrage. Lequel est généralement appelé la « politique de sécurité » du firewall. C'est une dénomination un peu abusive à notre sens, et nous préférerons parler des règles de filtrage réseau du firewall, ou plus simplement des règles du firewall quand le contexte ne permet pas de confusion. Bien que formellement un niveau de sécurité identique (voire supérieur) puisse être atteint avec d'autres approches<ref name=autres>Par exemple la certification ou l'agrément des configurations, le confinement des services accessibles par le réseau, l'utilisation de systèmes d'exploitation multi-niveau, ou tout simplement l'utilisation d'un système d'exploitation de confiance.</ref>, la mise en place d'un firewall reste une voie largement répandue pour tenter d'améliorer la sécurité d'un système informatique et de son réseau. En effet, dans un système informatique pré-existant, ce type d'équipement présente l'avantage d'être indépendant des systèmes informatiques déjà présents, qu'il s'agisse de serveurs d'applications, de serveurs de fichiers, ou d'équipements d'interconnexion réseaux. Cette autonomie est vérifiée à la fois du point de vue technique mais aussi du point de vue de l'administration et donc par rapport à l'organisation d'un service informatique (où l'intégration d'un périmètre de responsabilité et de compétence nouveau n'est pas forcément facile). Par ailleurs, bien qu'il soit assez intrusif (il faut qu'un firewall soit en coupure des flux réseaux pour remplir sa fonction) et parfois difficile à paramétrer quand les flux sont nombreux (notamment dans le cas d'un réseau d'entreprise segmenté en interne) ce type d'équipement se positionne assez naturellement dans le réseau au niveau des interconnexions entre organismes, entre sites, ou entre une entreprise et les réseaux externes (généralement Internet). Quoiqu'elle fasse rarement l'objet d'une réelle justification en terme de besoins de sécurité<ref name=besoin>Est-il véritablement réaliste de s'imaginer que le principal besoin de sécurité consiste à se protéger de « l'extérieur » dans une entreprise ? Même si c'est le cas, couvre-t'on vraiment l'intégralité de ce besoin avec un firewall, (c'est à dire, entre autres, toutes les possibilités de collusion ou de rebond, même involontaire, avec un élément interne) ?</ref>, cette mise en place en « entrée » et en « sortie » du réseau est facile à proposer et à appréhender, notamment par les décideurs. Enfin, malgré tout, par rapport à une situation antérieure où la sécurité n'est absolument pas prise en compte et notamment par rapport à des applications fermées, héritées et figées (ce qui ne veut pas forcément dire qu'elles soient anciennes), la mise en place d'un firewall reste une réelle opportunité d'obtenir le minimum de contrôle et de protection qui est désormais nécessaire pour un système d'information professionnel. Par contre, du point de vue de la mise en œuvre technique, un firewall est un équipement assez intéressant, touchant à la fois au fonctionnement protocolaire d'IP, de TCP, et d'UDP, ainsi qu'éventuellement au fonctionnement des applications. Même en se limitant aux protocoles principaux (TCP et UDP), la réalisation efficace du filtrage réseau, à la fois en terme de performance, de facilité d'administration et de sécurité, implique des fonctions assez avancées comme le suivi de l'état des connexions TCP par exemple. Par ailleurs, ces systèmes offrent un certain nombre d'opportunités d'actions nouvelles dont certaines, comme la translation d'adresses, sont parfois cruciales pour offrir un accès réseau à un grand nombre d'utilisateurs, et d'autres comme la gestion de la qualité de service au niveau TCP sont techniquement très intéressantes pour améliorer la qualité des services réseaux. == Principaux modes de fonctionnement == Les premiers firewall ont débutés en offrant simplement des capacités de filtrage basées sur les adresses source et destination présentes dans chaque paquet IP, en complément des fonctions de la pile IP d'un système d'exploitation et notamment du routage. À l'heure actuelle ces fonctions, ne suffisent plus pour qualifier réellement un système informatique de firewall. Ces « filtres IP », quoique parfois particulièrement utiles<ref name=filtres>Les filtres IP sont généralement présents par défaut dans le logiciel de la plupart des marques de routeurs et parfois même sur les ''switch'', c'est à dire en plein cœur du réseau. Quand la situation est suffisamment grave pour permettre de convaincre l'administrateur réseau ou l'opérateur de se pencher sur leur mise en œuvre, ils offrent un moyen particulièrement rapide et efficace de bloquer des attaques avérées (comme celles associées à la propagation d'un virus par exemple). À contrario, une fois les opérateurs réseaux convaincus, ces filtres s'installent parfois si durablement qu'ils arrivent à trouver leur place dans certains ''firmware'', à devenir des arguments commerciaux, et à rendre inutilisables certains numéros de ports (4444/TCP par exemple).</ref>, ne permettent pas de remplir le rôle de contrôle que l'on attend d'un système firewall complet. La confusion existe encore toujours parfois (par exemple, le « firewall personnel » intégré dans Windows XP semble bien être un simple moteur de filtrage IP) mais nous nous intéresserons dans ce chapitre à des logiciels plus avancés, capables d'effectuer des décisions de filtrage ne se limitant pas à l'examen de l'en-tête de chaque paquet IP pris isolément. En excluant ces systèmes, deux grandes catégories de firewall restent à distinguer : les firewall avec suivi d'état, et les firewall basés sur des proxy. Ces catégories ne sont pas exclusives et les implémentations les plus sophistiquées mélangent parfois des idées provenant des deux approches. === Firewall avec suivi d'état === Les firewall avec suivi d'état sont capables de suivre les différentes étapes de la mise en place d'une communication réseau, et notamment toute la séquence d'une communication TCP : l'échange initial (SYN, SYN+ACK, ACK), les paquets de données (PSH, ACK) et la terminaison (RST, RST+ACK). Dans le cas d'UDP, qui reste normalement un protocole non connecté, le suivi d'état s'appuie généralement sur l'hypothèse d'un fonctionnement des applications en mode « question/réponse » dans lequel un message UDP initial est suivi d'un deuxième message en sens inverse contenant la réponse. La prise en compte du fonctionnement normal de ces sessions TCP (ou des pseudo-sessions UDP) doit inclure également la prise en compte des erreurs de fonctionnement, comme l'émission éventuelle d'un paquet ICMP indiquant l'échec d'une tentative de connexion TCP ou de l'acheminement d'un message UDP. L'objectif du suivi d'état de ces firewall est d'utiliser l'ensemble des informations collectées sur le déroulement des sessions de communication afin d'autoriser seulement les paquets IP appartenant à une session à transiter sur le réseau, et de protéger au mieux cette communication en détectant (et en bloquant) tout fonctionnement anormal par rapport aux définitions protocolaires ou aux flux réseau usuels. Le suivi d'état permet également de faciliter la définition des règles de filtrage en permettant une autorisation implicite des différents types de paquets IP associés à une communication : ainsi il n'est pas nécessaire de prévoir les autorisations IP bidirectionnelles nécessaires à la réponse à une demande UDP, ou au déroulement d'une communication TCP. La formulation des règles de filtrage est alors beaucoup plus naturelle : on autorise en quelque sorte seulement le premier paquet initiant une communication, les autres autorisations nécessaires étant automatiquement dérivés à l'aide des informations de suivi d'état. Ce fonctionnement est également plus performant dans la pratique : en effet, les informations de suivi d'état sont associées aux communications actives. Les autorisations issues des tables d'état sont donc normalement relatives à la grande majorité des paquets IP manipulés à un instant t par la pile réseau. Ce sont donc celles qui peuvent faire l'objet d'une mise en œuvre prioritaire et particulièrement optimisée de manière à améliorer la performance de l'ensemble du firewall. Le parcours systématique de toutes les règles de filtrage du firewall (qui peuvent être extrêmement nombreuses si la configuration est très précise) n'est alors plus nécessaire que pour une minorité de paquets IP, ceux associés à des débuts de communication. Dans la pratique, ce mode de fonctionnement est fréquemment optimal et cette optimisation n'exclut que des types de trafic réseau quasiment pathologiques (comme des connexions extrêmement fréquentes et de très courte durée)<ref name=asic>Il existe ou il existera certainement des applications ou des configurations pour lesquelles un tel trafic réseau est nécessaire. Il faut donc garder à l'esprit cette optimisation face à d'éventuels problèmes de performance d'un firewall, surtout si celui-ci a de nombreuses règles de filtrage. C'est également à prendre en compte dans le cas d'une mise en œuvre sur réseau très haute performance avec des firewall contenant des ASIC dédiés, qui présentent forcément des limites (peut-être très faibles) en terme de taille des tables d'état hardware, et donc de connexions actives suivies directement par les ASIC.</ref>. Les firewall avec suivi d'état peuvent donc généralement supporter un nombre de règles de filtrage largement supérieur aux filtres IP (pourtant techniquement plus simples). Les dernières générations de firewall, notamment certaines visant à fournir des capacités de filtrage sur des réseaux Gigabit, mettent en œuvre ces autorisation basées sur les tables d'état directement au niveau hardware, dans des ASIC dédiés. La partie logicielle du firewall n'est alors sollicitée que pour l'examen des connexions nouvelles. === Firewall proxy === Face aux firewall à suivi d'état, qui ont connu une diffusion importante, l'apparition de composants de plus en plus sophistiqués (modules embarqués dans les noyaux des systèmes d'exploitation, logiciels influant sur le fonctionnement des piles réseau, voire mise en œuvre matérielle par des composants associés aux cartes réseaux) et une débauche d'investissement, les firewall basés sur les logiciels proxy peuvent parfois donner l'impression qu'ils ne sont pas en mesure de soutenir la compétition. Pourtant, à l'origine, cette approche de la mise en œuvre du filtrage des communications réseau visait avant tout à offrir le meilleur niveau de sécurité en envisageant de réexaminer, pour chaque application souhaitant communiquer au travers du firewall, le contenu du flux de communication, ''en tenant compte de la sémantique applicative''. Pour chaque type d'application, il faut alors disposer d'un logiciel proxy (relais) capable d'analyser dans une certaine mesure le flux de communication afin de le contrôler précisément (sans aller jusqu'à pouvoir l'exécuter, il faut que le proxy puisse comprendre le sens de la communication qu'il relaye), voire de n'autoriser que certaines des actions de communication possibles. Il est donc nécessaire de développer des relais spécifiques pour chaque application que l'on souhaite autoriser. En règle générale, on peut espérer disposer de relais concernant les principaux protocoles de communication utilisés : * HTTP/HTTPS : pour la navigation Internet (avec une problématique plus particulière associée au chiffrement d'HTTPS dont le « relayage » peut impliquer un déchiffrement/rechiffrement). * FTP : pour les échanges de fichiers et le contrôle des commandes admises (PUT, GET, DEL, etc.), ainsi que pour la prise en compte des différents modes de fonctionnement (actif, passif). * Telnet : pour le contrôle éventuel du contenu de la session, mais surtout pour assurer une authentification additionnelle. * X11 : pour éviter les débordements possibles via le protocole X11 tout en permettant un affichage à distance de qualité acceptable. * SOCKS : pour réaliser un relayage « générique » de tout protocole TCP/UDP en ajoutant une authentification en sortie (si possible transparente). * H.323 : pour aborder un protocole basé sur UDP mais n'utilisant absolument pas un mode de fonctionnement demande/réponse tout en ayant de fortes exigences de continuité du flux réseau (transport de la voix). Cette approche, lourde en terme de développement, est, on le sent bien, également parfois problématique en terme de performance : le logiciel proxy effectue une analyse de type applicatif ''en supplément'' de celle effectuée sur la machine réellement destinataire. Pourtant, malgré ces inconvénients, cette approche présente un certain nombre d'avantages, qui font que l'utilisation des proxy reste toujours incontournable dans de nombreuses configurations de filtrage réseau. D'abord, le développement d'un proxy, même s'il est limité à un seul type d'application, est généralement plus facile que la réalisation d'un module de système d'exploitation, s'exécutant sans protection mémoire dans un environnement très contraignant. Par ailleurs, les proxy, parfois en complément d'un firewall avec suivi d'état mais aussi parfois tout à fait isolément, sont nécessaires pour réaliser facilement certaines fonctions, comme le filtrage des commandes applicatives pour FTP, le filtrage d'URL dans le cas d'HTTP, la lutte contre le spam avec SMTP ou l'ajout d'une authentification transparente sur un relais générique. À l'inverse, certains firewall s'exécutant prioritairement en mode noyau en association avec un système de suivi d'état peuvent intégrer des interfaces modulaires visant justement à faciliter la mise en œuvre de règles de filtrage applicatif (c'est notamment le cas de Netfilter sous Linux). En règle générale, les deux approches sont complémentaires. L'utilisation d'un relais peut s'avérer assez naturelle si l'application concernée intègre la notion de relayage dans son fonctionnement (c'est par exemple le cas avec SMTP) et si le système d'exploitation hôte, notamment son module de filtrage noyau, facilite la mise en œuvre du proxy. Le firewall dans son ensemble en est alors largement bénéficiaire. C'est une approche pragmatique qu'illustre bien OpenBSD : même si le firewall avec suivi d'état du noyau est un composant essentiel, à l'usage, l'importance des proxy disponibles se révèle rapidement pour certaines des problématiques mentionnées précédemment, et la coopération entre les deux éléments, quand elle permet le relayage transparent (transparent proxying) offre un réel confort aux utilisateurs finaux. (Ce qui n'est pas inutile pour faire passer l'ajout d'une barrière de sécurité additionnelle.) == Équipements et solutions disponibles == === Solutions commerciales === La liste suivante tente de rassembler les principales solutions commerciales pertinentes au moment de la rédaction de cette section. * Leaders ** Firewall-1 (CheckPoint) ** PIX (Cisco) * Challengers ** Netscreen ** Cyberguard ** ISA (Microsoft) ** IOS FW (Cisco) ** Sidewinder ** SonicWall ** WatchGuard ** ... * Français ** Netwall (Evidian/Bull) ** M>Wall (Matranet) ** Arkoon ** Netasq === Solutions open-source === Dans le domaine des logiciels librement disponibles, les principaux systèmes d'exploitation existants incluent également des composants logiciels susceptibles de jouer le rôle de firewall. Ceux-ci ont évolué progressivement, mais constituent à l'heure actuelle des mise en œuvre complètes et généralement très efficaces. * OpenBSD pf (http://www.benzedrine.cx/pf.html) : Le firewall disponible avec le système d'exploitation OpenBSD constitue probablement une des implémentations les plus modernes d'un firewall complet. Elle a été démarrée en 2001 suite à un désaccord des principaux auteurs d'OpenBSD avec l'auteur du firewall utilisé à l'origine dans ce système d'exploitation (jusqu'à la version 3.0), IPFilter (voir ci-dessous). Ce désaccord concernait la licence d'IPFilter et il a conduit les principaux développeurs d'OpenBSD à retirer cette première implémentation exogène de leur distribution standard. Étant donné l'orientation résolument affirmée d'OpenBSD sur les problématiques de sécurité, ce vide a été rapidement comblé (en moins de 6 mois) par une implémentation nouvelle mais très complète d'un firewall à suivi d'état TCP/UDP avec des capacités de translation d'adresses (NAT). Cette implémentation, baptisée pf (pour Packet Filter) a continué à évoluer, en s'intégrant notamment étroitement avec le système de gestion de qualité de service réseau (QoS) ALTQ et en améliorant la facilité de gestion et les performances (avec des fonctions comme les listes d'adresses dynamiques, un logiciel séparé de gestion des traces, ou plus récemment des capacités d'optimisation des règles de filtrage et un protocole de gestion de la redondance). Le langage de définition des règles de filtrage est un langage textuel, dans la droite ligne des langages de configuration Unix, mais très commode (il a visiblement bénéficié de toute l'expérience d'administrateurs réseaux largement accoutumés aux problèmes de la protection et du filtrage). L'ensemble constitue désormais un logiciel très complet auquel il ne manque plus grand chose pour se mesurer aux meilleures implémentations commerciales en terme de fonctionnalités. Trois ans après la mise en œuvre initiale, pf a désormais été adopté par les cousins FreeBSD, NetBSD ou même DragonFlyBSD. * Linux/IPTables (Netfilter) (http://www.netfilter.org/) : Le firewall intégré au noyau Linux a connu une évolution plus progressive, évoluant notamment avec la version 2.4 du noyau pour intégrer le suivi d'état (TCP, UDP, ou autre). Il a d'ailleurs changé de nom plusieurs fois, la version la plus aboutie étant baptisée Netfilter (ou IPTables, par abus du nom de l'utilitaire de configuration du noyau iptables(8)). Cette implémentation présente notamment la caractéristique d'une mise en œuvre extrêmement modulaire permettant la prise en charge de protocoles complexes ou nouveaux par le développement de modules de filtrage venant s'intégrer à Netfilter dans le noyau Linux. * Linux/IPChains Linux/ipfwadm : Les versions plus anciennes du firewall Linux étaient baptisées IPChains (noyau 2.2) et ipfwadm (noyau 2.0). Il s'agissait là d'un filtre de paquet n'intégrant pas complètement le suivi d'état des sessions réseaux (notamment pour TCP). Elle fut assez populaire, car associée à une phase de forte diffusion du noyau Linux lui-même et probablement parce qu'elle intégrait des fonctions de translation d'adresses (appelées masquerading dans IPChains) au moment où leur intérêt devenait crucial, mais elle a été totalement remplacée par Netfilter. Elle est ici avant tout mentionnée pour éclaircir la confusion, parfois encore possible, entre le firewall du noyau Linux 2.2 (IPChains) et celui des noyaux ultérieurs à Linux 2.4 (Netfilter/IPTables), ou celle, quand même moins répandue, entre le firewall originel de FreeBSD et NetBSD (ipfw) et celui de Linux 2.0 (ipfwadm). * IPFilter (http://coombs.anu.edu.au/ipfilter/) : Il est encore important de mentionner IPFilter dans le domaine des implémentations librement disponibles d'un logiciel firewall. Bien que désormais supplantée (notamment en terme de diffusion) par les alternatives issues d'OpenBSD et de Linux, IPFilter constitue encore une des rares mises en œuvre fonctionnant sur une gamme de systèmes d'exploitation, et notamment des Unix commerciaux (Solaris, HP-UX, etc.). C'est un firewall à suivi d'état TCP/UDP très complet, dont le langage de paramétrage a largement inspiré les réalisations plus modernes (notamment pf). * ipfw : Il s'agit du firewall présent initialement dans les différents membres de la famille de système d'exploitation BSD (FreeBSD et NetBSD notamment). La tendance récente sur ces systèmes est à l'intégration de l'implémentation du firewall pf issu d'OpenBSD en remplacement d'ipfw, cité ici seulement pour mémoire. == [[/Aspects architecturaux/]] == == [[/Exemples/]] == Intégration différée pour: * validation éventuelle de l'utilisation des copies d'écran constructeur (Firewall-1 et PIX) ; * à rédiger pour les firewall open-source (Linux/Netfilter et OpenBSD/pf prévus). == Authentification utilisateur == L'installation d'un firewall peut permettre d'introduire une authentification additionnelle sur des protocoles n'en comportant pas ou incluant une authentification offrant un niveau de sécurité insuffisant. Cette authentification est ajoutée assez naturellement dans le cas des firewall proxy : c'est alors le proxy qui prend en charge l'authentification d'un utilisateur souhaitant accéder à un service réseau contrôlé par le firewall ; mais elle est également possible avec les firewalls fonctionnant au niveau TCP. Dans la plupart des cas, l'utilisation de cette authentification additionnelle implique l'installation sur le poste utilisateur d'un composant logiciel spécifique. Voici quelques exemples de mise en œuvre de ce genre d'authentification : * ajout d'une phase d'authentification aux sessions Telnet d'administration (par exemple à destination des machines en DMZ) afin de pallier le problème de la transmission du mot de passe en clair sur les sessions Telnet ; * authentification et autorisation des accès HTTP via le protocole NetBIOS sur le firewall Microsoft ISA Server – cette authentification est totalement transparente si le navigateur Web utilisé la supporte (c'est bien évidemment le cas pour Internet Explorer sur système d'exploitation Microsoft) et constitue un des principaux avantages pratiques d'ISA Server avec Internet Explorer ; * authentification transparente des flux réseaux relayés sur le protocole de relais générique SOCKS v5 [RFC 1928] avec des extensions pour la prise en compte de NetBIOS, en se basant sur la couche WinSOCKS existant dans les systèmes d'exploitation Microsoft ; * authentification forte et protection dans un tunnel IPSEC des accès nomades sur un firewall type CheckPoint VPN-1, en utilisant un module d'accès SecuRemote ou SecureClient sur le poste client ; * authentification forte des accès via une passerelle OpenBSD en conditionnant l'activation de règles de filtrage réseau à l'ouverture d'une session SSH sur le firewall en utilisant [http://www.openbsd.org/faq/pf/authpf.html authpf(8)] comme login shell. == QoS == Comme nous l'avons déjà mentionné précédemment, la gestion de la qualité de service nous semble s'effectuer très efficacement au niveau de la définition des règles de contrôle du trafic réseau constituant la politique de sécurité du firewall. Cette approche est notamment illustrée dans l'extension logicielle FloodGate-1 de CheckPoint, ainsi que dans l'intégration d'[http://www.openbsd.org/faq/pf/queueing.html ALTQ avec PF] sous OpenBSD permettant d'utiliser les règles de PF pour associer des paquets aux différentes classes de trafic ordonnancées via les stratégies ALTQ. Ce type de fonction permet d'offrir des garanties de bande passante aux utilisateurs, mais aussi par exemple d'utiliser des protocoles interactifs facilement en présence de flux de transfert massifs (type FTP) ou de faire coexister des flux réseaux continus allant dans les deux sens quand une des directions est saturée (ce qui est notamment le cas sur des liaisons asymétriques, type ADSL). Dans certains cas, les améliorations obtenues sont extrêmement importantes (voir http://www.benzedrine.cx/ackpri.html)... == Notes == <references/> m7m2zzjwrrbqplh1vlm2dwewa3z8glk Sécurité des systèmes informatiques/Sécurité informatique/Chiffrement de flux et VPN 0 8636 745185 676206 2025-06-21T20:27:40Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Clients VPN « personnels » (authentification de l’utilisateur) */Correction d'une faute de français (usage du verbe pallier) 745185 wikitext text/x-wiki <noinclude>{{Sécurité informatique}}</noinclude> La protection des flux réseaux, et notamment des flux point à point identifiables facilement, comme les transferts de fichiers entre entreprises ou les accès des ordinateurs portables des utilisateurs nomades vers le réseau interne d'une entreprise à partir d'Internet, peut bénéficier d'une technique de protection générique consistant à authentifier et chiffrer l'ensemble du flux réseau concerné. Les technologies permettant cette protection sont souvent regroupées sous la désignation de « VPN » pour Virtual Private Network (réseau privé virtuel). On peut grossièrement dissocier les implémentations entre : * la mise en œuvre d'un tunnel réseau protégé directement au niveau IP entre deux machines qui protège tous les échanges effectués mais peut théoriquement contraindre l'une des machines (située dans un environnement hostile) à interrompre ses communications hors du VPN ; * et la création d'un tunnel au niveau des services applicatifs (généralement au niveau TCP) qui peut permettre de protéger plus spécifiquement les flux associés à un service donné (les flux X11 par exemple, voire les flux HTTP via SSL par exemple si on veut bien voir HTTPS comme un tunnel). Suivant que l'on souhaite protéger les communications au niveau IP ou TCP, la problématique d'authentification est assez différente. Dans le premier cas, il s'agit de réaliser une authentification mutuelle des machines détentrices des adresses IP concernées. Dans le deuxième cas, l'authentification peut éventuellement également porter sur les utilisateurs des applications activant le tunnel. Cette frontière n'est pas hermétique, mais il faut apparemment utiliser des extensions des techniques de VPN de niveau IP pour incorporer une authentification utilisateur quand elle est souhaitée, par exemple pour des accès nomades (voir [[#IPSEC|IPSEC]]). Dans les deux cas, la mise en œuvre fait appel à des techniques assez similaires : authentification forte (par exemple à l'aide de certificats X.509, ou des algorithmes d'authentification basés sur RSA ou DSA), négociation de clés intermédiaires et d'algorithmes de chiffrement (DES, 3DES, AES, Blowfish, etc.) et/ou de contrôle d'intégrité (MD5, SHA-1, SHA-256, etc.) et traitement du flux avec mise à jour régulière des clés. On trouve donc un grand nombre de points communs entre les deux approches. Par ailleurs, dans le domaine des standards normalisés et des implémentations les plus répandues, deux grands acteurs dominent la mise en œuvre : IPSEC/ISAKMP pour le chiffrement au niveau IP, et SSL (via SSH ou HTTPS) pour le chiffrement au niveau des flux applicatifs TCP. == IPSEC == Les objectifs de l'architecture IPsec présentée dans la [RFC 2401] (sur laquelle cette section est largement basée) sont de fournir différents services de sécurité pour le trafic au niveau IP, que ce soit pour les environnements IPv4 ou IPv6, via l'utilisation de mécanismes de sécurité cryptographiques ou protocolaires. Les différents éléments composant cette architecture de sécurité sont : * les protocoles de sécurité : AH (''Authentication Header'') pour la garantie de l'intégrité, et ESP (''Encapsulating Security Payload') pour la confidentialité ; * les associations de sécurité (SA) : leur définition, leur fonctionnement, leur gestion, et les traitements associés ; * la gestion des clefs de chiffrement : manuelle ou automatique, et notamment via IKE (''Internet Key Exchange'') ou dans le schéma général d'ISAKMP ; * et enfin les algorithmes de protection de l'intégrité ou de chiffrement eux-mêmes ([RFC 2403], [RFC 2404], etc.). IPsec fournit les services de sécurité en permettant à un système informatique de sélectionner les protocoles de sécurité souhaités, de déterminer le(s) algorithme(s) à utiliser pour ces services, et en mettant en place les clefs cryptographiques nécessaires pour leur mise en œuvre. L'ensemble des services de sécurité fournis par IPsec incluent le contrôle d'accès, la protection de l'intégrité des paquets, la garantie d'authenticité de l'origine des paquets, le rejet des paquets rejoués (c'est à dire une forme de protection partielle d'intégrité sur les séquences de paquets), la confidentialité (via le chiffrement), et une confidentialité partielle sur la nature des flux réseaux transportés. Comme ces services sont fournis au niveau IP, ils peuvent être utilisés par n'importe quel protocole de plus haut niveau, comme TCP, UDP, ICMP, BGP, etc. IPsec supporte aussi la négociation de la compression au niveau IP, notamment en raison du fait que, quand le chiffrement est employé, il empêche toute compression efficace par les protocoles de plus bas niveau. === IPsec === IPsec utilise deux protocoles pour assurer la sécurité du trafic réseau : AH et ESP. Ces protocoles sont décrits respectivement dans les [RFC 2402] et [RFC 2406]. * Le mode AH (''Authentication Header'') fournit une protection de l'intégrité des paquets, la garantie de l'origine des paquets et une protection optionnelle contre les rejeux. * Le mode ESP du protocole (''Encapsulating Security Payload'') fournit la confidentialité. Il peut aussi fournir une protection de l'intégrité des paquets, la garantie de l'origine des paquets et une protection contre les rejeux. * AH et ESP sont tous deux des véhicules pour le contrôle d'accès, basé sur la distribution de clefs cryptographiques et la gestion des flux réseaux associés aux protocoles de sécurité. Ces protocoles peuvent être utilisés seuls ou simultanément pour fournir des services de sécurité sur IPv4 ou IPv6. Chaque protocole permet d'utiliser deux modes : le mode transport ou le mode tunnel. Dans le mode transport, ils fournissent essentiellement une protection à l'usage des protocoles de plus haut niveau ; dans le mode tunnel, ces protocoles sont appliqués à des paquets IP encapsulés. IPsec permet donc à l'utilisateur ou l'administrateur de contrôler la granularité du trafic auquel un service de sécurité est offert. Par exemple, il est possible de créer un seul tunnel crypté pour transporter tout le trafic réseau entre deux passerelles sécurisées ou bien un tunnel chiffré séparé peut être construit pour chaque connexion TCP établie entre chaque paire de machines communiquant au travers de ces passerelles. Pour permettre cette flexibilité, l'infrastructure de gestion d'IPsec doit inclure des fonctions permettant : * de spécifier quels services de sécurité doivent être utilisés et comment ils doivent être combinés ; * de définir la granularité à laquelle un niveau de protection donné doit être appliqué ; * de choisir les algorithmes utilisés concrètement pour les protections cryptographiques. Comme tout ces services de sécurité reposent sur des valeurs secrètes partagées (des clefs cryptographiques), IPsec repose sur un ensemble de mécanismes séparés nécessaires pour mettre en place ces clefs. IPsec supporte à la fois une distribution manuelle ou automatique des clefs de chiffrement, d'intégrité et d'authentification. L'ensemble des normes relatives à IPsec fournit une solution spécifique pour la gestion automatisée des clefs : IKE, basée sur des solutions de cryptographie asymétrique (à clef publique), mais d'autres approches peuvent être employées, en s'appuyant sur le cadre général fourni par ISAKMP. === ISAKMP/IKE === ISAKMP, défini dans la [RFC 2408], est le protocole permettant la mise en place des associations de sécurité (SA) utilisables pour la mise en œuvre du tunnel chiffré. Ce protocole ne définit pas précisément les techniques d'authentification et d'échange de clefs utilisables mais fournit le contexte permettant de définir ces techniques. Le protocole technique le plus utilisé du point de vue opérationnel semble être IKE, défini dans la [RFC 2409], à l'intérieur de l'ensemble normatif d'IPsec. D'autres protocoles sont possibles mais moins répandus, par exemple OAKLEY (défini dans la [RFC 2412] et utilisant une technique de type Diffie-Helmman) dont IKE est une variante simplifiée. === Déroulement d'une session === Les différentes phases de l'établissement d'une session IPsec sont schématiquement les suivantes : # Un tunnel IPsec est initié lorsqu’un trafic à protéger devant aller d’un point à un autre est détecté (soit sur la machine elle-même en mode transport, soit par la passerelle du site en mode tunnel). # Phase 1 (IKE) : négociation de la politique d'établissement des associations de sécurité (SA) ISAKMP. Une fois que les 2 extrémités du tunnel sont authentifiées, un canal de communication protégé est créé pour la poursuite de la négociation IKE. # Phase 2 (IKE) : les 2 extrémités du tunnel utilisent alors ce canal protégé pour négocier les associations IPsec (ESP et/ou AH). La négociation des paramètres finaux détermine comment le tunnel IPsec établi pourra fonctionner (algorithmes utilisés, intervalles de renouvellement des clefs de chiffrement, etc.). # Le tunnel IPsec est créé, les échanges des données transférées entre les 2 extrémités du tunnel IPsec sont basées sur les paramètres IPsec configurés dans le « transform set » choisi. # Le tunnel IPsec se termine quand les SA sont supprimées ou quand leur durée de vie expire. Les phases de négociation 1 et 2 sont cruciales pour l'établissement de la session IPsec. Surtout quand on a affaire à des implémentations hétérogènes de constructeurs différents, les critères de succès de la négociation peuvent être difficiles à atteindre. En effet, le protocole est assez complexe, quasiment impossible à observer sur le réseau (car chiffré dès les premières phases) et met en jeu un nombre important de paramètres parfois assez cryptiques. En pratique, la partie la plus difficile de la mise en œuvre d'un VPN IPsec consiste généralement à bien paramétrer les logiciels pour assurer le succès de cette négociation. Quand on a affaire à la même implémentation à chaque bout du tunnel, les fichiers de configuration sont presque les mêmes, et la tâche est généralement plus simple. Pendant la durée de vie de la session de communication IPsec, des négociations périodiques sont effectuées via ISAKMP pour faire varier les clefs de sessions utilisées. En règle générale, les clefs de sessions utilisées pour les protocoles ESP ou AH (type phase 2) sont renégociées avec une période de l'ordre d'une heure, celles utilisées pour les négociations ISAKMP elles-mêmes au bout d'une période de l'ordre d'un jour. La valeur optimale de ces paramètres varie bien évidemment suivant les algorithmes cryptographiques autorisés (et notamment la longueur des clefs impliquées) et le volume de trafic échangé. == Clients VPN « personnels » (authentification de l’utilisateur) == Une utilisation particulièrement importante des protections de type VPN concerne les accès des utilisateurs nomades aux ressources du réseau interne d'une entreprise. Dans ce mode de fonctionnement, la protection accrue offerte par l'utilisation d'un VPN (à la fois en terme d'authentification et de protection du flux pendant son activité) permet d'envisager de permettre à ces postes de travail itinérants d'accéder à la majorité des ressources du réseau interne à partir d'Internet (et donc de points d'accès opérateurs classiques, avec une couverture géographique très large) voire à partir d'un point d'accès sans fil (''WiFi''). Dans ce cas toutefois, on souhaite généralement associer l'authentification mise en œuvre par le logiciel VPN (par exemple une implémentation IPsec) avec une authentification de l'utilisateur accédant au réseau interne. Dans ce cas, l'authentification effectuée par un protocole comme IPsec n'est pas totalement adaptée. Par ailleurs, le souci pratique est fréquemment de ré-utiliser une infrastructure d'authentification existante pour les utilisateurs (utilisant par exemple S/Key, ou de simples mots de passe via RADIUS) et de ne profiter que de la sécurité offerte par IPsec au niveau du transport (pas tellement au niveau de l'authentification). Il faut aussi souligner, dans ce cas, l'importance de la protection de l'ordinateur portable lui-même par rapport aux ressources réseau qui peuvent éventuellement l'entourer. En effet, la liaison VPN offrant généralement un accès au niveau IP, même si les flux sont ultérieurement contrôlés par un firewall de l'entreprise, il peut être possible de rebondir vers le réseau interne en prenant appui sur l'ordinateur portable si celui-ci est vulnérable. C'est tout à fait possible par exemple en activant les fonctions de routage du système d'exploitation de l'ordinateur portable, ou en utilisant des relais applicatifs ou des relais génériques (logiciels que nous avons déjà présentés sous un autre éclairage). Ceci conduit généralement à coupler l'utilisation d'un « client » VPN avec un firewall personnel permettant d'interdire tout accès réseau n'empruntant pas le canal protégé par le VPN. Il faut noter que, notamment pour pallier les attaques les plus complexes ou les infections virales capables de se propager en différé, les protections du firewall personnel doivent aussi être actives même quand le VPN lui-même n'est pas actif. Face à ces besoins, même si le fonctionnement d'IPsec est souvent respecté pour tout ce qui est du fonctionnement courant du VPN, un certain nombre d'implémentations « propriétaires » ont vu le jour. (En toute rigueur, un certain nombre d'implémentations ont aussi précédé l'apparition des standards IPsec.) De manière générale, ces clients VPN « personnels » propriétaires offrent des fonctionnalités additionnelles en terme d'authentification ou de protection mais ces extensions ne respectent généralement pas une norme et sont donc généralement uniquement compatibles avec une passerelle du même constructeur. Dans la pratique, il est important de les identifier correctement, que ce soit pour profiter de ces fonctionnalités additionnelles ou pour ne pas en pâtir. == Tunnels SSH == Pour la mise en place de liaisons protégées de type VPN au niveau applicatif, une solution pragmatique qui permet parfois de trouver des solutions efficaces dans les cas où le mode de fonctionnement d'IPsec est un peu trop contraignant, est d'utiliser le mode tunnel de connexions SSH. SSH est d'abord un outil de connexion à distance de machine à machine offrant une authentification forte (par chiffrement asymétrique RSA ou DSA en général, éventuellement couplé à une authentification par mot de passe Unix classique) et une protection de la session distante (à la fois du point de vue de sa confidentialité et de son intégrité). Toutefois, le protocole SSH permet également d'utiliser le canal de communication TCP protégé pour transporter les communications réseau d'autres applications (si celles-ci le permettent sans trop de complication). Cette configuration est notamment recommandée pour renforcer la sécurité de sessions X11 distantes traversant des réseaux non-sûrs, en utilisant les fonctions de ''x-forwarding'' offertes à la fois par [http://www.openssh.org/ OpenSSH] et [http://www.xfree86.org/ XFree86]/[http://xorg.freedesktop.org/ XOrg]. L'avantage de cette solution est de pouvoir être mise en place éventuellement entièrement en mode utilisateur, en tout cas sans impliquer des paramétrages sophistiqués impliquant potentiellement l'ensemble du fonctionnement réseau des machines concernées. == OpenVPN == Une solution similaire mais plus récente est dédiée à la mise en place de tunnels au niveau applicatif. Il s'agit d'[http://openvpn.sourceforge.net/ OpenVPN]. Elle utilise également les possibilités offertes par le protocole TLS et son implémentation OpenSSL. Cette réalisation illustre bien les avantages de fonctionner au niveau applicatif par rapport à IPsec : OpenVPN fonctionne sur la majeure partie des systèmes d'exploitation et peut traverser assez facilement des firewall intermédiaires. Cette utilitaire qui entre en version 2 nous semble particulièrement intéressant. ifr4au50rskhl28i8an519ns8pfhbg0 Sécurité des systèmes informatiques/Sécurité informatique/Systèmes d'authentification 0 8645 745184 677659 2025-06-21T20:21:58Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Crypto hardware tokens */Correction de l'usage du verbe pallier, et d'une confusion à/a 745184 wikitext text/x-wiki <noinclude>{{Sécurité informatique}}</noinclude> Nous allons à présent nous intéresser aux mécanismes d'authentification utilisables dans les systèmes informatiques. De manière générale, on peut recenser différentes catégories d'authentification : * Codes d’accès (« Sésame, ouvre-toi ! ») : nous ferons entrer dans cette catégorie tous les modes d'accès qui n'offrent quasiment aucune sécurité mais qui s'appuient néanmoins sur la connaissance d'un mot de passe particulier (dans la pratique, celui-ci peut être aussi varié qu'une adresse IP, un mot du dictionnaire, un nom de compte ésotérique, etc.). Dans la pratique, ces codes d'accès sont finalement très répandus. À moins qu'ils ne soient ''à usage unique'', ils n'offrent pas plus qu'une illusion d'authentification, et nous ne les aborderons pas plus avant. * Nom d’utilisateur / mot de passe : la technique d'authentification qui reste la plus courante est celle consistant à définir un nom d'utilisateur et un mot de passe associé. Le premier permet d'identifier l'utilisateur et est fourni de manière déclarative. Le second est ensuite demandé par le système pour valider l'identification déclarée en comparant une information supposée connue seulement de l'utilisateur légitime avec une information stockée sur le système. En toute rigueur, le mot de passe ne doit pas être connue en clair du système lui-même et surtout de ses administrateurs. Afin de limiter l'impact d'un vol et l'omniscience des administrateurs système, les techniques de cryptographie permettent de se limiter au stockage d'un hash du mot de passe sur le système. * Clef publiques/clefs privés: : les technique d'authentification basées sur l'utilisation des possibilités offertes par la cryptographie asymétrique, associant une clef publique connue de tous et une clef privée détenue seulement par l'utilisateur (ou un objet dont il dispose) sont celles fournissant à l'heure actuelle, dans la pratique, les moyens d'authentification les plus résistants du point de vue technique. Des exemples courants dans ce domaine sont l'utilisation de RSA, DSA pour des applications comme SSH (authentification des machines et des utilisateurs), IKE (établissement de tunnels chiffrés IPSEC), l'authentification par carte à puce sur les systèmes d'exploitation, etc. * Authentification « forte » des utilisateurs : les techniques d'authentification dites « fortes » combinent l'utilisation de protocoles d'authentification spécialement étudiés (faisant appel à des algorithmes cryptographiques sérieux) et des éléments logiciels ou matériels permettant aux utilisateurs de mettre en œuvre assez facilement ces protocoles : ** mots de passe jetables intégrant une composante horaire ; ** mots de passe jetables (type S/Key, par logiciel ou calculette) ; ** cartes à puce et token USB. * Certaines techniques d'authentification abusent en fait de l'utilisation d'un dispositif matériel plus ou moins sophistiqué détenu par l'utilisateur pour ressembler à la famille précédente : pistes magnétiques ISO, numéros d'identification RFID (cartes sans contact), etc. ; mais elles ne sont pas si « fortes » que cela. On notera enfin que ces différentes techniques d'authentification sont largement orientées vers l'authentification de l'utilisateur auprès du système, voire d'un système auprès d'un autre système. L'authentification du logiciel s'exécutant à un instant donné auprès de l'utilisateur (notamment au moment de l'authentification de l'utilisateur), ou même la vérification de l'intégrité du logiciel au moment de l'installation sont encore largement ignorés dans la pratique. Au moins, ceci confirme l'inusable actualité de la tactique du cheval de Troie, pourtant millénaire. == Hardware tokens == === Crypto hardware tokens === Les techniques d'authentification utilisant des dispositifs matériels spécifiques intégrant des fonctions de calcul cryptographiques (notamment de cryptographie asymétrique) sont une classe importante de moyens d'authentification pour les utilisateurs. De manière générale, ces dispositifs sont souvent désignés sous le nom de « carte à puce », bien que cette dénomination commence à devenir trompeuse, toutes les puces n'intégrant pas nécessairement de fonctions cryptographiques, a fortiori de cryptographie asymétrique, et certaines de ces puces étant désormais proposées sur d'autres supports que des cartes. Dans la pratique, une carte à puce est détenue par l'utilisateur qui partage avec elle un code d'identification (souvent appelé PIN), généralement numérique ou alphanumérique. Ce PIN permet à l'utilisateur de déverrouiller la carte pour une session d'authentification spécifique et protège celle-ci (de manière limitée) en cas de vol. La carte à puce elle-même réalise une authentification avec la machine hôte via un protocole d'authentification du type de ceux utilisant la cryptographie RSA ou DSA - c'est à dire en utilisant un algorithme cryptographique asymétrique permettant à la carte à puce de prouver son identité sans révéler la clef privée qu'elle détient. Suivant les modèles, cette clef privée est stockée dans une zone mémoire protégée de la puce<ref name=physintrusion>Cette zone ne doit pas pouvoir être accédée, même par une intrusion physique sur la puce, sans provoquer la destruction de la mémoire concernée.</ref> et est même générée sur la puce elle-même. Dans ce dernier cas, à aucun moment la clef privée ne sort de la carte à puce et constitue donc un secret de très bonne qualité. Les standards industriels semblent également converger vers un stockage du bi-clef d'authentification sous le format des certificats X.509. Enfin, les cartes à puce nécessitent un dispositif de lecture spécifique, un lecteur de cartes, installé sur la machine hôte. Pour pallier le besoin de cet équipement additionnel, le format du dispositif a évolué pour tirer partie des ports USB disponibles depuis quelques années sur la plupart des micro-ordinateurs, et on rencontre désormais ce dispositif sous la forme d'une clef USB. Par ailleurs, ces clefs USB d'authentification présentent les mêmes caractéristiques techniques qu'une carte à puce, quand elles utilisent le même type de microprocesseur. Mais ce format USB peut également être utilisé par d'autres types de « puces » (les clefs mémoires simples par exemple, sont désormais très répandues). Des dispositifs matériels intégrant des fonctions cryptographiques sont également disponibles pour réaliser l'authentification utilisant des mots de passe jetables (dont l'intérêt est de pouvoir fonctionner avec un protocole d'authentification non-sécurisé pré-existant). On rencontre parfois des dispositifs de ce type, souvent appelés « calculettes ». Ces calculettes nécessitent généralement un PIN pour les déverrouiller. Des versions logicielles de ce type de dispositif peuvent également être utilisées, si une confiance suffisante dans la machine sur laquelle est exécutée ce logiciel est acquise. === Autres badges d'identification === D'autres types de dispositifs matériels d'authentification sont également relativement courants, bien qu'ils ne soient pas toujours utilisés pour l'authentification sur un système d'exploitation, mais plutôt pour le contrôle d'accès physique ou d'autres fonctions courantes (pointage horaire, paiement cantine, suivi de production, etc.). Le plus courant est probablement la carte à piste magnétique ISO (souvent appelée « badge »), mais d'autres dispositifs sont également assez répandus (badges Weygand, inductifs, etc.). La limite entre ces « badges d'identification » et la « carte à puce d'authentification » n'est parfois pas facile à reconnaître. ==== Dispositifs « sans contact » (RFID, etc.) ==== ==== Zoom sur les tokens à puces cryptographiques ==== == Mots de passe et attaque des mots de passe == Malgré l'existence de dispositif matériels d'authentification, l'authentification par mot de passe reste la technique la plus répandue dans les systèmes informatiques. Sa prolifération a même donné lieu à la création d'un marché pour des produits de gestion des différents mots de passe dont un utilisateur peut être détenteur, et qu'il n'arrive plus à mémoriser seul. Cette technique sépare l’identifiant : le nom d’utilisateur fourni de manière déclarative ; et l’authentifiant : un mot de passe secret. === Stockage === Cet authentifiant est stocké à disposition du système d’authentification, qu'il s'agisse du logiciel permettant d'ouvrir des sessions utilisateur au niveau du système d'exploitation (login) ou bien au niveau d'un service applicatif (par exemple un serveur HTTP) ou d'un SGBD. Il est d'abord important de distinguer différentes formes de stockage du mot de passe sur le système. En effet, certains utilisateurs (les administrateurs par exemple, ou les opérateurs des systèmes de sauvegarde), ou parfois un grand nombre d'utilisateurs (tous les utilisateurs dans les anciennes versions d'Unix<ref name=unixpwd>Avant l'introduction des fichiers <code>/etc/shadow</code> contenant les mots de passe cryptés accessibles seulement à certaines catégories d'utilisateurs, ceux-ci étaient directement stockés dans la table <code>/etc/passwd</code> accessible en lecture par tous les utilisateurs.</ref>) peuvent avoir accès à cette zone de stockage. Malgré tout, un tel accès ne doit pas leur permettre de découvrir facilement le mot de passe des autres utilisateurs, ce qui leur donnerait un moyen d'usurper totalement leur identité. On peut distinguer : * un stockage sous forme « obscurcie », utilisant un encodage spécifique, mais réversible : c'est par exemple le cas de certains équipements réseau Cisco qui font figurer les mots de passe sous cette forme dans un état de leur configuration — d'autres constructeurs peuvent certainement utiliser ce type de stockage — qu'il est important de savoir distinguer de celles utilisant un véritable mécanisme cryptographique ; * un stockage sous forme chiffrée, par exemple en utilisant une fonction cryptographique à sens unique (''secure hash'') comme le DES d'une valeur constante, MD5, SHA-1, etc. ; * un stockage sous une forme chiffrée résistante, c'est à dire spécifiquement adaptée pour résister à une attaque par dictionnaire, en démultipliant l'espace de recherche possible (c'est à dire en pratique en ajoutant un salt aléatoire de longueur suffisante au mot de passe fourni par l'utilisateur) et en ralentissant le calcul de la fonction cryptographique pour limiter la vitesse des essais réalisables ; * enfin, il faut réaliser que ces mots de passe sont parfois stockés directement en clair sur le système ; par exemple dans le cas des applications Web, c'est encore une pratique largement répandue de stocker en clair les mots de passe dans la base de données associée, dans ce cas tous ceux ayant accès à ces tables, notamment les développeurs, sont en mesure d'usurper l'identité des utilisateurs. === Caractéristiques === Du point de vue de l'usage terminologique, il importe de distinguer un mot de passe d'un(e) « ''passphrase'' » ou un PIN. Dans les deux cas, il s'agit bien de l'équivalent d'un mot de passe ; mais l'usage consacre généralement le terme PIN pour désigner un code numérique servant à déverrouiller une carte à puce, et le terme ''passphrase'' pour désigner le mot de passe permettant de déverrouiller l'accès à une clef privée stockée sur disque (sous forme chiffrée) par exemple dans un anneau de clef OpenPGP ou la partie privée d'un certificat X.509<ref name=anumpin>Les cartes à puce récentes permettant désormais d'utiliser n'importe quelle séquence alphanumérique pour choisir un PIN et les certificats X.509 pouvant être entièrement gérés par une carte à puce, la distinction entre PIN et passphrase commence également à s'estomper.</ref>. La deuxième dénomination fait également référence à une méthode de choix du mot de passe (utilisant une phrase comme support mnémonique) permettant d'arriver à des mots de passe de bonne qualité. La technique d'authentification par mot de passe étant encore très largement répandue, dans un souci pratique, il faut s'intéresser aux caractéristiques d'un bon mot de passe. Selon nous, un bon mot de passe combine les caractéristiques suivantes : * il est personnel : c'est à dire spécifique à chaque individu et connu de lui seul (il ne peut donc être « prêté ») ; * il doit être fiable : c'est à dire durablement mémorisé par son détenteur, malgré des périodes parfois longues de non-utilisation ; * enfin, pour avoir un rôle réel du point de vue de la sécurité, il doit être résistant : c'est à dire qu'il ne doit pas être facile à deviner pour un tiers (qu'il s'agisse d'un humain ou d'une ''machine''). Ces caractéristiques mettent en lumière les principales difficultés que posent la technique d'authentification par mot de passe. Le caractère personnel s'oppose à beaucoup d'usages, notamment en entreprise, où la délégation d'accès est nécessaire (par exemple en cas d'absence) et souvent impossible à réaliser par les fonctions du système. La fiabilité d'un mot de passe, dans un cerveau humain standard, s'oppose assez directement à sa complexité, dont on comprend pourtant qu'elle est nécessaire pour un minimum de résistance. La résistance à des attaques automatiques devient de plus en plus difficile. La puissance croissante des machines permet désormais d'effectuer jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'essais par seconde ce qui permet d'obtenir très rapidement tout mot de passe qui n'a pas été choisi avec soin. Enfin, une utilisation judicieuse de la psychologie humaine peut aussi permettre de deviner le mot de passe d'un tiers : en tout état de cause, la manière la plus simple d'obtenir le mot de passe de quelqu'un reste de le lui demander. === Attaque du mot de passe === L'attaque des mots de passe peut donc s'effectuer de multiples manières : * Les difficultés de mémorisation rencontrées par les utilisateurs les conduisent souvent à noter leur mot de passe, ou plutôt leurs mots de passe. Dans ces conditions, et c'est probablement la technique la plus simple, il faut commencer par chercher les mots de passe dans la poubelle, sous le clavier, dans les agendas, les PDA, voire tout simplement sur les autocollants entourant l'écran. * Amener un utilisateur à vous confier son mot de passe peut sembler une stratégie simpliste, elle révèle pourtant toute son efficacité quand elle est menée avec des scénarios suffisamment sophistiqués, en utilisant les techniques dites de ''social engineering'' (notamment par téléphone). On peut par exemple envisager de se faire passer pour un RSSI souhaitant vérifier le bon fonctionnement de son outil d'attaque par dictionnaire (quoiqu'à notre connaissance, cette stratégie-là n'ait jamais marché). * Parmi les méthodes techniques de vol d'un mot de passe, la première consiste à essayer d'intercepter le mot de passe au moment où celui-ci est entré par l'utilisateur. Ceci peut être envisagé de plusieurs façons : ** en conduisant l'utilisateur à exécuter un programme malveillant qui pourra tenter de convaincre l'utilisateur de lui donner son mot de passe - c'est à dire utiliser un Cheval de Troie (en utilisant n'importe quelle animation amusante pour la partie visible du programme afin d'inciter l'utilisateur à la négligence) ; ** en utilisant un enregistreur clavier, qu'il s'agisse réellement d'un dispositif matériel d'espionnage (une caméra, une indiscrétion) ou d'un logiciel déployé par exemple via un (autre) Cheval de Troie. * Il est parfois possible d'inverser le codage des mots de passe quand la forme stockée sur l'équipement n'est pas spécifiquement protégée (pour une raison ou pour une autre). C'est par exemple le cas pour les mots de passe utilisateur stockés dans les configurations des routeurs ou des switches utilisant l'IOS Cisco<ref name=iospwd>Au contraire du mot de passe de paramétrage de l'équipement (''enable password''), généralement stocké avec la fonction de hachage sécurisée MD5, la plupart des autres mots de passe sont stockés sous une forme inversible pour une discussion factuelle du sujet. Voir http://www.auscert.org.au/render.html?it=285</ref> et figurant notamment dans leurs sauvegardes. Dans ce cas comme dans le suivant, il est nécessaire d'obtenir en préalable accès à la zone de stockage de ces mots de passe (d'une manière ou d'une autre). * Enfin, à partir de la base de données système contenant la forme protégée des mots de passe on peut envisager de mener une attaque par dictionnaire (''password cracking'') permettant de découvrir les mots de passe des utilisateurs et probablement de rebondir vers d'autres systèmes (les utilisateurs utilisant en général des mots de passe identiques ou similaires d'un système à un autre). Cette attaque, assez sophistiquée, présente un certain nombre de caractéristiques : ** Comme nous l'avons dit, elle nécessite en préalable le vol de la forme stockée, chiffrée en général. ** L'attaque consiste à réaliser des essais successifs d'authentification par rapport à un dictionnaire pré-établi en calculant la forme chiffrée (comme le fait le logiciel d'authentification) et en comparant chacun des mots du dictionnaire avec les différents mots de passe chiffrés qui ont été dérobés. ** Les logiciels permettant de mettre en œuvre ce type d'attaque permettent généralement d'aller au-delà de l'utilisation d'un dictionnaire simple et permettent d'étudier un espace de recherche plus large en prenant en compte des règles de combinaison simples imitant celles utilisées par les utilisateurs pour « compliquer » leur mot de passe (mot à l’envers, ajout d’un ou deux chiffres, etc.). ** La puissance des machines aidant et compte tenu d'un haut niveau d'optimisation pour les logiciels d'attaque, la recherche exhaustive est désormais accessible en un temps assez court pour les mots de passe composés de caractères alphanumériques ou des signes de ponctuation courants (avec une longueur minimale de huit en général). ** La technique est surtout intéressante quand elle peut être appliquée à tout un ensemble de comptes utilisateurs et les optimisations techniques des logiciels d'attaque visent à faciliter ces tentatives en parallèle. Par exemple, une optimisation évidente consiste à utiliser les techniques les plus probables en premier de manière à obtenir les mots de passe simples le plus vite possible. ** Bien que d'un principe assez simple, cette attaque est une forme directe d’une attaque cryptographique plus générale (''codebook-based'') consistant à pré-calculer un ensemble de textes chiffrés à partir d'un dictionnaire (ou de séquences aléatoires de longueur fixée) pour créer un « livre de code » lequel est ensuite utilisé afin d'accélérer le déchiffrement d'un message particulier. Un algorithme cryptographique ou une fonction de dispersion solides doivent pouvoir résister à ce type d'attaque, notamment en rendant impossible la construction d'un codebook utile et de taille significativement inférieure à l'ensemble des textes chiffrés possibles. Une attaque de ce type a récemment mis en péril l'ensemble du système d'authentification d'un système d'exploitation très répandu<ref>http://lasecwww.epfl.ch/pub/lasec/doc/Oech04.pdf</ref><ref>http://lasecwww.epfl.ch/</ref>). ** Bien évidemment, dans la pratique, le choix du dictionnaire est important pour une efficacité accrue (prénoms, langue d'origine du dictionnaire, acronymes usuels sont à intégrer). C'est également par rapport à un dictionnaire stable qu'une évaluation régulière du niveau de solidité des mots de passe peut être effectuée ; cette fois-ci par les administrateurs de sécurité. === Prévention et évaluation === Parmi les différentes techniques d'attaque, un certain nombre s'appuient sur la méconnaissance des utilisateurs des vulnérabilités de la technique d'authentification qu'ils utilisent couramment, ainsi qu'une tendance à sous-estimer les abus qui peuvent être effectués en usurpant leur identité. Face à ce type de danger, c'est d'abord par la sensibilisation des utilisateurs et la formation des administrateurs que l'on peut agir ; par exemple en prenant pour point de départ l'exposé d'une « bonne » méthode de choix d'un mot de passe, soin qui met de fait en avant l'importance du secret et de la qualité de l'authentifiant… Le mode de stockage des mots de passe sur les systèmes où l'authentification est réalisée ou dans le système d'information (sauvegardes) est également un point technique qui est mis en exergue par une étude plus détaillée de la gestion des mots de passe. Il est parfois possible de choisir entre différents modes de fonctionnement et, dans tous les cas, le détail des algorithmes utilisés par les différents systèmes montre de larges disparités qui pourraient être un critère de choix d'une technique d'authentification. C'est aussi un indice sur le niveau général de confiance que l'on peut accorder dans le système d'exploitation concerné. L'examen des algorithmes utilisés est bien évidemment source d'information, mais la mise en œuvre effective de l'attaque par dictionnaire avec un logiciel librement disponible l'est également : elle permet d'offrir un point de vue tout à fait concret sur l'efficacité combinée des choix des utilisateurs et des algorithmes de stockage en usage dans le système d'information. À notre connaissance, ces données offrent également un moyen d'alerte utile au niveau des directions. On pourrait également envisager de les utiliser pour offrir une motivation aux utilisateurs et les encourager à adopter des politiques de choix judicieuses ; mais c'est un terrain délicat sur lequel nous ne nous sommes encore jamais aventurés et qu'il importe certainement d'inscrire dans un « plan de communication » réfléchi pour susciter une réaction positive<ref name=userpr>Des réactions négatives sont à craindre si on montre sans précaution aux utilisateurs que leurs mots de passe sont « mauvais » (faillibles en fait) d'autant qu'aucune méthode de sélection d'un mot de passe n'est infaillible, surtout face aux progrès de la recherche exhaustive.</ref>. Une attaque régulière des mots de passe mise en œuvre par les administrateurs de sécurité eux-mêmes doit, à notre sens répondre aux critères suivant : * utiliser un matériel et un logiciel courant, c'est-à-dire des moyens accessibles à un agresseur peu fortuné ; * être effectuée très régulièrement pendant une longue période (les variations sont nettement plus intéressantes qu'un résultat ponctuel) ; * être effectuée sous des conditions de sécurité ''très'' strictes (ce qui n'est assez facile que si on isole les calculs sur une machine peu utilisée et si on prend garde à la transmission des données) sous peine de donner un très mauvais exemple ; * les résultats doivent être consolidés - les indicateurs les plus pertinents n'étant pas toujours évidents à identifier en première approche (le ratio vulnérables/non-vulnérables est intéressant ponctuellement tandis que, dans une vision continue, l'évolution des taux d'apparition et de disparition de mots de passe vulnérables l'est probablement plus) ; * la communication des résultats obtenus doit également être effectuée avec précaution, qu'il s'agisse de résultats ponctuels ou statistiques<ref name=prpwd>Il est ''bien entendu'' totalement inadapté de provoquer les utilisateurs dont le mot de passe a été identifié en le leur dévoilant sans sollicitation. De toute façon, la curiosité dans ce domaine est un vilain défaut.</ref>. Parmi les logiciels utilisables pour réaliser ce type d'évaluation, les plus connus sont [http://www.atstake.com/products/lc/ L0phtCrack] dans le domaine commercial pour la version 5 et plutôt sur plate-forme Windows ; et [http://www.openwall.com/john/ John the Ripper] plutôt sur plate-forme Unix. Ces outils sont les successeurs de l'outil historique dans ce domaine, nommé : Crack (v4.1 en 1991 puis [http://www.crypticide.com/users/alecm/security/c50-faq.html v5.0]) d'[http://www.crypticide.com/dropsafe/info/home.html Alec Muffet]. Dans le domaine des outils orientés vers la capture des mots de passe (chiffrés ou non) transitant sur le réseau, un outil librement disponible particulièrement intéressant est [http://www.oxid.it/cain.html Caïn]. Il offre un niveau de convivialité remarquable pour une démonstration et un outillage intéressant pour divers types de mots de passe et d'écoute réseau. [[Image:shotcain.png|frame|center|Cain, un outil de capture passive et d'attaque des mots de passe]] == Annuaires == La problématique du stockage des mots de passe dans le système d'information est de plus en plus liée à celle de la mise en place d'un annuaire des utilisateurs. Quoique le mot de passe soit un attribut assez particulier de la définition des utilisateurs (en comparaison, par exemple, de leur nom ou de leur numéro de téléphone), sa gestion est étroitement associée à celle des autres caractéristiques de l'utilisateur. Parmi les différentes technologies d'annuaires, certaines permettent de traiter de manière unifiée la gestion des mots de passe (NIS+, LDAP), d'autres s'appuient sur une infrastructure de gestion des informations et des fonctions d'authentification distincte (par exemple Active Directory et Kerberos), d'autres offrent des fonctions spécifiques (DNSSEC). Le lien entre l'annuaire des utilisateurs offert par le système d'information et les informations concernant la sécurité pourrait être amené à s'étendre encore avec la gestion dans l'annuaire d'éléments comme les certificats X.509 des utilisateurs, ou les clefs et les certificats IPSEC/IKE pour les dialogues entre machines ou entre services. == SSO == Face à la multiplication des mots de passe gérés par un même utilisateur, des utilitaires de gestion sont apparus pour aider les utilisateurs à stocker leurs différents mots de passe et leur éviter d'avoir à les mémoriser. Ces différents utilitaires sont généralement rassemblés sous la désignation de moyens de « SSO » (pour ''Single Sign-On''). Cet acronyme désigne en fait de manière générique la problématique de l'authentification unique : c'est à dire le fait pour l'ensemble des applications et des systèmes d'exploitation d'un système d'information réparti de partager le(s) même(s) système(s) d'authentification et d'éviter ainsi aux utilisateurs d'avoir à s'authentifier plusieurs fois pour accéder aux différentes ressources du système d'information. Cette problématique, plus proche en fait de l'autorisation dans un système distribué que de l'authentification, a été abordée initialement dans le projet [http://web.mit.edu/kerberos/www/ Kerberos] du MIT. Toutefois, en l'absence de l'utilisation d'un même service d'authentification suffisamment sophistiqué pour permettre à l'ensemble du système de fonctionner avec une authentification unique, la plupart des applications utilisent en fait des annuaires et des définitions d'utilisateurs internes et exigent une ré-authentification des utilisateurs. Les utilitaires de SSO permettent de donner l'illusion d'une authentification unique en automatisant les authentifications « secondaires » à partir des informations stockées dans un répertoire de chaque utilisateur (qui contient les identifiants et les mots de passe nécessaires). Qui plus est, certains utilitaires permettent le stockage de ce répertoire dans une ressource centralisée du système d'information (comme Active Directory ou LDAP) ce qui complète l'illusion en associant l'accès à ce répertoire à l'authentification « primaire » assurée par les annuaires. D'autres utilitaires offrent la possibilité de stocker les données d'identification et d'authentification dans la mémoire protégée de dispositifs matériels comme les cartes à puce, ou les clefs USB ; ce qui permet à un utilisateur de transporter avec lui en permanence tout le répertoire dont il a besoin, et de mélanger les éléments personnels et professionnels (sur ce dispositif qui lui est propre). L'utilisation de ces utilitaires simplifie grandement la vie aux utilisateurs, désormais confrontés quotidiennement à l'obligation d'utiliser 4 ou 5 mots de passe au moins. Ils sont donc associés à une demande qui peut être forte. Par ailleurs, ils semblent parfois indispensables pour permettre de prendre en charge des applications anciennes dont le développement est définitivement arrêté et qui ne pourront pas évoluer vers la prise en compte d'un nouveau système d'authentification. Une automatisation poussée et fiable permettrait même d'envisager une gestion complètement transparente des authentifications secondaires, et donc de choisir l'utilisation de mots de passe très complexes, impossibles à mémoriser pour un individu, et changeant fréquemment. Dans la pratique toutefois, un tel degré d'automatisation semble difficile à atteindre. Enfin, ils sont particulièrement adaptés à un usage personnel pour la gestion des multiples comptes des applications Web. Toutefois, à notre sens, il faut considérer que ces utilitaires ne donnent qu'une illusion d'authentification unique. Pour y aboutir réellement, il faut permettre aux applications d'utiliser un service d'autorisation suffisamment évolué pour gérer un système réparti moderne (et si possible ouvert) ; le premier des services qu'il rend étant bien évidemment celui de permettre et de garantir l'authentification des utilisateurs (et des services) concernés auprès de lui. Toutefois, tant que les solutions disponibles sur ce point n'auront pas connu un déploiement effectif suffisamment étendu, les utilitaires de SSO de gestion des mots de passe semblent avoir un bel avenir devant eux. La plupart des systèmes d'exploitation ou des éditeurs de logiciels de sécurité à destination du poste de travail (fournisseurs d'antivirus par exemple) proposent désormais ce type de logiciel. On peut ainsi mentionner : KDE Wallet Manager, GNOME Password Manager, Symantec's Norton Password Manager, Aladdin eToken Web Sign-On ou même certaines fonctions d'Internet Explorer et de Mozilla ou Firefox, et bien d'autres. == Notes == <references/> qqj69kc0udb483mi2uhguw5q7v6l8be Startup 0 13276 745190 686054 2025-06-21T20:54:20Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Estimer le capital requis */Correction verbe pallier et point en fin de phrase 745190 wikitext text/x-wiki La ''jeune-pousse'' ou ''startup'' (ou ''start-up'') qui vient de l'anglais ''startup company'' est une entreprise récemment formée, généralement jusqu'à son introduction en bourse. L'encyclopédie wikipédia renseigne sur le terme et sur son historique mais elle ne nous dit pas : '''Comment créer sa start-up ?''' {{Sur Wikipédia|Startup}} == Une idée brillante == Tout le monde peut avoir des idées brillantes. Seulement, peu de gens ont des idées brillantes qui soient réalisables dans le monde réel. Le meilleur moyen de fixer ses idées est de pouvoir répondre à ces questions : *Y a t-il un besoin essentiel à combler ? *ce besoin peut-il supporter une activité rentable ? *y a t-il de la concurrence sur ce marché ? Si oui, en quoi votre idée donne-t-elle un avantage aux utilisateurs que les concurrents n'offrent pas ? *est-ce que le produit/service est techniquement réalisable ? *est-ce qu'il est légal ? *est-ce sans risque ? *ce service est-il durable, peut-il être entretenu sur de longues années? *les coûts d'investissement(de départ) sont-ils en rapport avec la réalité du marché ? *La « période de retour sur investissement » est-elle assez courte pour s'investir dans l'activité ? *es ce que le produit pourra être reproduit en une ligne de produit similaires ou compatibles plus tard, si le produit originel est un succès ? *est-ce que vous pouvez protéger votre produit avec un brevet ou un droit de la propriété intellectuelle ? *le produit viole t-il la propriété intellectuelle de quelqu'un ? *toutes les matières entrant dans la conception sont-elles facilement disponibles ? == Le business plan == {{Sur Wikipédia|Business plan}} Il sert à prendre conscience des décisions et des étapes nécessaires à la réalisation du plan. Un bon business-plan est compréhensible aussi bien par les partenaires et les employés que par les investisseurs et capitalise la quintessence des idées de votre business. Autant dire qu'il doit être clair, concis, complet et cohérent pour être crédible. Il doit mettre en avant ce qui a été accompli et ce qu'il reste à faire. C'est donc un document obligatoire pour tout entrepreneur sérieux qui veut réussir. === Comprendre votre business! === L'analyse de la situation est décomposable en 3 parties qui permettent de prendre conscience de l'environnement dans lequel s'immergera votre entreprise, quels seront les facteurs de succès et d'échec. 1. Le Consommateur 2. La place de votre entreprise 3. La Concurrence ==== Le Consommateur et sa relation avec le produit ==== pour comprendre le consommateur et sa relation avec le produit/service, vous devez répondre aux questions suivantes : Qui est le consommateur ? *Comment vit-il ? *Quel est son âge ? *Quel sont ses revenus ? *Quel est son niveau d'éducation ? *Combien y a t-il de consommateurs potentiels ? *Quel besoin ce produit satisfait-il ? *Comment le produit sera-t-il utilisé ? *Quels sont les autres utilisations du produit ? *Combien le consommateur va-t-il acheter d'unités ? *Si c'est un service, le consommateur a-t-il besoin d'être présent lorsque le service est fourni ? *Où le consommateur peut-il apprendre sur ce service ? *Qui veut, en fait, acheter le produit (mère, père, enfant ?) *Qui va influer sur la décision ? *Combien le consommateur est-il prêt à payer ? *De combien le prix pourra-t-il changer avant d'avoir un impact sur la décision d'achat ? Essayer de trouver les réponses, après cela, vous aurez véritablement compris votre consommateur et votre produit/service. ==== La place de votre entreprise ou commencer votre activité ==== Répondez aux questions suivantes : *Quel est le coût total d'acquisition du domaine ? *Quel sont les coûts de maintenance ? *Avez vous assez d'espace ? *Est-ce que le lieu peut prendre en compte une bouffée soudaine de visiteurs (trafic) *Est-ce que le lieu est populaire ? *Quels sont les autres sites situés à proximité ? Complètent-ils votre business? *Y a-t-il une protection contre l'incendie ? *Est-ce que les outils de base sont disponibles à un coût raisonnable ? *Allez vous transporter des produit dans d'autres lieux ? Les voies sont elles sûres ? *Quels est l'histoire de l'endroit ? Cela vous donnera un bon jugement. ==== La Concurrence ==== Les questions suivantes servent à analyser la concurrence. *Quels sont vos concurrents potentiels ? *Quels sont leurs qualités et quels sont leur défauts ? *Quels sont leur consommateurs ? *Pourquoi un consommateur achèterait chez vous plutôt que chez eux ? *Quel est le volume des ventes des concurrents ? *Quels sont les parts de marché des concurrents ? *Y a t-il moyen de racheter votre concurrent ? (franchise ou absorption) *Comment est positionné chaque compétiteur sur le marché ? *Quels sont leurs images de marque ? *Comment la concurrence fait-elle pour promouvoir ses produit/services ? *Qui sont les fournisseurs de chaque concurrent? *Y a t-il un nouveau concurrent qui se fait une place dans cette branche ? *Quels sont les qualités et les défaut de management de chaque concurrent ? *Est-ce que les concurrents sont bien financé ? *Comment sont-ils positionnés ? La concurrence est-elle rude ? *Est-ce que les développements technologiques affectent les concurrents ? Sont-ils mieux armés face à cela que vous ne l'êtes? *Comment sont notées la qualité, l'apparence, la taille du service/produit, etc? *Quelles garanties donnent t-il ? *Y a un concurrent qui a des droits exclusifs sur le marché ? *Quels sont leur heures d'ouverture ? *Quel est la saturation des autres concurrents ? Y a t'il de la place pour un autre acteur ? Essayez de trouvez les réponses avant de lancer votre business. === Quels sont vos objectifs? === Cet exercice a pour but d'évaluer votre motivation personnelle et d'essayer d'y répondre. Si elle n'est pas suffisante, alors il faut l'améliorer ou passer le projet à quelqu'un de plus intéressé. Quels sont vos besoins et vos buts ? Plus que le besoin d'argent, y a-t-il un besoin de reconnaissance, de réalisation, etc ? Si vous n'êtes pas intéressé, ce n'es pas la peine de perdre votre temps et celui d'autres personnes. Donc, posez vous les questions suivantes : *Quel est votre motivation pour lancer cette affaire ? *Quels sont les risques ? *Combien de temps comptez vous vous engager ? *Quel est le temps raisonnable pour atteindre vos objectifs ? *Quand vos objectifs personnels seront -il atteints ? *Serez vous capable de « survivre » en cas d'échec ? === Comment prendre la bonne décision === Il y a cinq types de décisions à prendre : *les décision légales (statuts juridique : SA, SARL, EURL etc) *les décisions à caractère humain (les employées, le recrutement, la motivation) *les décisions de production (qualité, coûts, matériels, logiciels etc) *les décisions d'achat (financement, assurance, opportunité, stockage, obsolescence, casse) *les décisions de vente (coûts, demande, objectifs) == Estimer le capital requis == Maintenant que vous avez une bonne idée de votre business, il va falloir lancer votre activité. Mais avant, il faut trouver des investisseurs pour régler les frais de lancement (phase de démarrage). Restez ouvert à toute intervention extérieure. C'est le maître-mot pour ne pas manquer une opportunité. Prévoyez plus que ce dont vous avez besoin afin de pallier les imprévus. Déterminez les coûts pour chaque phase. Faites le point à chaque phase. N'oubliez pas que la plupart des banques attendent que vous soyez rentable avant de vous prêter de l'argent. Venez donc avec des relevés de comptes (bilan, compte de résultats etc). == Comment rassembler les capitaux requis == Vous avez beaucoup plus de chances de recevoir de l'argent si vous avez un business plan complet lorsque vous approchez des investisseurs potentiels. Il convertit votre thèse idéaliste en proposition sérieuse et réfléchie. Soyez préparé à recevoir des rejets massifs et des tournures administratives lentes. Vous allez devoir rencontrer une multitudes de personnes et être cohérent en discours et répétitif. Être capable d'accrocher votre lecteur en une phrase pour ne plus le perdre. En allant à une banque, soyez préparé aux questions suivantes : *Comment l'argent sera-t-il employé ? *Comment l'argent sera-t-il remboursé ? *Quelles seront les répercussions de votre action ? *Êtes-vous une personne de confiance ? *Avez-vous l'expérience suffisante pour ce type de business? *Vos employées et vos managers ont-ils "les épaules assez larges" ? *Quels sont les prospects sur le long terme ? Votre business plan doit tenir en 12 pages, pas plus. Ayez une introduction accrocheuse. Et donnez vos coordonnées ! Voilà l'essentiel. N'oubliez pas de compléter ce guide pour les autres entrepreneurs qui vous succéderont afin d'améliorer leur chances de succès ! Bonne chance ! == Liens externes == * http://www.indiahowto.com/how-to-start-company.html * Hervé Lebret, [http://lebret.wordpress.com Start-Up : ce que nous pouvons encore apprendre de la Silicon Valley] 2007 [[Catégorie:Guides pratiques]] [[Catégorie:Minilivres]] faxq5d2xl21ehhix70g175ltwqcq2kl Conseils de codage en C/Performances 0 24412 745191 258866 2025-06-21T21:46:28Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Exemple */Correction faux-ami library 745191 wikitext text/x-wiki {{Conseils de codage en C}} Ces conseils permettent d'obtenir des programmes plus rapides ou utilisant seulement les ressources nécessaires. ==Éviter d'éparpiller les entrées-sorties (c_perf_1)== Il faut éviter d'effectuer des entrées sorties dans une partie du programme qui réalise des calculs de façon intensive. Il faut regrouper ces opérations d'échange dans une partie consacrée à l'initialisation ou à l'écriture et la communication des résultats. ===Justification=== L’appel répété aux fonctions du système est pénalisant pour les performances. Les accès aux moyens de stockage de masse (disques) ou au réseau sont beaucoup plus longs que les échanges avec les registres ou la mémoire vive. ==Utiliser l'algorithme le plus rapide (c_perf_2)== Pour effectuer une même opération, il peut exister différents algorithmes ayant un nombre d'opérations différent. Il faut employer le plus adapté pour obtenir de meilleures performances en temps de réponse. ===Justification=== Les instructions issues de la compilation des fichiers sources sont exécutées par un processeur, mais pas de façon simultanée. Certaines opérations prennent plus de temps que d'autres. ===Exemple=== *Pour trier un grand nombre d'informations, utiliser un algorithme de tri rapide de type Quick Sort comme [[v:Langage C/Fonctions de base/stdlib.h#Algorithmes|qsort de la bibliothèque C standard]] plutôt qu'un tri à bulles. *Pour des calculs mathématiques (matrices, algèbre linéaire), utiliser des bibliothèques spécialisées. [[Catégorie:Conseils de codage en C (livre)|Performances]] ir23cgyqvlarpjue8bzlmr93fv0kuuw Grec ancien/Lexique 0 29558 745182 744928 2025-06-21T17:51:40Z 2A01:CB05:8BC9:BF00:FD4A:30F2:5EEF:6C14 745182 wikitext text/x-wiki {{Grec ancien}} {{Wiktionnaire|Catégorie:grec ancien}} Au cours de vos lectures, vous serez amené à rencontrer des mots que vous n’arriverez pas à traduire en français. Le mieux est d’avoir un dictionnaire grec-français (type Bailly) mais certains mots reviennent souvent ; voici un lexique non-exhaustif grec-français par ordre alphabétique avec des renseignements sur le mot (genre, déclinaison, etc.) [[Fichier:NAMA Stèle d'Hègèsô.jpg|left|170px|thumb|Stèle funéraire en marbre trouvée à Athènes. La défunte est Hègèsô, fille de Proxenos : la qualité du travail indique une famille noble. L’œuvre a été attribuée au sculpteur Callimaque. Musée archéologique d’Athènes, Grèce.]] __FORCERSOMMAIRE__ ==Α== '''ἆ (interjection)''' : ah !<br> '''ἃ ἅ (interjection)''' : ha ha.<br> '''ἇ ἇ (interjection)''' : .<br> '''ἀ- (préfixe)''' (Devient ''ἀν-'' devant un mot commençant par une voyelle.) : préfixe privatif.<br> '''ἀάω (verbe)''' : Blesser, frapper. Frapper l’esprit. Égarer, tromper. S’égarer, commettre une faute.<br> '''ἀϐαθέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀϐαθής''.<br> '''ἀϐαθέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀϐαθής''.<br> '''ἀϐαθής, -ής, -ές (adjectif)''' : superficiel.<br> '''ἀϐαθῶς (adverbe)''' : superficiellement.<br> '''ἀϐαρέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀϐαρής''.<br> '''ἀϐαρέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀϐαρής''.<br> '''ἀϐαρής, -ής, -ές (adjectif)''' : léger.<br> '''ἀϐαρῶς (adverbe)''' : légèrement.<br> '''ἄϐαξ, -κος (nom commun) (m)''' : Planche, tablette. Tableau de mathématicien. Table à jouer. Plat, assiette. Table pour compter les votes.<br> '''ἀϐϐᾶς, -ᾶ (nom commun) (m)''' : abbé.<br> '''αϐϐαεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : abbaye.<br> '''ἀϐέλιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme crétoise de ''ἥλιος''.<br> '''ἀϐλαϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : Inoffensif ; sûr.<br> '''ἁϐός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἡϐός''.<br> '''ἁϐότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἁϐός''.<br> '''ἁϐότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἁϐός''.<br> '''ἁϐρός, -ά, -όν (adjectif)''' : tendre ; délicat.<br> '''ἁϐρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἁϐρός''.<br> '''ἁϐρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἁϐρός''.<br> '''ἁϐρότης, -τος (nom commun) (f)''' : Bonheur, prospérité. Affectation. Magnificence, faste, opulence.<br> '''ἁϐρῶς (adverbe)''' : tendrement ; délicatement.<br> '''ἀγαθοεργία, -ας (nom commun) (f)''' : charité.<br> '''ἀγαθός, -ή, -όν (adjectif)''' : Bon ; utile.<br> '''ἀγαθωσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : bonté, bienveillance.<br> '''ἀγαθῶς (adverbe)''' : Bonnement ; utilement.<br> '''ἀγαλλίασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : jubilation.<br> '''ἀγάλλω (verbe)''' : jubiler.<br> '''ἄγαλμα, -άλματος (nom commun) (n)''' : statue.<br> '''ἄγαν (adverbe)''' : trop.<br> '''ἀγάπη, -ης (nom commun) (f)''' : amour divin, universel, inconditionnel.<br> '''ἀγαπῶ (verbe)''' : aimer d’amour.<br> '''ἀγασός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἀγαθός''.<br> '''ἀγγελιαφόρος, -ου (nom commun) (m)''' : messager.<br> '''ἀγγελικός, -ή, -όν (adjectif)''' : d’ange.<br> '''ἀγγελικῶς (adverbe)''' : angéliquement.<br> '''ἀγγελικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀγγελικός''.<br> '''ἀγγελικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀγγελικός''.<br> '''ἄγγελος, -έλου (nom commun) (m)''' : messager ; ange.<br> '''ἀγγέλλω (verbe)''' : annoncer.<br> '''ἀγγίζω (verbe)''' : toucher.<br> '''ἀγείρω (verbe)''' : assembler, rassembler.<br> '''ἀγελάζω (verbe)''' : rassembler en troupeau.<br> '''ἀγελαία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀγελαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : .<br> '''ἀγελάς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀγέλαστος, -ος, -ον (adjectif)''' : maussade ; sombre.<br> '''ἀγέλη, -ης (nom commun) (f)''' : troupeau.<br> '''ἁγεμών, -όνος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''ἡγεμών''.<br> '''ἁγίμων, -όνος (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''ἡγεμών''.<br> '''ἁγιάζω (verbe)''' : Bénir ; consacrer.<br> '''ἁγιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bénédiction.<br> '''ἅγιος, -ία, -ιον (adjectif)''' : auguste, sacré ; saint.<br> '''ἁγίως (adverbe)''' : saintement.<br> '''ἁγιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἅγιος''.<br> '''ἁγιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἅγιος''.<br> '''ἄγκιστρον, -ίστρου (nom commun) (n)''' : crochet.<br> '''ἀγκυλίς, -δος (nom commun) (f)''' : crochet.<br> '''ἀγκύλος, -η, -ον (adjectif)''' : courbé.<br> '''ἀγκύλως (adverbe)''' : .<br> '''ἀγκυλώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀγκύλος''.<br> '''ἀγκυλώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀγκύλος''.<br> '''ἄγκυρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : ancre.<br> '''ἀγκών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : coude.<br> '''ἀγλαός, -ός, -όν (adjectif)''' : brillant.<br> '''ἁγνεία, -ας (nom commun) (f)''' : chasteté ; pureté. Purification ; raffinage<br> '''ἁγνίζω (verbe)''' : être chaste.<br> '''ἅγνισμα, -τος (nom commun) (n)''' : objet d'un sacrifice (ou offrande).<br> '''ἁγνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀγνόημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : omission.<br> '''ἄγνοια, -ίας (nom commun) (f)''' : ignorance.<br> '''ἄγνος, -ου (nom commun) (m)''' : gattilier.<br> '''ἁγνός, -ή, -όν (adjectif)''' : chaste ; pur.<br> '''ἁγνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἁγνός''.<br> '''ἁγνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἁγνός''.<br> '''ἁγνότης, -τος (nom commun) (f)''' : chasteté ; pureté.<br> '''ἁγνῶς (adverbe)''' : chastement ; purement.<br> '''ἀγνοῶ (verbe)''' : ignorer.<br> '''ἄγνωστος, -ος, -ον (adjectif)''' : (Sens passif) Inconnu, ignoré. (Sens actif) ignorant.<br> '''ἀγνωστότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄγνωστος''.<br> '''ἀγνωστότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἄγνωστος''.<br> '''ἀγνώστως (adverbe)''' : .<br> '''ἀγορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : marché ; assemblée.<br> '''ἀγορητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : orateur.<br> '''ἄγος, -ους (nom commun) (n)''' : Sacrilège, souillure. Homme sacrilège, impie. Expiation.<br> '''ἀγριόχοιρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀγροῖκος, -ίκα, -ῖκον (adjectif)''' : .<br> '''ἄγριος, -ία, -ιον (adjectif)''' : qui vit dans les champs.<br> '''ἀγρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : (Au pluriel) Champ. (Au singulier) Ferme, bien de campagne, fonds, propriété foncière. La campagne (par opposition à la ville).<br> '''ἄγρωστις, -ώστιδος (nom commun) (f)''' : chiendent officinal.<br> '''ἄγυρις, -ύριος (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''ἀγορά''.<br> '''ἀγύρτης, -ου (nom commun) (m)''' : charlatan.<br> '''ἀγών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Assemblée, réunion.<br> '''ἀγωνία, -ας (nom commun) (f)''' : Lute dans les jeux, exercice, exercice gymnastique. (Figuré) Angoisse, anxiété.<br> '''ἀγωνίζομαι (verbe)''' : Se battre, concourir pour un prix.<br> '''ἀγωνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : combattant.<br> '''ἄγω (verbe)''' : Conduire, mener.<br> '''ἀδαής, -ής, -ές (adjectif)''' : intrépide.<br> '''ἀδάμας, -αντος (nom commun) (m)''' : diamant.<br> ‎ '''ἀδελφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : sœur.<br> '''ἀδελφεά, -άς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ἀδελφή''.<br> '''ἀδελφεή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἀδελφή''.<br> '''ἀδελφεός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme homérique et ionienne de ''ἀδελφός''.<br> '''ἀδελφειή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Forme homérique de ''ἀδελφή''.<br> '''ἀδελφιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme crétoise de ''ἀδελφός''.<br> '''ἀδευφιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Autre forme crétoise de ''ἀδελφός''.<br> '''ἀδελφός, -οῦ (nom commun) (m)''' : frère.<br> '''ἀδεξιός, -ός, -όν (adjectif)''' : gauche ; maladroit.<br> '''ἀδιάλλακτος, -ος, -ον (adjectif)''' : intransigeant.<br> '''ἀδιανόητος, -ος, -ον (adjectif)''' : incompréhensible.<br> '''ᾄδω (verbe)''' : Forme attique de ''ἀείδω''.<br> '''ἀέ(ς) (adverbe)''' : Forme dorienne de ''ἀεί''.<br> '''ἄεθλον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme homérique de ''ἆθλον''.<br> '''ἄεθλος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme homérique et ionienne de ''ἆθλος''.<br> '''ἀείδω (verbe)''' : chanter.<br> '''ἀεικής, -ής, -ές (adjectif)''' : inapproprié ; malséant.<br> '''ἀεικῶς (adverbe)''' : malséantement.<br> '''ἀεικέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀεικής''.<br> '''ἀεικέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀεικής''.<br> '''ἀεί (adverbe)''' : toujours.<br> '''ἀέλιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne, éolienne, et arcado-chypriote de ''ἥλιος''.<br> '''ἀεργός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἀετός, -οῦ (nom commun) (m)''' : aigle.<br> '''ἄζα, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀζαθός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme arcado-chypriote de ''ἀγαθός''.<br> '''ἄζω (verbe)''' : .<br> '''ἀηδών, -ονός (nom commun) (f)''' : rossignol.<br> '''ἀήρ, -έρος (nom commun) (m)''' : air (que l'on respire).<br> '''ἄθεος, -ος, -ον (adjectif)''' : athée.<br> '''ἀθίγγανος, -ου (nom commun) (m)''' : tsigane.<br> '''ἄθικτος, -ος, -ον (adjectif)''' : intact.<br> '''ἄθλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : sport.<br> '''ἀθλητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : sportif.<br> '''ἀθλητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sportif.<br> '''ἀθλητικῶς (adverbe)''' : sportivement.<br> '''ἀθλητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀθλητικός''.<br> '''ἀθλητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀθλητικός''.<br> '''ἀθλητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀθλητικῶς''.<br> '''ἀθλητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀθλητικῶς''.<br> '''ἄθλιος, -ία, -ιον (adjectif)''' : Concourant pour un prix ou luttant pour gagner un prix. Misérable, fieffé ; désolé.<br> '''ἀθλίως (adverbe)''' : misérablement.<br> '''ἄθλιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄθλιος''.<br> '''ἄθλιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἄθλιος''.<br> '''ἆθλον, ἄθλου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἆθλος, ἄθλου (nom commun) (m)''' : compétition.<br> '''ἄθυρμα, -ύρματος (nom commun) (n)''' : jouet.<br> '''ἀθύρω (verbe)''' : jouer.<br> '''ἀθῷος, -ος, -ον (adjectif)''' : innocent.<br> '''ἀθῷότης, -τος (nom commun) (f)''' : innocence.<br> '''αἴ (interjection)''' : hélas.<br> '''αἰϐοῖ (interjection)''' : beurk.<br> '''αἰγαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : égéen.<br> '''αἰγίθαλλος, -άλλου (nom commun) (m)''' : mésange.<br> '''αἰγίς, -δος (nom commun) (f)''' : égide.<br> '''αἴγλη, -ης (nom commun) (f)''' : splendeur.<br> '''αἰδοΐα, -ας (nom commun) (f)''' : organe génital.<br> '''αἰδοῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : pudique.<br> '''αἰδοῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : vulve.<br> '''αἰδώς, -οῦς (nom commun) (f)''' : pudeur.<br> '''αἰεί (adverbe)''' : Forme ionienne de ''ἀεί''.<br> '''αἰέν (adverbe)''' : Forme homérique de ''ἀεί''.<br> '''αἰές (adverbe)''' : Autre forme dorienne de ''ἀεί''.<br> '''αἰή (adverbe)''' : Autre forme dorienne de ''ἀεί''.<br> '''αἰθάλη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''αἴθαλος, -άλου (nom commun) (m)''' suie.<br> '''αἰθήρ, -έρος (nom commun) (m/f)''' : éther.<br> '''αἰθιοπικός, -ή, -όν (f)''' : éthiopien.<br> '''αἶθος, -ἴθους (nom commun) (n)''' : Chaleur, feu.<br> '''αἴθουσα, - (nom commun) (f)''' : .<br> '''αἴθριος, -ια, -ιον (adjectif)''' : Clair, limpide ; beau.<br> '''αἰθύλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : éthyle.<br> '''αἴθω (verbe)''' : brûler.<br> '''αἶι (adverbe)''' : Forme éolienne de ''ἀεί''.<br> '''-ακός, -ή, -όν (suffixe)''' : .<br> '''αἴξ, -γός (nom commun) (f)''' : chèvre.<br> '''αἰολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : éolien.<br> '''αἰόλος, -α, -ον (adjectif)''' : agité.<br> '''αἰλουρίς, -δος (nom commun) (f)''' : chatte.<br> '''αἴλουρος, -ύρου (m/f)''' : Chat, chatte.<br> '''αἷμα, -ἵματος (nom commun) (n)''' : sang.<br> '''αἱμωδία, -ας (nom commun) (f)''' : hémodie.<br> '''αἱμωδιῶ (verbe)''' : saigner des dents.<br> '''αἱμοπτύσις, -εως (nom commun) (f)''' : crachement de sang.<br> '''αἱμορραγία, -ας (nom commun) (f)''' : perte de sang.<br> '''αἱμορραγῶ (verbe)''' : perdre du sang.<br> '''αἱμορροΐς, -δος (nom commun) (f)''' : hémorroïde.<br> '''αἱμορροῶ (verbe)''' : saigner.<br> '''αἱμόφυρτος, -ος, -ον (adjectif)''' : sanglant.<br> '''-αινα, -ίνης (suffixe) (f)''' : .<br> '''αἴνεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : louange.<br> '''αἰνέω (verbe)''' : louer.<br> '''αἴνιγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : puzzle.<br> '''αἰνιγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : relatif aux puzzles.<br> '''αἰνίσσομαι (verbe)''' : parler par mystères.<br> '''αἶνος, -ἵνου (nom commun) (m)''' : fable.<br> '''αἰνῶ (verbe)''' : Parler de (suivi de l’accusatif). Trouver bon.<br> '''-αῖος, -ία -ῖον (suffixe)''' : ancien.<br> '''-αιότατος (suffixe)''' : Forme superlative de ''-αῖος''.<br> '''-αιότερος (suffixe)''' : Forme comparative de ''-αῖος''.<br> '''-αίως (suffixe)''' : Forme adverbiale de ''-αῖος''.<br> '''αἰπόλος, -ου (nom commun) (m)''' : chevrier.<br> '''αἵρεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : action de prendre, prise ; choix.<br> '''αἱρῶ (verbe)''' : Forme ionienne et poétique de ''αἴρω''.<br> '''αἴρω (verbe)''' : Lever. (Par suite) Enlever, supprimer, détruire, faire périr. (Par extension) Contester, nier. (Figuré) Faire une levée. (Figuré) Élever, exalter, grandir. Mettre hors de soi. (Passif) Être transporté.<br> '''αἶσα, -ἴσης (nom commun) (f)''' : Part ; destinée.<br> '''αἴσθημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : sentiment.<br> '''αἴσθησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Faculté de percevoir les sens, sensation. (Par extension) Action de percevoir l’intelligence, action de s’apercevoir. Organe des sens. L’un des cinq sens. Piste d’un animal.<br> '''αἰσθητήριος, -ος, -ον (adjectif)''' : sensoriel.<br> '''αἰσιοδοξία, -ας (nom commun) (f)''' : optimisme.<br> '''αἶσχος, -ἴσχους (nom commun) (n)''' : honte.<br> '''αἰσχρολογία, -ας (nom commun) (f)''' : obscénité.<br> '''αἰσχρός, -ά, -όν (adjectif)''' : laid, honteux.<br> '''αἰσχρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''αἰσχρός''.<br> '''αἰσχρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''αἰσχρός''.<br> '''αἰσχρῶς (adverbe)''' : honteusement.<br> '''αἰσχύνη, -ης (nom commun) (f)''' : opprobre ; vergogne.<br> '''αἰσχύνω (verbe)''' : déshonorer.<br> '''αἰτέω (verbe)''' : Demander. (Dialogue) Poser un postulat.<br> '''αἴτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : demande.<br> '''αἰχμαλωσία, -ας (nom commun) (f)''' : captivité.<br> '''αἰχμαλωτίζω (verbe)''' : attraper ; capturer, saisir.<br> '''αἰχμάλωτος, - (nom commun) (m)''' : captif.<br> '''αἰών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : temps (durée de la vie) ; moelle épinière.<br> '''αἰώνιος, -ος, -ον (adjectif)''' : Éternel. Perpétuel. Séculaire.<br> '''ἀΐω (verbe)''' : entendre.<br> '''ἀκαδημία, -ας (nom commun) (f)''' : académie.<br> '''ἀκακία, -ας (nom commun) (f)''' : innocence.<br> '''ἄκανθα, -ης (nom commun) (f)''' : épine, piquant.<br> '''ἀκανθοκνίδη, -ης (nom commun) (f)''' : ortie.<br> '''ἀκανθόχοιρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : porc-épic.<br> '''ἀκαρής, -ής, -ές (adjectif)''' : insécable.<br> '''ἄκαρι, -άρεως (nom commun) (n)''' : ciron ; mite.<br> '''ἀκαριαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : instantané.<br> '''ἀκίνδυνος, -η, -ον (adjectif)''' : inoffensif ; sûr.<br> '''ἀκκίζομαι (verbe)''' : .<br> '''ἀκκιστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἀκκισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἄκμων, -ονος (nom commun) (m)''' : enclume.<br> '''ἀκοίτης, -ου (nom commun) (m)''' : époux.<br> '''ἄκοιτις, -ίτης (nom commun) (f)''' : épouse.<br> '''ἀκοή, -ῆς (nom commun) (f)''' : ouïe.<br> '''ἀκολασία, -ας (nom commun) (f)''' : débauche, luxure ; stupre.<br> '''ἀκολουθία, -ας (nom commun) (f)''' : escorte ; suite.<br> '''ἀκόλουθος, -ύθου (nom commun) (m)''' : domestique ; serviteur.<br> '''ἀκολούθως (adverbe)''' : après ; ensuite.<br> '''ἀκολουθῶ (verbe)''' : escorter ; suivre.<br> '''ἀκόρεστος, -ος, -ον (adjectif)''' : (passif) Insatiable, inépuisable. (actif) Qui ne cause aucune satiété.<br> '''ἀκουστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : relatif à l'ouïe.<br> '''ἀκούω (verbe)''' : écouter, entendre.<br> '''ἀκρίς, -δος (nom commun) (f)''' : Sauterelle ; criquet.<br> '''ἀκροϐάτης, -ου (nom commun) (m)''' : Danseur de corde, faiseur de tours d’agilité.<br> '''ἀκροποσθία, -ας (nom commun) (f)''' : prépuce.<br> '''ἀκρόπολις, -όλεως (nom commun) (f)''' : citadelle.<br> '''ἀκροστιχίς, -δος (nom commun) (f)''' : acrostiche.<br> '''ἄκρος, -α, -ον (adjectif)''' : extrême.<br> '''ἄκρον -ου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἀκτίς, -ῖνος (nom commun) (f)''' : rayon.<br> '''ἀκύρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀκυρῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀλαζονεία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀλαζόνευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἀλαζονεύομαι (verbe)''' : .<br> '''ἀλαζονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἀλαζονίστατα (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀλαζών, -όνος (nom commun) (m/f)''' : Imposteur, sans domicile fixe, escroc. Vantard.<br> '''ἀλαζών, -ών, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἀλάομαι (verbe)''' : vagabonder.<br> '''ἀλάϐαστρος, -άστρου (nom commun) (m)''' : vase de plâtre.<br> '''ἀλατιστός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἄλγος, -ους (nom commun) (n)''' : Souffrance. Douleur physique. Peine, affliction. Sujet de peine.<br> '''ἀλείτης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἄλειμμα, -ίμματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἀλειπτήριον, -ίου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀλειπτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀλείπτης ''' : .<br> '''ἀλειπτός ''' : .<br> '''ἄλειψις, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἄλειφαρ, -ίφατος (nom commun) (n)''' : pommade.<br> '''ἀλείφω (m)''' : pommader.<br> '''ἀλεκτρυών, -όνος (nom commun) (m/f)''' : Coq ; poule.<br> '''ἀλέκτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : coq.<br> '''ἀλεξανδρῖνος, -ίνη, -ῖνον (adjectif)''' : alexandrin.<br> '''ἀλέξω (verbe)''' : défendre. (prendre la défense)<br> '''ἄλευρον, -ύρου (nom commun) (n)''' : farine de froment.<br> '''ἀλευρώδης, -ώδης, -ῶδες (n)''' : semblable à de la farine de froment.<br> '''ἀλέω (verbe)''' : moudre.<br> '''ἄλη, -ης (nom commun)''' : errance.<br> '''ἀλήθεια, -ίας (nom commun) (f)''' : vérité.<br> '''ἀληθέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif) (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀληθής''.<br> '''ἀληθέστερος, -έρα, -έτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀληθής''.<br> '''ἀληθής, -ής, -ές (adjectif)''' : vrai.<br> '''ἀληθινός, -ή, -όν (adjectif)''' : vrai.<br> '''ἀληθινώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀληθινός''.<br> '''ἀληθινώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀληθινός''.<br> '''ἀληθινώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀληθινῶς''.<br> '''ἀληθινώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀληθινῶς''.<br> '''ἀληθινῶς (adverbe)''' : vraiment.<br> '''ἀληθῶς (adverbe)''' : vraiment.<br> '''ἀλήτης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἁλιεύς, -έως (nom commun) (m)''' : pêcheur.<br> '''ἁλιευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : qui concerne la pêche.<br> '''ἁλιεύω (verbe)''' : pêcher.<br> '''ἅλιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme de ''ἥλιος''.<br> '''ἀλιτρός, -ός, -όν (adjectif)''' : vilain.<br> '''ἀλιτρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀλιτρός''.<br> '''ἀλιτρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀλιτρός''.<br> '''ἀλιτρῶς (adverbe)''' : vilainement.<br> '''ἀλκή, -ῆς (nom commun) (f)''' : force.<br> '''ἀλκμαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : jeune.<br> '''ἀλλά (conjonction)''' : (Devient ''ἀλλ’'' devant un mot commençant par une voyelle.) Mais. D’un autre côté, autrement.<br> '''ἀλλαγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Changement ; échange.<br> '''ἀλλάσσω (verbe)''' : Changer, altérer. Échanger.<br> '''ἄλλαξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : troc.<br> '''ἄλληλος (adjectif)''' : .<br> '''ἀλληλούϊα (interjection)''' : alléluia.<br> '''ἁλμάω (verbe)''' : saumurer.<br> '''ἅλμη, -ης (nom commun) (f)''' : saumure.<br> '''ἀλόη, -ης (nom commun) (f)''' : aloès.<br> '''ἀλοιφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : pommade.<br> '''ἇλος, ἅλου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''ἧλος''.<br> '''ἄλσος, -ους (nom commun) (n)''' : bois (lieu).<br> '''ἅλς, -ός (nom commun) (m/f)''' : sel ; mer.<br> '''ἅλυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : chaîne (succession d’anneaux enserrés).<br> '''ἄλυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : détresse ; angoisse.<br> '''ἄλυσσον, -ύσσου (nom commun) (n)''' : alysse.<br> '''ἀλύω (verbe)''' : Être tout excité ; divaguer.<br> '''ἄλφα (nom commun) (n)''' : alpha.<br> '''ἀλφάϐητος, -ήτου (nom commun) (m)''' : Ensemble des lettres servant à écrire.<br> '''ἄλφιτα, -ίτας (nom commun) (f)''' : farine d’orge.<br> '''ἀλφός, -οῦ (nom commun) (m)''' : lèpre blanche.<br> '''ἀλωπεκῆ, -ῆς (nom commun) (f)''' : peau de renard ; ruse.<br> '''ἀλωπεκία, -ας (nom commun) (f)''' : chute des cheveux.<br> '''ἀλωπεκίασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : chute des cheveux.<br> '''ἀλωπεκίς, -δος (nom commun) (f)''' : casquette en peau de renard.<br> '''ἀλώπηξ, -εκος (nom commun) (f)''' : renard.<br> '''ἅμμα, -τος (nom commun) (n)''' : nœud.<br> '''ἅμαξα, -ης (nom commun) (f)''' : chariot.<br> '''ἁμαξαία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἁμαξαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : .<br> '''ἁμαξακάρινον, -ίνου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἁμαξάρχης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀμαυρός, -ά, -όν (adjectif)''' : sombre ; obscur.<br> '''ἀμαύρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : obscurcissement.<br> '''ἀμαυρῶ (verbe)''' : s’obscurcir.<br> '''ἁμαρτάς, -δος (nom commun) (f)''' : Faute ; erreur, méprise.<br> '''ἁμαρτάνω (verbe)''' : Manquer le but. Se tromper, se méprendre. Commettre une faute, faillir, pécher.<br> '''ἁμάρτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Échec ; faute. Péché.<br> '''ἁμαρτία, -ας (nom commun) (f)''' : Erreur ; faute. Péché<br> '''ἀμάτωρ, -ωρ, -ορ (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἀμήτωρ''.<br> '''ἀμϐλύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : émoussé.<br> '''ἀμϐρόσιος, -ία, -όσιον (adjectif)''' : divin ; immortel.<br> '''ἀμϐροσίως (adverbe)''' : divinement ; immortellement.<br> '''ἀμϐροσιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀ μϐρόσιος''.<br> '''ἀμϐροσιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀμϐρόσιος''.<br> '''ἄμϐων, -ος (nom commun) (m)''' : Bord arrondi d’un vase.<br> '''ἀμέθυστος, -ος, -ον (adjectif)''' : sobre.<br> '''ἀμεθύω (verbe)''' : être sobre.<br> '''ἀμέλγω (verbe)''' : Traire. Sucer, boire.<br> '''ἀμελής, -ής, -ής (adjectif)''' : négligeant.<br> '''ἀμελῶ (verbe)''' : négliger.<br> '''ἀμέρα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ἡμέρα''.<br> '''ἀμήν (adverbe)''' : amen.<br> '''ἀμήτωρ, -ωρ, -ορ (adjectif)''' : sans mère.<br> '''ἀμίς, -δος (nom commun) (f)''' : pot de chambre.<br> '''ἀμνάς, -δος (nom commun) (f)''' : agnelle.<br> '''ἀμνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : agneau.<br> '''ἄμεσος (adverbe)''' : .<br> '''ἀμπέλιον, -ίoυ (nom commun) (n)''' : petite vigne.<br> '''ἄμπελος, -έλου (nom commun) (m)''' : vigne (plante).<br> '''ἀμπελών, -ος (nom commun) (m)''' : vigne (endroit où elle est plantée).<br> '''ἀμπρακικός, -η, -όν (adjectif)''' : ambracien.<br> '''ἀμυγδάλη, -ης (nom commun) (f)''' : amygdale.<br> '''ἀμύγδαλον, -άλoυ (nom commun) (n)''' : amande. (fruit)<br> '''ἄμυλος, -ύλoυ (nom commun) (m)''' : amidon.<br> '''ἀμύνω (verbe)''' : défendre.<br> '''ἀμφί (adverbe ; préposition)''' : Autour. Séparément ; pour soi. Autour. À partir de ; loin de. (Avec le génitif) Autour de ; au milieu de. (Avec le datif) Autour de (quelque chose). (Figuré) Au sujet de ; par suite de. (Avec l’accusatif) Autour de. (Par extension) En faisant le tour de : en circulant à travers ; à travers ; par. Au sujet de. Aux environs de. (Joint à ''περί'') Tout autour de.<br> '''ἀμφί- (préfixe)''' : De deux côtés ; en double. Tout autour de. Au sujet de.<br> '''ἀμφιθέατρον, -ου (nom commun) (n)''' : amphithéâtre.<br> '''ἀμφιθέητρον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''ἀμφιθέατρον''.<br> '''ἀμφισϐητήσιμος, -η, -ον (adjectif)''' : contestable.<br> '''ἀμφισϐητῶ (n)''' : contester.<br> '''ἀμφί (adverbe ; préposition)''' : Des deux côtés ; aux deux extrémités. Autour. À partir de ; loin de.<br> '''ἀμφίς (adverbe ; préposition)''' : Des deux côtés ; aux deux extrémités. Autour. À partir de ; loin de.<br> '''ἀμφορεύς, -έως (nom commun) (m)''' : amphore.<br> '''ἀμφότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : l’un l’autre, les deux.<br> '''ἄμφω (déterminant)''' : les deux.<br> '''ἀνά (adverbe, préposition)''' : En haut. En avant. En haut de, sur, à travers.<br> '''ἄνα- (préfixe)''' : De bas en haut. En arrière. (Par suite) faire le contraire. (Par extension) Faire de nouveau.<br> '''ἀναϐάλλω (verbe)''' : .<br> '''ἀναϐολεύς, -έως (nom commun) (m)''' : étrier.<br> '''ἀναϐολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : ajournement, sursis.<br> '''ἀναγκάζω (verbe)''' : forcer, contraindre.<br> '''ἀναγκαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : (actif) Qui contraint. Nécessaire. Parent pour le sang. (passif) Contraint, forcé.<br> '''ἀνάγκη, -ης (nom propre) (f)''' : Nécessité, contrainte.<br> '''ἀναγράφω (verbe)''' : .<br> '''ἀνάδημα, -τος (nom commun) (n)''' : anadème.<br> '''ἀνάδοχος, -όχου (nom commun) (m/f)''' : parrain, marraine.<br> '''ἀναδρομή, -ῆς (nom commun) (f)''' : rétrospective.<br> '''ἀναδρομικός, -ή, -όν (adjectif)''' : rétrospectif.<br> '''ἀναδρομικῶς (adverbe)''' : rétrospectivement.<br> '''ἀνάδυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : émergence.<br> '''ἀναδύομαι (verbe)''' : émerger.<br> '''ἀναζήτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : recherche.<br> '''ἀναζητῶ (verbe)''' : rechercher.<br> '''ἀναθεωρῶ (verbe)''' : réviser.<br> '''ἀναθυμίασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : effluve.<br> '''ἀναίδεια, -ας (nom commun) (f)''' : impudence.<br> '''ἀναιδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀναιδής''.<br> '''ἀναιδέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀναιδής''.<br> '''ἀναιδής, -ής, -ές (adjectif)''' : impudent.<br> '''ἀναιδῶς (adverbe)''' : impudemment.<br> '''ἀναιμία, -ας (nom commun) (f)''' : manque de sang.<br> '''ἀναισχυντία, -ας (nom commun) (f)''' : effronterie.<br> '''ἀναίσχυντος, -ή, -όν (adjectif)''' : effronté.<br> '''ἀναίσχυντότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀναίσχυντός''.<br> '''ἀναίσχυντότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀναίσχυντός''.<br> '''ἀναίσχυντότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀναίσχυντῶς''.<br> '''ἀναίσχυντότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀναίσχυντῶς''.<br> '''ἀναίσχυντῶς (adverbe)''' : effrontément.<br> '''ἀνακινῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀνακοίνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : communication.<br> '''ἀνακοινῶ (verbe)''' : communiquer.<br> '''ἀνακουφίζω (verbe)''' : soulager.<br> '''ἀνακούφισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : soulagement.<br> '''ἀνακτορία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀνακτόριος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἀνάκτορον, -όρου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἀναλαμϐάνω (verbe)''' : reprendre.<br> '''ἀνάλαψις, -άψεως (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ἀνάληψις''.<br> '''ἀνάληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : Reprise, reprise de forces, rétablissement. Reconnaissance d'un enfant, action de le faire sien. (Religion chrétienne) Ascension, action d’être repris par le Ciel. Réception.<br> '''ἀναλογία, -ας (nom commun) (f)''' : proportion.<br> '''ἀναλογικός, -ή, -όν (adjectif)''' : proportionnel.<br> '''ἀναλογικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀναλογικός''.<br> '''ἀναλογικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀναλογικός''.<br> '''ἀναλογικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀναλογικῶς''.<br> '''ἀναλογικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀναλογικῶς''.<br> '''ἀναλογικῶς (adverbe)''' : proportionnellement.<br> '''ἀνάλογος, -η, -ον (adjectif)''' : commensurable.<br> '''ἀναμένω (verbe)''' : surveiller.<br> '''ἀνάμνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : commémoration.<br> '''ἀναμνηστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : commémoratif.<br> '''ἀναμνηστικῶς (adverbe)''' : commémorativement.<br> '''ἀναμνηστικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀναμνηστικός''.<br> '''ἀναμνηστικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀναμνηστικός''.<br> '''ἀναμνηστικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀναμνηστικῶς''.<br> '''ἀναμνηστικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀναμνηστικῶς''.<br> '''ἄναξις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἄναξ, -κτος (nom commun) (m)''' : maître, chef, roi.<br> '''ἀνάπαιστος, -ίστου (nom commun) (m)''' : anapeste.<br> '''ἀνάπαυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : repos.<br> '''ἀναπαύω (verbe)''' : reposer.<br> '''ἄνασσα, -ας (nom commun) (f)''' : maîtresse, reine.<br> '''ἀνάστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : résurrection.<br> '''ἀναστεναγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : soupir.<br> '''ἀναστενάζω (verbe)''' : soupirer.<br> '''ἀνατέλλω (verbe)''' : .<br> '''ἀνατολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : est.<br> '''ἀνατολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : oriental.<br> '''ἀνατολικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀνατολικός''.<br> '''ἀνατολικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀνατολικός''.<br> '''ἀνατολικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀνατολικῶς''.<br> '''ἀνατολικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀνατολικῶς''.<br> '''ἀνατολικῶς (adverbe)''' : orientalement.<br> '''ἀναφέρω (verbe)''' : alléguer ; mentionner.<br> '''ἀναφλέγω (verbe)''' : enflammer.<br> '''ἀνάφλεξις, -έξεως (nom commun) (f)''' : combustion.<br> '''ἀναφορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : allégation, mention.<br> '''ἀναφορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : allégatoire.<br> '''ἀναχώρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : départ.<br> '''ἀνδραποδίζω (verbe)''' : vendre des hommes libres en esclavage.<br> '''ἀνδράποδον, -όδου (nom commun) (n)''' : captif.<br> '''ἀνδρείκελον, -έλου (nom commun) (n)''' : marionnette.<br> '''ἀνδρεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : masculin.<br> '''ἀνδρειότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀνδρεῖος''.<br> '''ἀνδρειότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀνδρεῖος''.<br> '''ἀνδρείως (adverbe)''' : masculinement.<br> '''ἀνδρομανία, -ας (nom commun) (f)''' : andromanie.<br> '''ἀνδροπρέπεια, -ίας (nom commun) (f)''' : virilité.<br> '''ἀνδροπρεπής -ής -ές (adjectif)''' : viril.<br> '''ἀνδροπρεπῶς (adverbe)''' : virilement.<br> '''ἀνδρότης, -τος (nom commun) (f)''' : virilité.<br> '''ἀνδρών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Appartement réservé aux hommes.<br> '''ἀνεκδιήγητος, -ος, -ον (adjectif)''' : inénarrable.<br> '''ἀνέκδοτος, -ος, -ον (adjectif)''' : Non donnée en mariage, en parlant d’une jeune fille. Inédit, non publié.<br> '''ἀνέμη, -ης (nom commun) (f)''' : rouet.<br> '''ἄνεμος, -έμου (nom commun) (m)''' : vent.<br> '''ἀνερρίπτω (verbe)''' : .<br> '''ἀνερωτῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀνευθυνότης, -ητος (nom commun) (f)''' : irresponsabilité.<br> '''ἀνευθύνω (verbe)''' : être irresponsable.<br> '''ἀνεύρυσμα, -ύσματος (nom commun) (n)''' : élargissement, dilatation.<br> '''ἀνευρύνω (verbe)''' : élargir, dilater.<br> '''ἀνεψιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : nièce.<br> '''ἀνεψιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : neveu.<br> '''ἄνηθον, -ήθου (nom commun) (n)''' : aneth.<br> '''ἀνήρ, -δρός (nom commun) (n)''' : Homme, époux ; mâle des animaux.<br> '''ἄνθεμον, -έμου (nom commun) (n)''' : Diminutif d’''ἄνθος''.<br> '''ἀνθολογέω (verbe)''' : cueillir des fleurs.<br> '''ἁνθολογία, -ας (nom commun) (f)''' : florilège.<br> '''ἀνθολόγιον, -ου (nom commun) (n)''' : recueil.<br> '''ἀνθόλωψ, -πος (nom commun) (m)''' : antilope.<br> '''ἄνθος, -ους (nom commun) (n)''' : fleur.<br> '''ἄνθραξ, κος (nom commun) (m)''' : charbon.<br> '''ἀνθρακιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : pile de charbon.<br> '''ἀνθρωπάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : homuncule.<br> '''ἀνθρώπινος, -η, -ον (adjectif)''' : humain.<br> '''ἀνθρωπίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : mannequin.<br> '''ἄνθρωπος, -ώπου (nom commun) (m)''' : homme, genre humain.<br> '''ἀνθρωποκεντρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : anthropocentrique.<br> '''ἀνθρωποειδής, -ής, -ες, (adjectif)''' : anthropoïde.<br> '''ἀνθρωπολογία, -ας''' : anthropologie.<br> '''ἀνθρωπομορφισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : anthropomorphisme.<br> '''ἀνθρωποφαγία, -ας (nom commun) (f)''' : cannibalisme.<br> '''ἀνθρωποφάγος, -ου (nom commun) (n)''' : cannibale.<br> '''ἀνία, -ας (nom commun) (f)''' : ennui.<br> '''ἁνία, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ἡνία''.<br> '''ἄνισος, -η, -ον (adjectif)''' : inégal.<br> '''ἀνίστημι (verbe)''' : ressusciter.<br> '''ἄν (adverbe, particule)''' : .<br> '''ἄννησον, -ήσου (nom commun) (n)''' : anis.<br> '''ἀνόδων, -οντος (nom commun) (m/f)''' : édenté.<br> '''ἀνόητος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἄνοια, -ας (nom commun) (f)''' : démence.<br> '''ἄνοιγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : orifice, ouverture.<br> '''ἀνοίγω (verbe)''' : ouvrir.<br> '''ἄνοιξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : ouverture.<br> '''ἀνωμαλία, -ας (nom commun) (f)''' : inégalité, irrégularité.<br> '''ἀνώμαλος, -ος, -ον (adjectif)''' : inégal, irrégulier.<br> '''ἄνοικτος, -ος, -ον (adjectif)''' : impitoyable.<br> '''ἀνοικτότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄνοικτος''.<br> '''ἀνοικτότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἄνοικτος''.<br> '''ἀνοικτότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀνοίκτως''.<br> '''ἀνοικτότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀνοίκτως''.<br> '''ἀνοίκτως (adverbe)''' : impitoyablement.<br> '''ἀνορεξία, -ας (nom commun) (f)''' : manque d’appétit.<br> '''ἄνους, -ους, -ουν (adjectif)''' : dément.<br> '''ἀνταγωνίζεσθαι (verbe)''' : contrarier.<br> '''ἀνταγωνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : adversaire.<br> '''ἀνταίρω (verbe)''' : se rebeller.<br> '''ἀνταπαίτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀνταπαιτητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἀνταπαιτῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀνταρσία, -ας (nom commun) (m)''' : rébellion.<br> '''ἀντάρτης, -ου (nom commun) (m)''' : rebelle.<br> '''ἀντάρτικος, -η, -ον (adjectif)''' : rebelle.<br> '''ἀντάρτικῶς (adverbe)''' : Forme adverbiale de ''ἀντάρτικός''.<br> '''ἀντάρτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀντάρτικός''.<br> '''ἀντάρτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀντάρτικός''.<br> '''ἀντάρτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀντάρτικῶς''.<br> '''ἀντάρτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀντάρτικῶς''.<br> '''ἀντέχω (verbe)''' : endurer.<br> '''ἀντιάς, -δος (nom commun) (f)''' : (anatomie) amygdale.<br> '''ἀντιγραφέυς, -έως (nom commun) (m)''' : copiste.<br> '''ἀντιγραφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : recopiage.<br> '''ἀντιγράφω (verbe)''' : copier. (un texte écrit)<br> '''ἀντί (préposition)''' : En face de. À l’encontre de, contre. Au lieu de, à la place de. À l’égal de. En échange de. Par succession, par addition. En comparaison de. (En mot composé) En face, à l'encontre. En opposition avec. En échange de, en retour. Au lieu de, à l'égal de. Par correspondance. (En composition) En face, à l'encontre.<br> '''ἀντίληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : perception.<br> '''ἀντιπαράθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : confrontation.<br> '''ἀντιπαρατίθημι (verbe)''' : confronter.<br> '''ἀντίπους, -δός (nom commun) (m)''' : antipode.<br> '''ἀντίρρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : objection.<br> '''ἀντίστοιχος, -ος, -ον (adjectif)''' : correspondant.<br> '''ἀντιστοίχοτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀντιστοίχως''.<br> '''ἀντιστοίχοτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀντιστοίχως''.<br> '''ἀντιστοίχως (adverbe)''' : conformément.<br> '''ἀντιστοιχῶ (verbe)''' : correspondre.<br> '''ἀντισυνταγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : inconstitutionnel.<br> '''ἀντισυνταγματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀντισυνταγματικός''.<br> '''ἀντισυνταγματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀντισυνταγματικός''.<br> '''ἀντισυνταγματικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀντισυνταγματικῶς''.<br> '''ἀντισυνταγματικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀντισυνταγματικῶς''.<br> '''ἀντισυνταγματικότης, -τος (nom commun) (f)''' : inconstitutionnalité.<br> '''ἀντισυνταγματικῶς (adverbe)''' : inconstitutionnellement.<br> '''ἀντίφασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : contradiction.<br> '''ἀντιφάσκω (verbe)''' : contredire.<br> '''ἀντιφατικός -ή -όν (adjectif)''' : contradictoire.<br> '''ἀντιφατικῶς (adverbe)''' : contradictoirement.<br> '''ἀντιφατικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀντισυνταγματικός''.<br> '''ἀντιφατικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀντισυνταγματικός''.<br> '''ἀντιφατικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀντιφατικῶς''.<br> '''ἀντιφατικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀντιφατικῶς''.<br> '''ἀντιφατικότης, -τος (nom commun) (f)''' : contradiction.<br> '''ἀντίχειρ, -ος (nom commun) (m)''' : pouce.<br> '''ἀντοχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : endurance.<br> '''ἀνυπακοή, -ῆς (nom commun) (f)''' : désobéissance.<br> '''ἀνυπάκουος, -η, -ον (adjectif)''' : désobéissant.<br> '''ἀνύψωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : élévation.<br> '''ἀνυπακούω (verbe)''' : désobéir.<br> '''ἀνώδυνος, -ος, -ον (adjectif) ''' : qui n’est pas douloureux. Qui n’est pas causé par la douleur.<br> '''ἀνώγειον, -ίου (nom commun) (n)''' : grenier.<br> '''ἀνώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : suprême.<br> '''ἀνώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : supérieur.<br> '''ἀνωτερότης, -τος (nom commun) (f)''' : supériorité.<br> '''ἄνω (adverbe)''' : Sur, vers le haut ; au dessus.<br> '''ἀξιάκουστος, -ος, -ον (adjectif)''' : digne d’être écouté.<br> '''ἀξίνη, -ης (nom commun) (f)''' : pioche (outil). Hache<br> '''ἀξιο- (préfixe)''' : qui est digne de.<br> '''ἀξιοθέατος, -ος, -ον (adjectif)''' : digne d’être contemplé.<br> '''ἀξιόπιστος, -ος, -ον (adjectif)''' : digne de foi.<br> '''ἄξιος, -α, -ον (adjectif)''' : de valeur, digne de, méritant.<br> '''ἀξίωμα, -τος (nom commun) (n)''' : Prix, valeur. Ce dont on a été jugé digne. Considération, estime. Marque de considération, honneur. Haut rang, dignité. Ce que l’on juge convenable, ce qui paraît juste.<br> '''ἀξιῶ (verbe)''' : mériter (quelque chose).<br> '''ἄξων, -ονος (nom commun) (m)''' : Axe. Essieu de roue. Axe du ciel, du monde. Axe d’un chemin d’où chemin, route. Crochet du mors d’un cheval. Tablette de bois construite sur un pivot. Arbre ou axe de rotation, pivot, battant balistique.<br> '''ἀοιδός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Chanteur ; chantre.<br> '''ἀόρατος, -ος, ον (adjectif)''' : invisible.<br> '''ἄορ, -ος (nom commun) (n)''' : épée pendue à la ceinture.<br> '''ἀορτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : bandoulière.<br> '''ἀπαγορευτικός, -ή -όν (adjectif)''' : prohibitif.<br> '''ἀπαγόρευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : prohibition.<br> '''ἀπαγορεύω (verbe)''' : prohiber.<br> '''ἀπαγωγεύς, -έως (nom commun) (m)''' : ravisseur.<br> '''ἀπαγωγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : (Droit) En termes de droit athénien, action d’emmener à un procès un malfaiteur pris en flagrant délit. Action de faire dévier du droit chemin. Paiement (d’une contribution ou d’une amende).<br> '''ἀπάγω (verbe)''' : conduire ; emmener.<br> '''ἀπαισιοδοξία, -ας (nom commun) (f)''' : pessimisme.<br> '''ἀπαίτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : exigence (ce que l’on exige).<br> '''ἀπαιτῶ (verbe)''' : exiger.<br> '''ἀπαλλαγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : exonération.<br> '''ἀπαλλακτικός, -ή -όν (adjectif)''' : exonérant.<br> '''ἀπαλλάσσω (verbe)''' : exonérer.<br> '''ἀπαπαῖ (interjection)''' : ouille.<br> '''ἀπαρνοῦμαι (verbe)''' : .<br> '''ἀπάτωρ, -ωρ, -ορ (adjectif)''' : sans père.<br> '''ἄπειμι (verbe)''' : Être absent, s’absenter. Partir, s’en aller.<br> '''ἀπειρέσιος, -ία, -έσιον (adjectif)''' : Illimité, immense ; innombrable.<br> '''ἀπειρεσιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀπειρέσιος''.<br> '''ἀπειρεσιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀπειρέσιος''.<br> '''ἀπειρεσίως (adverbe)''' : immensément.<br> '''ἄπειρος, -ος, -ον (adjectif)''' : infini.<br> '''ἀπειρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄπειρος''.<br> '''ἀπειρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἄπειρος''.<br> '''ἀπείρως (adverbe)''' : infiniment.<br> '''ἀπελευθέρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : libération.<br> '''ἀπεργάζομαι (verbe)''' : .<br> '''ἀπέχθεια, -ας (nom commun) (f)''' : répugnance.<br> '''ἀπεχθής, -ής, -ές (adjectif)''' : répugnant.<br> '''ἀπήνη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀπίθανος, -ος, -ον (adjectif)''' : improbable ; incroyable.<br> '''ἄπιον, -ίου (nom commun) (n)''' : poire.<br> '''ἀπιστία, -ας (nom commun) (f)''' : infidélité ; déloyauté.<br> '''ἀπιστίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἀπιστία''.<br> '''ἄπιστος, -ος, -ον (adjectif)''' : infidèle ; déloyal.<br> '''ἀπλάνεια, -ίας (nom commun) (f)''' : constance.<br> '''ἄπληστος, -η, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἁπλότης, -τος (nom commun) (f)''' : simplicité.<br> '''ἁπλοῦς, -ῆ, -οῦν (adjectif)''' : simple.<br> '''ἀπό (adverbe ; préposition)''' (Devient ''ἀπ’'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux, et ''ἀφ’'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit rude.) : Au loin, en venant de.<br> '''ἀπό- (préfixe)''' : séparation, éloignement, changement, achèvement, cessation, retour, privation, négation.<br> '''ἀπόγειον, -ίου (nom commun) (n)''' : apogée.<br> '''ἀπόγειος, -ος, -ον (adjectif)''' : Qui part de terre, ou vient de son souffle. Éloigné de la terre.<br> '''ἀπόγονος, -όνου (nom commun) (m)''' : descendant.<br> '''ἀπογραφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Registre, liste. Copie.<br> '''ἀπογράφω (m)''' : copier.<br> '''ἀπόδειξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : évidence, preuve.<br> '''ἀποδεικτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : évident.<br> '''ἀποδεικτικῶς (adverbe)''' : évidemment.<br> '''ἀποδεικτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀποδεικτικός''.<br> '''ἀποδεικτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀποδεικτικός''.<br> '''ἀποδεικτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀποδεικτικῶς''.<br> '''ἀποδεικτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀποδεικτικῶς''.<br> '''ἀπολογητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : défensif.<br> '''ἀπολογητικῶς (adverbe)''' : défensivement.<br> '''ἀπολογητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀπολογητικός''.<br> '''ἀπολογητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀπολογητικός''.<br> '''ἀπολογητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀπολογητικῶς''.<br> '''ἀπολογητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀπολογητικῶς''.<br> '''ἀπολογία, -ας (nom commun) (f)''' : Défense, justification.<br> '''ἀπόλυτος, -η, -ον (adjectif)''' : absolu.<br> '''ἀπολύτως (adverbe)''' : absolument.<br> '''ἀπολύω (verbe)''' : congédier, licencier ; renvoyer.<br> '''ἀποπομπαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : expiatoire.<br> '''ἀποπέμπω (verbe)''' : emporter le mal.<br> '''ἀποθνῄσκω (verbe)''' : mourir.<br> '''ἀποκάλυψις, -ύψεως (nom commun) (f)''' : dévoilement.<br> '''ἀποκαλύπτω (verbe)''' : dévoiler.<br> '''ἀποκεφαλισμός, -οῦ (nom commun) (f)''' : décapitation.<br> '''ἀποκεφαλίζω (verbe)''' : décapiter.<br> '''ἀποκρουστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : . <br> '''ἀποκρούω (verbe)''' : . <br> '''ἀπόκρυφος, -ος, -ον (adjectif)''' : . <br> '''ἀπολαμϐάνω (verbe)''' : jouir. (Avoir l’usage, la possession actuelle de quelque chose.)<br> '''ἀπόλαυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : jouissance (Satisfaction voluptueuse ; plaisir né de la relation sexuelle épanouie.)<br> '''ἀπολαύω (verbe)''' : jouir. (Éprouver un vif plaisir, un orgasme, etc.)<br> '''ἀπολέγω (verbe)''' : Décliner, refuser.<br> '''ἀπολογία, -ας (nom commun) (f)''' : Défense, justification.<br> '''ἀπόλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : Défense. Narration, récit détaillé.<br> '''ἀποπατῶ (verbe)''' : déféquer.<br> '''ἀποπνίγω (verbe)''' : suffoquer.<br> '''ἀπορρίπτω (verbe)''' : .<br> '''ἀπόσπασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : fragment.<br> '''ἀποστρέφω (verbe)''' : .<br> '''ἀποστροφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : répulsion.<br> '''ἀπόστροφος, -ος, -ον (adjectif)''' : répulsif.<br> '''ἀποτέλεσμα, -έσματος (nom commun) (n)''' : résultat ; effet.<br> '''ἀποτελῶ (verbe)''' : échouer.<br> '''ἀποστέρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : frustration.<br> '''ἀποστερῶ (verbe)''' : frustrer.<br> '''ἀποτέφρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : incinération.<br> '''ἀποτεφρῶ (verbe)''' : incinérer.<br> '''ἀποτυγχάνω (verbe)''' : échouer.<br> '''ἀποτυχία, -ας (nom commun) (f)''' : échec.<br> '''ἀπουσία, -ας (nom commun) (f)''' : absence.<br> '''ἄπους, -ους, -ουν (adjectif)''' : apode.<br> '''ἀποφαίνω (verbe)''' : décider.<br> '''ἀπόφασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : décision.<br> '''ἀποφεύγω (verbe)''' : s’échapper.<br> '''ἀπόφημι (verbe)''' : .<br> '''ἀποφθέγγομαι (verbe)''' : .<br> '''ἀπόφθεγμα, -έγματος (nom commun) (n)''' : précepte, sentence.<br> '''ἀποφθορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : avortement.<br> '''ἀποφόρητον, -ου (nom commun) (n)''' : étrenne.<br> '''ἀποφυγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : échappée.<br> '''ἄποψις, -όψεως (nom commun) (f)''' : opinion, point de vue.<br> '''ἀποψύχω (verbe)''' : s’évanouir.<br> '''ἁπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : tactile.<br> '''ἀπύ (adverbe ; préposition)''' : Forme arcado-chypriote et éolienne de ''ἀπό''.<br> '''ἀπών, -οῦσα, -όν (adjectif)''' : absent.<br> '''ἅπτω (verbe)''' : toucher.<br> '''ἅπτω (verbe)''' : ajuster, attacher ; nouer.<br> '''ἄρα (conjonction)''' : (Devient ''ἄρ’'' devant un mot commençant par une voyelle, et ''ῥά'' après un mot monosyllabique ou un mot finissant par une voyelle.) puis, et, alors. Par suite, ainsi donc, donc. Puisque, à savoir, c’est-à-dire, en effet. Ayant donc, ainsi parlé.<br> '''ἆρα (particule)''' : (Devient ''ἆρ’'' devant un mot commençant par une voyelle.) est-ce que.<br> '''ἀρά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Prière. Imprécation.<br> '''ἄρακος, -άκου (nom commun) (m)''' : pois.<br> '''ἀράχνη, -ης (nom commun) (f)''' : araignée.<br> '''ἀρϐύλη, -ης (nom commun) (f)''' : botte (chaussure épaisse au long col).<br> '''ἄρδις, -ος (nom commun) (f)''' : pointe de flèche.<br> '''ἀργά (adverbe)''' : tard.<br> '''ἄργιλλος, -ίλλου (nom commun) (m)''' : argile.<br> '''ἀργιλλοφόρητος''' : mot fantôme selon Rosane Rocher (1961), comme καλποφόρος, ὀφιοφόρος, ὠποφόρος et σμνρμοφόρος.<br> '''ἀργιλλώδης (adjectif)''' : argileux.<br> '''ἀργός, -ή, -όν (adjectif)''' : blanc ; étincelant.<br> '''ἄργυρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : argent. (métal)<br> '''ἀργῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀρετά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ἀρετή''.<br> '''ἀρετή, -ῆς (nom commun) (f)''' : vertu.<br> '''ἀρή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἀρά''.<br> '''ἄρθρον, -ου (nom commun) (n)''' : Jointure, articulation. Article. (outil grammatical)<br> '''ἀριστερός, -ά, -όν (adjectif)''' : Qui est à gauche.<br> '''ἀριστόϐουλος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἄριστος, -η, -ον (adjectif)''' : excellent.<br> '''ἀρκαδικός, -ή, -όν (adjectif)''' : arcadien.<br> '''ἄρκευθος, -ύθου (nom commun) (f)''' : genévrier.<br> '''ἄρκτος, -ου (nom commun) (m/f)''' : ours(e).<br> '''ἄρκυς, -ος (nom commun) (m)''' : filet.<br> '''ἄρμα, -τος (nom commun) (t)''' : char.<br> '''ἁρμονία, -ας (nom commun) (f)''' : harmonie.<br> '''ἁρμονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : harmonieux.<br> '''ἁρμονικῶς (adverbe)''' : harmonieusement.<br> '''ἁρμονικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἁρμονικός''.<br> '''ἁρμονικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἁρμονικός''.<br> '''ἁρμονικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἁρμονικῶς''.<br> '''ἁρμονικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἁρμονικῶς''.<br> '''ἀρνοῦμαι (verbe)''' : refuser.<br> '''ἄρουρα, -ας (nom commun) (f)''' : aroure.<br> '''ἀρουραῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : rat.<br> '''ἁρπακτικός, -οῦ (nom commun) (m)''' : prédateur.<br> '''ἅρπαξ, -γος (nom commun) (m)''' : rapace, pillard.<br> '''ἁρπίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : pantoufle.<br> '''ἀρραϐών, -ῶνος (nom commun) (n)''' : arrhes.<br> '''ἄρρητος, -ος, -ον (adjectif)''' : Indicible ; ineffable, (Mathématiques) irrationnel.<br> '''ἄρσην, -ην, -εν (adjectif)''' : Mâle ; dur, fort.<br> '''ἄρρην, -ενος (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''ἄρσην''.<br> '''ἄρσην, -ενος (nom commun) (m)''' : Homme adulte ; mâle.<br> '''ἄρσης, -ενος (nom commun) (m)''' : Forme laconienne de ''ἄρσην''.<br> '''ἄρριχος, -ίχου (nom commun) (m)''' : panier.<br> '''ἄρρωστος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἀρρωστότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄρρωστος''.<br> '''ἀρρωστότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)'''' : Comparatif de ''ἄρρωστος''.<br> '''ἀρρωστότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀρρώστως''.<br> '''ἀρρωστότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀρρώστως''.<br> '''ἀρρώστως (adverbe)''' : .<br> '''ἄρτι (adverbe)''' : justement ; exactement. Maintenant.<br> '''ἄρτιος, -ία, -ον (adjectif)''' : Parfait, complet ; achevé. (Mathématiques) Pair, en parlant des nombres.<br> '''ἀρτίως (adverbe)''' : parfaitement ; complètement.<br> '''ἀρτιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἄρτιος''.<br> '''ἀρτιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἄρτιος''.<br> '''ἀρτοποιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : boulanger .<br> '''ἄρτος, -ου (nom commun) (m)''' : pain. (aliment)<br> '''ἀρτῶ (verbe)''' : Attacher. (Au passif) Dépendre, pendre, être attaché à.<br> '''ἀρύϐαλλος, ου (nom commun) (m)''' : flacon à huile.<br> '''ἀρχάγγελος, -έλου (nom commun) (m)''' : messager en chef ; archange.<br> '''ἀρχαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : ancien.<br> '''ἀρχαιότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀρχαῖος''.<br> '''ἀρχαιότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀρχαῖος''.<br> '''ἀρχαίως (adverbe)''' : anciennement.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀρχαίως''.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀρχαίως''.<br> '''ἀρχαϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : vieilli.<br> '''ἀρχαϊκότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀρχαϊκός''.<br> '''ἀρχαϊκότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀρχαϊκός''.<br> '''ἀρχαϊκῶς (adverbe)''' : vieillement.<br> '''ἀρχαϊκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀρχαϊκῶς''.<br> '''ἀρχαϊκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀρχαϊκῶς''.<br> '''ἀρχέτυπον, -ύπου (nom commun) (n)''' : modèle.<br> '''ἀρχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : commencement, commandement.<br> '''ἀρχηγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : chef.<br> '''-άρχης, -ου (suffixe)''' : qui est chef de.<br> '''ἀρχι- (préfixe)''' : relatif au commencement, au commandement.<br> '''ἀρχιδιάκονος, -όνου (nom commun) (m/f)''' : archidiacre.<br> '''ἀρχιδιήκονος, -όνου (nom commun) (m/f)''' : Forme ionienne de ''ἀρχιδιάκονος''.<br> '''ἀρχίκλωψ, -πός (nom commun) (m)''' : maître voleur.<br> '''ἀρχίμιμος, -ίμου (nom commun) (m)''' : archimime.<br> '''ἀρχιτέκτων, -ονος (nom commun) (m)''' : maître d’œuvre.<br> '''ἄρχων, -οντος (nom commun) (m)''' : archonte.<br> '''ἄρωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : parfum.<br> '''ἄρω (verbe)''' : nouer.<br> '''ἄσϐολος, -όλου (nom commun) (f)''' : suie.<br> '''ἀσέϐεια, -ας (nom commun) (f)''' : impiété.<br> '''ἀσεϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : impie.<br> '''ἀσεϐῶ (verbe)''' : être impie.<br> '''ἀσέλγεια, -ας (nom commun) (f)''' : lubricité.<br> '''ἀσελγέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀσελγής''.<br> '''ἀσελγέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀσελγής''.<br> '''ἀσελγής, -ής, -ές (adjectif)''' : lubrique.<br> '''ἀσελγότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀσελγῶς''.<br> '''ἀσελγότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀσελγῶς''.<br> '''ἀσελγῶς (adverbe)''' : lubriquement.<br> '''ἀσελγῶ (verbe)''' : être lubrique.<br> '''ἀσθενής, -ής, -ές (adjectif)''' : malade.<br> '''ἄσθμα, -τος (nom commun) (n)''' : asthme.<br> '''ἄσις, - (nom commun) (f)''' : Boue, argile.<br> '''ἀσκάλαϐος, -άϐου (nom commun) (m)''' : gecko.<br> '''ἄσκαυλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : cornemuse.<br> '''ἀσκέω (verbe)''' : entraîner.<br> '''ἄσκημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : entraînement.<br> '''ἄσκησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : exercice.<br> '''ἀσκητεία, -ας (nom commun) (f)''' : ascétie.<br> '''ἀσκητήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἀσκητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : ascète.<br> '''ἀσκητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : ascétique.<br> '''ἀσκός, -οῦ (nom commun) (m)''' : outre.<br> '''ἀσκῶ (verbe)''' : exercer.<br> '''ᾆσμα, -τος (nom commun) (n)''' : chant.<br> '''ἀσπάλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : taupe.<br> '''ἄσπαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : squale.<br> '''ἀσπίς, -δος (nom commun) (f)''' : bouclier.<br> '''ἀστακός, -οῦ (nom commun) (m)''' : homard.<br> '''ἀστεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : urbain.<br> '''ἀστήρ, -έρος (nom commun) (m)''' : étoile.<br> '''ἀστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : urbain.<br> '''ἀστραπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : éclair.<br> '''ἄστρον, -ου (nom commun) (n)''' : Astre, constellation, système d’étoiles.<br> '''ἀστυνομία, -ας (nom commun) (f)''' : police urbaine.<br> '''ἀστυνόμος, -ου (nom commun) (m)''' : astynome.<br> '''ἀστύνομος, -ος, -ον (adjectif)''' : public.<br> '''ἄστυ, -εως (nom commun) (n)''' : Cité ; ville.<br> '''ἀστυφύλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : policier.<br> '''ἄσυλον, -ύλου (nom commun) (n)''' : asile.<br> '''ἄσυλος, -ος, -ον (adjectif)''' : inviolable.<br> '''ἀσυμμετρία, -ας (nom commun) (f)''' : mauvaise proportion.<br> '''ἄσυχος, -ος, -ον (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἥσυχος''.<br> '''ἀσφάλεια, -ίας (nom commun) (f)''' : sécurité.<br> '''ἀσφαλής, -ής, -ές (adjectif)''' : sûr.<br> '''ἄσφαλτος, -άλτου (nom commun) (f)''' : asphalte.<br> '''ἀσφαλῶς (adverbe)''' : sûrement.<br> '''-άς, -δος (suffixe) (f)''' : Forme des noms d’agent.<br> '''ἄτα, -ας (nom commun)''' : Forme dorienne de ''ἄτη''.<br> '''ἄτακτος, -η, -ον (adjectif)''' : vilain.<br> '''ἀταξία, -ας (nom commun) (f)''' : vilénie.<br> '''ἀταραξία, -ας (nom commun) (f)''' : Calme ; imperturbabilité.<br> '''ἅτερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἕτερος''.<br> '''ἄτερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Forme éolienne de ''ἕτερος''.<br> '''ἄτη, -ης (nom commun)''' : Outrage. (Religion) Péché, faute. Ruine.<br> '''ἀτιμάζω (verbe)''' : déshonorer.<br> '''ἄτρακτος, -άκτου (nom commun) (n)''' : fuseau.<br> '''ἀτραπός, -οῦ (nom commun) (f)''' : sentier.<br> '''ἄττα, -ου (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''πάππας'' et ''τατᾶ''.<br> '''ἀτύχημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : accident.<br> '''ἀτυχῶ (verbe)''' : avoir un accident.<br> '''αὐθάδεια, -ας (nom commun) (f)''' : insolence.<br> '''αὐθάδης, -ής, -ές (adjectif)''' : insolent.<br> '''αὖθις (adverbe)''' : à nouveau.<br> '''αὖλαξ, -ὔλακος (nom commun) (m)''' : irrigation.<br> '''αὐλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : cour.<br> '''αὐλητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : joueur d’aulos.<br> '''αὐλητρίς, -δος (nom commun) (f)''' : joueuse d’aulos.<br> '''αὐλίζομαι (verbe)''' : passer la nuit.<br> '''αὖλις, - (nom commun) (f)''' : résidence, camp.<br> '''αὐλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : aulos.<br> '''αὐλῶ (verbe)''' : jouer de l’aulos.<br> '''αὐξάνω (verbe)''' : augmenter.<br> '''αὔξη, -ης (nom commun) (f)''' : croissance.<br> '''αὔξημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''αὔξησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Accroissement, hausse.<br> '''αὔξιμος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''αὐξητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''αὔξω (verbe)''' : croître.<br> '''ἀϋπνία, -ας (nom commun) (f)''' : insomnie.<br> '''αὔρα, -ας (nom commun) (f)''' : aura.<br> '''αὔρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''αὔρα''.<br> '''αὔριον (adverbe)''' : demain, bientôt.<br> '''αὐστηρός, -ή, -όν (adjectif)''' : sévère.<br> '''αὐστηρότης, -τος (nom commun) (f)''' : sévérité.<br> '''αὐστηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''αὐστηρότατος''.<br> '''αὐστηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''αὐστηρότατος''.<br> '''αὐστηρῶς (adverbe)''' : sévèrement.<br> '''αὐτανάφλεξις, -έξεως (nom commun) (f)''' : combustion spontanée.<br> '''αὐτάναξ, -κτος (nom commun) (m)''' : empereur.<br> '''αὐτάρ (adverbe)''' : mais, cependant.<br> '''αὐτίκα (adverbe)''' : aussitôt, sur-le-champ.<br> '''αὐτοκίνητος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''αὐτοκινῶ (verbe)''' : .<br> '''αὐτοκράτειρα, -ας (nom commun) (f)''' : impératrice.<br> '''αὐτοκρατορία, -ας (nom commun) (f)''' : empire.<br> '''αὐτοκράτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : empereur.<br> '''αὐτολεξεί (adverbe)''' : mot pour mot.<br> '''αὐτός -ή, -ό (pronom personnel)''' : il.<br> '''αὐτοσχεδιάζω (verbe)''' : improviser.<br> '''αὐτοσχεδιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : improvisation.<br> '''αὐτοσχέδιος, -ος, -ον (adjectif)''' : improvisé.<br> '''αὐτοσχεδίως (verbe)''' : de façon improvisée.<br> '''αὐτόχθων, -ων, -ον (adjectif)''' : indigène.<br> '''αὐτοψία, -ας (nom commun) (f)''' : autopsie.<br> '''αὐχήν, -ένος (nom commun) (m)''' : nuque.<br> '''αὕω (verbe)''' : soustraire.<br> '''ἀφαίρεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : soustraction.<br> '''ἀφαιρῶ (verbe)''' : soustraire.<br> '''ἀφεδρών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : latrine.<br> '''αφέλεια, -ίας (nom commun) (f)''' : ingénuité, naïveté.<br> '''ἀφελής, -ής, -ές (adjectif)''' : ingénu, naïf.<br> '''ἁφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : toucher.<br> '''ἀφήγημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : récit.<br> '''ἀφηγηματικός, -ή -όν (adjectif)''' : narratif.<br> '''ἀφηγηματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀφηγηματικός''.<br> '''ἀφηγηματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀφηγηματικός''.<br> '''ἀφηγηματικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἀντιφατικῶς''.<br> '''ἀφηγηματικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἀντιφατικῶς''.<br> '''ἀφήγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : narration.<br> '''ἀφηγητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : narrateur.<br> '''ἀφηγοῦμαι (verbe)''' : narrer.<br> '''ἄφθα, -ης (nom commun) (f)''' : aphte.<br> '''ἀφίημι (verbe)''' : Envoyer, renvoyer. Laisser aller, lâcher, relâcher. Libérer.<br> '''ἄφιξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : arrivée.<br> '''ἀφόδευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : défécation.<br> '''ἀφοδεύω (verbe)''' : déféquer.<br> '''ἀφοπλίζω (verbe)''' : désarmer.<br> '''ἀφοπλισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : désarmement.<br> '''ἀφροδισιακός -ή -όν (adjectif)''' : aphrodisiaque.<br> '''ἀφροδισιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : aphrodisiasme.<br> '''ἀφροδισιαστικός, -ή -όν (adjectif)''' : aphrodisiastique.<br> '''ἀφορισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : abolition, excommunication.<br> '''ἀφροδίσιος, -α, -ον (adjectif)''' : vénérien.<br> '''ἀφορίζω (verbe)''' : abolir, excommunier.<br> '''ἀφοσίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : dévotion.<br> '''ἀφρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : écume.<br> '''ἀφύη, -ῆς (nom commun) (f)''' : anchois.<br> '''ἀναχαίνω (verbe)''' : retenir son souffle.<br> '''ἀναχάσκω (verbe)''' : ouvrir la bouche.<br> '''ἀχαριστῶ (verbe)''' : .<br> '''ἁχατης, -ου (nom commun) (m)''' : agate.<br> '''ἀχλυόεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : brumeux.<br> '''ἀχλυοέντως (adverbe)''' : .<br> '''ἀχλυοέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀχλυόεις''.<br> '''ἀχλυοέστερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀχλυόεις''.<br> '''ἄχλυσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἀχλύς, -ος (nom commun) (f)''' : brume, ténèbres.<br> '''ἀχλυώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''ἀχλυῶ (verbe)''' : .<br> '''ἀχράς, -δος (nom commun) (f)''' : poire.<br> '''ἄχερδος, -έρδου (nom commun) (f)''' : poire.<br> '''ἀχυρών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : grange.<br> '''ἀψίνθιον, -ίου (nom commun) (n)''' : absinthe.<br> '''ἄψογος, -ος, -ον (n)''' : impeccable.<br> '''ἄψ (adverbe)''' : En arrière (sans mouvement), en retour. Encore.<br> '''ἄωτον, -ου (nom commun) (n)''' : summum.<br> '''ἄω (verbe)''' : souffler, dormir.<br> '''Ἀαρών (nom propre) (m)''' : Aaron.<br> '''Ἀϐαδδών (nom propre) (m)''' : Abaddon.<br> '''Ἀϐδίας, -ου (nom propre) (m)''' : Abdias.<br> '''Ἅϐελ (nom propre) (m)''' : Abel.<br> '''Ἀϐέλλα, -ας (nom propre) (f)''' : Avella.<br> '''Ἀϐενέζερ (nom propre) (m)''' : Ebenezer.<br> '''Ἀϐησσυνία, -ας (nom propre) (f)''' : Abyssinie.<br> '''Ἀϐιά (nom propre) (m)''' : Abija.<br> '''Ἀϐιάθαρ (nom propre) (m)''' : Abiathar.<br> '''Ἀϐιγαία, -ας (nom propre) (m)''' : Abigaëlle.<br> '''Ἀϐραάμ (nom propre) (m)''' : Abraham.<br> '''Ἀϐράμης, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἀϐραάμ''.<br> '''Ἀϐραμίας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἀϐραάμ''.<br> '''Ἄϐραμος, - (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἀϐραάμ''.<br> '''Ἀγαμέμνων, -ονος (nom propre) (m)''' : Agamemnon.<br> '''Ἀγαθή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Agathe.<br> '''Ἀγαθοκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Agathoclès.<br> '''Ἀγήνωρ, -ορος (nom propre) (m)''' : Agénor.<br> '''Ἀγησίλαος, -άου (nom propre) (m)''' : Agésilas.<br> '''Αἰγεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Égée.<br> '''Αἰγιδιός, -οῦ (prénom) (m)''' : Gilles.<br> '''Αἴγλη, -ης (nom propre) (f)''' : Églé.<br> '''Αἰγόκερως, -έρωτος (nom commun) (f)''' : Capricorne.<br> '''Ἄγκυρα, -ύρας (nom propre) (f)''' : Ankara.<br> '''Ἀγλαΐα, -ας (nom propre) (f)''' : Aglaé.<br> '''Ἀγλαός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Aglaos.<br> ''', - (nom propre) (m)''' : Agrios.<br> '''Ἁγνοδίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Agnodice.<br> '''Ἁγνωνίδης, -ου (nom propre) (m)''' : .<br> '''Ἀγρίππας, -α (nom propre) (m)''' : Agrippa.<br> '''Ἀγριππίνη, -ης (nom propre) (f)''' : Agrippine.<br> '''Ἀδάμ (nom propre) (m)''' : Adam.<br> '''ᾍδης, -ου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Hadès|Hadès]].<br> '''Ἀδικία, -ας (nom propre) (f)''' : Adicie.<br> '''Ἁδριανούπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Edirne.<br> '''Ἁδριανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Hadrien.<br> '''Ἄδωνις, -ώνιδος (nom propre) (m)''' : Adonis.<br> '''Ἀζαζέλ (nom propre) (m)''' : Azazel.<br> '''Ἀθανάσιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Athanase.<br> '''Ἀθάνα, -ας (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Ἀθηνᾶ''.<br> '''Ἀθηνᾶ, -ᾶς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Athéna|Athéna]].<br> '''Ἀθῆναι, -ῶν (nom propre) (f)''' : Athènes.<br> '''Ἀθηναία, -ας (nom propre) (f)''' : Forme de ''Ἀθηνᾶ''.<br> '''Ἀθηναῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : Athénienne.<br> '''Ἀθηναῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Athénien.<br> '''Ἀθήναιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Athénée.<br> '''Ἀθήνη, -ης (nom propre) (f)''' : Forme ionienne de ''Ἀθηνᾶ''.<br> '''Ἀθηνόδωρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Athénodore.<br> '''Ἀθύρ (nom propre) (m)''' : Athyr.<br> '''Ἅθωρ (nom propre) (f)''' : Hathor.<br> '''Ἄθως, -ω (nom propre) (m)''' : Athos (géant) ; mont Athos.<br> '''Αἰακός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Éaque.<br> '''Αἴας, -ντος (nom propre) (m)''' : Ajax.<br> '''Αἰαία, -ας (nom propre) (f)''' : Ééa.<br> '''Ἀΐδας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''ᾍδης''.<br> '''Ἀΐδης, -ου (nom propre) (m)''' : Forme homérique de ''ᾍδης''.<br> '''Ἀϊδωνεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''ᾍδης''.<br> '''Αἰγεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Égée.<br> '''Αἰγιδιός, -οῦ (prénom) (m)''' : Gilles.<br> '''Αἴγισθος, -ίσθου (nom propre) (m)''' : Égisthe.<br> '''Αἰγύπτια, -ίας (nom commun) (m)''' : Égyptienne.<br> '''Αἰγυπτιακή, -ῆς (nom propre) (f)''' : égyptien (langue).<br> '''Αἰγύπτιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Égyptien.<br> '''Αἴγυπτος, -ύπτου (nom propre) (m)''' : Égypte.<br> '''Αἰήτης, -ου (nom propre) (m)''' : Éétès.<br> '''Αἰκατερίνη, -ης (prénom) (f)''' : Catherine.<br> '''Αἰθαλία, -ας (nom propre) (f)''' : Italie.<br> '''Αἰθήρ, -έρος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Éther|Éther]].<br> '''Αἰθιοπία, -ας (nom propre) (f)''' : Éthiopie.<br> '''Αἰθιοπίς, -δος (nom commun) (f)''' : Éthiopienne.<br> '''Αἰθίοψ, -πος (nom commun) (m)''' : Éthiopien.<br> '''Αἰμιλία, -ας (nom propre) (f)''' : Émilie.<br> '''Αἰμίλιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Émile.<br> '''Αἰνέας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme poétique de ''Αἰνείας''.<br> '''Αἰνείας, -ου (nom propre) (m)''' : Énée.<br> '''Αἰνειάς, -δος (nom propre) (f)''' : Énéide.<br> '''Αἰολίς, -δος (nom propre) (f)''' : Éolide.<br> '''Αἰολεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Éolien.<br> '''Αἴολος, -όλου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Éole|Éole]].<br> '''Αἴολος, -όλου (nom propre) (m)''' : Éole (fils d'Hellen).<br> '''Αἶσα, -ἴσης (nom commun) (f)''' : [[wikt:Ésa|Ésa]].<br> '''Αἰσχύλος, -ου (nom propre) (m)''' : Eschyle.<br> '''Αἴσωπος, -ώπου (nom propre) (m)''' : Ésope.<br> '''Αἴτνη, -ης (nom propre) (f)''' : Etna.<br> '''Αἰών, -ῶνου (nom propre) (m)''' : Éon.<br> '''Ἀκαδημία, -ας (nom propre) (f)''' : jardin d’Académos, près d’Athènes, où Platon enseignait.<br> '''Ἀκάδημος, -ήμου (nom propre) (m)''' : Académos.<br> '''Ἄκις, -εως (nom propre) (m)''' : Acis.<br> '''Ἀκταίων, -ος (nom propre) (m)''' : Actéon.<br> '''Ἀκτέων, -ος (nom propre) (m)''' : Forme poétique d’''Ἀκταίων''.<br> '''Ἄκτωρ, -ορος (nom propre) (m)''' : Actor (frère cadet d’Augias).<br> '''Ἀκκώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Aléria.<br> '''Ἀλαλίη, -ης (nom propre) (f)''' : Aléria.<br> '''Ἀλϐίων, -ος (nom propre) (m)''' : Albion.<br> '''Ἀλεξάνδρεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Alexandrie.<br> '''Ἀλεξανδρέττα, -ας (nom commun) (f)''' : Alexandrine.<br> '''Ἀλεξανδρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Alexandrin.<br> '''Ἀλέξανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Alexandre.<br> '''Ἀλέξανδρος ὁ Μέγας (nom propre) (m)''' : Alexandre le Grand.<br> '''Ἄλεξις, - (nom propre) (m)''' : Alexis.<br> '''Ἀληκτώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Alecto (une des Érynies).<br> '''Ἀλήτης, -ου (nom propre) (m)''' : Alétès.<br> '''Ἀλθαία, -ας (nom propre) (f)''' : Althée.<br> '''Ἀλιλάτ (nom propre) (f)''' : Al-Lat.<br> '''Ἀλκάθοος, -ου (prénom) (m)''' : Alcathoos.<br> '''Ἀλκείδης, ου (nom propre) (m)''' : Alcide (Premier nom d’Héraclès.).<br> '''Ἄλκης, -ους (nom propre) (m)''' : Alceste.<br> '''Ἄλκηστις, -ήστιδος (nom propre) (f)''' : Alceste.<br> '''Ἀλκιϐιάδης, ου (nom propre) (m)''' : Alcibiade.<br> '''Ἀλκίνοος, -ου (nom propre) (m)''' : Alcinoos.<br> '''Ἀλκμαίων, -ος (nom propre) (m)''' : Alcméon.<br> '''Ἀλκμήνη, -ης (nom propre) (f)''' : Alcmène.<br> '''Ἀλφιτώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Alphito.<br> '''Ἀλώπηξ, -εκος (nom propre) (f)''' : Vulpecula.<br> '''Ἀμϐρόσιος, -ίου (nom propre) (m)''': Ambroise.<br> '''Ἀμαζών, -όνος (nom propre) (f)''' : Amazone.<br> '''Ἀμένωφις, - (nom propre) (m)''': Aménophis.<br> '''Ἄμηστρις, -δος (nom propre) (f)''' : Amestris.<br> '''Ἀμαύνι (nom propre) (f)''' : Amemet.<br> '''Ἀμπρακία, -ας (nom propre) (f)''' : Ambracie.<br> '''Ἀμπρακιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : Ambracien.<br> '''Ἀμπρακιῶτις, -ώτιδος (nom commun) (f)''' : Ambracienne.<br> '''Ἀμύντας, -ου (nom propre) (m)''' : Amyntas.<br> '''Ἀμφιμέδων, -οντος (nom propre) (m)''' : Amphimédon.<br> '''Ἀμφιστρεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Amphitrée.<br> '''Ἀμφιτρίτη, -ης (nom propre) (f)''' : Amphitrite.<br> '''Ἀμφιτροπή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Amphitropée.<br> '''Ἀμφιτρύων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Amphitryon.<br> '''Ἀναξίϐια, -ας (nom propre) (f)''' : Anaxibie.<br> '''Ἀναξίϐιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Anaxibios.<br> '''Ἀννίϐας, -ου (nom propre) (m)''' : Hannibal.<br> '''Ἀνδρέας, -ου (prénom) (m)''' : André.<br> '''Ἄννα, -ας (prénom) (f)''' : Anne.<br> '''Ἀνάγκη, -ης (nom propre) (f)''' : Ananké.<br> '''Ἀναῗτις, -ΐτεως (nom propre) (f)''' : Anaïs.<br> '''Ἀναξαγόρας, -ου (nom propre) (m)''' : Anaxagore.<br> '''Ἀναξίμανδρος, -ου (nom propre) (m)''' : Anaximandre.<br> '''Ἀναξιμήνης, -ου (nom propre) (m)''' : Anaximène.<br> '''Ἀναστασία, -ας (nom propre) (f)''' : Anastasie.<br> '''Ἀναστάσιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Anastase.<br> '''Ἀνατόλιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Anatole.<br> '''Ἄνουϐις, -ύϐιδος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Anubis|Anubis]].<br> '''Ἄνουκις, -δος (nom propre) (f)''' : Anoukis.<br> '''Ἀντέρως, -τος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Antéros|Antéros]].<br> '''Ἀντιγόνη, -ης (nom propre) (f)''' : Antigone.<br> '''Ἀντίκλεια, -ας (nom propre) (f)''' : Anticlée (mère d'Ulysse).<br> '''Ἀντικύθηρα, -ήρων (nom propre) (n)''' : Anticythère.<br> '''Ἀντίνοoς, -όου (nom propre) (m)''' : Antinoüs.<br> '''Ἀντίπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Antipolis.<br> '''Ἀντισθένης, -ους (nom propre) (m)''' : Antisthène. (Philosophe né vers 444 av. J.-C. et décédé vers 365 av. J.-C.)<br> '''Ἄντων, -ου (nom propre) (m)''' : Anton.<br> '''Ἀξιός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Axius.<br> '''Ἀπάτη, -ης (nom propre) (f)''' : Apaté.<br> '''Ἀπιδανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Apidanus.<br> '''Ἆπις, Ἄπιδος (nom propre)''' : Apis.<br> '''Ἀπολλόδωρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Apollodore.<br> '''Ἀπόλλων, -ωνος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Apollon|Apollon]].<br> '''Ἀρά, -ᾶς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Ara|Ara]].<br> '''Ἀραϐία, -ας (nom propre) (f)''' : Arabie.<br> '''Ἀράχνη, -ης (nom propre) (f)''' : Arachné.<br> '''Ἄραψ, -ϐος (nom commun) (m/f)''' : Arabe.<br> '''Ἀραράτ (nom propre) (m)''' : Ararat.<br> '''Ἀργαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Argaïos.<br> '''Ἀργοναῦτης, -ύτου (nom commun) (m)''' : Argonaute.<br> '''Ἀργῷος, -ῴος, -ῷον (adjectif)''' : .<br> '''Ἀργώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Argo.<br> '''Ἀρετή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Arété (déesse).<br> '''Ἄρευς, -εως (nom propre) (m)''' : Forme éolienne de ''Ἄρης''.<br> '''Ἄρης, -εως (nom propre) (m)''' : [[wikt:Arès|Arès]].<br> '''Ἀρήτη, -ης (nom propre) (f)''' : Arété (philosophe grecque de l'école des Cyrénaiques).<br> '''Ἀρίσταρχος, -άρχου (nom commun) (m)''' : Aristarque.<br> '''Ἀριστόϐουλος, -ύλου (nom propre) (m)''' : Aristobule.<br> '''Ἀριστογείτων, -ονος (nom propre) (m)''' : Aristogiton.<br> '''Ἀριστοτέλης, -ους (nom propre) (m)''' : Aristote.<br> '''Ἀριστώνυμος, -ύμου (nom propre) (m)''' : Aristonyme.<br> '''Ἀρίων, -ονος (nom propre) (m)''' : Arion.<br> '''Ἀρκαδία, -ας (nom propre) (f)''' : Arcadie.<br> '''Ἀρκάς, -δος (nom commun) (m/f)''' : Arcadien ; Arcadienne.<br> '''Ἀρκτοῦρος, -ύρου (nom propre) (m)''' : Arcturus.<br> '''Ἁρμαγεδών (nom propre) (m)''' : Armageddon.<br> '''Ἁρμόδιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Harmodios.<br> '''Ἀρσένιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Arsène.<br> '''Ἀρσινόη, -ης (nom propre) (f)''' : Arsinoé.<br> '''Ἀρταξέρξης, -ου (nom propre) (m)''' : Artaxerxès.<br> '''Ἄρτεμις, -έμιδος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Artémis|Artémis]].<br> '''Ἀρχίας, -ου (nom propre) (m)''' : Archias.<br> '''Ἀρχιμήδης, -ους (nom propre) (m)''' : Archimède.<br> '''Ἀσάνα, -ας (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Ἀθηνᾶ''.<br> '''Ἀσδρούϐας, -ου (nom propre) (m)''' : Hasdrubal (véritable nom de Clitomaque de Carthage).<br> '''Ἀσήρ (nom propre) (m)''' : Aser.<br> '''Ἀσκαλωνίτης, -ου (nom commun) (m)''' : Ascalonite.<br> '''Ἀσκαλωνῖτις, -ίτιδος (nom commun) (f)''' : Ascalonite.<br> '''Ἀσκάλων, -ος (nom propre) (m)''' : Ascalon.<br> '''Ἀσκληπιός, -οῦ (nom propre) (m)''' : [[wikt:Asclépios|Asclépios]].<br> '''Ἀσμοδαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Asmodée.<br> '''Ἀσεννέθ (nom propre) (m)''' : Asnath.<br> '''Ἀσπαθίνης, -ου (nom propre) (m)''' : Aspathinès.<br> '''Ἀσσυρία, -ας (nom propre) (f)''' : Assyrie.<br> '''Ἀσσύριος, -ίου (nom commun) (m)''' : Assyrien.<br> '''Ἀστάρτη, -ης (nom propre) (f)''' : Astarté.<br> '''Ἀστυάναξ, -κτος (nom propre) (m)''' : Astyanax.<br> '''Ἀστυάνασσα, -ας (nom propre) (f)''' : Astyanassa.<br> '''Ἄστυ, -εως (nom propre) (n)''' : Athènes.<br> '''Ἄτη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Até|Até]]. (Déesse de l’égarement.)<br> '''Ἀττική, -ῆς (nom propre) (f)''' : Attique.<br> '''Ἀτλαντίς, -δος (nom propre) (f)''' : (Toponymie) océan Atlantique. (Mythologie) Atlantide.<br> '''Ἄτλας, -αντος (nom propre) (m)''' : Atlas.<br> '''Ἄτροπος, -όπου (nom propre) (f)''' : Atropos (troisième Moire).<br> '''Αὐγείας, -ου (nom propre) (m)''' : Augias.<br> '''Αὐλίς, -δος (nom propre) (f)''' : Aulis.<br> '''Αὐνάν (nom propre) (m)''' : Onan.<br> '''Αὐξώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Auxo.<br> '''Αὐσονία, -ας (nom propre) (f)''' : Italie.<br> '''Αὐσονίη, -ης (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Αὐσονία''.<br> '''Αὔσων, -ονος (nom propre) (m)''' : Auson (fils d’Ulysse.)<br> '''Αὐτόλυκος, -ύκου (nom propre) (m)''' : Autolycos (Aïeul maternel d’Ulysse.)<br> '''Αὐτομέδων, -οντος (nom propre) (m)''' : Automédon (Conducteur du char d’Achille.)<br> '''Αὔως, -ω (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἕως''.<br> '''Ἀφρική, -ῆς (nom propre) (f)''' : Afrique.<br> '''Ἀφροδίτη, -ης (nom propre) (f)''' : Aphrodite.<br> '''Ἀφρόδιτος, -ίτου (nom propre) (m)''' : Aphroditos.<br> '''Ἀφρώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Aphrô.<br> '''Ἀχαΐα, -ας (nom propre) (f)''' : Achaïe.<br> '''Ἀχαιμένης, -ους (nom propre) (m)''' : Achéménès.<br> '''Ἀχαιμενίδης, -ου (nom propre) (m)''' : Achéménide.<br> '''Ἀχαιός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Achaïos (fils de Xouthos).<br> '''Ἀχατης, -ου (nom propre) (m)''' : Achatès (fleuve de Sicile).<br> '''Ἀχελῷος, -ῴου (nom propre) (m)''' : Achéloos.<br> '''Ἀχέρων, -οντος (nom propre) (m)''' : Achéron.<br> '''Ἀχιλλεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Achille.<br> '''Ἀωσφόρος, -ου (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''Ἑωσφόρος''.<br> ==Β== '''βαθμίς, -δος (nom commun) (f)''' : échelon.<br> '''βάθρον, -ου (nom commun) (n)''' : podium.<br> '''βαθέως (adverbe)''' : profondément.<br> '''βάθος, -ους (nom commun) (n)''' : Profondeur, hauteur.<br> '''βαθύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : profond.<br> '''βαθύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βαθύς''.<br> '''βαθύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βαθύς''.<br> '''βαΐον, -ου (nom commun) (n)''' : rameau.<br> '''βακτηρία, -ας (nom commun) (f)''' : Bâton de marche ; bâton employé comme insigne de juge.<br> '''βαλανεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : bain (lieu public).<br> '''βαλανεύς, -έως (nom commun) (n)''' : plongeur.<br> '''βάλανος, -άνου (nom commun) (f)''' : Gland de chêne. (Botanique) Datte. Fermoir d’un collier. Pêne d’un verrou. Moule de mer (poisson). Noix, châtaigne. Suppositoire.<br> '''βαλάντιον, -ίου (nom commun) (n)''' : bourse (sac d'argent).<br> '''βαλλίζω (verbe)''' : danser.<br> '''βάμϐαξ, -κος (nom commun) (m)''' : coton.<br> '''βαμϐακερός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''βαμϐακηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''βαμϐάκινος, -ίνου (nom commun) (n)''' : .<br> '''βαμϐάκιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''βαμϐακοειδής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''βανά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme béotienne de ''γυνή''.<br> '''βάπτω (verbe)''' : plonger, teindre ; baptiser.<br> '''βάρϐαρα, -ας (nom commun) (f)''' : barbare.<br> '''βάρϐαρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : barbare.<br> '''βάρϐαρικῶς (adverbe)''' : barbarement.<br> '''βάρϐαρικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βάρϐαρικός''.<br> '''βάρϐαρικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βάρϐαρικός''.<br> '''βάρϐαρικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βάρϐαρικῶς''.<br> '''βάρϐαρικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βάρϐαρικῶς''.<br> '''βάρϐαρος, -άρου (nom commun) (m)''' : barbare.<br> '''βαρέως (adverbe)''' : lourdement.<br> '''βᾶρις, -άριδος (nom commun) (f)''' : barque.<br> '''βᾶρκις, -άρκιδος (nom commun) (f)''' : barque.<br> '''βαρύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : lourd.<br> '''βαρύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βαρύς''.<br> '''βαρύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βαρύς''.<br> '''βασιλεία, -ας (nom commun) (f)''' : pouvoir royal ; royauté. Royaume.<br> '''βασίλεια, -ίας (nom commun) (f)''' : princesse. (héritière du souverain régnant)<br> '''βασιλείδης, -ου (nom commun) (m)''' : prince. (héritier du souverain régnant)<br> '''βασίλειος, -ία, -ιον (adjectif)''' : royal.<br> '''βασιλεύς, -έως (nom commun) (m)''' : roi.<br> '''βασιλήϊος, -, - (adjectif)''' : Forme ionienne de ''βασίλειος''.<br> '''βασιλῇος, -, - (adjectif)''' : Forme éolienne de ''βασίλειος''.<br> '''βασιλικός, -ή, -όν (adjectif)''' : royal.<br> '''βασίλισσα, -ας (nom commun) (f)''' : reine.<br> '''βάσις, -εως (nom commun) (f)''' : Action de marcher, marche. Organe pour la marche. Ce sur quoi l’on marche ou l’on se tient.<br> '''βάσκανος, -ος, -ον (adjectif)''' : Maléfique ; médisant.<br> '''βασκάνως (adverbe)''' : maléfiquement.<br> '''βασκανώτατος, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βάσκανος''.<br> '''βασκανώτερος, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βάσκανος''.<br> '''βασσάρα, -ας (nom commun) (f)''' : renard.<br> '''βαστάζω (verbe)''' : lever, soulever. Relever. Tenir dans ses bras ou ses mains.<br> '''βάτος, -ου (nom commun) (f)''' : Ronce, buisson. Épine.<br> '''βατός, -ή, -όν (adjectif)''' : accessible.<br> '''βάτραχος, -άχου (nom commun) (m/f)''' : Crapaud ; grenouille.<br> '''βατῶ (verbe)''' : Forme phocienne de ''πατῶ''.<br> '''βαυϐάω (verbe)''' : s’endormir.<br> '''βαυϐών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : godemichet.<br> '''βαυϐώ, -οῦς (nom commun) (f)''' : nourrice.<br> '''βαυκάλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : berceuse.<br> '''βαυκίζομαι (verbe)''' : être prude.<br> '''βαυκός, -ή, -όν (adjectif)''' : prude.<br> '''βαυκότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βαυκός''.<br> '''βαυκότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βαυκός''.<br> '''βαυκῶς (adverbe)''' : prudemment.<br> '''βαυκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βαυκῶς''.<br> '''βαυκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βαυκῶς''.<br> '''βαφεύς, -έως (nom commun) (m)''' : peintre.<br> '''βδαλεύς, -έως (nom commun) (m)''' : suceur.<br> '''βδάλσις, - (nom commun) (f)''' : succion.<br> '''βδάλλω (verbe)''' : Sucer, téter. Traire le lait.<br> '''βδέλλα, -ης (nom commun) (f)''' : sangsue.<br> '''βδέω ‎(verbe)''' : péter (flatuler)<br> '''βεϐαιῶ (verbe)''' : garantir (se rendre garant de la valeur, de la qualité d’une chose).<br> '''βέϐηλος, -ος, -ον (adjectif)''' : Franchissable, profane. Impur, interdit.<br> '''βεϐηλότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βέϐηλος''.<br> '''βεϐηλότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βέϐηλος''.<br> '''βέϐηλως (adverbe)''' : profanement.<br> '''βεϐηλώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βεϐρῶς''.<br> '''βεϐηλώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βεϐρῶς''.<br> '''βεϐρός, -ά, -όν (adjectif)''' : stupide.<br> '''βεϐρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βεϐρός''.<br> '''βεϐρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βεϐρός''.<br> '''βεϐρῶς (adverbe)''' : stupidement.<br> '''βεϐρώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βεϐρῶς''.<br> '''βεϐρώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βεϐρῶς''.<br> '''βελόνη, -ης (nom commun) (f)''' : aiguille.<br> '''βέλος, -ους (nom commun) (n)''' : flèche.<br> '''βέλτιστος, -ίστη, -έλτιστον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἀγαθός''.<br> '''βελτίων, -ων, -έλτιον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἀγαθός''.<br> '''βένθος, -ους (nom commun) (n)''' : benthos.<br> '''βερϐέριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''βεῦδος, -ύδους (nom commun) (n)''' : .<br> '''βέφυρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : Forme béotienne de ''γέφυρα ''.<br> '''βῆ βῆ (onomatopée)''' : bêlement.<br> '''βῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''βήξ, -χός (nom commun) (m)''' : toux.<br> '''βήσσω (verbe)''' : tousser.<br> '''βῆτα (nom commun) (n)''' : bêta.<br> '''βήττω (verbe)''' : Forme attique ''βήσσω''.<br> '''βία, -ας (nom commun) (f)''' : Force, violence.<br> '''βιάζω (verbe)''' : Contraindre, forcer. (Au passif) Être contraint, forcé soumis.<br> '''βιϐάζω (verbe)''' : Faire aller ; exalter.<br> '''βιϐλαρίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : livret.<br> '''βιϐλιοθήκη, -ης (nom commun) (f)''' : bibliothèque.<br> '''βιϐλίον, -ου (nom commun) (n)''' : livre.<br> '''βιϐλιοπωλεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : librairie.<br> '''βιϐλιοπώλης, -ου (nom commun) (m)''' : libraire.<br> '''βίϐλος, -ου (nom commun) (f)''' : Papier fait à partir de l'écorce de papyrus.<br> '''βιϐρώσκω (verbe)''' : Dévorer, manger avec avidité. (Figuré) Dévorer ou engloutir (une fortune).<br> '''βίος, -ου (nom commun) (m)''' : vie.<br> '''βίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : manière de vie.<br> '''βινῶ (verbe)''' : foutre, baiser (avoir un rapport sexuel).<br> '''βιῶ (verbe)''' : être, vivre.<br> '''βλαδαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : flasque.<br> '''βλαδύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : faible.<br> '''βλαδυτής, -ῆτος (nom commun) (f)''' : faiblesse.<br> '''βλακότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βλακωδῶς''.<br> '''βλακότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βλακωδῶς''.<br> '''βλακωδῶς (adverbe)''' : stupidement.<br> '''βλακώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βλάξ''.<br> '''βλακώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βλάξ''.<br> '''βλαπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''βλαπτικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''βλαπτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βλαπτικός''.<br> '''βλαπτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βλαπτικός''.<br> '''βλαπτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βλαπτικῶς''.<br> '''βλαπτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βλαπτικῶς''.<br> '''βλάπτω (verbe)''' : Léser, endommager. (Au passif) Éprouver un accident. Gêner, embarrasser. (En parlant de l’esprit) Troubler sa raison. (Postérieur) Faire du tort, nuire.<br> '''βλάξ, -κός (nom commun) (m/f)''' : stupide.<br> '''βλαισός, -ή, -όν (adjectif)''' : balbutiant.<br> '''βλέμμα, -τος (nom commun) (n)''' : Regard. (Au pluriel) Yeux.<br> '''βλεννογόνος, -ου (nom commun) (m)''' : muqueuse.<br> '''βλεννός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mucus.<br> '''βλέπω (verbe)''' : voir.<br> '''βλεφαρίς, -δος (nom commun) (f)''' : cil.<br> '''βλεφαρῖτις, -ίτης (nom commun) (f)''' : blépharite.<br> '''βλέφαρον, -άρου (nom commun) (n)''' : paupière.<br> '''βλῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : projectile.<br> '''βοή, -ῆς (nom commun) (f)''' : clameur.<br> '''βοήθεια, -ας (nom commun) (f)''' : aide.<br> '''βοηθός, -ός, -όν (adjectif)''' : aidant.<br> '''βοηθῶ (verbe)''' : aider.<br> '''βοιώτιος, -, - (adjectif)''' : béotien.<br> '''βόλλα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''βουλή''.<br> '''βορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : proie.<br> '''βόρειος, -ία, -ιον (adjectif)''' : septentrional.<br> '''βορειώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βόρειος''.<br> '''βορειώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βόρειος''.<br> '''βορειώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βόρειως''.<br> '''βορειώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βόρειως''.<br> '''βόρειως (adverbe)''' : septentrionalement.<br> '''βόμϐος, -ου (nom commun) (m)''' : bourdonnement.<br> '''βομϐυλιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''βόμϐυξ, -κος (nom commun) (m)''' : ver à soie ; sorte de flûte.<br> '''βόρειος, -α, -ον (adjectif)''' : septentrional.<br> '''βορρᾶς, -ᾶ (nom commun) (m)''' : nord.<br> '''βόσκω (verbe)''' : Nourrir. Paître, se nourrir (en parlant des animaux)<br> '''βόστρυχος, -ύχου (nom commun) (m)''' : boucle de cheveux.<br> '''βοτάνη, -ης (nom commun) (f)''' : herbe.<br> '''βοτανηφάγος, -ος, -ον (adjectif)''' : herbivore.<br> '''βοτανηφόρος, -ος, -ον (adjectif)''' : enherbé.<br> '''βοτανίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' .<br> '''βοτανίζω (verbe)''' : désherber.<br> '''βοτάνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''βοτανικός, -ή, -όν (adjectif)''' : botanique.<br> '''βοτανισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : botanisme.<br> '''βοτανολογία ''' : botanologie.<br> '''βοτανολόγος ''' : herboriste.<br> '''βοτανολογῶ (verbe)''' : herboriser.<br> '''βοτανώδης, -ης, -ης (adjectif)''' : botanique.<br> '''βοτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : berger ; pasteur.<br> '''βοτόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : bétail.<br> '''βουϐών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : aine.<br> '''βουίζω (verbe)''' : bourdonner.<br> '''βουκολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : pastoral.<br> '''βουκολικῶς (adverbe)''' : pastoralement.<br> '''βουκολικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βουκολικικός''.<br> '''βουκολικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βουκολικικός''.<br> '''βουκολικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βουκολικικῶς''.<br> '''βουκολικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βουκολικικῶς''.<br> '''βουκόλος, -ου (nom commun) (m)''' : bouvier.<br> '''βουλευτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : bouleutérion.<br> '''βουλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Volonté, vouloir. Décision, conseil. Sénat athénien.<br> '''βούλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : volonté.<br> '''βούπρηστις, -ήστιδος (nom commun) (f)''' : bupreste.<br> '''βουνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mont, montagne.<br> '''βοῦς, -ός (nom commun) (m/f)''' : bœuf, vache.<br> '''βουστροφηδόν (adverbe)''' : En écrivant alternativement de gauche à droite, puis de droite à gauche.<br> '''βούτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : biscuit.<br> '''βούτυρον, -ύρου (nom commun) (n)''' : beurre.<br> '''βραδινός, -ή -όν (adjectif)''' : Forme éolienne de ''ῥαδινός''.<br> '''βραϐευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : arbitre.<br> '''βραδέως (adverbe)''' : lentement.<br> '''βραδύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : lent.<br> '''βραδύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βραδύς''.<br> '''βραδύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βραδύς''.<br> '''βραδυτής, -ῆτος (nom commun) (f)''' : lenteur.<br> '''βράγος, -ους (nom commun) (n)''' : bas-fond.<br> '''βραχέως (adverbe)''' : courtement.<br> '''βράχος, -ου (nom commun) (m)''' : écueil.<br> '''βραχύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : court.<br> '''βραχύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βραχύς''.<br> '''βραχύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βραχύς''.<br> '''βρέμω (verbe)''' : gronder, retentir.<br> '''βρένθος, -ου (nom commun) (m)''' : fierté.<br> '''βρέφος, -ους (nom commun) (n)''' : fœtus, nouveau-né.<br> '''βρεχμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''βρία, -ης (nom commun) (f)''' : ville.<br> '''βρίμημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''βρεττανικός, -ή, -όν (adjectif)''' : breton insulaire.<br> '''βρεττανικῶς (adverbe)''' : en breton insulaire.<br> '''βρεττανικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''βρεττανικός''.<br> '''βρεττανικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''βρεττανικός''.<br> '''βρεττανικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''βρεττανικῶς''.<br> '''βρεττανικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''βρεττανικῶς''.<br> '''βρόμος, -ου (nom commun) (m)''' : Frémissement, grondement. Pétillement du feu. Grondement du tonnerre.<br> '''βροντή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Tonnerre. Stupeur.<br> '''βροχίς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''βρόχος, -ου (nom commun) (m)''' : nœud coulant.<br> '''βρυγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bruxisme.<br> '''βρύον, -ου (nom commun) (n)''' : mousse (plante).<br> '''βρυχηθμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : rugissement.<br> '''βρυχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : brycose.<br> '''βρυχῶμαι (verbe)''' : rugir.<br> '''βύας, -ου (nom commun) (m)''' : hibou.<br> '''βύρσα, -ας (nom commun) (f)''' : outre, cuir.<br> '''βρώσιμος, -ος, -ον (adjectif)''' : mangeable.<br> '''βρῶσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' outre, cuir.<br> '''βωϐός, -ή -όν (adjectif)''' : muet.<br> '''βωλά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''βουλή''.<br> '''Βάαλ (nom propre) (m)''' : Baal.<br> '''Βαϐυλωνεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Babylonien.<br> '''Βαϐυλωνία, -ας (nom commun) (f)''' : Babylonie.<br> '''Βαϐυλωνιακός, -ός, -όν (adjectif)''' : babylonien.<br> '''Βαϐυλώνιος, -ος, -ον (adjectif)''' : babylonien.<br> '''Βαϐυλωνίς, -δος (nom commun) (f)''' : Babylonienne.<br> '''Βαϐυλών, -ῶνος (nom propre) (f)''' : Babylone.<br> '''Βάκχος, -ου (nom propre) (m)''' : Bacchus. (Épithète de Dionysos, parfois de Zeus.)<br> '''Βαλλά, -ᾶς (nom propre) (f)''' : Bilha.<br> '''Βαρϐάρα, -ας (nom propre) (f)''' : Barbara.<br> '''Βαρϐαρικόν, -οῦ (nom propre) (m)''' : Barbaricum.<br> '''Βαρθολομαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Barthélémy.<br> '''Βασίλειος, -ίου (nom propre) (m)''' : Basile.<br> '''Βαταυΐα, -ας (nom propre) (f)''' : Batavie.<br> '''Βατραχομυομαχία, -ας (nom propre) (f)''' : Bataille des grenouilles et des rats. (Parodie de l’''Iliade'' attribuée à un dénommé Pigrès d’Halicarnasse par Plutarque.)<br> '''Βάττος, -ου (nom propre) (m)''' : Battos.<br> '''Βαυϐώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Baubo.<br> '''Βαῦκος, -ύκου (nom propre) (m)''' : Baukos.<br> '''Βεελφεγώρ (nom propre) (m)''' : Belphégor.<br> '''Βενδῖς, -ίδος (nom propre) (f)''' : Bendis.<br> '''Βερενίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Bérénice.<br> '''Βηθανία, -ας (nom propre) (f)''' : Béthanie.<br> '''Βηθλεέμ (nom propre) (f)''' : Bethléem.<br> '''Bηλησαμα, -ας (nom propre) (f)''' : Belisama.<br> '''Βῆλος, -ήλου (nom propre) (m)''' : Bel.<br> '''Βηρυτός, -οῦ (nom propre) (f)''' : Beyrouth.<br> '''Βία, -ας (nom propre) (m)''' : Bia.<br> '''Βλάσιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Blaise.<br> '''Βλάχος, -ου (nom commun) (m)''' : Valaque.<br> '''Βοανεργές (nom propre) (m)''' : Boanergès.<br> '''Βοιωτία, -ας (nom propre) (f)''' : Béotie. (Région de Grèce centrale.)<br> '''Βοιωτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Béotien.<br> '''Βοιωτίς, -δος (nom commun) (f)''' : Béotienne.<br> '''Βορέας, -ου (nom propre) (m)''' : Borée. (dieu du vent du Nord)<br> '''Βορέης, -ου (nom propre) (m)''' : Forme ionienne de ''Βορέας''.<br> '''Βορρᾶς, -ᾶ (nom propre) (m)''' : Forme attique de ''Βορέας''.<br> '''Βοσπορίτης, -ου (nom commun) (m)''' : Bosphorite.<br> '''Βόσπορος, -όρου (nom propre) (m)''' : Bosphore.<br> '''Βούϐαστις, -άστιος (nom propre) (f)''' : Bastet.<br> '''Βουκέφαλος, -άλου (nom propre) (m)''' : Bucéphale (Cheval préféré d’Alexandre le Grand.)<br> '''Βουτώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Ouadjet.<br> '''Βρέννος, -ου (nom commun) (m)''' : Brennos.<br> '''Βρεττανία, -ας (nom propre) (f)''' : Bretagne (province romaine).<br> '''Βρεττανίς, -δος (nom commun) (f)''' : Bretonne insulaire.<br> '''Βρεττανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Breton insulaire.<br> '''Βύϐλος, -ου (nom commun) (f)''' : Byblos.<br> '''Βυζάντιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Byzance.<br> '''Βύζας, -αντος (nom propre) (m)''' : Byzas.<br> '''Βιθυνία, -ας (nom propre) (f)''' : Bithynie.<br> '''Βιθυνίς, -δος (nom commun) (f)''' : Bithynienne.<br> '''Βιθυνός, -οῦ (nom commun) (o)''' : Bithynien.<br> ==Γ== '''γα (particule)''' : Forme dorienne et béotienne de ''γε''.<br> '''γαίω (verbe)''' : exulter, se réjouir.<br> '''γάλα, -κτος (nom commun) (n)''' : lait.<br> '''γαλανός, -ός, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''γαληνός''.<br> '''γαλήνη, -ης, -ης (nom commun) (f)''' : Calme de la mer. (Par extension) Calme, sérénité. Galène. Antidote contre les morsures de vipères.<br> '''γαληνός, -ός, -όν (adjectif)''' : calme (spécialement à propos de la mer).<br> '''γαλέη, -ης (nom commun) (f)''' : belette.<br> '''γαλῆ, -ς (nom commun) (f)''' : Forme alternative de ''γαλέη''.<br> '''γαλιῶ (verbe)''' : Être lascif comme une belette.<br> '''γάμμα (nom commun) (n)''' : gamma.<br> '''γαμέτης, -ου (nom commun) (m)''' : époux, mari.<br> '''γαμῶ (verbe)''' : se marier (quand on parle d’un homme)<br> '''γάργαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : .<br> '''γαργαλίζω (verbe)''' : chatouiller.<br> '''γαργαλισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : chatouille.<br> '''γαργαρεών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : luette.<br> '''γάρ (conjonction)''' : car ; en effet.<br> '''γαστήρ, -τρός (nom commun) (f)''' : ventre.<br> '''γαῦρος, -ύρη, -ῦρον (adjectif)''' : Exultant, joyeux. Hautain, dédaigneux.<br> '''γαυρότατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γαῦρος''.<br> '''γαυρότερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γαῦρος''.<br> '''γαῦρως (adverbe)''' : joyeusement ; hautainement, dédaigneusement.<br> '''γαυρότης, -τος (nom commun) (f)''' : Exultation. Emportement, férocité.<br> '''γε (particule)''' : (Devient ''γ’'' devant un mot commençant par une voyelle.) Marque une restriction, une affirmation, ou une conclusion.<br> '''γείτων, -ονος (nom commun) (m/f)''' : voisin(e).<br> '''γέλαιμι (verbe)''' : Forme éolienne de ''γελάω''.<br> '''γελάω (verbe)''' : Rire ; briller.<br> '''γελοῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : ridicule ; risible.<br> '''γελοιότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γελοῖος''.<br> '''γελοιότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γελοῖος''.<br> '''γελοίως (adverbe)''' : ridiculement ; risiblement.<br> '''γελόω (verbe)''' : Forme homérique de ''γελάω''.<br> '''γέλως, -τος (nom commun) (m)''' : rire.<br> '''γελωτοποιός, -ός, -όν (adjectif)''' : comique.<br> '''γελωτοποιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Bouffon ; pitre.<br> '''γεμίζω (verbe)''' : emplir.<br> '''γέμισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : emplissage.<br> '''γενεά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : naissance, genre ; espèce.<br> '''γένεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : origine, source. Naissance. Création.<br> '''γενετήσιος, -α, -ον (adjectif)''' : sexuel.<br> '''γενετησιότατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γενετήσιος''.<br> '''γενετησιότερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γενετήσιος''.<br> '''γενετησίως (adverbe)''' : sexuellement.<br> '''γενναῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : vaillant.<br> '''γενναιότατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γενναῖος''.<br> '''γενναιότερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γενναῖος''.<br> '''γενναίως (adverbe)''' : vaillamment.<br> '''γενναιότης, -ητος (nom commun) (f)''' : vaillance.<br> '''γεννητικός, -η, -ον (adjectif)''' : génital.<br> '''γένος, -ους (nom commun) (n)''' : naissance, origine, descendance ; race, genre, espèce ; classe, corporation; nation, peuple, tribu.<br> '''γεννῶ (verbe)''' : accoucher.<br> '''γερόντειος, -α, -ον (adjectif)''' : .<br> '''γεροντεύω (verbe)''' : .<br>'''γέρανος, -άνου (nom commun) (m/f)''' : grue (oiseau).<br> '''γερουσία, -ας (nom commun) (f)''' : sénat.<br> '''γερουσιάρχης, -ου (nom commun) (m)''' : président du sénat.<br> '''γερουσιαστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : sénateur.<br> '''γέρων, -οντος (nom commun) (m)''' : vieillard.<br> '''γεῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : déjeuner.<br> '''γεῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : goût.<br> '''γεύω (verbe)''' : goûter.<br> '''γέφυρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : Chaussée. Pont.<br> '''γεω- (préfixe)''' : relatif à la terre.<br> '''γῆ, -ς (nom commun) (f)''' : terre.<br> '''γήινος, -η, -ο (adjectif)''' : terrestre.<br> '''γήρανσις, -άνσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''γηράσκω (verbe)''' : .<br> '''γῆρας, -ήρως (nom commun) (n)''' : vieillesse.<br> '''γῆρυς, -ήρυος (nom commun) (f)''' : Voix ; discours.<br> '''γηρύω (verbe)''' : chanter.<br> '''γιγαντιαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : gigantesque.<br> '''γιγαντιότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γιγαντιαῖος''.<br> '''γιγαντιότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γιγαντιαῖος''.<br> '''γιγαντίως (adverbe)''' : gigantesquement.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''γιγαντίως''.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''γιγαντίως''.<br> '''γίγας, -αντος (nom commun) (m)''' : géant.<br> '''γίγνομαι (verbe)''' : engendrer.<br> '''γίνιουμαι (verbe)''' : Forme béotienne de ''γίγνομαι''.<br> '''γίνομαι (verbe)''' : Forme ionienne de ''γίγνομαι''.<br> '''γίνυμαι (verbe)''' : Forme thessalienne de ''γίγνομαι''.<br> '''γιγνώσκω (verbe)''' : Apprendre à connaître.<br> '''γινώσκω (verbe)''' : Forme ionienne de ''γιγνώσκω''.<br> '''γλάγος, -ους (nom commun) (n)''' : Forme poétique de ''γάλα''.<br> '''γλάσσα, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''γλῶσσα''.<br> '''γλαυκός, -ή, -όν (adjectif)''' : Brillant, étincelant, éclatant. D’un vert pâle ou gris.<br> '''γλαυκότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γλαυκός''.<br> '''γλαυκότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γλαυκός''.<br> '''γλαυκῶς (adverbe)''' : vivement.<br> '''γλαυκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''γλαυκῶς''.<br> '''γλαυκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''γλαυκῶς''.<br> '''γλαῦξ, -κός (nom commun) (f)''' : chouette.<br> '''γλαύσσω (verbe)''' : briller (En parlant des yeux).<br> '''γλεῦκος, -ύκους (nom commun) (n)''' : moût.<br> '''γλέφαρον, -άρου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''βλέφαρον''.<br> '''γλήνη, -ης (nom commun) (f)''' : pupille (partie de l’œil).<br> '''γλῆνος, -ήνους (nom commun) (n)''' : splendeur.<br> '''γλουτιαῖος, -ία, -αῖν (adjectif)''' : glutéal.<br> '''γλουτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : derrière ; fesse.<br> '''γλυκέως (adverbe)''' : doucement.<br> '''γλυκερός, -ή, -όν (adjectif)''' : doux.<br> '''γλυκερῶς (adverbe)''' : doucement.<br> '''γλυκύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : doux, sucré.<br> '''γλυκύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γλυκύς''.<br> '''γλυκύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γλυκύς''.<br> '''γλυκώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γλυκερός''.<br> '''γλυκώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γλυκερός''.<br> '''γλυπτόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : .<br> '''γλώνη, -ης (nom commun) (f)''' : poupée.<br> '''γλῶσσα, -ώσσης (nom commun) (f)''' : langue. (Organe buccal ; expression orale)<br> '''γλωσσίς, -δος (nom commun) (f)''' : glotte.<br> '''γλῶττα, -ώττης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''γλῶσσα''.<br> '''γλωττίς, -δος (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''γλωσσίς''.<br> '''γνάθος, -ου (nom commun) (f)''' : mâchoire.<br> '''γνήσιος, -α, -ον (adjectif)''' : véritable.<br> '''γνῶσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : Savoir ; connaissance, notion. Reconnaissance ; enquête, instruction judiciaire.<br> '''γοάω (verbe)''' : se lamenter.<br> '''γόγγρος, -ου (nom commun) (m)''' : congre.<br> '''γόησσα, -ας (nom commun) (f)''' : enchanteresse ; magicienne.<br> '''γόης, -τος (nom commun) (m)''' : enchanteur ; magicien.<br> '''γονεύς, -έως (nom commun) (m)''' : père (parent).<br> '''γονή, -ῆς (nom commun) (f)''' : génération ; procréation.<br> '''γονόρροια, -ας (nom commun) (f)''' : gonorrhée.<br> '''γόνος, -ου (nom commun) (m)''' : procréation.<br> '''γόνυ, -ατος (nom commun) (n)''' : genou.<br> '''γόος, -ου (nom commun) (m)''' : lamentation.<br> '''γοργός, -ή, -όν (adjectif)''' : terrible.<br> '''γούνα, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''γοῦνος, -ύνου (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''γόνος''.<br> '''γοῶ (verbe)''' : enchanter, ensorceler.<br> '''γράθμα, -τος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''γράμμα''.<br> '''γραῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : vieillarde.<br> '''γραμματεύς, -έως (nom commun) (m)''' : scribe.<br> '''γράμμα, -τος (nom commun) (n)''' : Caractère gravé. Signes divers. Traits d’un dessin ou d’une peinture.<br> '''γραπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : écrit.<br> '''γραπτότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γραπτός''.<br> '''γραπτότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γραπτός''.<br> '''γραπτῶς (adverbe)''' : .<br> '''γραῦς, -ός (nom commun) (f)''' : vieillarde.<br> '''γραφεύς, -έως (nom commun) (m)''' : peintre.<br> '''γραφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : peinture.<br> '''γραφία, -ας (nom commun) (f)''' : écriture.<br> '''-γραφία, -ας (suffixe)''' : relatif à l’écriture.<br> '''γραφικός, -ή, -όν (adjectif)''' : peint.<br> '''γραφικῶς (adverbe)''' : graphiquement.<br> '''γραφικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γραφικός''.<br> '''γραφικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γραφικός''.<br> '''γραφίς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''γράφω (verbe)''' : écrire.<br> '''γρηγοράς, -δος (nom commun) (f)''' : vivacité.<br> '''γρήγορος, -η, -ον (adjectif)''' : vif.<br> '''γρηγόρως (adverbe)''' : vivement.<br> '''γρηγορώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''γρηγόρως''.<br> '''γρηγορώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''γρηγόρως''.<br> '''γρηγορώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γρήγορος''.<br> '''γρηγορώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γρήγορος''.<br> '''γρῖφος, -ίφου (nom commun) (m)''' : filet ; énigme.<br> '''γρόνθος, -ου (nom commun) (m)''' : poing.<br> '''γρύλλος, -ου (nom commun) (m)''' : grillon.<br> '''γρύψ, -πός (nom commun) (m)''' : griffon.<br> '''γυμνάζω (verbe)''' : entraîner (diriger l’exercice sportif).<br> '''γυμνάσιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Lieu public réservé aux exercices corporels.<br> '''γυμνός, -ή, -όν (adjectif)''' : Nu ; légèrement vêtu.<br> '''γυμνότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''γυμνῶς''.<br> '''γυμνότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''γυμνῶς''.<br> '''γυμνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γυμνός''.<br> '''γυμνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γυμνός''.<br> '''γυμνότης, -τος (nom commun) (f)''' : nudité.<br> '''γύμνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : dénudage.<br> '''γυμνῶς (adverbe)''' : .<br> '''γυμνῶ (verbe)''' : dénuder.<br> '''γυνά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''γυνή''.<br> '''γυναικᾶς, - (nom commun) (m)''' : homme à femmes.<br> '''γυναικεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : Appartement réservé aux femmes.<br> '''γυναικεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : féminin.<br> '''γυναικειότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''γυναικεῖος''.<br> '''γυναικειότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''γυναικεῖος''.<br> '''γυναικείως (adverbe)''' : fémininement.<br> '''γυναικομανία, -ας (nom commun) (f)''' : gynécomanie.<br> '''γυνή, -αικός (nom commun) (f)''' : Femme, épouse ; femelle des animaux.<br> '''γυρῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : têtard.<br> '''γῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : Anneau ; cercle.<br> '''γυρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : rond.<br> '''γύψ, -πος (nom commun) (m)''' : vautour.<br> '''γωνία, -ας (nom commun) (f)''' : Angle ; coin.<br> '''γωρυτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : carquois.<br> '''Γαϐριήλ (nom propre) (m)''' : Gabriel.<br> '''Γάζα, -ης (nom commun) (f)''' : Gaza.<br> '''Γαῖα, -ίας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Gaïa|Gaïa]].<br> '''Γαῖη, -ίης (nom propre) (f)''' : Forme ionienne de ''Γαῖα''.<br> '''Γαλινθιάς, -δος (nom propre) (f)''' : Galanthis.<br> '''Γαλάτεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Galatée (Néréide).<br> '''Γαλατεία, -ας (nom propre) (f)''' : Galatée.<br> '''Γαλάτης, -ου (nom commun) (m)''' : Galate.<br> '''Γαλατία, -ας (nom propre) (f)''' : Galatie.<br> '''Γαλλία, -ας (nom propre) (f)''' : Gaule.<br> '''Γανυμήδης, -ου (nom propre) (m)''' : Ganymède.<br> '''Γεδεών, -ος (nom propre) (m)''' : Gédéon.<br> '''Γελλώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Gello.<br> '''Γέλων, -ος (nom propre) (m)''' : Gélon.<br> '''Γεννησαρέτ (nom propre) (f)''' : Gennésaret.<br> '''Γερμανία, -ας (nom propre) (f)''' : Allemagne.<br> '''Γερμανίς, -δος (nom commun) (f)''' : Allemande.<br> '''Γερμανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Allemand.<br> '''Γέτης, -ου (nom commun) (m)''' : Gète.<br> '''Γεώργιος, -ίου (prénom) (m)''' : Georges.<br> '''Γῆρας, -ήρως (nom propre) (m)''' : Géras.<br> '''Γηρυόνης, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Γηρυών''.<br> '''Γηρυών, -όνος (nom propre) (m)''' : Géryon.<br> '''Γῆ, -ς (nom propre) (f)''' : Terre.<br> '''Γλαῦκος, -ύκου (nom propre) (m)''' : Glaucos.<br> '''Γοργώ, -όνος (nom propre) (f)''' : Gorgone.<br> '''Γότθος, -ου (nom commun) (m)''' : Goth.<br> '''Γοῦτος, -ύτου (nom commun) (m)''' : Geat.<br> '''Γραῖα, -ίας (nom propre) (f)''' : Grée.<br> '''Γρηγόριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Grégoire.<br> '''Γύγης, -ου (nom propre) (m)''' : Gygès.<br> '''Γύθειον, -ίου (nom propre) (n)''' : Gythio.<br> '''Γύθιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Forme alternative de ''Γύθειον''.<br> ==Δ== '''δάγυς, -ύδος (nom commun) (f)''' : dagyde.<br> '''δαήρ, -έρος (nom commun) (m)''' : beau-frère.<br> '''δαιμόνιος, -ία, -όνιον (adjectif)''' : étrange.<br> '''δαιμόνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : génie (être merveilleux).<br> '''δαιμονίως (adverbe)''' : étrangement.<br> '''δαιμονίοτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''δαιμονίως''.<br> '''δαιμονίοτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''δαιμονίως''.<br> '''δαιμονιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δαιμόνιος''.<br> '''δαιμονιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δαιμόνιος''.<br> '''δαίμων, -ονος (nom commun) (m)''' : divinité.<br> '''δακκύλιος, -υλίου (nom commun) (m)''' : Forme béotienne de ''δάκτυλος''.<br> '''δάκνω (verbe)''' : mordre.<br> '''δάκος, -ους (nom commun) (n)''' : .<br> '''δάκρυ, -ύου (nom commun) (n)''' : larme.<br> '''δακτύλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : anneau.<br> '''δάκτυλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : doigt.<br> '''δάλτος, -ου (nom commun) (f)''' : Forme chypriote de ''δέλτος''.<br> '''δαμάζω (dompter)''' : domestiquer ; dompter.<br> '''δάμαλις, -άλεως (nom commun) (f)''' : génisse.<br> '''δαμοκρατία, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''δημοκρατία''.<br> '''δᾶμος, -άμου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''δῆμος''.<br> '''δάνειον, -ίου (nom commun) (n)''' : prêt.<br> '''δάνος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme macédonienne de ''θάνατος''.<br> '''δαρθάνω (verbe)''' : s’endormir.<br> '''δάσος, -ους (nom commun) (n)''' : bois (lieu), forêt.<br> '''δασύνω (verbe)''' : .<br> '''δασύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Velu, poilu. feuillu ; boisé.<br> '''δασύτης, -τος (nom commun) (f)''' : pilosité.<br> '''δαῦκον, -ύκου (nom commun) (n)''' : carotte ou navet utilisé en médecine.<br> '''δεῖγμα, -ίγματος (nom commun) (f)''' : échantillon.<br> '''δείδω (verbe)''' : avoir peur.<br> '''δείκτης, -ου (nom commun) (m)''' : index.<br> '''δεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : terrible.<br> '''δέ (particule)''' : mais, puis, d’autre part, donc.<br> '''δέκα (adjectif numéral)''' : dix.<br> '''δεκαετία, -ας (nom commun) (f)''' : décennie.<br> '''δεκάς, -δος (nom commun) (f)''' : dizaine.<br> '''δέκομαι (verbe)''' : Forme éolienne et ionienne de ''δέχομαι''.<br> '''δελεάζω (verbe)''' : appâter.<br> '''δέλεαρ, -τος (nom commun) (n)''' : appât.<br> '''δέλτα (nom commun) (n)''' : delta.<br> '''δέλτος, -ου (nom commun) (f)''' : tablette d’écriture.<br> '''δέλφαξ, -κος (nom commun) (f)''' : .<br> '''δελφίς, -ῖνος (nom commun) (m)''' : dauphin.<br> '''δελφύς, -ος (nom commun) (f)''' : matrice.<br> '''δέμω (verbe)''' : construire.<br> '''δενδρολίϐανον, -άνου (nom commun) (n)''' : romarin.<br> '''δένδρον, -ου (nom commun) (n)''' : arbre.<br> '''δένδρεον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme homérique de ''δένδρον''.<br> '''δεξιτερός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme de ''δεξιός''.<br> '''δεξιός, -ά, -όν (adjectif)''' : qui est à droite, placé à droite. (Par suite) De bon augure, favorable. Qui a de la dextérité, adroit, industrieux, habile.<br> '''δέος, -ους (nom commun) (n)''' : effroi, peur.<br> '''δέρας, -ατος (nom commun) (n)''' : peau, cuir.<br> '''δέρκομαι (verbe)''' : voir clair.<br> '''δέρμα, -τος (nom commun) (n)''' : peau.<br> '''δέρω (verbe)''' : écorcher.<br> '''δέσμευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : lien.<br> '''δεσμεύω (verbe)''' : lier.<br> '''δέσμη, -ης (nom commun) (f)''' : bouquet, faisceau, liasse. '''δεσμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Lien (corde, câble, amarre, courroie, nœud). (Par extension) Clou. (D’ordinaire au pluriel) Liens, chaînes, fers. (Par suite) Emprisonnement, prison. (En général) Captivité. (Figuré) Liens d’amitié.<br> '''δέσποινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : maîtresse d’une maisonnée.<br> '''δεσπότης, -ου (nom commun) (m)''' : maître d’une maisonnée ; maître d’un dème.<br> '''δεῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : chair cuite.<br> '''δεῦρο (adverbe)''' : ici (avec mouvement).<br> '''δευτεραγωνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : deutéragoniste.<br> '''δεύτερος, -α, -ον (adjectif)''' : deuxième.<br> '''δευτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : chaudron.<br> '''δεύω (verbe)''' : mouiller.<br> '''δέφυρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : Forme crétoise de ''γέφυρα''.<br> '''δέχομαι (verbe)''' : Accepter, admettre, agréer. Accueillir, recevoir, recueillir, adopter. Prendre, revêtir, comporter.<br> '''δή (particule)''' : vraiment, assurément.<br> '''δῆγμα, -ήγματος (nom commun) (m)''' : morsure.<br> '''δηκτήριος, -ος, -ον (adjectif)''' : mordant.<br> '''δηλητήρ, -ρός (nom commun) (m)''' : destructeur.<br> '''δηλοῦμαι (verbe)''' : détruire.<br> '''δήλωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : déclaration.<br> '''δηλῶ (verbe)''' : déclarer.<br> '''δημοκρατία, -ας (nom commun) (f)''' : république.<br> '''δημόσιος, -ία, -όσιον (adjectif)''' : public.<br> '''δημοσίως (adverbe)''' : publiquement.<br> '''δημοσιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δημόσιος''.<br> '''δημοσιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δημόσιος''.<br> '''δῆμος, -ήμου (nom commun) (m)''' : contrée, pays, terre.<br> '''δημότης, -ου (nom commun) (m)''' : concitoyen.<br>‎ '''δημοτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : commun.<br> '''δημοτικῶς (adverbe)''' : communément.<br> '''δημοτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δημοτικός''.<br> '''δημοτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δημοτικός''.<br> '''δημοτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''δημοτικῶς''.<br> '''δημοτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''δημοτικῶς''.<br> '''δημωδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δημώδης''.<br> '''δημωδέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δημώδης''.<br> '''δημώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : vernaculaire.<br> '''δημωδῶς (adverbe)''' : vernaculairement.<br> '''δήν (particule)''' : il y a longtemps.<br> '''δηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''διά (adverbe ; préposition)''' : .<br> '''διαϐεϐαιῶ (verbe)''' : garantir (se rendre garant de l’existence de la réalité d’une chose).<br> '''διαϐιϐάζω (verbe)''' : lire.<br> '''διαϐιϐρώσκω (verbe)''' : .<br> '''διάϐολος, -ου (masculin) (m)''' : calomniateur ; diable.<br> '''διαϐολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : du diable.<br> '''διαϐολικῶς (adverbe)''' : diaboliquement.<br> '''διαϐολικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''διαϐολικός''.<br> '''διαϐολικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''διαϐολικός''.<br> '''διάγνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''διάδημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : diadème.<br> '''διαδῶ (verbe)''' : .<br> '''διάζωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : caleçon.<br> '''διάθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : disposition.<br> '''διαθήκη, -ης (nom commun) (f)''' : testament, volonté (document écrit). Testament (livre religieux)<br> '''διαίρεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : division.<br> '''διαίσθησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : intuition.<br> '''διαισθητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : intuitif.<br> '''διαισθητικῶς (adverbe)''' : intuitivement.<br> '''διαιτητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : arbitre.<br> '''διακινῶ (verbe)''' : .<br> '''διάκονος, -όνου (nom commun) (m/f)''' : Serviteur, servante.<br> '''διακοπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : interruption.<br> '''διακόπτω (verbe)''' : interrompre.<br> '''διακορεύω (verbe)''' : déflorer.<br> '''διακόρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : défloration.<br> '''διάκρισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : discrétion ; distinction.<br> '''διακριτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : discret ; distinct.<br> '''διακριτικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''διακριτικῶς''.<br> '''διακριτικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''διακριτικῶς''.<br> '''διακριτικότατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''διακριτικός''.<br> '''διακριτικότερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''διακριτικός''.<br> '''διακριτικῶς (adverbe)''' : discrètement ; distinctement.<br> '''διάλεξις, -έξεως (nom commun) (f)''' : exposé.<br> '''διαλέγομαι (verbe)''' : discuter.<br> '''διάλεκτος, -έκτου (nom commun) (f)''' : discussion ; dialecte.<br> '''διαλλάττω (verbe)''' : transiger.<br> '''διάλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : dialogue.<br> '''διαμαστίγωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''διαμαστιγῶ (verbe)''' : .<br> '''διανόησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : pensée.<br> '''διανοῶ (verbe)''' : penser.<br> '''διαπραγμάτευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : négociation.<br> '''διαπραγματεύομαι (verbe)''' : négocier.<br> '''διαρρήγνυμι (verbe)''' : cambrioler.<br> '''διαρρήκτης, -ου (nom commun) (m)''' : cambrioleur.<br> '''διάρρηξις, -ήξεως (nom commun) (m)''' : cambriolage.<br> '''διάρροια, -ας (nom commun) (f)''' : diarrhée.<br> '''διάσεισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : commotion.<br> '''διασείω (verbe)''' : .<br> '''διασκέδασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : divertissement.<br> '''διάστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : dimension.<br> '''διαστέλλω (verbe)''' : Répandre, séparer. Distinguer, déterminer.<br> '''διάστημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : espace.<br> '''διαστολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Élargissement, expansion, dilatation. Petite coche ou fente.<br> (Figuré) Distinction.<br> '''διάστρεμμα, -έμματος (nom commun) (n)''' : entorse.<br> '''διαστρέφω (verbe)''' : disposer.<br> '''διατίθημι (verbe)''' : disposer.<br> '''διατριϐή, -ῆς (nom commun) (f)''' : conversation (philosophique).<br> '''διαφθείρω (verbe)''' : corrompre.<br> '''διαφθορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : corruption.<br> '''διαφθορεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''διαφθορεύς, -έως (nom commun) (m)''' : .<br> '''διαχειριστής, -οῦ (masculin) (m)''' : gestionnaire.<br> '''διαχείρισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : gestion.<br> '''διαχειριστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''διαχειριστικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''διαχειριστικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''διαχειριστικός''.<br> '''διαχειριστικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''διαχειριστικός''.<br> '''διαχειριστικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''διαχειριστικῶς''.<br> '''διαχειριστικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''διαχειριστικῶς''.<br> '''διδάσκαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : instituteur.<br> '''διδάσκω (verbe)''' : enseigner, instruire ; entraîner.<br> '''διαφέρω (verbe)''' : différer.<br> '''διαφορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : différence.<br> '''διαφορετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : différent.<br> '''διαφορετικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''διαφορετικός''.<br> '''διαφορετικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''διαφορετικός''.<br> '''διαφορετικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''διαφορετικῶς''.<br> '''διαφορετικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''διαφορετικῶς''.<br> '''δίδυμος, -ος, -ον (adjectif)''' : double ; jumeau.<br> '''δίδωμι (verbe)''' : donner.<br> '''διείσδυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : pénétration.<br> '''διεισδύω (verbe)''' : pénétrer.<br> '''διεύθυνσις, -ύνσεως (nom commun) (f)''' : direction.<br> '''διευθύνων, -ουσα, -ον (adjectif)''' : directeur.<br> '''διευθυντής, -οῦ (nom commun) (m)''' : directeur.<br> '''διευθύνω (verbe)''' : diriger.<br> '''διθύραμϐος, -άμϐου (nom commun) (m)''' : dithyrambe.<br> '''διήγημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : conte.<br> '''διήγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : narration.<br> '''διηγοῦμαι (verbe)''' : narrer.<br> '''διήκονος, -όνου (nom commun) (m/f)''' : Forme ionienne de ''διάκονος''.<br> '''διίσταμαι (verbe)''' : .<br> '''διίστημι (verbe)''' : .<br> '''δικάζω (verbe)''' : juger.<br> '''δικαίωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : (Droit) Jugement. Justification. Décret.<br> '''δικαιῶ (verbe)''' : rendre juste.<br> '''δικαστήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : tribunal.<br> '''δικαστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : juge.<br> '''δίκη, -ης (nom commun) (f)''' : Coutume, manière, mode. Ordre, loi, droit. Justice. Jugement. Punition, vengeance, pénalité.<br> '''δίκτυον, -ύου (nom commun) (n)''' : filet.<br> '''δίνη, -ης (nom commun) (f)''' : tourbillon.<br> '''δίλημμα, -ήμματος (nom commun) (n)''' : dilemme.<br> '''διπλοῦς, -ῆ, -οῦν ‎(adjectif)''' : double.<br> '''διοίκησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : administration.<br> '''διοικητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : administrateur.<br> '''διοικητικός, -ή, -όν ‎(adjectif)''' : administratif.<br> '''διοικῶ (verbe)''' : administrer.<br> '''διορθώνω (verbe)''' : corriger.<br> '''δισσός, -ή, -όν ‎(adjectif)''' : double.<br> '''δισσότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''δισσῶς''.<br> '''δισσότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''δισσῶς''.<br> '''δισσότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δισσός''.<br> '''δισσότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δισσός''.<br> '''δίς (adverbe)''' : deux fois.<br> '''δισσῶς (adverbe)''' : doublement.<br> '''δίφθογγος, -όγγου (nom commun) (f)''' : diphtongue.<br> '''δίφουρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : Forme laconienne de ''γέφυρα''.<br> '''δίφρος, -ου (nom commun) (m)''' : tabouret.<br> '''διχόνοια, -ας (nom commun) (f)''' : discorde.<br> '''διχορεῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : dichorée.<br> '''δίψα, -ης (nom commun) (f)''' : soif.<br> '''διψώ (verbe)''' : avoir soif.<br> '''διωγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : persécution.<br> '''διώκω (verbe)''' : persécuter.<br> '''διῶρυξ, -ώρυγος (nom commun) (f)''' : canal.<br> '''δμωή, -ῆς (nom commun) (f)''' : domestique, servante.<br> '''δμῳή, -ῆς (nom commun) (f)''' : esclave.<br> '''δμῴιος, -ίου (nom commun) (m)''' : esclave.<br> '''δμώς, -ός (nom commun) (m)''' : domestique, serviteur.<br> '''δόγμα, -τος (nom commun) (n)''' : Opinion. Décision, décret, arrêt. Doctrine.<br> '''δογματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : doctrinal.<br> '''δογματικῶς (adverbe)''' : doctrinalement.<br> '''δογματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δογματικός''.<br> '''δογματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δογματικός''.<br> '''δοθιήν, -ένος (nom commun) (m)''' : furoncle.<br> '''δόκησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Opinion ; croyance.<br> '''δοκέω (verbe)''' : Penser, supposer. Sembler.<br> '''δολερός, -ή, -όν (adjectif)''' : rusé.<br> '''δολιόω (verbe)''' : abuser.<br> '''δόλος, -ου (nom commun) (m)''' : ruse.<br> '''δόξα, -ης (nom commun) (f)''' : Opinion, vue, point de vue, conjecture, supposition. (Dans le Nouveau Testament.) Gloire, honneur ; splendeur.<br> '''δοξάζω (verbe)''' : Imaginer. Glorifier.<br> '''δοξολογία, -ας (nom commun) (f)''' : doxologie.<br> '''δοξόλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : doxologue.<br> '''δοξοσοφία, -ας (nom commun) (f)''' : doxosophie.<br> '''δοξόσοφος, -όφου (nom commun) (m)''' : doxosophe.<br> '''δουλεία, -ας (nom commun) (f)''' : servitude.<br> '''δουλεύω (verbe)''' : être esclave. Travailler à gages, faire un travail mercenaire.<br> '''δούλη, -ης (nom commun) (f)''' : esclave.<br> '''δοῦλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : esclave.<br> '''δουλόω (verbe)''' : asservir.<br> '''δούξ, -κός (nom commun) (m)''' : chef.<br> '''δόμος, -ου (nom commun) (m)''' : Maison, palais ; chambre, appartement.<br> '''δομή, -ῆς (nom commun) (f)''' : structure.<br> '''δόμησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : construction.<br> '''δομικός, -ή, -όν (suffixe)''' : structurel.<br> '''δομικῶς (adverbe)''' : structurellement.<br> '''δομικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δομικός''.<br> '''δομικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δομικός''.<br> '''δομικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''δομικῶς''.<br> '''δομικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''δομικῶς''.<br> '''δόναξ, -κος (nom commun) (m)''' : Roseau ; objet fait de roseau.<br> '''δονέω (verbe)''' : agiter.<br> '''δόνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : agitation.<br> '''δορκάς, -δος (f)''' : chevreuil.<br> '''δοράκινον, -ίνου (nom commun) (n)''' : pêche (fruit).<br> '''δόρκος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme de ''δορκάς''.<br> '''δόρκων, -ος (nom commun) (m)''' : Forme de ''δορκάς''.<br> '''δόρξ, -κος (nom commun) (m)''' : Forme de ''δορκάς''.<br> '''δόσις, -εως (nom commun) (f)''' : don ; cadeau.<br> '''δοχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : récipient.<br> '''δράκαινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : dracène.<br> '''δράκων, -οντος (nom commun) (m)''' : dragon.<br> '''δρᾶμα, -άματος (nom commun) (n)''' : action théâtrale ; pièce de théâtre.<br> '''δραπέτης, -ου (nom commun) (m)''' : fugitif.<br> '''δράσσομαι (verbe)''' : saisir.<br> '''δραχμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Poignée, contenu de la main. Drachme attique.<br> '''δράω (verbe)''' : .<br> '''δρίλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : sangsue.<br> '''δρομαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : .<br> '''δρομάς, -δος (nom commun) (m)''' : dromadaire.<br> '''δρόμος, -ου (nom commun) (m)''' : Course (de chevaux), lutte à la course, tour de promenade.<br> '''δρόσος, -ου (nom commun) (f)''' : rosée.<br> '''δρυμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bois (lieu), forêt.<br> '''δύη, -ης (nom commun) (f)''' : misère.<br> '''δύναμις, -εως (nom commun) (f)''' : force en puissance.<br> '''δύο (adjectif numéral)''' : deux.<br> '''δύσις, -εως (nom commun) (f)''' : ouest.<br> '''δυσλογία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''δυσμικός, -ή, -όν (adjectif)''' : occidental.<br> '''δυσ- (préfixe)''' : Difficulté, malheur.<br> '''δυσσέϐεια, -ίας (nom commun) (f)''' : impiété.<br> '''δυσσεϐέστατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δυσσεϐής''.<br> '''δυσσεϐέστερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δυσσεϐής''.<br> '''δυσσεϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : impie.<br> '''δυσσεϐῶς (adverbe) : impieusement.<br> '''δυστύχημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : accident.<br> '''δυστυχής, -ής, -ές (adjectif)''' : malheureux.<br> '''δυστυχία, -ας (nom commun) (f)''' : malheur.<br> '''δυστυχῶς (adverbe)''' : malheureusement.<br> '''δυστυχῶ (verbe)''' : causer un malheur.<br> '''δυτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : occidental.<br> '''δυτικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''δυτικός''.<br> '''δυτικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''δυτικός''.<br> '''δυτικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''δυτικῶς''.<br> '''δυτικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''δυτικῶς''.<br> '''δυτικῶς (adverbe)''' : occidentalement.<br> '''δύω (verbe)''' : S’enfoncer, se plonger. (Par extension) Pénétrer dans. (Par analogie) Se revêtir de.<br> '''δώδεκα (adjectif numéral)''' : douze.<br> '''δωδεκάς, -δος (nom commun) (f)''' : douzaine.<br> '''δῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : Construction. Maison, demeure. Chambre principale. Temple (demeure d’un dieu).<br> '''δωμάτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : chambre.<br> '''δωράκινον, -ίνου (nom commun) (n)''' : pêche (fruit).<br> '''δῶρον, -ώρου (nom commun) (n)''' : Don ; présent. Paume de la main ; palme.<br> '''δώτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : donneur.<br> '''δῶ (verbe)''' : Lier, attacher. (Par extension) Enfermer, emprisonner. (Par analogie) Entraver, empêcher, retenir. (Figuré) Lier, enchaîner. Manquer, avoir besoin de. (Impersonnel) Il est besoin de, il faut. (Forme moyenne) Avoir besoin. (Par suite) Demander, prier.<br> '''Δαϐίδ (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Δαυίδ''.<br> '''Δαίδαλος, -άλου (nom propre) (m)''' : Dédale.<br> '''Δάκης, -ου (nom commun) (n)''' : Dace.<br> '''Δαμασκός, -οῦ (nom propre) (f)''' : Damas.<br> '''Δαμαστής, -οῦ (nom propre) (m)''' : Damastès (Autre surnom de Polypémon).<br> '''Δαμάτηρ, -τρός (nom propre) (f)''' : Forme arcado-chypriote, béotienne, et dorienne de ''Δημήτηρ''.<br> '''Δαμιανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Damien.<br> '''Δαμία, -ας (nom propre) (f)''' : Damia.<br> '''Δάμις, - (nom propre) (m)''' : Damis.<br> '''Δάν, -ός (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ζεύς''.<br> '''Δανιήλ (nom propre) (m)''' : Daniel.<br> '''Δάνος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme macédonienne de ''Θάνατος''.<br> '''Δαυείδ (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Δαυίδ''.<br> '''Δαυίδ (nom propre) (m)''' : David.<br> '''Δεῖμος, -ίμου (nom propre) (m)''' : Déimos.<br> '''Δεινώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Dino. (une des Grées)<br> '''Δέσποινα, -ίνης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Despina|Despina]].<br> '''Δεύς, -ως (nom propre) (m)''' : Forme laconienne de ''Ζεύς''.<br> '''Δῃάνειρα, -ίρας (nom propre) (f)''' : Déjanire.<br> '''Δηϊδάμεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Déidamie.<br> '''Δηιόκης, -ου (nom propre) (m)''' : Déjocès.<br> '''Δηΐφοϐος, -όϐου (nom propre) (m)''' : Déiphobe.<br> '''Δημήτηρ, -τρος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Déméter|Déméter]].<br> '''Δημήτριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Démétrios.<br> '''Δημιουργός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Créateur.<br> '''Δημοσθένης, -ους (nom propre) (m)''' : Démosthène.<br> '''Δημώναξ, -ώνακτος (nom propre) (m)''' : Démonax.<br> '''Δίδυμοι, -ων (nom propre) (m)''' : Gémeaux.<br> '''Δίκη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Dicé|Dicé]]. (Déesse de la justice divine.)<br> '''Δίκτυον, -ύου (nom propre) (n)''' : Réticule.<br> '''Διόδωρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Diodore.<br> '''Διογένης, -ους (nom propre) (m)''' : Diogène.<br> '''Διόνυσος, -ύσου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Dionysos|Dionysos]].<br> '''Διομέδων, -οντος (nom propre) (m)''' : Diomède.<br> '''Διώνη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Dioné|Dioné]].<br> '''Δούναϐις, -άϐεως (nom propre) (m)''' : Danube.<br> '''Δύμη, -ης (nom propre) (f)''' : Dymé.<br> '''Δυσνομία, -ας (nom propre) (m)''' : Dysnomie.<br> '''Δωμάτηρ, -τρός (nom propre) (f)''' : Forme éolienne de ''Δημήτηρ''.<br> '''Δωριεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Dorien.<br> '''Δωρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : dorien.<br> '''Δωρίς, -δος (nom propre) (f)''' : Doris. (Océanide) (nom commun) Dorienne.<br> '''Δωροθέα, -ας (nom propre) (f)''' : Dorothée.<br> '''Δωρόθεος, -έου (nom propre) (m)''' : Dorothéos.<br> '''Δῶρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Doros.<br> ==Ε== '''ἐάν (conjonction)''' : si (éventuel).<br> '''ἔαρ, -ος (nom commun) (n)''' : printemps.<br> '''ἑϐδομάς, -δος (nom commun) (f)''' : semaine.<br> '''ἑϐδομήκοντα (adjectif numéral)''' : soixante-dix.<br> '''ἕϐδομος, -όμη, -ομον (adjectif numéral)''' : septième.<br> '''ἑϐραΐζω (verbe)''' : .<br> '''ἑϐραῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : israélite.<br> '''ἑϐραϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : hébraïque.<br> '''ἑϐραϊστί (adverbe)''' : en hébreu.<br> '''ἐγγόνη, -ης (nom commun) (f)''' : petite-fille.<br> '''ἐγγύησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : garantie.<br> '''ἐγγύς (adverbe)''' : proche.<br> '''ἐγγυῶμαι (verbe)''' : garantir (se rendre garant, répondre d’une chose, du maintien, de l’exécution d’une chose).<br> '''ἐγείρω (verbe)''' : réveiller.<br> '''ἐγκέφαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : cerveau.<br> '''ἔγκλησις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : accusation.<br> '''ἔγκλισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : mode (grammaire).<br> '''ἐγκόπρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : incontinence fécale.<br> '''ἐγκόσμιος, -α, -ο (adjectif)''' : .<br> '''ἔγκυος, -ος, -ον (adjectif)''' : enceinte.<br> '''ἐγκυμονῶ (verbe)''' : engrossir.<br> '''ἐγκύμων, -ων, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἐγώ (pronom personnel)''' : je.<br> '''ἔδαφος, -άφους (nom commun) (n)''' : sol.<br> '''ἐδεμικός, -ή, -όν (adjectif)''' : édénique.<br> '''ἐδεμικῶς (adverbe)''' : édéniquement.<br> '''ἐδεμικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐδεμικός''.<br> '''ἐδεμικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐδεμικός''.<br> '''ἐδεμικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐδεμικῶς''.<br> '''ἐδεμικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐδεμικῶς''.<br> '''ἔδεσμα, -έσματος (nom commun) (n)''' : nourriture.<br> '''ἕδρα, -ας (nom commun) (f)''' : Siège. Trône. Résidence, demeure. Partie du corps sur laquelle on s'assied. Action de s'asseoir. Assemblée siégeante.<br> '''ἑδραῖος, ία, -ῖον (adjectif)''' : .<br> '''ἐδώδιμος, -η, -ο (adjectif)''' : mangeable.<br> '''ἐδωδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἔδω (verbe)''' : nourrir.<br> '''ἕζομαι (verbe)''' : asseoir.<br> '''ἔζω (verbe)''' : nourrir.<br> '''ἐθίζω (verbe)''' : accoutumer.<br> '''ἐθικός, -ή, -όν (adjectif)''' : coutumier.<br> '''ἐθικῶς (adverbe)''' : coutumièrement.<br> '''ἐθικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐθικός''.<br> '''ἐθικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐθικός''.<br> '''ἐθνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : national.<br> '''ἐθνικῶς (adverbe)''' : sagement.<br> '''ἐθνικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐθνικός''.<br> '''ἐθνικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐθνικός''.<br> '''ἔθνος, -ους (nom commun) (n)''' : Famille, ensemble des proches. Nation. Tribu. (Religion) (Au pluriel) Gentils, les non-juifs, usage tardif dans la Bible. Troupeau.<br> '''ἔθος, -ους (nom commun) (n)''' : coutume.<br> '''ἔθω (verbe)''' : avoir coutume de ; être habituel.<br> '''-ειδής, -ής, -ές (suffixe)''' : en forme de.<br> '''-ειδῶς (suffixe)''' : .<br> '''-ειδέστατος, -άτη, -έστατον (suffixe)''' : Superlatif de ''-ειδής''.<br> '''-ειδέστερος, -έρα, -έστερον (suffixe)''' : Comparatif de ''-ειδής''.<br> '''εἰδοποίησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : information.<br> '''εἰδοποιῶ (verbe)''' : informer.<br> '''εἶδος, -ἴδους (nom commun) (f)''' : Forme du corps ; air d'une personne ou d'une chose.<br> '''εἰδύλλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Petit poème lyrique.<br> '''εἰδωλολάτρης, -ου (nom commun) (m)''' : païen.<br> '''εἰδωλολατρία, -ας (nom commun) (f)''' : paganisme.<br> '''εἴδωλον, -ώλου (nom commun) (n)''' : Simulacre, fantôme ; image, portrait.<br> '''εἴδω (verbe)''' : voir.<br> '''εἰ (adverbe, conjonction)''' : si.<br> '''εἰ μή (conjonction)''' : à moins que ; sauf si.<br> '''εἰκονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : virtuel.<br> '''εἰκός, -τος (nom commun) (n)''' : raison.<br> '''εἰκών, -όνος (nom commun) (f)''' : image, portrait.<br> '''εἴκω (verbe)''' : Être semblable ; ressembler.<br> '''εἰσαφίημι (verbe)''' : .<br> '''εἰς (adverbe ; préposition)''' : Dans. Jusqu’à ; vers.<br> '''εἷς, ἑνός (adjectif numéral)''' : un.<br> '''εἰκοσαριά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : vingtaine.<br> '''εἴκοσι(ν) (adjectif numéral)''' : vingt.<br> '''ἐείκοσι(ν) (adjectif numéral)''' : Forme homérique de ''εἴκοσι(ν)''.<br> '''ϝίκατι(ν) (adjectif numéral)''' : Forme béotienne de ''εἴκοσι(ν)''.<br> '''ϝείκατι(ν) (adjectif numéral)''' : Forme dorienne de ''εἴκοσι(ν)''.<br> '''βείκατι(ν) (adjectif numéral)''' : Forme sud-orientale de ''εἴκοσι(ν)''.<br> '''εἷλιξ, -κος (nom commun) (f)''' : Forme poétique de ''ἕλιξ''.<br> '''εἰλύω (verbe)''' : .<br> '''εἴλω (verbe)''' : tourner ; enrouler. Entasser.<br> '''εἷμα, -ἵματος (nom commun) (n)''' : Couverture ; vêtement.<br> '''εἶμι (verbe)''' : aller, se déplacer.<br> '''εἰμί (verbe)''' : être.<br> '''-εῖον, -ίου (suffixe) (n)''' : lieu caractéristique.<br> '''εἶπα (verbe)''' : Forme ionienne de ''εἶπον''.<br> '''εἴπην (verbe)''' : Forme dorienne de ''εἶπον''.<br> '''ἔειπον (verbe)''' : Forme homérique de ''εἶπον''.<br> '''εἶπον (verbe)''' : dire, parler.<br> '''εἰρωνεία, -ας (nom commun) (f)''' : dissimulation.<br> '''εἴρων, -ος (nom commun) (m/f)''' : dissimulateur.<br> '''εἰσϐάλλω (verbe)''' : envahir.<br> '''εἰσϐδάλλω (verbe)''' : .<br> '''εἰσϐολέυς, -έως (nom commun) (m)''' : envahisseur.<br> '''εἰσϐολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : invasion.<br> '''εἰσχωρῶ (verbe)''' : pénétrer.<br> '''ἕκαστος, -άστη, -αστον (adjectif)''' : Chaque, chacun.<br> '''ἑκάτερος, -έρα, -άτερον (adjectif)''' : L’un de deux, chacun des deux.<br> '''ἑκατόν (adjectif numéral)''' : cent.<br> '''ἑκατομμύριον, -ίου (nom commun) (n)''' : million.<br> '''ἑκατονταρχία, -ας (nom commun) (f)''' : centurie.<br> '''ἑκατόνταρχος, -άρχου (nom commun) (m)''' : centurion.<br> '''ἐκϐιάζω (verbe)''' : faire chanter.<br> '''ἐκϐιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : chantage.<br> '''ἐκδίδω (verbe)''' : éditer.<br> '''ἐκδίκησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : vengeance.<br> '''ἐκδικητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : vengeur.<br> '''ἐκδικητικός, -ή, -ον (adjectif)''' : vengeur.<br> '''ἐκδικῶ (verbe)''' : venger.<br> '''ἔκδοσις, -όσεως (nom commun) (f)''' : édition.<br> '''ἐκδοχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : version.<br> '''ἐκδύω (verbe)''' : Faire disparaître, ôter.<br> '''ἐκ (adverbe ; préposition ; préfixe)''' (Devient ''ἐξ'' devant un mot commençant par une voyelle, et ''ἐγ'' devant un mot commençant par ''β'', ''δ'', ''λ'' ou ''μ''.) : Hors, dehors.<br> '''ἐκεῖθεν (adverbe démonstratif)''' : de là-bas.<br> '''ἐκεῖ (adverbe démonstratif)''' : là-bas (sans mouvement).<br> '''ἐκεῖσε (adverbe démonstratif)''' : là-bas (avec mouvement).<br> '''ἐκείνῃ (adverbe démonstratif)''' : par là-bas.<br> '''ἔκζεμα, -έματος (nom commun) (n)''' : eczéma.<br> '''ἑκηϐόλος, -όλου (nom commun) (m)''' : tireur d’élite.<br> '''ἔκθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : exposition.<br> '''ἐκκαλέω (verbe)''' : sommer.<br> '''ἐκκένωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : évacuation.<br> '''ἐκκενῶ (verbe)''' : évacuer.<br> '''ἐκκεντρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : excentrique.<br> '''ἐκκίνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : départ.<br> '''ἐκκλεισία, -ας (nom commun) (f)''' : Forme thessalienne de ''ἐκκλησία''.<br> '''ἐκκλησία, -ας (nom commun) (f)''' : assemblée.<br> '''ἐκκλησίασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : congrégation.<br> '''ἐκλέγω (verbe)''' : choisir, sélectionner.<br> '''ἐκλεκτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sélectif.<br> '''ἐκλογή, -ῆς (nom commun) (f)''' : choix, élection.<br> '''ἐκμιαίνομαι (verbe)''' : éjaculer.<br> '''ἐκπομπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : émission.<br> '''ἐκπέμπω (verbe)''' : émettre.<br> '''ἔκστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : transport spirituel.<br> '''ἐκτάμνω (verbe)''' : Forme homérique et ionienne de ''ἐκτέμνω''.<br> '''ἐκτέμνω (verbe)''' : .<br> '''ἐκθέτης, -ου (nom commun) (m)''' : exposant.<br> '''ἐκθετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : exponentiel.<br> '''ἔκρηξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : explosion.<br> '''ἐκτίθημι (verbe)''' : exposer.<br> '''ἑκτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : habituel.<br> '''ἑκτικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἑκτικός''.<br> '''ἑκτικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἑκτικός''.<br> '''ἑκτικῶς (adverbe)''' : habituellement.<br> '''ἐκτιμῶ (verbe)''' : estimer.<br> '''-εκτομία, -ας (suffixe)''' : action de couper.<br> '''ἐκτός (adverbe ; préposition)''' : au-dehors ; hors de.<br> '''ἑκυρά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : belle-mère.<br> '''ἑκυρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : beau-père.<br> '''ἐκφεύγω (verbe)''' : échapper à.<br> '''ἔκφρασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : expression.<br> '''ἐκφράζω (verbe)''' : exprimer.<br> '''ἐκφοϐῶ (verbe)''' : intimider.<br> '''ἐκχύμωμα, -ώµατος (nom commun) (n)''' : Forme alternative de ''ἐκχύμωσις''.<br> '''ἐκχύμωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : bleu.<br> (tache de sang extravasé).<br> '''ἐκχῶ (verbe)''' : s’écouler.<br> '''ἐλάσσων, -ων, -ον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐλαχύς''.<br> '''ἐλάττωμα, -ώµατος (nom commun) (n)''' : vice.<br> '''ἔλαφος, -άφου (nom commun) (m/f)''' : Cerf ; biche.<br> '''ἐλαφρός, -ή, -όν (adjectif)''' : léger, leste ; agile.<br> '''ἐλαφρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐλαφρός''.<br> '''ἐλαφρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐλαφρός''.<br> '''ἐλαφρῶς (adverbe)''' : légèrement, lestement ; agilement.<br> '''ἐλαχέως (adverbe)''' : petitement, courtement ; moyennement.<br> '''ἐλάχιστος, -ίστη, -άχιστον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐλαχύς''.<br> '''ἐλαχύς, -άχεια, -ύ (adjectif)''' : petit, court ; moyen.<br> '''ἔλεγχος, -έγχους (nom commun) (n)''' : examen ; réfutation.<br> '''ἐλέγχω (verbe)''' : examiner ; réfuter.<br> '''ἐλεεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : compatissant.<br> '''ἐλέφας, -αντος (nom commun) (m)''' : Éléphant ; dent d’éléphant ; défense d’éléphant, ivoire. Objet garni d’ivoire ou ressemblant à de l’ivoire.<br> '''ἐλεημοσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : aumône.<br> '''ἐλεημονέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐλεήμων''.<br> '''ἐλεημονέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐλεήμων''.<br> '''ἐλεήμονως (adverbe)''' : charitablement.<br> '''ἐλεήμων, -ων, -ον (adjectif)''' : charitable.<br> '''ἔλεος, -έου (nom commun) (f)''' : Pitié ; compassion.<br> '''ἐλευθερία, -ας (nom commun) (f)''' : liberté.<br> '''ἐλευθερίη, -ας (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἐλευθερία''.<br> '''ἐλεύθερος, -έρα, ύθερον (adjectif)''' : libre. Qui convient à un homme libre, digne d’un homme libre.<br> '''ἐλευθέρως (adverbe)''' : librement.<br> '''ἐλευθερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐλεύθερος''.<br> '''ἐλευθερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐλεύθερος''.<br> '''ἐλελεῦ (verbe)''' : pousser un cri de guerre.<br> '''ἐλελελεῦ (nom commun)''' : cri de guerre.<br> '''ἐλεῶ (verbe)''' : avoir pitié.<br> '''ἕλιξ, -κος (nom commun) (f)''' : Spirale, vrille. (Par analogie) Oreille externe.<br> '''ἑλίσσω (verbe)''' : tourner autour.<br> '''ἕλκηθρον, -ήτρου (nom commun) (n)''' : traîneau.<br> '''ἕλκω (verbe)''' : hisser.<br> '''ἐλλείπω (verbe)''' : Laisser derrière soi. Laisser de côté, négliger ; omettre. Manquer, faire défaut. (Intransitif) Rester en arrière.<br> '''ἔλλειψις, -ίψεως (nom commun) (f)''' : Manque, défaut ; insuffisance.<br> '''ἑλληνίζω (verbe)''' : parler grec.<br> '''ἑλληνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : grec.<br> '''ἑλληνικῶς (adverbe)''' : .<br> '''ἑλληνικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἑλληνικός''.<br> '''ἑλληνικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἑλληνικός''.<br> '''ἑλληνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : homme parlant grec.<br> '''ἑλληνιστί (adverbe)''' : en grec.<br> '''ἑλληνίστρια, -ας (nom commun) (f)''' : femme parlant grec.<br> '''ἐλλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : faon.<br> '''ἐλπίς, -δος (nom commun) (f)''' : espoir.<br> '''ἔλυτρον, -ύτρου (nom commun) (n)''' : Enveloppe, étui, fourreau. (Par extension) Tout ce qui sert d’enveloppe.<br> '''ἐλύω (verbe)''' : Entourer, rouler autour.<br> '''ἔμϐρυον, -ύου (nom commun) (n)''' : embryon.<br> '''ἔμεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐμετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : vomitif.<br> '''ἔμετος, -έτου (nom commun) (f)''' : vomissement.<br> '''ἐµμί (verbe)''' : Forme éolienne de ''εἰμί''.<br> '''ἐμῶ (verbe)''' : vomir.<br> '''ἐμμονή, -ῆς (nom commun) (f)''' : obsession.<br> '''ἐμός, -ή, -όν (adjectif possessif)''' : mon.<br> '''ἐμπειρία, -ας (nom commun) (f)''' : expérience.<br> '''ἐμπειρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : expérienciel.<br> '''ἐμπειρικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐμπειρικός''.<br> '''ἐμπειρικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐμπειρικός''.<br> '''ἐμπειρικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐμπειρικῶς''.<br> '''ἐμπειρικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐμπειρικῶς''.<br> '''ἐμπειρικῶς (adverbe)''' : expérienciellement.<br> '''ἐμπλάσσω (verbe)''' : emplâtrer.<br> '''ἔμπλαστρον, -άστρου (nom commun) (n)''' : emplâtre.<br> '''ἔμπνευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐμπορεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : boutique.<br> '''ἐμπόρευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : marchandise.<br> '''ἐμπορεύομαι (verbe)''' : commercer.<br> '''ἐμπόριον, -ίου (nom commun) (n)''' : commerce.<br> '''ἔμπορος, -όρου (nom commun) (m)''' : marchand.<br> '''ἐμπρός (verbe)''' : devant.<br> '''ἐμφαίνω (verbe)''' : Montrer ; présenter.<br> '''ἐμφανής, -ής, -ές (adjectif)''' : apparent.<br> '''ἐμφανίζω (verbe)''' : apparaître.<br> '''ἐμφάνισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : apparence.<br> '''ἔμφασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : apparence.<br> '''ἔμφραγμα, -άγματος (nom commun) (n)''' : infarctus.<br> '''ἐμφρουρῶ (verbe)''' : .<br> '''ἐμφύσημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : inflation.<br> '''ἐμφυσηματώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : inflationnaire.<br> '''ἐναλλακτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : alternatif.<br> '''ἐναλλακτικῶς (adverbe)''' : alternativement.<br> '''ἐναλλακτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐναλλακτικός''.<br> '''ἐναλλακτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐναλλακτικός''.<br> '''ἐνάρετος, -ος, -ον (adjectif)''' : vertueux.<br> '''ἔνδεια, -ας (nom commun) (f)''' : indigence.<br> '''ἐνδεής, -ής, -ής (adjectif)''' : indigent.<br> '''ἐνδόμυχος, -ος, -ον (adjectif)''' : intime.<br> '''ἔνδον (adverbe ; préposition)''' : en dedans, intérieurement, à l'intérieur ; au-dedans de, à l'intérieur de.<br> '''ἔνδος (adverbe ; préposition)''' : Forme dorienne de ''ἔνδον''.<br> '''ἐνδοτάτω (adverbe)''' : Superlatif de ''ἔνδον''.<br> '''ἐνδοτέρω (adverbe)''' : Comparatif de ''ἔνδον''.<br> '''ἔνδυμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : vêtement.<br> '''ἐνέργεια, -ίας (nom commun) (f)''' : force en action.<br> '''ἐνεργής, -ής, -ής (adjectif)''' : productif.<br> '''ἐνεργός, -ός, -όν (adjectif)''' : actif.<br> '''ἐνεργούμενος, -ένου (nom commun) (m)''' : énergumène.<br> '''ἐνεργῶ (verbe)''' : Agir, produire, accomplir, exécuter. Agir sur, influencer (particulièrement en mauvaise part en parlant du mauvais esprit). (Voie moyenne) Opérer, agir.<br> '''ἐνενήκοντα (adjectif numéral)''' : quatre-vingt-dix.<br> '''ἐνέχομαι (verbe)''' : .<br> '''ἔνθα (adverbe)''' : ici.<br> '''ἐνθάδε (adverbe)''' : ici-même.<br> '''ἐνθένδε (adverbe)''' : d’ici.<br> '''ἐννέα (adjectif numéral)''' : neuf.<br> '''ἔνεμα, -έματος (nom commun) (n)''' : lavement. (Remède liquide.)<br> '''ἔνεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : injection.<br> '''ἐνεστώς, -ῶτος (nom commun) (n)''' : présent.<br> '''ἐννῆ (adjectif numéral)''' : Forme de ''ἐννέα''.<br> '''ἐνέχομαι (verbe)''' : .<br> '''ἐνίημι (verbe)''' : injecter.<br> '''ἐν (adverbe ; préposition)''' : Dans, en, parmi.<br> '''ἐν- (préfixe)''' (Devient ''ἐγ-'' devant ''γ'', ''κ'', ''ξ'', ''χ'' ; ''ἐλ-'' devant ''λ'' ; ''ἐμ-'' devant ''β'', ''µ'', ''π'', ''φ'', ''ψ'' ; ''ἐρ-'' devant ''ρ'' dans quelques mots comme ''ἔρρινον'' ; ''ἐσ-'' devant ''σ''.) : in-.<br> '''ἐνηλικίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : majorité.<br> '''ἐνήλικος -η -ον (adjectif)''' : adulte.<br> '''ἐνῆλιξ, -ήλικος (nom commun) (m)''' : adulte.<br> '''ἔνθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : enthèse.<br> '''ἐνθουσιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : enthousiasme.<br> '''ἐνθουσιαστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : enthousiasmant.<br> '''ἐνθουσιαστικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''ἐνθουσιαστικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐνθουσιαστικός''.<br> '''ἐνθουσιαστικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐνθουσιαστικός''.<br> '''ἐνθουσιαστικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐνθουσιαστικῶς''.<br> '''ἐνθουσιαστικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐνθουσιαστικῶς''.<br> '''ἐνθουσιώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : enthousiaste.<br> ''', -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐνθουσιώδης''.<br> ''', -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐνθουσιώδης''.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''''.<br> ''', -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''''.<br> '''ἐνίοτε (adverbe)''' : quelquefois.<br> '''ἔννοια, -ίας (nom commun) (f)''' : concept.<br> '''ἐνοριακός, -ή, -όν (adjectif)''' : paroissial.<br> '''ἐνορία, -ας (nom commun) (f)''' : paroisse.<br> '''ἐνοχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : culpabilité.<br> '''ἕννυμι (verbe)''' : enfiler. (mettre un vêtement)<br> '''ἑνότης, -τος (nom commun) (f)''' : unité.<br> '''ἐνούρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : incontinence urinaire.<br> '''ἐνουρῶ (verbe)''' : ne pas pouvoir retenir son urine.<br> '''ἐνοχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : culpabilité.<br> '''ἐνόχλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Dérangement ; embêtement.<br> '''ἐνοχλητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Dérangeant ; embêtant.<br> '''ἐνοχλῶ (verbe)''' : Déranger ; embêter.<br> '''ἐνσκήπτω (verbe)''' : sévir.<br> '''ἔνταξις, -άξεως (f)''' : insertion.<br> '''ἐντάσσω (verbe)''' : insérer.<br> '''ἐνταῦθα (adverbe)''' : là.<br> '''ἐντίθημι (verbe)''' : introduire.<br> '''ἐντρέπω (verbe)''' : .<br> '''ἐντύπωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : impression.<br> '''ἐντυπῶ (verbe)''' : .<br> '''ἕνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : union.<br> '''ἐνώτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : boucle d'oreille.<br> '''ἔορ, -ος (nom commun) (f)''' : Fille ; cousine.<br> '''ἐρείκη, -ης (nom commun) (f)''' : bruyère.<br> '''ἑορτάζω (verbe)''' : fêter.<br> '''ἑορτή, -ῆς (nom commun) (f)''' : fête.<br> '''ἐξαδελφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : cousine.<br> '''ἐξάδελφος, -ου (nom commun) (m)''' : cousin.<br> '''ἐξαίρεσις, -έσεως (nom commun) (m)''' : extraction.<br> '''ἐξαίρω (verbe)''' : exalter.<br> '''ἐξαιρῶ (verbe)''' : retirer.<br> '''ἐξαίσιος, -ια, -ιον (adjectif)''' : .<br> '''ἑξαν (adverbe)''' : Forme dorienne de ''ἑξῆς''.<br> '''ἔξαρσις, -άρσεως (nom commun) (f)''' : exaltation.<br> '''ἐξάρτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : accessoire.<br> '''ἕξ (adjectif numéral) (m/f/n)''' : six.<br> '''ϝέξ (adjectif numéral) (m/f/n)''' : Forme dorienne de ''ἕξ''.<br> '''ἑξακόσιοι (adjectif numéral)''' : six-cents.<br> '''ἐξάντλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : épuisement.<br> '''ἐξαντλῶ (verbe)''' : épuiser.<br> '''ἐξαπάτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : supercherie.<br> '''ἐξαπατῶ (verbe)''' : .<br> '''ἐξέδρα, -ας (nom commun) (f)''' : plate-forme.<br> '''ἐξέγερσις, -έρσεως (nom commun) (f)''' : insurrection.<br> '''ἑξείης (adverbe)''' : Forme poétique de ''ἑξῆς''.<br> '''ἐξήγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Exposé. Explication.<br> '''ἐξηγητής, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἐξἡγοῦμαι (verbe)''' : Conduire, exposer.<br> '''ἑξήκοντα (adjectif numéral)''' : soixante.<br> '''ἑξῆς (adverbe)''' : .<br> '''ἐξιλέωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : expiation.<br> '''ἐξιλεῶ (verbe)''' : expier.<br> '''ἐξέλιξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : évolution.<br> '''ἐξελίσσω (verbe)''' : évoluer.<br> '''ἐξευτελίζω (verbe)''' : humilier.<br> '''ἐξέτασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : examen, recherche.<br> '''ἐξίστημι (verbe)''' : déplacer.<br> '''ἕξις, -εως (nom commun) (f)''' : habitude.<br> '''ἐξόγκωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : Proéminence ; protubérance.<br> '''ἔξοδος, -ου (nom commun) (f)''' : Issue ; sortie, départ.<br> '''ἐξομολόγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : confession.<br> '''ἐξομολογητήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : confessionnal.<br> '''ἐξομολογητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : confesseur.<br> '''ἐξομολογῶ (verbe)''' : confesser.<br> '''ἐξορία, -ας (nom commun) (f)''' : exil.<br> '''ἐξορίζω (verbe)''' : exorciser.<br> '''ἐξορκισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : exorcisme.<br> '''ἐξορκιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : exorciste.<br> '''ἐξύπνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : réveil.<br> '''ἔξυπνος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἐξυπνῶ (verbe)''' : réveiller.<br> '''ἐξωθῶ (verbe)''' : .<br> '''ἐξωκκλήσιον, -ίου (nom commun) (n)''' : chapelle.<br> '''ἐξωµίς, -δος (nom commun) (f)''' : exomide.<br> '''ἐξώστης, -ου (nom commun) (m)''' : balcon.<br> '''ἐξωτερικός, -ή, -όν (adjectif)''' : extérieur, externe.<br> '''ἐξωτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : étranger.<br> '''ἔξω (adverbe)''' : hors de.<br> '''ἐπαινῶ (verbe)''' : vanter.<br> '''ἐπαναλαμϐάνω (verbe)''' : répéter ; reprendre.<br> '''ἐπαλήθευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : vérification.<br> '''επαληθευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : vérificatif.<br> '''ἐπαληθευτικῶς (adverbe)''' : vérificativement.<br> '''ἐπαληθευτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''επαληθευτικός''.<br> '''ἐπαληθευτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''επαληθευτικός''.<br> '''ἐπαληθευτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''επαληθευτικῶς''.<br> '''ἐπαληθευτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''επαληθευτικῶς''.<br> '''ἐπαληθεύω (verbe)''' : vérifier.<br> '''ἐπαναληπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : répétitif.<br> '''ἐπαναληπτικῶς (adverbe)''' : répétitivement.<br> '''ἐπαναληπτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπαναληπτικός''.<br> '''ἐπαναληπτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπαναληπτικός''.<br> '''ἐπαναληπτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπαναληπτικῶς''.<br> '''ἐπαναληπτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπαναληπτικῶς''.<br> '''ἐπανάληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : répétition.<br> '''ἐπανάστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : révolution.<br> '''ἐπανεκκίνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : redémarrage.<br> '''ἐπάνω (adverbe)''' : .<br> '''ἐπαρχία, -ας (nom commun) (f)''' : province.<br> '''ἔπαρχος, -άρχου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ἐπάρχω (verbe)''' : .<br> '''ἐπαφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : contact.<br> '''ἐπαφίημι (verbe)''' : contacter.<br> '''ἐπεξῆς (adverbe)''' : Forme ionienne de ''ἐφεξῆς''.<br> '''ἐπένδυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐπενδύω (verbe)''' : revêtir par-dessus.<br> '''ἐπένθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' (Grammaire) Insertion d’une lettre à l’intérieur d’un mot.<br> '''ἐπεντίθημι (verbe)''' : Insérer une lettre à l’intérieur d’un mot.<br> '''ἐπερώτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : interpellation.<br> '''ἑπτά (adjectif numéral)''' : sept.<br> '''ἐπεισοδιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : épisodique.<br> '''ἐπεισόδιον, -ου (nom commun) (n)''' : épisode.<br> '''ἐπιϐαίνω (verbe)''' : Monter. (Marine) Embarquer, monter dans un bateau. (Militaire) Attaquer, avancer sur l’ennemi. Monter à cheval, aller à cheval.<br> '''ἐπιϐδάλλω (verbe)''' : .<br> '''ἐπιϐήτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : étalon.<br> '''ἐπιϐλαϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''ἐπίϐλημα, -ήματος (nom commun) (m)''' : châle.<br> '''ἐπίγραθμα, -άθματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''ἐπίγραμμα''.<br> '''ἐπίγραμμα, -άμματος (nom commun) (n)''' : inscription.<br> '''ἐπίδειξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : exhibition.<br> '''ἐπιδεκτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἐπιδέχομαι (verbe)''' : .<br> '''ἐπιείκεια, -ίας (nom commun) (f)''' : indulgence.<br> '''ἐπιεικής, -ής, -ές (adjectif)''' : indulgent.<br> '''ἐπί (adverbe)''' (Devient ''ἐπ<nowiki>'</nowiki>'' devant une voyelle avec esprit doux et ''ἐφ<nowiki>'</nowiki>'' devant une voyelle avec esprit rude.) : sur.<br> '''ἐπιθαλάμιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἐπιθιγγάνω (verbe)''' : .<br> '''ἐπιτιθέναι (verbe)''' : .<br> '''ἐπίθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : attaque ; assaut.<br> '''ἐπίθετον, -έτου (nom commun) (n)''' : adjectif.<br> '''ἐπίθετος, -, - (adjectif)''' : adjectival.<br> '''ἐπίθημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἐπιθυμέω (verbe)''' : désirer.<br> '''ἐπιθυμία, -ας (nom commun) (f)''' : Désir, souhait. Passion.<br> '''ἐπίθυμος, -, - (adjectif)''' : Désireux ; passionné.<br> '''ἐπικαλοῦμαι (verbe)''' : invoquer.<br> '''ἐπικαλύπτω (verbe)''' : recouvrir.<br> '''ἐπικάλυψις, -ύψεως (nom commun) (f)''' : recouvrement.<br> '''ἐπικός, -ή, -όν (adjectif)''' : relatif aux vers.<br> '''ἐπικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπικῶς''.<br> '''ἐπικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπικῶς''.<br> '''ἐπικύρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : ratification.<br> '''ἐπικυρῶ (verbe)''' : ratifier.<br> '''ἐπικῶς (adverbe)''' : épiquement.<br> '''ἐπικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπικός''.<br> '''ἐπικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπικός''.<br> '''ἐπιλαμϐάνω (verbe)''' : invoquer.<br> '''ἐπίληπτος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἐπιληψία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐπιλογή, -ῆς (nom commun) (f)''' : sélection.<br> '''ἐπίλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : postface.<br> '''ἐπίπληξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : réprimande.<br> '''ἐπιπλήττω (verbe)''' : réprimander.<br> '''ἐπιτίθημι (verbe)''' : attaquer.<br> '''ἐπιείκεια, -ίας (nom commun) (f)''' : indulgence.<br> '''ἐπιεικής, -ής -ές (adjectif)''' : indulgent.<br> '''ἐπιμέλεια, -ίας (nom commun) (f)''' : sollicitude.<br> '''ἐπιμελής, -ής -ές (adjectif)''' : soigneux.<br> '''ἐπιμέλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : soin.<br> '''ἐπιμελότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπιμελῶς''.<br> '''ἐπιμελότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπιμελῶς''.<br> '''επιμελοῦμαι (verbe)''' : prendre soin de, veiller à ; se préoccuper de.<br> '''ἐπιμελῶς (adverbe)''' : soigneusement.<br> '''ἐπιούσιος, -α, -ον (adjectif)''' : supersubstantiel.<br> '''ἔπιπλον, -ίπλου (nom commun) (n)''' : fourniture.<br> '''ἐπίρρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : adverbe.<br> '''ἐπιρρίπτω (verbe)''' : .<br> '''ἐπιρρωνύω (verbe)''' : corroborer.<br> '''ἐπίρρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : corroboration.<br> '''ἐπίσημος, -α, -ον''' : Marqué, noté. Notable, remarquable.<br> '''ἐπισκέπτης, -ου (nom commun) (m)''' : visiteur.<br> '''ἐπισκέπτομαι (verbe)''' : visiter.<br> '''ἐπίσκεψις, -έψεως (nom commun) (f)''' : visite (action de visiter).<br> '''ἐπιστάζω (verbe)''' : saigner du nez.<br> '''ἐπίσταμαι (verbe)''' : Savoir ; connaitre.<br> '''ἐπίσταξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : saignement nasal.<br> '''ἐπιστέλλω (verbe)''' : envoyer.<br> '''ἐπιστήμη, -ης (nom commun) (f)''' : Science ; savoir.<br> '''ἐπιστημονέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπιστήμων''.<br> '''ἐπιστημονέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπιστήμων''.<br> '''ἐπιστήμονως (adverbe)''' : savamment.<br> '''ἐπιστήμων, -ων, -ον (adjectif)''' : Savant ; instruit.<br> '''ἐπιστολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Ordre ou avis émis par un message verbal ou écrit. Message écrit, lettre.<br> '''ἐπιστολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : épistolaire.<br> '''ἐπιστολικῶς (adverbe)''' : épistolairement.<br> '''ἐπιστολικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπιστολικός''.<br> '''ἐπιστολικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπιστολικός''.<br> '''ἐπιστολικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπιστολικῶς''.<br> '''ἐπιστολικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπιστολικῶς''.<br> '''ἐπιστροφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : retour.<br> '''ἐπιτακτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : impératif.<br> '''ἐπιτακτικῶς (adverbe)''' : impérativement.<br> '''ἐπιτακτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπιτακτικός''.<br> '''ἐπιτακτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπιτακτικός''.<br> '''ἐπιτακτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπιτακτικῶς''.<br> '''ἐπιτακτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπιτακτικῶς''.<br> '''ἐπιτέμνω (verbe)''' : .<br> '''ἐπιτήδειος, -α, -ον (adjectif)''' : commode ; pratique.<br> '''ἐπιτηδειότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐπιτήδειος''.<br> '''ἐπιτηδειότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐπιτήδειος''.<br> '''ἐπιτηδειότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐπιτηδείως''.<br> '''ἐπιτηδειότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐπιτηδείως''.<br> '''ἐπιτηδείως (adverbe)''' : commodément.<br> '''ἐπιτομή, -ῆς (nom commun) (f)''' : compendium.<br> '''ἐπιτόνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἐπιτρέπω (verbe)''' : autoriser, permettre.<br> '''ἐπιφέρω (verbe)''' : .<br> '''ἐπιφώνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : interjection.<br> '''ἐπιφώνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐπιφωνῶ (verbe)''' : .<br> '''ἐπιχαιρεκακία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἐπιχαιρέκακος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ἐπιχαίρω (verbe)''' : réjouir.<br> '''ἐπιχείρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : argument.<br> '''ἐπιχειρῶ (verbe)''' : cicatriser.<br> '''ἕπομαι (verbe)''' : argumenter.<br> '''ἔπος, -ους (nom commun) (n)''' : Parole ; vers.<br> '''ἐποποιία, -ας (nom commun) (f)''' : épopée.<br> '''ἐπουλῶ (verbe)''' : cicatriser.<br> '''ἐπύλλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἐπῳδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : incantation.<br> '''ἐπώδυνος, -ος, -ον (adjectif)''' : douloureux. Causé par la douleur.<br> '''ἑπωµίς, -δος (nom commun) (f)''' : épaulette.<br> '''ἐπωνύμιον, -ίου (nom commun) (n)''' : nom de famille.<br> '''ἐπωφελής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''ἔραμαι (verbe)''' : aimer d'amour, désirer.<br> '''ἔρανος, -άνου (nom commun) (m)''' : quête.<br> '''ἐραστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : amant.<br> '''ἑραστός, -ή, -όν (adjectif)''' : aimable, amoureux.<br> '''ἐράστρια, -ας (nom commun) (f)''' : amante.<br> '''ἐραστριάω (verbe)''' : être amoureux.<br> '''ἐρέϐινθος, -ίνθου (nom commun) (m)''' : pois chiche.<br> '''ἔρεϐος, -έϐους (nom commun) (n)''' : obscurité.<br> '''ἐρρωσθαι (verbe)''' : se bien porter.<br> '''ἐργάζομαι (verbe)''' : travailler.<br> '''ἐργαλεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : outil.<br> '''ἐργαστήριακός, -ή -όν (adjectif)''' : laborantin.<br> '''ἐργαστήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : atelier, laboratoire.<br> '''ἐργαστήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : travailleur.<br> '''ἐργάτης, -ου (nom commun) (m)''' : ouvrier, travailleur.<br> '''ἔργον, -ου (nom commun) (n)''' : travail.<br> '''ἐργώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : laborieux.<br> '''ϝέργον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''ἔργον''.<br> '''ϝάργον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme éléenne de ''ἔργον''.<br> '''ἐρέσσω (verbe)''' : ramer.<br> '''ἐρετμόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : rame.<br> '''ἐρεύγομαι (verbe)''' : roter.<br> '''ἔρευνα, -ας (nom commun) (f)''' : enquête, recherche.<br> '''ἐρευνητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : enquêteur, chercheur.<br> '''ἐρευνῶ (verbe)''' : enquêter, rechercher.<br> '''ἐρέφω (verbe)''' : toiturer, couronner.<br> '''ἐρημίτης, -ου (nom commun) (m)''' : ermite.<br> '''ἔρημος, -ήμου (nom commun) (f)''' : désert.<br> '''ἑρμηνεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Interprète, traducteur ; messager des dieux.<br> '''ἑρμηνευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἑρμηνεύω (verbe)''' : Exprimer sa pensée par la parole. (Par suite) Faire connaître, indiquer, exposer (quelque chose). Interpréter, traduire.<br> '''ἔρομαι (verbe)''' : Demander, enquêter ; s’enquérir de.<br> '''ἑρπετόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : Reptile ; serpent.<br> '''ἕρπυλλος, -ύλλου (nom commun) (m)''' : serpolet.<br> '''ἑρπυσμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : fluage.<br> '''ἐρῥωσθαι (verbe)''' : se bien porter.<br> '''ἔρσην, -ενος (nom commun) (m)''' : Forme crétoise et éolienne de ''ἄρσην''.<br> '''ἐρεύθω (verbe)''' : rougir.<br> '''ἔρχομαι (verbe)''' : Venir, aller. S'en aller.<br> '''ἐρύθημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : érythème.<br> '''ἐρυθρός, -ά, -όν (adjectif)''' : rouge.<br> '''ἐρυσίπελας, -έλατος (nom commun) (n)''' : inflammation cutanée.<br> '''ἐρωή, -ῆς (nom commun) (f)''' : précipitation.<br> '''ἐρωδιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : héron.<br> '''ἐρωμένη, -ης (nom commun) (f)''' : femme aimé.<br> '''ἐρώμενος, -ένου (nom commun) (m)''' : homme aimé.<br> '''ἔρως, -τος (nom commun) (n)''' : amour « naturel » ; désir sexuel, plaisir corporel.<br> '''ἐρώτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : question.<br> '''ἐρωτηματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : interrogatif.<br> '''ἐρωτηματικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐρωτηματικῶς''.<br> '''ἐρωτηματικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐρωτηματικῶς''.<br> '''ἐρωτηματικῶς (adverbe)''' : érotiquement.<br> '''ἐρωτηματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐρωτηματικός''.<br> '''ἐρωτηματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐρωτηματικός''.<br> '''ἐρώτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : interrogation.<br> '''ἐρωτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : relatif à l'amour « naturel ».<br> '''ἐρωτικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἐρωτικῶς''.<br> '''ἐρωτικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἐρωτικῶς''.<br> '''ἐρωτικῶς (adverbe)''' : érotiquement.<br> '''ἐρωτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐρωτικός''.<br> '''ἐρωτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐρωτικός''.<br> '''ἐρωτῶ (verbe)''' : interroger.<br> '''ἐρῶ (verbe)''' : aimer d'amour, désirer. Verser hors de ; vomir.<br> '''ἐσσαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : essénien.<br> '''ϝεσή, -ῆς (nom commun) (f)''' : toilettes.<br> '''ἐσθής, -ήτος (nom commun) (f)''' : vêtement.<br> '''ἐσθίω (verbe)''' : manger.<br> '''ἐσθλός, -ή, -όν (adjectif)''' : Excellent ; (poétique) bon.<br> '''ἐσθλῶς (adverbe)''' : excellemment.<br> '''ἐσθλώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐσθλός''.<br> '''ἐσθλώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἐσθλός''.<br> '''ἐσλός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἐσθλός''.<br> '''ἑσπέρα, -ας (nom commun) (f)''' : Soir ; ouest.<br> '''ϝεσπέρα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme ancienne de ''ἑσπέρα''.<br> '''ἕσπερος, -ος, -ον (adjectif)''' : Relatif au soir ; occidental.<br> '''ἑστίασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : restauration.<br> '''ἑστιατόριον, -ίου (nom commun) (n)''' : restaurant.<br> '''ἑστιάτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : restaurateur.<br> '''ἑστιάω (verbe)''' recevoir chez soi.<br> '''ἐσχάρα, -ας (nom commun) (f)''' : Foyer ; autel domestique et sanctuaire pour les suppliants. Autel pour les sacrifices. Brasier. Réchaud.<br> '''ἐσχάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : cale (dispositif maritime).<br> '''ἔσχατος, -άτη, -ον (adjectif)''' : dernier.<br> '''ἐσωτερικός, -ή, -όν (adjectif)''' : intérieur, interne.<br> '''ἔσω (adverbe)''' : .<br> '''ἐσωτάτω (adverbe)''' : Superlatif de ''ἔσω''.<br> '''ἐσωτέρω (adverbe)''' : Comparatif de ''ἔσω''.<br> '''ἑταῖρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : compagne.<br> '''ἑταιρείη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἑταιρεία''.<br> '''ἑταιρεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : compagnon.<br> '''ἑταῖρη, -ίρης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ἑταῖρα''.<br> '''ἑταίρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : compagnie.<br> '''ἑταῖρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : compagnon.<br> '''ἐτεός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ἐτεῶς (adverbe)''' : .<br> '''ἐτεώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἐτεός''.<br> '''ἐτεώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de''ἐτεός''.<br> '''ἔτης, -ου (nom commun) (m)''' : cousin ; voisin.<br> '''ἔτος, -ους (nom commun) (n)''' : année.<br> '''ϝέτος, -ους (nom commun) (n)''' : Forme ancienne de ''ἔτος''.<br> '''ἔτυμος, -η, -ον (adjectif)''' : Vrai ; réel, véritable.<br> '''εὐάζω (verbe)''' : .<br> '''εὐαί (interjection)''' : .<br> '''εὐαγγελίζω (verbe)''' : annoncer une bonne nouvelle.<br> '''εὐαγγελισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : annonciation.<br> '''εὖγμα, -ὔγματος (nom commun) (n)''' : vœu.<br> '''εὐδαιμονία, -ας (nom commun) (f)''' : bonheur.<br> '''εὐδαίμων, -ων, -ον (adjectif)''' : heureux.<br> '''εὐδαιμόνως (adverbe)''' : heureusement.<br> '''εὐδαιμονέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐδαίμων''.<br> '''εὐδαιμονέστερος, -έρα, -έρερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐδαίμων''.<br> '''εὕδω (verbe)''' : dormir.<br> '''εὐγενής, -ής, -ές (adjectif)''' : noble.<br> '''εὐεργεσία, -ας (nom commun) (f)''' : bénéfice.<br> '''εὐεργέτης, -ου (nom commun) (n)''' : bienfaiteur.<br> '''εὐεργέτις, -δος (nom commun) (f)''' : bienfaitrice.<br> '''εὐεργετῶ (bénéfice)''' : bénéficier.<br> '''εὐ- (préfixe)''' : bon, bien.<br> '''εὐθέως (adverbe)''' : Directement ; immédiatement.<br> '''εὔθυνα, -ύνης (nom commun) (f)''' : responsabilité.<br> '''εὐθυνότης, -ητος (nom commun) (f)''' : responsabilité.<br> '''εὐθύνω (verbe)''' : être responsable.<br> '''εὐθύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Direct ; immédiat.<br> '''εὐθύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐθύς''.<br> '''εὐθύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐθύς''.<br> '''εὐλάϐεια, -ας (nom commun) (f)''' : piété.<br> '''εὐλαϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : pieux.<br> '''εὐλαϐικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''εὐλαϐικῶς (adverbe)''' : avec piété.<br> '''εὐλαϐῶς (adverbe)''' : pieusement.<br> '''εὐλαλος, -ος, -ον (adjectif)''' : qui parle bien.<br> '''εὐλογιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : variole.<br> '''εὐλογία, -ας (nom commun) (f)''' : louange.<br> '''εὐμετάϐλητος, -η, -ον (adjectif)''' : .<br> '''εὐμορφία, -ας (nom commun) (f)''' : beauté.<br> '''εὔμορφος, -ος, -ον (adjectif)''' : beau.<br> '''εὔνοια, -ίας (nom commun) (f)''' : faveur.<br> '''εὐνοϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : favorable.<br> '''εὐνοϊκῶς (adverbe)''' : favorablement.<br> '''εὐνοϊκώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐνοϊκός''.<br> '''εὐνοϊκώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐνοϊκός''.<br> '''εὐνοϊκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''εὐνοϊκῶς''.<br> '''εὐνοϊκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''εὐνοϊκῶς''.<br> '''εὔνους, -ους, -ουν (adjectif)''' : .<br> '''εὐπατρίδης, -ου (nom commun) (m)''' : gentilhomme.<br> '''εὐοπλέω (verbe)''' : être bien armé.<br> '''εὐρετήριον, -ήριου (nom commun) (n)''' : index (liste).<br> '''εὐρέως (adverbe)''' : largement.<br> '''εὐρύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Large. (Par extension) Vaste, spacieux.<br> '''εὐρύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐρύς''.<br> '''εὐρύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐρύς''.<br> '''εὔρωστος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''εὐρωστότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὔρωστος''.<br> '''εὐρωστότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)'''' : Comparatif de ''εὔρωστος''.<br> '''εὐρωστότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''εὐρώστως''.<br> '''εὐρωστότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''εὐρώστως''.<br> '''εὐρώστως (adverbe)''' : .<br> '''εὐσέϐεια, -ίας (nom commun) (f)''' : piété.<br> '''εὐσεϐέστατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐσεϐής''.<br> '''εὐσεϐέστερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐσεϐής''.<br> '''εὐσεϐής, -ής, -ές (adjectif)''' : pieux.<br> '''εὐσεϐῶς (adverbe)''' : pieusement.<br> '''εὐσυνείδητος, -ος, -ον (adjectif)''' : consciencieux.<br> '''ἐύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : bon, brave.<br> '''εὐτελέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐτελής''.<br> '''εὐτελέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐτελής''.<br> '''εὐτελής, -ής, -ές (adjectif)''' : Bon marché. De vil prix, de peu de valeur. Avare.<br> '''εὐτελίζω (verbe)''' : mépriser.<br> '''εὐτελῶς (adverbe)''' : .<br> '''εὐτυχία, -ας (nom commun) (f)''' : bonheur.<br> '''εὖ (adverbe)''' : Bien (idée d’origine) Noblement. Bien, régulièrement ; justement. Bien, avec bienveillance. Heureusement.<br> '''εὐτυχέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐτυχής''.<br> '''εὐτυχέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐτυχής''.<br> '''εὐτυχής, -ής, -ές (adjectif)''' : heureux.<br> '''εὐτυχῶς (adverbe)''' : heureusement.<br> '''εὔφλεκτος, -ος, -ον (adjectif)''' : inflammable.<br> '''εὐφραδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐφραδής''.<br> '''εὐφραδέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐφραδής''.<br> '''εὐφραδής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''εὔφρων, -ων, -ον (adjectif)''' : .<br> '''εὐφυέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''εὐφυής''.<br> '''εὐφυέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''εὐφυής''.<br> '''εὐφυής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''εὐφυῶς (adverbe)''' : .<br> '''εὐφωνία, -ας (nom commun) (f)''' : bonne sonorité.<br> '''εὐχαριστία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''εὐχάριστος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''εὐχαριστῶ (verbe)''' : remercier.<br> '''εὐχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : vœu.<br> '''εὔχομαι (verbe)''' : formuler un vœu.<br> '''εὖχος, -ὔχους (nom commun) (n)''' : Prière, vœu.<br> '''εὐχωλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Prière, vœu.<br> '''-εύς, -έως (suffixe) (m)''' : .<br> '''-εύω (suffixe)''' : .<br> '''ἐφαμέριος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''ἐφημέριος''.<br> '''ἐφαμερεύω (verbe)''' : Forme dorienne de ''ἐφημερεύω''.<br> '''ἐφαρμόζω (verbe)''' : appliquer.<br> '''ἐφεξείης (adverbe)''' : Forme poétique de ''ἐφεξῆς''.<br> '''ἐφεξῆς (adverbe)''' : dorénavant, désormais.<br> '''ἐφήϐαιον, -ίου (nom commun) (m)''' : pubis.<br> '''ἐφηϐεία, -ας (nom commun) (f)''' : Service militaire rassemblant les jeunes Athéniens âgés de 18 à 20 ans.<br> '''ἐφηϐικός, -ή, -όν (adjectif)''' : adolescent.<br> '''ἔφηϐος, -ήϐου (nom commun) (m)''' : Jeune garçon ayant quitté l’autorité des femmes.<br> '''ἐφημέριος, -ίου (nom commun) (m)''' : curé.<br> '''ἐφημερεύω (verbe)''' : .<br> '''ἐφιάλτης, -ου (nom commun) (m)''' : cauchemar.<br> '''ἔχθος, -ους (nom commun) (n)''' : Haine ; hostilité.<br> '''ἐχθρά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : ennemie.<br> '''ἐχθρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Détesté de ; ennemi de.<br> '''ἐχθρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : ennemi.<br> '''ἐχθρότης, -τος (nom commun) (f)''' : inimitié.<br> '''ἔχθω (verbe)''' : Haïr ; être hostile.<br> '''ἔχιδνα, -ης (nom commun) (f)''' : vipère.<br> '''ἐχῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : hérisson.<br> '''ἔχις, -εως (nom commun) (m)''' : vipère.<br> '''ἔχω (verbe)''' : avoir.<br> '''ἕψημα, -ήματος (nom commun) (f)''' : cuisson.<br> '''ἕψησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : ébulition.<br> '''ἒ ψιλόν (nom commun) (n)''' : epsilon.<br> '''ἕψω (verbe)''' : Bouillir, cuire. Fondre, en parlant des métaux, raffiner, purifier. (Figuré) Être chaud pour ; chérir.<br> '''ἕως (conjonction)''' : jusqu'à ce que ; tant que.<br> '''Ἑϐραία, -ας (nom commun) (f)''' : Israélite.<br> '''Ἑϐραῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Israélite.<br> '''Ἑϐραΐς, -δος (nom commun) (f)''' : Israélite.<br> '''Ἐδέμ (nom propre) (m)''' : Éden.<br> '''Εἰλείθυια, -ίας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Ilithyie|Ilithyie]] (déesse de l'enfantement).<br> '''Εἰρηναῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Irénée.<br> '''Εἰρήνη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Eiréné|Eiréné]].<br> '''Ἑκάϐη, -ης (nom propre) (f)''' : Hécube.<br> '''Ἑκάτη, -ης (nom propre) (f)''' : Hécate.<br> '''Ἑκατόγχειρες, -ων (nom propre) (m)''' : Hécatonchires.<br> '''Ἕκτωρ, -ορος (nom propre) (m)''' : Hector.<br> '''Ἐλεάζαρος, -άρου (nom propre) (m)''' : Éléazar.<br> '''Ἐλαμείτης, -ου (nom commun) (m)''' : Élamite.<br> '''Ἐλεύθυια, -ίας (nom propre) (f)''' : Forme ancienne de ''Εἰλείθυια''.<br> '''Ἑλένη, -ης (nom propre) (f)''' : Hélène.<br> '''Ἕλενος, -ένου (nom propre) (m)''' : Hélénos.<br> '''Ἐλισάϐετ (nom propre) (f)''' : Élisabeth.<br> '''Ἑλλάς, -δος (nom propre) (f)''' : Grèce.<br> '''Ἕλλη, -ης (nom propre) (f)''' : Hellé.<br> '''Ἕλλην, -ος (nom propre) (m)''' : Hellen.<br> '''Ἕλλην, -ος (nom commun) (m)''' : Grec.<br> '''Ἑλληνίς, -δος (nom commun) (f)''' : Grecque.<br> '''Ἑλλήσποντος, -όντου (nom commun) (m)''' : Helléspont.<br> '''Ἐμπεδοκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Empédocle.<br> '''Ἐνάρετη, -ης (nom propre) (f)''' : Énarété.<br> '''Ἐνδυμίων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Endymion.<br> '''Ἐνετός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Vénète.<br> '''Ἐνυώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Ényo|Ényo]].<br> '''Ἐπαμεινώνδας, -ου (nom commun) (m)''' : Épaminondas.<br> '''Ἐπίκτητος, -ήτου (nom propre) (m)''' : Épictète.<br> '''Ἐπιμηθεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Épiméthée.<br> '''Ἐπιφί (nom propre) (m)''' : Epiphi.<br> '''Ἐρατοσθένης, -ους (nom propre) (m)''' : Ératosthène. (Savant grec né en -276 et mort en -194.)<br> '''Ἐρατώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Érato.<br> '''Ἔρεϐος, -έϐους (nom propre) (n)''' : [[wikt:Érèbe|Érèbe]].<br> '''Ἐρεχθεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Érechtée.<br> '''Ἐρινύς, -ος (nom propre) (f)''' : Érynie.<br> '''Ἔρις, -εως (nom propre) (f)''' : [[wikt:Éris|Éris]].<br> '''Ἐριφύλη, -ης (nom propre) (f)''' : Ériphyle.<br> '''Ἑρμᾶς, -οῦ (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''Ἑρμῆς''.<br> '''Ἑρμαφρόδιτος, -ίτου (nom propre) (m)''' : Hermaphrodite.<br> '''Ἑρμῆς, -οῦ (nom propre) (m)''' : [[wikt:Hermès|Hermès]].<br> '''Ἑρμιονεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Hermionée.<br> '''Ἑρμιόνη, -ης (nom propre) (f)''' : Hermione.<br> '''Ἑρμιονίς, -δος (nom propre) (f)''' : Hermionide.<br> '''Ἑρμιών, -ῶνος (nom propre) (m)''' : Hermion.<br> '''Ἑρμογένης, -ους (nom propre) (m)''' : Hermogénès.<br> '''Ἐρυσίχθων, -ονος (nom propre) (m)''' : Érysichthon.<br> '''Ἔρως, -τος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Éros|Éros]].<br> '''Ἑσπερία, -ας (nom propre) (f)''' : Hespérie.<br> '''Ἑσπερίδες, -ων (nom propre) (f)''' : Hespérides.<br> '''Ἑσπερίς, -δος (nom propre) (f)''' : Hespéris.<br> '''Ἕσπερος, -έρου (nom propre) (m)''' : Hespéros.<br> '''Εὔα, -ας (nom propre) (f)''' : Ève.<br> '''Εὐάγριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Évagre.<br> '''Εὐγενία, -ας (nom propre) (f)''' : Eugénie.<br> '''Εὐγένιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Eugène.<br> '''Εὔδημος, -ήµου (nom propre) (m)''' : Eudème.<br> '''Εὔιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Euïos.<br> '''Εὐλαλία, -ας (nom propre) (f)''' : Eulalie.<br> '''Εὐλάλιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Eulalios.<br> '''Εὔμαιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Eumée. (Porcher de Laërte et d’Ulysse.)<br> '''Εὐήμερος, -έρου (nom propre) (m)''' : Évhémère.<br> '''Εὔμηλος, -ήλου (nom propre) (m)''' : Eumélos.<br> '''Εὔνηος, -ήου (nom propre) (m)''' : Eunée.<br> '''Εὐνομία, -ας (nom propre) (f)''' : Eunomie.<br> '''Εὐήρης, -ου (nom propre) (m)''' : Évérès.<br> '''Εὐριπίδης, -ου (nom propre) (m)''' : Euripide.<br> '''Εὔρος, -ου (nom propre) (m)''' : Euros. (dieu du vent d'est)<br> '''Εὐρυάλη, -ης (nom propre) (f)''' : Euryale.<br> '''Εὐρυδίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Eurydice.<br> '''Εὐρύθεμις, -έμιδας (nom propre) (f)''' : Eurythémis.<br> '''Εὐρύκλεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Euryclée.<br> '''Εὐρύλοχος, -όχου (nom propre) (m)''' : Euryloque.<br> '''Εὐρυσθεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Eurysthée (fils de Sthénélos et Nicipée).<br> '''Εὐρωπαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Européen.<br> '''Εὐρώπη, -ης (nom propre) (f)''' : Europe.<br> '''Εὐσέϐεια, -ας (nom propre) (f)''' : Eusébie.<br> '''Εὐσέϐιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Eusèbe.<br> '''Εὐστάθιος, -ίου (prénom) (m)''' : Eustache.<br> '''Εὔσταχυς, -άχυος (prénom) (m)''' : Eustache.<br> '''Εὐτέρπη, -ης (nom propre) (f)''' : Euterpe.<br> '''Εὐτύχιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Eutychius.<br> '''Εὐφημία, -ας (nom propre) (f)''' : Euphémie.<br> '''Εὔφημος, -ήμου (nom propre) (m)''' : Euphémos.<br> '''Εὐφράτης, -ου (nom propre) (m)''' : Euphrate (fleuve de Turquie et d’Irak).<br> '''Εὐφροσύνη, -ης (nom propre) (f)''' : Euphrosyne.<br> '''Εὔφρων, -ονος (nom propre) (m)''' : Euphron.<br> '''Ἔφεσος, -έσου (nom propre) (f)''' : Éphèse.<br> '''Ἐφιάλτης, -ου (nom propre) (m)''' : Éphialtès.<br> '''Ἕως, -ω (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἠώς''.<br> '''Ἑωσφόρος, -ου (nom propre) (m)''' : Lucifer.<br> ==Ζ== '''ζῆλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : Jalousie ; zèle.<br> '''ζηλοτυπία, -ας (nom commun) (m)''' : jalousie.<br> '''ζηλότυπος, -ος, -ον (adjectif)''' : jaloux.<br> '''ζηλωτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : zélote.<br> '''ζηλῶ (verbe)''' : aimer ardemment.<br> '''ζῆτα (nom commun) (n)''' : zêta.<br> '''ζήτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : recherche.<br> '''ζητητικός, -ός, -όν (adjectif)''' : aimant chercher ; rechercher.<br> '''ζητῶ (verbe)''' : demander ; chercher.<br> '''ζιγγίϐερις, -έρεως (nom commun) (f)''' : gingembre.<br> '''ζιζάνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : ivraie.<br> '''ζιζανοσπορεύς, -έως (nom commun) (m)''' : .<br> '''ζιζανιοσπόρος, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ζιζανώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''ζίζυφον, -ύϕου (nom commun) (n)''' : jujubier.<br> '''ζόα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ζωή''.<br> '''ζόη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ζωή''.<br> '''ζοΐα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''ζωή''.<br> '''ζόρξ, -κος (nom commun) (m)''' : Forme de ''δορκάς''.<br> '''ζυγαριά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : balance.<br> '''ζυγόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : joug.<br> '''ζῦθος, -ύθου (nom commun) (m)''' : bière.<br> '''ζωά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Autre forme dorienne de ''ζωή''.<br> '''ζωή, -ῆς (nom commun) (f)''' : vie.<br> '''ζῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : caleçon.<br> '''ζώμευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : soupe.<br> '''ζωμεύω (verbe)''' : bouillir en soupe.<br> '''ζωμήρυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : louche à soupe.<br> '''ζωμίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : sauce.<br> '''ζωμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bouillon, soupe.<br> '''ζωός, -ή, -όν (adjectif)''' : vivant.<br> '''ζῷον, -ῴου (nom commun) (n)''' : animal.<br> '''ζωοπανήγυρις, -ύρεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ζῶ (verbe)''' : vivre.<br> '''Ζαϐουλών (nom propre) (m)''' : Zabulon.<br> '''Ζαγρεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Zagreus.<br> '''Ζακχαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Zachée.<br> '''Ζάν, -ός (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''Ζεύς''.<br> '''Ζάς, -νος (nom propre) (m)''' : Autre forme dorienne de ''Ζεύς''.<br> '''Ζαχαρίας, -ου (nom propre) (m)''' : Zacharie.<br> '''Ζεϐεδαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Zébédée.<br> '''Ζευξίππη, -ης (nom propre) (f)''' : Zeuxippe.<br> '''Ζεῦξις, -ύξεως (nom propre) (m)''' : Zeuxis.<br> '''Ζεῦς, -ύσεως (nom propre) (m)''' : Forme lesbienne de ''Ζεύς''.<br> '''Ζεύς, Διός (nom propre) (m)''' : [[wikt:Zeus|Zeus]].<br> '''Ζέφυρος, -ύρου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Zéphyr|Zéphyr]]. (dieu du vent d'ouest)<br> '''Ζῆλος, -ήλου (nom propre) (m)''' : Zélos.<br> '''Ζήν, -ός (nom propre) (m)''' : Forme poétique de ''Ζεύς''.<br> '''Ζηνοϐία, -ας (nom propre) (f)''' : Zénobie.<br> '''Ζηνοϐίος, -ίου (nom propre) (m)''' : Zénobios.<br> '''Ζυγός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Balance.<br> '''Ζωροάστρης, -ου (nom propre) (m)''' : Zoroastre.<br> ==Η== '''ἡ (article défini)''' : la.<br> '''ἤ (conjonction)''' : ou.<br> '''ᾗ (adverbe relatif)''' : par là où (je passe).<br> '''ἥϐη, -ης (nom commun) (f)''' : jeunesse.<br> '''ἡϐητέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἡϐητής''.<br> '''ἡϐητέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἡϐητής''.<br> '''ἡϐητής, -ής, -ές (adjectif)''' : juvénile.<br> '''ἡϐητῶς (adverbe)''' : juvénilement.<br> '''ἡϐός, -ή, -όν (adjectif)''' : jeune.<br> '''ἡϐότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἡϐός''.<br> '''ἡϐότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἡϐός''.<br> '''ἡγείσθαι (verbe)''' : conduire.<br> '''ἡγεμονία, -ας (nom commun) (f)''' : Action de conduire, de diriger. Suprématie, puissance. Règne.<br> '''ἡγεμονεύω (verbe)''' : .<br> '''ἡγεμών, -όνος (nom commun) (m)''' : souverain.<br> '''ἡγέομαι (verbe)''' : Marcher devant. (après Homère) Croire, penser.<br> '''ἡγέτης, -ου (nom commun) (m)''' : leader.<br> '''-ηγός, -οῦ (suffixe) (m/f)''' : .<br> '''ἥδομαι (verbe)''' : avoir plaisir à, se réjouir de.<br> '''ἡδονή, -ῆς (nom commun) (f)''' : plaisir.<br> '''ἡδύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : doux, agréable.<br> '''ἡδύχρουν, - (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἠθικός, -ή, -όν (adjectif)''' : moral.<br> '''ἠθικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἠθικῶς''.<br> '''ἠθικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἠθικῶς''.<br> '''ἠθικῶς (adverbe)''' : moralement.<br> '''ἠθικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἠθικός''.<br> '''ἠθικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἠθικός''.<br> '''ἦθος, ἤθους (nom commun) (n)''' : us et coutumes.<br> '''ἠϊθέη, -ης (nom commun) (f)''' : célibataire.<br> '''ἠΐθεος, -έου (nom commun) (m)''' : célibataire.<br> '''ἠι (adverbe)''' : Forme béotienne de ''ἀεί''.<br> '''-ήϊον, -ΐου (suffixe)''' : Forme ionienne de ''-εῖον''.<br> '''ἥκω (verbe)''' : être présent, être là.<br> '''ἠλακάτη, -ης (nom commun) (f)''' : quenouille.<br> '''ἤλεκτρον, -έκτρου (nom commun) (n)''' : ambre jaune.<br> '''ἠλέκτωρ, -, - (adjectif)''' : brillant.<br> '''ἡλιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : solaire.<br> '''ἤλιθιος, -η, -ον (adjectif)''' : stupide.<br> '''ἡλικία, -ας (nom commun) (f)''' : âge.<br> '''ἥλιος, -ίου (nom commun) (m)''' : soleil.<br> '''ἠέλιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''ἥλιος''.<br> '''ἡλιοστάσιον, -ίου (nom commun) (n)''' : solstice.<br> '''ἧλιξ, ἥλικος (nom commun) (m/f)''' : camarade.<br> '''ἧλος, ἥλου (nom commun) (m)''' : Clou, tête de clou. Cal, durillon, galle.<br> '''ἧμαι (verbe)''' : être assis.<br> '''ἡμεῖς (pronom personnel) (m)''' : nous.<br> '''ἡμέρα, -ας (nom commun) (f)''' : jour.<br> '''ἡμέρα Ἡλίου (nom commun) (f)''' : dimanche.<br> '''ἡμέρα Σελήνης (nom commun) (f)''' : lundi.<br> '''ἡμέρα Ἄρεως (nom commun) (f)''' : mardi.<br> '''ἡμέρα Ἕρμου (nom commun) (f)''' : mercredi.<br> '''ἡμέρα Διός (nom commun) (f)''' : jeudi.<br> '''ἡμέρα Ἀφροδίτης (nom commun) (f)''' : vendredi.<br> '''ἡμέρα Κρόνου (nom commun) (f)''' : samedi.<br> '''ἡμέρη, -ης''' (nom commun) (f) Forme homérique et ionienne de ''ἡμέρα''.<br> '''ἡμερήσιος, -ια, -ον (adjectif)''' : journalier ; diurne.<br> '''ἡμερολόγιον, -ίου (nom commun) (n)''' : calendrier.<br> '''ἡμέτερος, -έρα, -έτερον (adjectif possessif)''' : notre.<br> '''ἡμι- (préfixe)''' : à moitié.<br> '''ἡμίκλαστος, -, - (adjectif)''' : .<br> '''ἡμικρανία, -ας (nom commun) (f)''' : migraine.<br> '''ἡμίονος, -όνου (nom commun) (m)''' : hémione.<br> '''ἡνία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἡνίοχος, -όχου (nom commun) (m)''' : cocher.<br> '''ἧπαρ, ἥπατος (nom commun) (n)''' : foie.<br> '''ἡπατικός, -ή, -όν (adjectif)''' : hépatique.<br> '''ἡπατῖτις, -ίτης (nom commun) (f)''' : hépatite.<br> '''ἤπειρος, -ίρου (nom commun) (f)''' : continent.<br> '''ἠπειρωτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : continental.<br> '''ἡράκλειος, -α, -ον (adjectif)''' : herculéen.<br> '''ἡρωίνη, -ης (nom commun) (f)''' : héroïne.<br> '''ἡρωικός, -ή, -όν (adjectif)''' : héroïque.<br> '''ἡρωικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἡρωικῶς''.<br> '''ἡρωικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἡρωικῶς''.<br> '''ἡρωικῶς (adverbe)''' : héroïquement.<br> '''ἡρωικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἡρωικός''.<br> '''ἡρωικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἡρωικός''.<br> '''ἡρωισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : héroïsme.<br> '''ἡρωίς, -δος (nom commun) (f)''' : héroïne.<br> '''ἥρως, -ος (nom commun) (m)''' : héros.<br> '''ἧσσα, ἥσσης (nom commun) (f)''' : défaite.<br> '''ἡσσῶμαι (verbe)''' : être défait.<br> '''ἡσυχάζω (verbe)''' : être en paix, garder le silence.<br> '''ἡσυχασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : hésychasme.<br> '''ἡσυχία, -ας (nom commun) (f)''' : Immobilité. Repos, calme ; silence.<br> '''ἥσυχος, -ος, -ον (adjectif)''' : Calme, tranquille.<br> '''ἡσύχως (adverbe)''' : Calmement, tranquillement.<br> '''ἡσυχώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἥσυχος''.<br> '''ἡσυχώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἥσυχος''.<br> '''σωματικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἡσύχως''.<br> '''σωματικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἡσύχως''.<br> '''ἦτα (nom commun) (n)''' : êta.<br> '''ἧτρον, ἥτρου (nom commun) (n)''' : abdomen.<br> '''ἧττα, ἥττης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''ἧσσα''.<br> '''ἡττῶμαι (verbe)''' : Forme attique de ''ἡσσῶμαι''.<br> '''ἡφαιστεῖον, -ίου (nom commun) (m)''' : volcan.<br> '''ἦχος, ἤχου (nom commun) (m)''' : son.<br> '''ἠχώ, -οῦς (nom commun) (f)''' : son répercuté.<br> '''ἠώς, -οῦς (nom commun) (f)''' : aurore.<br> '''Ἥϐη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Hébé|Hébé]].<br> '''Ἡγήσιππος, -ίππου (nom propre) (m)''' : Hégésippe.<br> '''Ἡγησώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Hègèsô.<br> '''Ἠλίας, -α (nom propre) (m)''' : Élie.<br> '''Ἥλιος, -ίου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Hélios|Hélios]].<br> '''Ἠλύσιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Élysée. (Séjour des hommes vertueux après leur mort.)<br> '''Ἡμέρα, -ας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Héméra|Héméra]].<br> '''Ἤπειρος, -ίρου (nom propre) (f)''' : Épire.<br> '''Ἠπιδανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Forme ionienne d<nowiki>'</nowiki>''Ἀπιδανός''.<br> '''Ἥρα, -ας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Héra|Héra]].<br> '''Ἡρακλέης, -ους (nom propre) (m)''' : Forme poétique de ''Ἡρακλῆς''.<br> '''Ἡρακλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Héraclès.<br> '''Ἡρόστρατος, -άτου (nom propre) (m)''' : Hérostrate.<br> '''Ἠσαΐας, -ου (nom propre) (m)''' : Isaïe.<br> '''Ἡσαΐας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἠσαΐας''.<br> '''Ἡσαῦ (nom propre) (m)''' : Ésaü.<br> '''Ἠσαῦ (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἡσαῦ''.<br> '''Ἡσύχιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Hésychios.<br> '''Ἥφαιστος, -ίστου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Héphaïstos|Héphaïstos]].<br> '''Ἠχώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Écho|Écho]].<br> '''Ἠώς, -οῦς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Éos|Éos]].<br> ==Θ== '''θαλάμη, -ης (nom commun) (f)''' : Gîte ; tanière.<br> '''θάλαμος, -άμου (nom commun) (m)''' : chambre.<br> '''θάλασσα, -ης (nom commun) (f)''' : mer.<br> '''θάλαττα, -ης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''θάλασσα''.<br> '''θάμϐος, -ους (nom commun) (n)''' : stupeur.<br> '''θανατηφόρος, -ος, -ον (adjectif)''' : mortifère.<br> '''θάνατος, -άτου (nom commun) (m)''' : mort.<br> '''θανάτωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''θανατῶ (verbe)''' : .<br> '''θανών, -ών, -όν (adjectif)''' : mort.<br> '''θάπτω (verbe)''' : enterrer.<br> '''θαυμάζω (verbe)''' : être stupéfait.<br> '''θαῦμα, -ύατος (nom commun) (n)''' : objet d’admiration ou d’étonnement ; merveille.<br> '''θαυμαστός, -ή, -όν (adjectif)''' : merveilleux.<br> '''θαυματουργία, -ας (nom commun) (f)''' : tour de force ; création de merveilles.<br> '''θαυματουργός, -ός, -όν (adjectif)''' : Qui crée des merveilles.<br> '''θαυματουργός, -οῦ (nom commun) (m)''' : créateur de merveilles.<br> '''θαυματουργῶ (verbe)''' : créer des merveilles.<br> '''θεά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : déesse.<br> '''θέα, -ας (nom commun) (f)''' : contemplation.<br> '''θέαμα, -άματος (nom commun) (n)''' : spectacle.<br> '''θεατής, -οῦ (nom commun) (m)''' : spectateur.<br> '''θεατρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : théâtral.<br> '''θεατρικῶς (adverbe)''' : théâtralement.<br> '''θεατρικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θεατρικός''.<br> '''θεατρικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θεατρικός''.<br> '''θεατρικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''θεατρικῶς''.<br> '''θεατρικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''θεατρικῶς''.<br> '''θέατρον, -ου (nom commun) (n)''' : théâtre.<br> '''θεατρινισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''θεατρινίστικος, -η, -ον (adjectif)''' : .<br> '''θεατρίνος, -ου (nom commun) (m)''' : acteur.<br> '''θέημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''θέαμα''.<br> '''θέητρον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''θέατρον''.<br> '''θεῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : tante.<br> '''θεῖον, -ίου (nom commun) (m)''' : soufre ; fumée de soufre.<br> '''θεῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : oncle.<br> '''θέειος, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''θεῖος''.<br> '''θεήϊος, -ΐου (nom commun) (m)''' : Forme de ''θεῖος''.<br> '''-θέτης, -ου (suffixe) (m)''' : .<br> '''θέλγω (verbe)''' : fasciner.<br> '''θέμα, -τος (nom commun) (n)''' : Dépôt, ce qui est placé, posé ou déposé. Endroit où l’on pose ou place quelque chose. .<br> '''θεματίζω (verbe)''' : déposer.<br> '''θεματίτης, -ου (nom commun) (m)''' : dépositaire.<br> '''θεματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : thématique.<br> '''θέμις, -τος (nom commun) (f)''' : loi divine ou morale.<br> '''θέογνις, -δος (nom commun) (m)''' : .<br> '''θεός, -οῦ (nom commun) (m)''' : dieu.<br> '''θεραπεία, -ας (nom commun) (f)''' : soin.<br> '''θεραπευτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : sanatorium.<br> '''θεραπευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : soignant.<br> '''θεραπευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : attentif, serviable ; curatif.<br> '''θεραπεύω (verbe)''' : soigner ; prendre soin de.<br> '''θεράπων, -οντος (nom commun) (m)''' : serviteur.<br> '''θερμόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : chaleur.<br> '''θερμός, -ή, -όν (adjectif)''' : chaud.<br> '''θερμότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θερμός''.<br> '''θερμότερος, -έρη, -ότατον (adjectif)''' : Comparatif de ''θερμός''.<br> '''θερμῶς (adverbe)''' : chaudement.<br> '''θέρος, -ους (nom commun) (n)''' : été.<br> '''θέρω (verbe)''' : chauffer.<br> '''θέσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''θεσμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : (Primitivement) Toute loi ou institution établie par les dieux, institution sacrée, rite, coutume antique. Loi divine ou naturelle, par opposition à la loi écrite. (Par extension) Loi faite par les hommes, loi écrite.<br> '''θεσμοθέτης, -ου (nom commun) (m)''' : parlementaire.<br> '''θεσμοθετεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : parlement.<br> '''θεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''θεός''.<br> '''θεῶμαι (verbe)''' : Regarder, contempler (le plus souvent avec étonnement ou admiration), admirer. Contempler en esprit. Voir clairement. Être spectateur. Revoir, passer en revue, examiner.<br> '''θεώρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Spectacle, fête ; règle, principe, objet d'étude ou de méditation ; contemplation, recherche.<br> '''θεωρητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : théorique.<br> '''θεωρητικῶς (adverbe)''' : théoriqument.<br> '''θεωρητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θεωρητικός''.<br> '''θεωρητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θεωρητικός''.<br> '''θεωρητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''θεωρητικῶς''.<br> '''θεωρητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''θεωρητικῶς''.<br> '''θεωρία, -ας (nom commun) (f)''' : Observation, vue, action de voir. Spectacle, ce qui est vu. Mission diplomatique. État de spectateur, audience.<br> '''θεωρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Spectateur, observateur.<br> '''θεωρῶ (verbe)''' : Observer, examiner, contempler. Inspecter, passer en revue. Contempler. (Figuré) Contempler par l’intelligence.<br> '''θέω (verbe)''' : courir.<br> '''θήϊος, -ΐου (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''θεῖος''.<br> '''θήκη, -ης (nom commun) (f)''' : Boîte, coffre. Cercueil, tombeau.<br> '''θήλεια, - (nom commun) (f)''' : .<br> '''θηλυκός, -ή, -όν (adjectif)''' : féminin.<br> '''θῆλυ, -ήλεας (nom commun) (f)''' : femelle.<br> '''θῆλυς, -ήλεια, -ῆλυ (adjectif)''' : femelle.<br> '''θηλύτης, -τος (nom commun) (f)''' : féminité.<br> '''θηλῶ (verbe)''' : .<br> '''θῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : tombe.<br> '''θήρα, -ας (nom commun) (f)''' : chasse.<br> '''θήραμα, -άματος (nom commun) (n)''' : proie.<br> '''θηρευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : chasseur.<br> '''θηρευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : de chasse.<br> '''θηριότης, -τας (nom commun) (f)''' : monstruosité.<br> '''θηριώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : monstrueux.<br> '''θηριωδία, -ας (nom commun) (f)''' : monstruosité.<br> '''θηρίον, -ου (nom commun) (n)''' : animal sauvage.<br> '''θήρ, -ός (nom commun) (m)''' : bête sauvage.<br> '''θηρῶ (verbe)''' : chasser.<br> '''θησαυρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : trésor.<br> '''θῆσσα, -ήσσα (nom commun) (f)''' : serve.<br> '''θής, -τός (nom commun) (m)''' : serf.<br> '''θῆτα (nom commun) (n)''' : thêta.<br> '''θητεία, -ας (nom commun) (f)''' : service.<br> '''θητεύω (verbe)''' : asservir.<br> '''θῆττα, -ήττα (nom commun (f)''' : Forme attique de ''θῆσσα''.<br> '''θιγγάνω (verbe)''' : toucher.<br> '''θιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme béotienne et arcado-chypriote de ''θεός''.<br> '''θλάσις, -εως (nom commun) (f)''' : contusion.<br> '''θλιϐή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''θλίϐω (verbe)''' : Presser ; compresser, réduire. Oppresser, attrister.<br> '''θλῖψις, -ίψεως (nom commun) (f)''' : Pression, compression ; oppression.<br> '''θλίψις, -εως (nom commun) (f)''' : chagrin, tristesse.<br> '''θλῶ (verbe)''' : étendre.<br> '''θναίσκω (verbe)''' : Forme éolienne de ''θνῄσκω''.<br> '''θνᾴσκω (verbe)''' : Forme dorienne de ''θνῄσκω''.<br> '''θνῄσκω (verbe)''' : mourir.<br> '''θοάζω (verbe)''' : se hâter.<br> '''θολερός, -ά, -όν (adjectif)''' : sale.<br> '''θολερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θολερός''.<br> '''θολερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θολερός''.<br> '''θολερῶς (adverbe)''' : salement.<br> '''θοός, -ή, -όν (adjectif)''' : rapide.<br> '''θόρυϐος, -ύϐου (nom commun) (m)''' : bruit.<br> '''θορυϐωδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θορυϐώδης''.<br> '''θορυϐωδέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θορυϐώδης''.<br> '''θορυϐώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : bruyant.<br> '''θορυϐώδως (adverbe)''' : bruyamment.<br> '''θοῶς (adverbe)''' : rapidement.<br> '''θοώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θοός''.<br> '''θοώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θοός''.<br> '''θρᾴκιος, -ος, -ον (adjectif)''' : thrace.<br> '''θρασέως (adverbe)''' : audacieusement.<br> '''θράσος, -ους (nom commun) (n)''' : audace.<br> '''θρασύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : audacieux.<br> '''θρασύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''θρασύς''.<br> '''θρασύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''θρασύς''.<br> '''θρασύτης, -τητος (nom commun) (f)''' : audace (qualité).<br> '''θρῄκιος, -ος, -ον (adjectif)''' : Forme poétique de ''θρᾴκιος''.<br> '''θρῆνος, -ήνου (nom commun) (m)''' : lamentation.<br> '''θρηνῶ (verbe)''' : se lamenter.<br> '''θρησκεία, -ας (nom commun) (n)''' : religion.<br> '''θρησκεύω (verbe)''' : observer religieusement.<br> '''θρῆσκος, -ήσκα, -ῆσκον (adjectif)''' : pieux.<br> '''θρίαμϐος, -άμϐου (nom commun) (m)''' : triomphe.<br> '''θρίξ, τριχός (nom commun) (f)''' : poil.<br> '''θρίψ, -πός (nom commun) (m)''' : petite vrillette. (Au figuré) avare.<br> '''θροέω (verbe)''' : froisser.<br> '''θρόμϐος, -ου (nom commun) (m)''' : Grumeau, caillot.<br> '''θρόνος, -ου (nom commun) (m)''' : siège élevé.<br> '''θρόος, -ου (nom commun) (m)''' : froissement.<br> '''θροῦς, -οῦ (nom commun) (m)''' : rumeur.<br> '''θροῶ (verbe)''' : froisser.<br> '''θρυλικός, -ή -όν (adjectif)''' : légendaire.<br> '''θρῦλος, -ύλου (nom commun) (f)''' : légende. (Récit populaire, plus ou moins fabuleux.)<br> '''θρύπτω (verbe)''' : casser ; morceler.<br> '''θυγάτηρ, -ρός (nom commun) (f)''' : fille. (descendante)<br> '''θύλακος, -άκου (nom commun) (m)''' : bourse ; sac.<br> '''θῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : victime.<br> '''θυμίαμα, -άματος (nom commun) (n)''' : encens.<br> '''θυμιάω (verbe)''' : brûler.<br> '''θυμίημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''θυμίαμα''.<br> '''θυμολέων, -ων, -ον (adjectif)''' : Courageux ; cœur-de-lion.<br> '''θυμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Âme, souffle de vie. Esprit, cœur. Courage.<br> '''θύμος, -ου (nom commun) (m)''' : thym.<br> '''θύννος, -ου (nom commun) (m)''' : thon.<br> '''θύρα, -ας (nom commun) (f)''' : Porte, battant ; ouverture, entrée.<br> '''θυραωρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''θυρωρός''.<br> '''θυρωρεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : conciergerie.<br> '''θυρωρός, -οῦ (nom commun (m) : concierge.<br> '''θύρσος, -ου (nom commun) (m)''' : thyrse.<br> '''θύρωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : portail.<br> '''θυσία, -ας (nom commun) (f)''' : sacrifice.<br> '''θυσιάζω (verbe)''' : sacrifier.<br> '''θωή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''θῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''θαῦμα''.<br> '''θωμαστός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''θαυμαστός''.<br> '''θῶμιγξ, -ώμιγγος (nom commun) (f)''' : Corde ; ficelle.<br> '''θωπεία, -ας (nom commun) (f)''' : caresse.<br> '''θώπευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : caresse.<br> '''θωπευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : caressant.<br> '''θωπεύω (verbe)''' : caresser.<br> '''θώς, -ός (nom commun) (m/f)''' : chacal.<br> '''θώϋμα, -τος (nom commun) (n)''' : Autre forme ionienne de ''θαῦμα''.<br> '''θώψ, -πός (nom commun) (m)''' : adulateur.<br> '''Θαδδαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Thadée.<br> '''Θαΐς, -δος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Thaïs|Thaïs]].<br> '''Θάλεια, -ας (nom propre) (f)''' : Thalie. (muse)<br> '''Θαλῆς, -άλεω (nom propre) (m)''' : Thalès.<br> '''Θαλία, -ας (nom propre) (f)''' : Thalie. (Charite)<br> '''Θάνατος, -άτου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Thanatos|Thanatos]].<br> '''Θαῦμας, -ύμαντος (nom propre) (m)''' : Thaumas.<br> '''Θάψος, -ου (nom propre) (f)''' : Thapsus. (ville de Tunisie)<br> '''Θέμις, -δος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Thémis|Thémis]].<br> '''Θεμιστοκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Thémistocle.<br> '''Θέτις, -δος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Thétis|Thétis]].<br> '''Θέογνις, -δος (nom propre) (m)''' : Théognis.<br> '''Θεοδοσία, -ας (nom propre) (f)''' : Théodosia.<br> '''Θεοδόσιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Théodose.<br> '''Θεόδουλος, -ύλος (nom propre) (m)''' : Théodule.<br> '''Θεόδωρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Théodore.<br> '''Θεόπομπος, -όμπου (nom propre) (m)''' : Théopompe.<br> '''Θεός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Dieu.<br> '''Θεοφάνης, -ου (nom propre) (m)''' : Théophane.<br> '''Θεοφανία, -ας (nom propre) (f)''' : Théophanie.<br> '''Θεόφιλος, -ίλου (nom propre) (m)''' : Théophile.<br> '''Θεόφραστος, -άστου (nom propre) (m)''' : Théophraste.<br> '''Θερμοπύλαι, -ῶν (nom propre) (f)''' : Thermopyles.<br> '''Θέσπις, -εως (nom propre) (m)''' : Thespsis.<br> '''Θεσσαλία, -ας (nom propre) (f)''' : Thessalie.<br> '''Θεσσαλικός, -ή, -όν (adjectif)''' : thessalien.<br> '''Θεσσαλίς, -δος (nom commun) (f)''' : Thessalienne.<br> '''Θεσσαλονίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Thessalonique.<br> '''Θεσσαλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Thessalien.<br> '''Θευδᾶς, -ᾶ (nom propre) (m)''' : Theudas.<br> '''Θευδέριχος, -ίχου (nom propre) (m)''' : Théodoric.<br> '''Θῆϐαι, -ῶν (nom propre) (f)''' : Thèbes.<br> '''Θησεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Thésée.<br> '''Θίνη, -ης (nom propre) (f)''' : Synonyme de ''Σίνη''.<br> '''Θιός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Forme béotienne de ''Ζεύς''.<br> '''Θίσϐη, -ης (nom propre) (f)''' : Thisbé.<br> '''Θόας, -αντος (nom propre) (m)''' : Thoas.<br> '''Θούθμωσις, -ώσιδος (nom propre) (m)''' : Thoutmôsis.<br> '''Θουκυδίδης, -ου (nom propre) (m)''' : Thucydide.<br> '''Θόωσα, -ης (nom propre) (f)''' : Thoosa.<br> '''Θρᾴκη, -ης (nom propre) (f)''' : Thrace.<br> '''Θρᾷξ, -ᾳκός (nom propre) (m)''' : Thrax.<br> '''Θρᾷξ, -ᾳκός (nom commun) (m)''' : Thrace.<br> '''Θρᾷσσα, -ᾴσσης (nom commun) (f)''' : Thrace.<br> '''Θρᾷττα, -ᾴττης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''Θρᾷσσα''.<br> '''Θρῄκη, -ης (nom propre) (f)''' : Forme poétique de ''Θρᾴκη''.<br> '''Θρῇξ, -ῃκός (nom commun) (m)''' : Forme poétique de ''Θρᾷξ''.<br> '''Θρῇσσα, -ῄσσης (nom commun) (f)''' : Forme poétique de ''Θρᾷσσα''.<br> '''Θωθ (nom propre) (m)''' : Thot.<br> '''Θωμᾶς, -ᾶ (prénom) (m)''' : Thomas.<br> ==Ι== '''ἴαμϐος, -άµϐου (nom commun) (m)''' : ïambe.<br> '''ἰάομαι (verbe)''' : soigner.<br> '''ἱαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''ἱερός''.<br> '''ἴασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : cure ; remède.<br> '''ἴασπις, -δος (nom commun) (f)''' : jaspe.<br> '''ἰατήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : guérisseur.<br> '''ἰατός, -ός, -όν (adjectif)''' : curable ; soignable.<br> '''ἰατρεία, -ας (nom commun) (f)''' : médecine.<br> '''ἰατρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : médical.<br> '''ἰατρικῶς (adverbe)''' : médicalement.<br> '''ἰατρικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰατρικός''.<br> '''ἰατρικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰατρικός''.<br> '''ἰατρικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἰατρικῶς''.<br> '''ἰατρικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἰατρικῶς''.<br> '''ἰατρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : médecin.<br> '''ἱϐίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : guimauve.<br> '''ἴγνης, -τος (nom commun) (m)''' : indigène.<br> '''ἰγνύα, -ας (nom commun) (f)''' : jarret.<br> '''ἰγνύη, -ης (suffixe) (f)''' : Forme hommérique et ionienne de ''ἰγνύα''.<br> '''ἰγνύς, -ος (nom commun) (f)''' : Forme de ''''.<br> '''ἴκτις, -δος (nom commun) (f)''' : martre.<br> '''ἱρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''ἱερός''.<br> '''ἷρος, -α, -ον (adjectif)''' : Forme éolienne de ''ἱερός''.<br> '''-ία, -ας (suffixe) (f)''' : marque nominale.<br> '''-ικός, -ή, -όν (suffixe)''' : marque adjectivale.<br> '''-ικῶς (adverbe)''' : Forme adverbiale de ''-ικός''.<br> '''-ικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''-ικός''.<br> '''-ικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''-ικός''.<br> '''-ικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''-ικῶς''.<br> '''-ικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''-ικῶς''.<br> '''-ίσκος, -ου (suffixe)''' : diminutif.<br> '''-ιμος, -ος, -ον (suffixe)''' : .<br> '''ἱαρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''ἱερεύς''.<br> '''ἰαῦ (interjection)''' : hé, ho.<br> '''ἰαύω (verbe)''' : Dormir, se reposer.<br> '''ἶϐις, ἴϐιδος (nom commun) (f)''' : ibis.<br> '''ἰδίᾳ (adverbe)''' : en particulier, séparément, à part.<br> '''ἰδιοσυγκρασία, -ας (nom commun) (f)''' : tempérament particulier.<br> '''ἴδιος, -ία, -ιον (adjectif)''' : propre, particulier.<br> '''ἰδιοφυής, -ής, -ές (adjectif)''' : génial.<br> '''ἰδιοφυΐα, -ας (nom commun) (f)''' : génie (talent d’une personne).<br> '''ἰδιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : individu, plébéien ; ignorant.<br> '''ἰδίω (verbe)''' : suer.<br> '''ἵδρυμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : institution.<br> '''ἵδρυσις, -ύσεως (nom commun) (n)''' : fondation.<br> '''ἱδρύω (verbe)''' : .<br> '''ἱδρώς, -ῶτος (nom commun) (m)''' : sueur ; sudation. Sève ; jus, moisissure.<br> '''ἱέραξ, -κου (nom commun) (m)''' : faucon.<br> '''ἱερατεία, -ας (nom commun) (f)''' : tempérament particulier.<br> '''ἱεράτευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἱερατεύω (verbe)''' : .<br> '''ἱερατικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sacerdotal.<br> '''ἱερατικῶς (adverbe)''' : sacerdotalement.<br> '''ἱερατικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἱερατικός''.<br> '''ἱερατικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἱερατικός''.<br> '''ἱέρεια, -ίας (nom commun) (f)''' : prêtresse.<br> '''ἱερεύς, -έως (nom commun) (m)''' : prêtre.<br> '''ἱεροκῆρυξ, -ήρυκος (nom commun) (m)''' : prêcheur.<br> '''ἱερόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : sanctuaire.<br> '''ἱεροσυλία, -ας (nom commun) (m)''' : sacrilège (action).<br> '''ἱερόσυλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : sacrilège (personne).<br> '''ἱερός, -ά, -όν (adjectif)''' : sacré.<br> '''ἱερῶς (adverbe)''' : sacrément.<br> '''ἱερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἱερός''.<br> '''ἱερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἱερός''.<br> '''ἱεροσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : sacerdoce.<br> '''ἱερῶ (verbe)''' : .<br> '''ἰή (interjection)''' : Youpi, hourra. Aïe.<br> '''ἷημι (verbe)''' : envoyer, lancer.<br> '''ἰητρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme homérique et ionienne de ''ἰατρός''.<br> '''ἰθαγενής, -ής, -ές (adjectif)''' : indigène.<br> '''ἰθακήσιος, -ος, -ον (adjectif)''' : ithacien.<br> '''ἰθέως (adverbe)''' : Forme homérique et ionienne de ''εὐθέως''.<br> '''ἰθύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Forme homérique et ionienne de ''εὐθύς''.<br> '''ἰθύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰθύς''.<br> '''ἰθύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰθύς''.<br> '''ἰθύφαλλος, -άλλου (nom commun) (m)''' : ithyphalle.<br> '''ἱκεσία, -ας (nom commun) (f)''' : supplique.<br> '''ἱκετεύω (verbe)''' : supplier.<br> '''ἱκέτις, -δος (nom commun) (f)''' : pèlerine.<br> '''ἱκέτης, -ου (nom commun) (m)''' : pèlerin.<br> '''ἴκκος, -ου (nom commun) (m/f)''' : Forme éolienne de ''ἵππος''.<br> '''ἱκνέομαι (verbe)''' : aller à ; atteindre. Venir.<br> '''ἴκρια, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ἴκριον, -ου (nom commun) (n)''' : échafaudage.<br> '''ἰκρίωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : échafaudage.<br> '''ἰκριῶ (verbe)''' : .<br> '''ἴκτις, -δος (nom commun) (f)''' : fouine.<br> '''-ικός, -ή, -όν (adjectif)''' : -ique.<br> '''-ικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''-ικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''-ικός''.<br> '''-ικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''-ικός''.<br> '''-ικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''-ικῶς''.<br> '''-ικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''-ικῶς''.<br> '''ἵκω (verbe)''' : venir.<br> '''ἵλαος, -ος, -ον (adjectif)''' : propice (en parlant des dieux). Gentil, aimable (en parlant des hommes).<br> '''ἱλαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : joyeux, riant.<br> '''ἱλαρότης, -τος (nom commun) (f)''' : hilarité.<br> '''ἱλάσκομαι (verbe)''' : apaiser, calmer.<br> '''ἴλεξ, -κος (nom commun) (f)''' : houx.<br> '''ἰλιγγιωδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰλιγγιώδης''.<br> '''ἰλιγγιωδέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰλιγγιώδης''.<br> '''ἰλιγγιώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : vertigineux.<br> '''ἰλιγγιωδῶς (adverbe)''' : vertigineusement.<br> '''ἰλιγγιωδώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἰλιγγιωδῶς''.<br> '''ἰλιγγιωδώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἰλιγγιωδῶς''.<br> '''ἴλιγγος, -ίγγου (nom commun) (m)''' : vertige.<br> '''ἰλλυρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : illyrien.<br> '''ἰλλυρικῶς (adverbe)''' : illyriennement.<br> '''ἰλλυρικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰλλυρικός''.<br> '''ἰλλυρικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰλλυρικός''.<br> '''ἰλλυρικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἰλλυρικῶς''.<br> '''ἰλλυρικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἰλλυρικῶς''.<br> '''ἴλλω (verbe)''' : avoir le vertige.<br> '''ἰλύς, -ος (nom commun) (f)''' : Boue, sédiment. Impureté.<br> '''ἱμάς, -άντος (nom commun) (m)''' : courroie.<br> '''ἱμάσσω (verbe)''' : fouetter, flageller ; frapper.<br> '''ἱμάτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : himation.<br> '''ἵμερος, -έρου (nom commun) (n)''' : désir amoureux.<br> '''ἱμῶ (verbe)''' : .<br> '''ἰξευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : oiseleur.<br> '''ἰξεύω (verbe)''' : oiseler.<br> '''ἰξός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Glu ; gui.<br> '''ἰός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Venin ; flèche.<br> '''ἰουδαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : juif.<br> '''ἴου (interjection)''' : beurk.<br> '''ἰπνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : four.<br> '''ἱππάζομαι (verbe)''' : chevaucher.<br> '''ἱππαλεκτρυών, -όνος (nom commun) (m/f)''' : hippalectryon.<br> '''ἱππασία, -ας (nom commun) (f)''' : chevauchée.<br> '''ἱππαστί (adverbe)''' : à cheval.<br> '''ἱππεύς, -έως (nom commun) (m)''' : cavalier.<br> '''ἱππευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : cavalier.<br> '''ἱππεύω (verbe)''' : monter à cheval.<br> '''ἱππικός, -ή, -όν (adjectif)''' : équin.<br> '''ἱππικῶς (adverbe)''' : équinement.<br> '''ἱππικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἱππικός''.<br> '''ἱππικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἱππικός''.<br> '''ἱππικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἱππικῶς''.<br> '''ἱππικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἱππικῶς''.<br> '''ἵππος, -ου (nom commun) (m/f)''' : cheval, jument.<br> '''ἱππόκαμπος, -άμπου (nom commun) (m)''' : hippocampe.<br> '''ἱπποσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : Équitation. (Militaire) Cavalerie.<br> '''ἱπποπόταμος, -άμου (nom commun) (m)''' : hippopotame.<br> '''ἱππο- (préfixe)''' : relatif au cheval.<br> '''ἱππότης, -ου (nom commun) (m)''' : cavalier.<br> '''ἴορκος, -όρκος (nom commun) (m)''' : Forme de ''δορκάς''.<br> '''ἰός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Flèche ; venin.<br> '''ἰοῦ (interjection)''' : hourra.<br> '''ἱρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ἱερεύς''.<br> '''ἵρηξ, -κος (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ἱέραξ''.<br> '''ἶρις, ἴριδος (nom commun) (f)''' : (anatomie) iris (météorologie) arc-en-ciel.<br> '''ἰσαίτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἴσως''.<br> '''ἰσαίτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἴσως''.<br> '''ἴσατις, -δος (nom commun) (f)''' : guède.<br> '''ἰσημερία, -ας (nom commun) (f)''' : équinoxe.<br> '''ἰσορροπία, -ας (nom commun) (f)''' : équilibre.<br> '''ϝίσϝος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme arcado-chypriote et crétoise de ''ἴσος''.<br> '''ἰσθμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : isthme.<br> '''ἴσοξ, -κου (nom commun) (m)''' : brochet.<br> '''ἶσος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme homérique de ''ἴσος''.<br> '''ἴσος, -η, -ον (adjectif)''' : égal.<br> '''ἴς, -νός (nom commun) (f)''' : force, puissance ; muscle.<br> '''ἵστημι (verbe)''' : Placer ; mettre debout.<br> '''ἱστίον, -ου (nom commun) (n)''' : os de la hanche.<br> '''ἱστόρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : narration.<br> '''ἱστορία, -ας (nom commun) (f)''' : Enquête, examination ; observation, étude.<br> '''ἱστορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : D’enquête, bien informé.<br> '''ἱστορῶ (verbe)''' : enquêter.<br> '''ἱστός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mât.<br> '''ἵστωρ, -ορος (nom commun) (m/f)''' : Individu sachant. Personne connaissant la loi. Juge.<br> '''ἰσχίον, -ου (nom commun) (n)''' : os de la hanche.<br> '''ἰσχνός, -ή, -όν (adjectif)''' : Desséché, sec. Maigre, grêle ; frêle.<br> '''ἰσχνότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἰσχνῶς''.<br> '''ἰσχνότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἰσχνῶς''.<br> '''ἰσχνότατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰσχνός''.<br> '''ἰσχνότερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰσχνός''.<br> '''ἰσχνῶς (adverbe)''' : maigrement.<br> '''ἴσχω (verbe)''' : tenir.<br> '''ἴσως (adverbe)''' : également.<br> '''ἰσαίτατος, -άτη, -ίτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἴσος''.<br> '''ἰσαίτερος, -έρα, -ίτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἴσος''.<br> '''ἰταλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Bouvillon, taurillon.<br> '''ἰταμός, -ή, -όν (adjectif)''' : effronté.<br> '''ἰταμότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ἰταμῶς''.<br> '''ἰταμότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ἰταμῶς''.<br> '''ἰταμότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰταμός''.<br> '''ἰταμότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰταμός''.<br> '''ἰταμότης, -ητος (nom commun) (f)''' : effronterie.<br> '''ἰταμῶς (adverbe)''' : effrontément.<br> '''-ίτης, -ου (suffixe) (m)''' : Suffixe nominal masculin.<br> '''-ῖτις, -ίτιδος (suffixe) (f)''' : Suffixe nominal féminin.<br> '''ἴυγξ, -γγος (nom commun) (f)''' : torcol.<br> '''ἰύζω (verbe)''' : crier de peine ou de joie.<br> '''ἴφυον, -ου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ἰχθυοέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ἰχθυόεις''.<br> '''ἰχθυοέστερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ἰχθυόεις''.<br> '''ἰχθυόεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : poissonneux.<br> '''ἰχθύς, -ος (nom commun) (m)''' : poisson.<br> '''ἴχνος, -ους (nom commun) (n)''' : trace de pas.<br> '''ἰώϐηλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : jubilé.<br> '''ἰῶτα (nom commun) (n)''' : iota.<br> '''ἰωτακισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : iotacisme.<br> '''Ἰάκωϐος, -ώϐου (nom propre) (m)''' : Jacob, Jacques.<br> '''Ἰαπετός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Japet.<br> '''Ἴασος, -άσου (nom propre) (f)''' : Iasos (ville).<br> '''Ἰάσων, -ονος (nom propre) (m)''' : Jason. (chef des Argonautes)<br> '''Ἴδας, -α (nom propre) (m)''' : Idas.<br> '''Ἰδομενεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Idoménée.<br> '''Ἰάμϐλιχος, -ίχου (nom propre) (m)''' : Jamblique.<br> '''Ἰαω (nom propre) (m)''' : Yahweh.<br> '''Ἰϐηρία, -ας (nom propre) (m)''' : Ibérie.<br> '''Ἴϐηρ, -ος (nom commun) (m)''' : Ibère.<br> '''Ἰγνάτιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Ignace.<br> '''Ἰεριχώ (nom propre) (f)''' : Jéricho.<br> '''Ἰερειχώ (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἰεριχώ''.<br> '''Ἱερειχώ (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἰεριχώ''.<br> '''Ἱεριχοῦς (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἰεριχώ''.<br> '''Ἱεριχώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἰεριχώ''.<br> '''Ἰέρνη, -ης (nom propre) (f)''' : Irlande.<br> '''Ἱεροκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Hiéroclès.<br> '''Ἱεροσάλημα (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἱερουσαλήμ''.<br> '''Ἱεροσόλυμα (nom propre) (f/n)''' : Forme alternative de ''Ἱερουσαλήμ''.<br> '''Ἱερουσαλήμ (nom propre) (f)''' : Jérusalem (ville).<br> '''Ἰερουσαλήμ (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ἱερουσαλήμ''.<br> '''Ἱερώνυμος, -ύμου (prénom) (m)''' : Jérôme.<br> '''Ἰεσσαί (nom propre) (m)''' : Jessé.<br> '''Ἰεσσαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἰεσσαί''.<br> '''Ἰησαΐας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἠσαΐας''.<br> '''Ἰησοῦς, -οῦ (nom propre) (m)''' : Jésus, Josué.<br> '''Ἰησαΐας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἠσαΐας''.<br> '''Ἰησοῦς, -οῦ (nom propre) (m)''' : Jésus, Josué.<br> '''Ἰθάκα, -ης (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Ἰθάκη''.<br> '''Ἰθάκη, -ης (nom propre) (f)''' : Ithaque.<br> '''Ἴθακος, -άκου (nom commun) (m)''' : Ithacien.<br> '''Ἰκάριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Icarios.<br> '''Ἴκαρος, -άρου (nom propre) (m)''' : Icare.<br> '''Ἴκελος, -έλου (nom propre) (m)''' : Icélos.<br> '''Ἰλιάς, -δος (nom propre) (f)''' : Iliade.<br> '''Ἴλιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Ilion.<br> '''Ἰλιάς, -δος (nom propre) (f)''' : Iliade.<br> '''Ἴλιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Ilion, Troie.<br> '''Ἰλλυρία, -ας (nom propre) (f)''' : Illyrie.<br> '''‎Ἰλλυρίς, -δος (nom commun) (f)''' : Illyrienne.<br> ‎'''Ἰλλυριός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Illyrien.<br> '''Ἶλος, Ἴλου (nom propre) (m)''' : Ilos (fils de Tros et de Callirrhoé).<br> '''Ἵμερος, -έρου (nom propre) (m)''' : Himéros.<br> '''Ἰμούθης, -ου (nom propre) (m)''' : Imhotep.<br> '''Ἰξίων, -ονος (nom propre) (m)''' : Ixion.<br> '''Ἰόλαος, -άου (nom propre) (m)''' : Iolaos.<br> '''Ἰόλεως, -ώ (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ἰόλαος''.<br> '''Ἰουδαῖα, -ίας (nom propre) (f)''' : Judée.<br> '''Ἰουδαῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : Juive.<br> '''Ἰουδαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Juif.<br> '''Ἰούδας, -α (nom propre) (m)''' : Judas.<br> '''Ἰουδίθ (nom propre) (f)''' : Judith.<br> '''Ἵππαρχος, -άρχου (nom commun) (m)''' : Hipparque (Fils cadet de Pisistrate, il fut assassiné par Harmodios et Aristogiton en −514 av. J.-C.).<br> '''Ἶρις, Ἴριδος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Iris|Iris]].<br> '''Ἰσαάκ (nom propre) (m)''' : Issac.<br> '''Ἴσακος, - (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἰσαάκ''.<br> '''Ἴσαυρα, -ας (nom propre) (f)''' : Isaura.<br> '''Ἰσαυρία, -ας (nom propre) (f)''' : Isaurie.<br> '''Ἴσαχος, - (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ἰσαάκ''.<br> '''Ἰσίδωρος, -ώρου (nom propre) (m)''' : Isidore.<br> '''Ἶσις, Ἴσιδος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Isis|Isis]].<br> '''Ἰσθμός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Isthmos.<br> '''Ἱσπανία, -ας (nom propre) (f)''' : Espagne.<br> '''Ἱσπανίς, -δος (nom commun) (f)''' : Espagnole.<br> '''Ἱσπανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Espagnol.<br> '''Ἰσμαήλ (nom propre) (m)''' : Ismaël.<br> '''Ἰσραήλ (nom propre) (m)''' : Israël.<br> '''Ἴστρος, -ου (nom propre) (f)''' : Danube inférieur.<br> '''Ἰταλία -ας (nom propre) (f)''' : Italie.<br> '''Ἰταλίς, -δος (nom commun) (f)''' : Italienne.<br> '''Ἰταλιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : Italiote.<br> '''Ἱταλιῶτις, -ώτιδος (nom commun) (f)''' : Italiote.<br> '''Ἰταλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Italien.<br> '''Ἴτυς, -ος (nom propre) (m)''' : Itys.<br> '''Ἴϋγξ, -γγος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Jynx|Jynx]].<br> '''Ἰφθίμη, -ης (nom propre) (f)''' : Iphtimé (sœur de Pénélope).<br> '''Ἰφιάνασσα, -ας (nom propre) (f)''' : Forme homérique de ''Ἰφιγένεια''.<br> '''Ἰφιγένεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Iphigénie.<br> '''Ἰφικλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Iphiclès (demi-frère jumeau d'Héraclès).<br> '''Ἰχθύες, -ων (nom propre) (m)''' : Poissons.<br> '''Ἰωάννα, -ας (prénom) (f)''' : Jeanne.<br> '''Ἰωάννης ὁ Χρυσόστομος (nom propre) (m)''' : Jean Chrysostome.<br> '''Ἰωήλ (nom propre) (m)''' : Joël.<br> '''Ἰωνάθαν (nom propre) (m)''' : Jonathan.<br> '''Ἰωνᾶς, -ᾶ (nom propre) (m)''' : Jonas.<br> '''Ἰωνία, -ας (nom propre) (f)''' : Ionie.<br> '''Ἴων, -ος (nom propre) (m)''' : Ion (fils de Xouthos).<br> '''Ἴων, -ος (nom commun) (m)''' : Ionien.<br> '''Ἰωσήφ (nom propre) (m)''' : Joseph.<br> '''Ἰωσίας, -ου (nom propre) (m)''' : Josias.<br> '''Ἰώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : [[wikt:Io|Io]].<br> ==Κ== '''ϗ (symbole)''' : Et. (Abréviation graphique valant ''καί'' en grec comme ''&'' valant ''et'' en français.)<br> '''καδεμών, -όνος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''κηδεμών''.<br> '''καδιμών, -όνος (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''κηδεμών''.<br> '''κάδος, -ου (nom commun) (m)''' : seau.<br> '''καθαίρω (verbe)''' : Purger, nettoyer ; laver. Étriller.<br> '''καθαρεύω (verbe)''' : purifier.<br> '''καθαρίζω (verbe)''' : Nettoyer, purifier. (Médecine) Guérir d’une infection.<br> '''καθαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : pur.<br> '''καθαρῶς (adverbe)''' : purement.<br> '''καθαρώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καθαρός''.<br> '''καθαρώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καθαρός''.<br> '''καθέδρα, ας (nom commun) (f)''' : Ce qui sert à s'asseoir. Action d'être ou de demeurer assis.<br> '''καθετήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : Ligne pour pêcher. Collier, pendant ; ornement de femme.<br> '''καθεύδω (verbe)''' : dormir.<br> '''καθηγέομαι (verbe)''' : professer.<br> '''καθηγήτειρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : professeure.<br> '''καθηγητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : professeur.<br> '''καθηγητικός, -ή , -όν (adjectif)''' : professoral.<br> '''καθηγητικῶς (adverbe)''' : professoralement.<br> '''καθηγητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καθηγητικός''.<br> '''καθηγητικώτερος, -έρη, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καθηγητικός''.<br> '''καθηγητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''καθηγητικῶς''.<br> '''καθηγητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καθηγητικῶς''.<br> '''καθήλωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : détention.<br> '''καθηλῶ (verbe)''' : détenir.<br> '''καθίημι (verbe)''' : descendre.<br> '''κάθημαι (verbe)''' : siéger.<br> '''καθολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Général ; universel.<br> '''καθολικῶς (adverbe)''' : Généralement ; universellement.<br> '''καθολικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καθολικός''.<br> '''καθολικώτερος, -έρη, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καθολικός''.<br> '''καθολικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''καθολικῶς''.<br> '''καθολικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καθολικῶς''.<br> '''καθοράω (verbe)''' : regarder.<br> '''καί (conjonction)''' : Et ; Et même, même. Et en outre. Et ensuite, puis. Ou.<br> '''καινός, -ή, -όν (adjectif)''' : nouveau.<br> '''καινότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καινός''.<br> '''καινότερος, -έρη, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καινός''.<br> '''καινότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''καινῶς''.<br> '''καινότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καινῶς''.<br> '''καίνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : renouvellement.<br> '''καινῶς (adverbe)''' : nouvellement.<br> '''καῖρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : embrouille.<br> '''καιρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : temps (durée, époque).<br> '''καιρόω (verbe)''' : embrouiller.<br> '''καίρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : embrouillage.<br> '''καίω (verbe)''' : brûler.<br> '''κάκιον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κακῶς''.<br> '''κάκιστα, -, - (adverbe)''' Superlatif de ''κακῶς''.<br> '''κακοδαίμων, -ων, -ον (adjectif)''' : malheureux.<br> '''κακοδαιμόνως (adverbe)''' : malheureusement.<br> '''κακοδαιμονέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κακοδαίμων''.<br> '''κακοδαιμονέστερος, -έρα, -έρερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κακοδαίμων''.<br> '''κακοήθης, -ης, -ες (adjectif)''' : malin.<br> '''κακοῦργος, -ύργα, -ῦργον (adjectif)''' : Dérangé ; malfaisant.<br> '''κακός, -ή, όν (adjectif)''' : Mauvais ; laid.<br> '''κακο- (préfixe)''' : mauvais.<br> '''κακοφωνία, -ας (nom commun) (f)''' : mauvaise sonorité.<br> '''κακκῶ (verbe)''' : déféquer ; chier.<br> '''κακῶς (adverbe)''' : mal.<br> '''κάλαθος, -άθου (nom commun) (m)''' : corbeille, panier.<br> '''κάλαϊς, -, - (adjectif)''' : bleu ciel.<br> '''κάλιον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καλῶς''.<br> '''κάλιστα, -, - (adverbe)''' Superlatif de ''καλῶς''.<br> '''καλλι- (préfixe)''' : beau.<br> '''καλλίπυγοσις, -όσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''καλλίπυγος, -ος, -ον (adjectif)''' : Qui a de belles fesses.<br> '''κάλλιστος, -, - (adjectif)''' : Superlatif de ''καλός''.<br> '''καλλίων, -, - (adjectif)''' : Comparatif de ''καλός''.<br> '''κάλλος, -ους (nom commun) (n)''' : beauté.<br> '''καλοήθης, -ης, -ες (adjectif)''' : bénin.<br> '''καλός, -ή, -όν (adjectif)''' : Beau ; bon.<br> '''κάλος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme éolienne de ''καλός''.<br> '''καλϝός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme béotienne de ''καλός''.<br> '''κάλυμμα, -ύμματος (nom commun) (n)''' : couverture.<br> '''κάλυξ, -κος (nom commun) (m/f)''' : (Botanique) Calice des fleurs ; écale ou peau des fruits.<br> '''καλύπτω (verbe)''' : Couvrir ; envelopper, cacher.<br> '''καλῶς (adverbe)''' : Bien ; d’une belle manière.<br> '''καλῶ (verbe)''' : appeler.<br> '''καμάρα, -ας (nom commun) (f)''' : Voûte ; chambre voûtée.<br> '''καμάρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''καμάρα''.<br> '''κάμαξ, -κος (nom commun) (m/f)''' : Perche. Hampe de la lance. (Marine) Gouvernail, manche de la rame.<br> '''κάμηλος, -ήλου (nom commun) (m/f)''' : chameau.<br> '''καμηλοπάρδαλις, -άλεως (nom commun) (f)''' : girafe.<br> '''κάμινος, -ίνου (nom commun) (m)''' : cheminée.<br> '''κάμπη, -ης (nom commun) (f)''' : chenille.<br> '''καμπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : articulation.<br> '''κάμπος, -ους (nom commun) (n)''' : poisson marin.<br> '''κάπρος, -ου (nom commun) (n)''' : sanglier.<br> '''κάμπτω (verbe)''' : courber.<br> '''καμπύλη, -ης (nom commun) (f)''' : courbure.<br> '''καμπύλος, -η, -ον (adjectif)''' : Courbé, tordu. Voilé (en parlant d’une roue.)<br> '''καμπυλότης, -τος (nom commun) (f)''' : courbure.<br> '''κανδάκη, -ης (nom commun) (f)''' : candace.<br> '''κανάσσω (verbe)''' : cliquer.<br> '''καναχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : clic.<br> '''καναχίζω (verbe)''' : claquer.<br> '''καναχηδά (adverbe)''' : .<br> '''καναχής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''καναχῶ (verbe)''' : cliquer.<br> '''κἄν (conjonction)''' : .<br> '''κάνθαρος, -άρου (nom commun) (m)''' : cafard.<br> '''κανονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : régulier.<br> '''κανονικῶς (adverbe)''' : régulièrement.<br> '''κανονικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κανονικός''.<br> '''κανονικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κανονικός''.<br> '''κανονικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''κανονικῶς''.<br> '''κανονικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κανονικῶς''.<br> '''κανών, -όνος (nom commun) (m)''' : Tige de roseau, règle de maçon ou de charpentier. (Figuré) Règle, modèle ; principe.<br> '''κάνωπον, -ώπου (nom commun) (n)''' : chou-fleur.<br> '''καπηλεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : taverne.<br> '''καπηλεύω (verbe)''' : tenir une taverne.<br> '''καπηλικός, -ή, -όν (adjectif)''' : tavernier.<br> '''καπηλίς, -δος (nom commun) (f)''' : tavernière.<br> '''κάπηλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : tavernier.<br> '''κάππα (nom commun) (n)''' : kappa.<br> '''κάπτω (verbe)''' : Avaler, prendre (une bouffée d’air).<br> '''κάρα, -τος (nom commun) (n)''' : Tête ; visage.<br> '''κάραϐος, -άϐου (nom commun) (m)''' : Crabe ; langouste. Scarabée ; escarbot.<br> '''κάρδαμον, -ου (nom commun) (n)''' : cresson.<br> '''καρδία, -ας (nom commun) (f)''' : cœur.<br> '''καρδιακός, -ή, -ός (adjectif)''' : cardiaque.<br> '''καρδιακῶς (adverbe)''' : cardiaquement.<br> '''καρδιακώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καρδιακός''.<br> '''καρδιακώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καρδιακός''.<br> '''καρδούχιος, -ος, -ον (adjectif)''' : kurde.<br> '''καρηϐάρεια, -ίας (nom commun) (f)''' : mal de tête.<br> '''κάρη, -τος (nom commun) (n)''' : Forme homérique et ionienne de ''κάρα''.<br> '''καρίς, -δος (nom commun) (f)''' : crevette.<br> '''καρκίνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : (Zoologie) Crabe. (Astronomie) Constellation du Cancer. (Médecine) Chancre, tumeur, cancer. Pince pour saisir ou tenir les objets dans le feu. Compas. Sorte de bandage. (Habillement) Sorte de chaussure.<br> '''καρπάλιμος, -ος, -ον (adjectif)''' : rapide.<br> '''καρπός, -οῦ (nom commun) (m)''' : (Sens propre) Fruit, graine ; produit, récolte. (Sens figuré) Produit de quelque chose : enfant (produit du corps), poésie (produit de l'esprit), profit. (Anatomie) Poignet.<br> '''καρύκιον, -ίου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''κηρύκειον''.<br> '''κᾶρυξ, -άρυκος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''κῆρυξ''.<br> '''καρυόφυλλον, -ύλλου (nom commun) (n)''' : œillet.<br> '''καρύσσω (verbe)''' : Forme dorienne de ''κηρύσσω''.<br> '''κάρφος, -ους (nom commun) (n)''' : brindille.<br> '''κάρχαρος, -α, -ον (adjectif)''' : aiguisé.<br> '''καρχηδονιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : carthaginois.<br> '''καρῶτον, -ώτου (nom commun) (n)''' : carotte.<br> '''κατά (adverbe ; préposition)''' (Devient ''κατ᾽'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux, et ''καθ᾽'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit rude.) : De haut en bas. En bas. En dessous, au fond. (Par extension) À fond, complètement. (Avec le génitif) marque l’origine, le point de départ ou le point d’arrivée. Contre, idée d’hostilité. (Avec l’accusatif) suivant, selon. Par, avec l'idée de succession (un par un). Pendant, avec l’idée de temps. Après, avec l’idée de succession temporelle (jour après jour). À travers, idée de transpercement, de part en part, d’un bout à l’autre.<br> '''καταϐιϐρώσκω (verbe)''' : .<br> '''καταγέλαστος, -ος, -ον (adjectif)''' : ridicule.<br> '''καταγλώττισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : baiser intrabuccal.<br> '''καταγράφω (verbe)''' : condamner.<br> '''καταδικάζω (verbe)''' : condamner.<br> '''καταδίκη, -ης (nom commun) (f)''' : condamnation.<br> '''καταδικαστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : condamnable.<br> '''κατάδικος, -ίκου (nom commun) (m/f)''' : condamné.<br> '''κατάδυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : émergence.<br> '''καταδύομαι (verbe)''' : plonger.<br> '''κατακλύζω (verbe)''' : inonder.<br> '''κατάκλυσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : inondation.<br> '''κατακλυσμιαίος, -α, -ον (adjectif)''' : diluvien.<br> '''κατακλυσμικός, -ή, -όν (adjectif)''' : diluvien.<br> '''κατακλυσμικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''κατακλυσμικῶς''.<br> '''κατακλυσμικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κατακλυσμικῶς''.<br> '''κατακλυσμικῶς (adverbe)''' : désastreusement.<br> '''κατακλυσμικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κατακλυσμικός''.<br> '''κατακλυσμικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κατακλυσμικός''.<br> '''κατακλυσμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : déluge.<br> '''κατακτητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : conquérant.<br> '''κατακτῶμαι (verbe)''' : conquérir.<br> '''καταλαμϐάνω (verbe)''' : saisir.<br> '''κατάλαψις, -άψεως (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''κατάληψις''.<br> '''κατάληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : Saisissement. Prise de possession, occupation.<br> '''κατάλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : liste.<br> '''καταλογογράφησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : listage.<br> '''καταλογογραφῶ (verbe)''' : lister.<br> '''κατάπλασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : cataplasme.<br> '''κατάπτωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : décadence.<br> '''κατάπυγον, -ύγου (nom commun) (n)''' : doigt d'honneur.<br> '''κατάρα, -ας (nom commun) (f)''' : malédiction.<br> '''καταριέμαι (verbe)''' : maudire.<br> '''καταστροφικός, -ή, -όν (adjectif)''' : désastreux.<br> '''καταστροφικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''καταστροφικῶς''.<br> '''καταστροφικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καταστροφικῶς''.<br> '''καταστροφικῶς (adverbe)''' : désastreusement.<br> '''καταστροφικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καταστροφικός''.<br> '''καταστροφικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καταστροφικός''.<br> '''καταστροφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Désastre, destruction ; renversement.<br> '''κατάσχεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : confiscation.<br> '''κατάταξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : mise en ordre.<br> '''κατατάσσω (verbe)''' : mettre en ordre.<br> '''καταφυγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''καταφύγιον, -ίου (nom commun) (n)''' : abri.<br> '''κάτεργον, -έργου (nom commun) (n)''' : bagne.<br> '''κατηγορῶ (verbe)''' : accuser.<br> '''κατηγορία, -ας (nom commun) (f)''' : Charge ; accusation.<br> '''κατηγορίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''κατηγορία''.<br> '''κατήχησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''κατηχίζω (verbe)''' : .<br> '''κατηχισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κατηχιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κατηχούμενος, -ένου (nom commun) (m)''' : .<br> '''κατηχῶ (verbe)''' : .<br> '''κάτοπτρον, -όπτρου (nom commun) (m)''' : miroir.<br> '''κατώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : .<br> '''κατώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : inférieur.<br> '''κατωτερότης, -τος (nom commun) (f)''' : infériorité.<br> '''κάτω (adverbe)''' : sous.<br> '''καῦκος, -ύκου (nom commun) (m)''' : .<br> '''καῦµα, -ύματος (nom commun) (n)''' : chaleur de l’été.<br> '''καύσις, -εως (nom commun) (f)''' : combustion.<br> '''καυστός, -ή, -όν (adjectif)''' : torride.<br> '''καυστῶς (adverbe)''' : torridement.<br> '''καυστώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''καυστός''.<br> '''καυστώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''καυστός''.<br> '''καυστώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''καυστῶς''.<br> '''καυστώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''καυστῶς''.<br> '''καύχημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : vantardise.<br> '''καυχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme crétoise de ''χαλκός''.<br> '''καυχῶμαι (verbe)''' : .<br> '''κεγχριαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : granuleux.<br> '''κέγχρος, -ου (nom commun) (m)''' : (Botanique) Millet. Grain.<br> '''κεῖμαι (verbe)''' : être couché, se reposer ; être situé.<br> '''κείμενον, -ένου (nom commun) (n)''' : texte.<br> '''κεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''κενός''.<br> '''κείρω (verbe)''' : .<br> '''κελαινός, -ή, -όν (adjectif)''' : obscur.<br> '''κελτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : celte.<br> '''κελτικῶς (adverbe)''' : .<br> '''κελτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κελτικός''.<br> '''κελτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κελτικός''.<br> '''κελτιστί (adverbe)''' : en grec.<br> '''κενός, -ή, -όν (adjectif)''' : Vide. Vain, frivole.<br> '''κενϝός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme ancienne de ''κενός''.<br> '''κενεός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme poétique de ''κενός''.<br> '''κεντρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : central.<br> '''κέντρον, -ου (nom commun) (n)''' : Aiguillon, dard. Pointe du compas, d’où centre du cercle.<br> '''κεντῶ (verbe)''' : piquer.<br> '''κενῶς (adverbe)''' : Habilement, sagement. Ingénieusement, finement.<br> '''κενώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κενός''.<br> '''κενώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κενός''.<br> '''κεραμεύς, -έως (nom commun) (m)''' : potier.<br> '''κεραμικός, -ή, -όν (adjectif)''' : d’argile.<br> '''κέραμος, -άμου (nom commun) (m)''' : argile.<br> '''κεράννυμι (verbe)''' : mélanger.<br> '''κέρας, -τος (nom commun) (n)''' : Corne. (Par analogie) Bras d’un fleuve ; aile d’une armée ou d’une flotte ; antenne ou vergue d’un navire ; pic d’une montagne. (Sophisme) argument cornu.<br> '''κεραός, -ά, -όν (adjectif)''' : Cornu ; fait de corne.<br> '''κεραϝός, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme ancienne de ''κεραός''.<br> '''κερασός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cerise.<br> '''κεραυνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : foudre.<br> '''κέρκηρις, -ήρεως (nom commun) (m)''' : sarcelle.<br> '''κερκοπίθακος, -άκου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''κερκοπίθηκος''.<br> '''κερκοπίθηκος, -ήκου (nom commun) (m)''' : cercopithèque.<br> '''κέρκος, -ου (nom commun) (f)''' : queue.<br> '''κέρκωψ, -πος (nom commun) (m)''' : singe à longue queue.<br> '''κεστός, -ή, -όν (adjectif)''' : brodé.<br> '''κεστότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κεστός''.<br> '''κεστότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κεστός''.<br> '''κεστῶς (adverbe)''' : .<br> '''κεφαλαία, -ας (nom commun) (f)''' : mal de tête.<br> '''κεφαλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : tête.<br> '''κεφάλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : petite tête.<br> '''κεφαλίς, -δος (nom commun) (f)''' : bonnet, chapeau.<br> '''κηδεμών, -όνος (nom commun) (m)''' : .<br> '''κηκίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : Jet. Teinture tiré de la galle.<br> '''κηλίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : .<br> '''κνημίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : .<br> '''κρηπίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : .<br> '''κῆπος, -ήπου (nom commun) (m)''' : jardin ; sorte de singe.<br> '''κηρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cire.<br> '''κῆρ, -ος (nom commun) (n)''' : cœur.<br> '''κῆρυγμα, -ύγματος (nom commun) (n)''' : proclamation à voix haute.<br> '''κηρύκειον, -ίου (nom commun) (m)''' : caducée.<br> '''κῆρυξ, -ήρυκος (nom commun) (m)''' : héraut.<br> '''κηρύσσω (verbe)''' : annoncer.<br> '''κηρύττω (verbe)''' : Forme attique de ''κηρύσσω''.<br> '''κηφήν, -ῆνος (nom commun) (m)''' : bourdon.<br> '''κηφηνώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''κιϐδηλεύω (verbe)''' : falsifier.<br> '''κιϐδηλία, -ας (nom commun) (f)''' : falsification.<br> '''κίϐδηλος, -ος, -ου (adjectif)''' : falsifié ; frauduleux.<br> '''κιϐδηλότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κίϐδηλος''.<br> '''κιϐδηλότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κίϐδηλος''.<br> '''κιϐδήλως (adverbe)''' : frauduleusement.<br> '''κιϐωτός, -οῦ (nom commun) (f)''' : arche.<br> '''κιγκλίς, -δος (nom commun) (f)''' : bergeronnette.<br> '''κιδαφεύω (verbe)''' : ruser.<br> ''' κίδαφος, -άφη, -ίδαφον (adjectif)''' : rusé.<br> '''κίδαφότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κίδαφος''.<br> '''κίδαφότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κίδαφος''.<br> '''κιδάφως (adverbe)''' : frauduleusement.<br> '''κικκάϐη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''κῖκυς, -ίκυος (nom commun) (f)''' : force ; vigueur.<br> '''κιθάρα, -ας (nom commun) (f)''' : cithare.<br> '''κιθάρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''κιθάρα''.<br> '''κιθών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''χιτών''.<br> '''κίνδυνος, -ύνου (nom commun) (m)''' : Danger, risque ; entreprise hasardeuse.<br> '''κινηθμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κίνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : mouvement.<br> '''κίνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : mouvement.<br> '''κινητέον, -ου (nom commun) (n)''' : .<br> '''κινητήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''κινητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κινητήριος, -α, -ον (adjectif)''' : .<br> '''κινητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''κινητός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''κίνητρον, -ήτρου (nom commun) (n)''' : .<br> '''κίνναμον, -άμου (nom commun) (n)''' : cannelle.<br> '''κινῶ (verbe)''' : bouger.<br> '''κιξάλλης, -ου (nom commun) (m)''' : voleur de grand chemin.<br> '''κίρκος, -ου (nom commun) (m)''' : (ornithologie) Faucon. Anneau.<br> '''κιρρός, -ά, -όν (adjectif)''' : brun-roux.<br> '''κισσαϐίζω (verbe)''' : .<br> '''κῖσσα, -ης (nom commun) (f)''' : geai des chênes.<br> '''κίσσα, -ης (nom commun) (f)''' : pie.<br> '''κισσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : lierre.<br> '''κισσοστεφής, -ής, -ές (adjectif)''' : couronné de lierre.<br> '''κισσῶ (verbe)''' : .<br> '''κίττα, -ης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''κίσσα''.<br> '''κιτών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''χιτών''.<br> '''κιχόρη, -ης (nom commun) (f)''' : chicorée.<br> '''κλάδος, -ου (nom commun) (m)''' : Branche (d'arbre), rameau.<br> '''κλαΐς, -δός (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''κλείς''.<br> '''κλᾶϊς, -άϊδος (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''κλείς''.<br> '''κλαίω (verbe)''' : Pleurer sur, déplorer. Appeler en criant. Se mettre en pleurs.<br> '''κλᾶμμα, -άμματος (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''κλῆμα''.<br> '''κλαστός, -ή, -όν (adjectif)''' : brisé, cassé.<br> '''κλαυθμυρίζω (verbe)''' : faire pleurer.<br> '''κλαῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : pleur.<br> '''κλαυσίγελως, -τος (nom commun) (m)''' : .<br> '''κλαυστός, -ή, -όν (adjectif)''' : Pleuré. Funèbre, triste.<br> '''κλάω (verbe)''' : Briser, casser.<br> '''κλεῖθρον, -ίθρου (nom commun) (n)''' : serrure.<br> '''κλειθροποιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : serrurier.<br> '''κλείς, -δός (nom commun) (f)''' : clé.<br> '''κλειτορίς, -δος (nom commun) (f)''' : clitoris.<br> '''κλείω (verbe)''' : fermer.<br> '''κλέπτης, -ου (nom commun) (m)''' : voleur.<br> '''κλέπτω (verbe)''' : voler. (dérober)<br> '''κληΐς, -δός (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''κλείς''.<br> '''κλῄς, -δός (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''κλείς''.<br> '''κλέος, -ους (nom commun) (n)''' : gloire.<br> '''κλεψύδρα, -ας (nom commun) (m)''' : clepsydre.<br> '''κλέω (verbe)''' : être célèbre.<br> '''κλῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : pampre.<br> '''κληματίζω (verbe)''' : .<br> '''κληματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''κλημάτινος, -η, ον (adjectif)''' : .<br> '''κληματίς, -δος (nom commun) (f)''' : Diminutif de ''κλῆμα''.<br> '''κληματῖτις, -ίτιδος (nom commun) (f)''' : .<br> '''κληματόδεσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''κληματοειδής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''κληματόεις, -εσσα, εν (adjectif)''' : .<br> '''κληματόομαι (verbe)''' : .<br> '''κληματώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''κλήρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''κληρονομία, -ας (nom commun) (f)''' : héritage.<br> '''κληρονομικότης, -τος (nom commun) (f)''' : hérédité.<br> '''κληρονομικός, -ή, -όν (adjectif)''' : héréditaire.<br> '''κληρονόμος, -ου (nom commun) (m)''' : héritier.<br> '''κληρονομῶ (verbe)''' : hériter.<br> '''κλῆρος, -ήρου (nom commun) (m)''' : .<br> '''κληρόω (verbe)''' : .<br> '''κλητήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : Témoin ; héraut.<br> '''κλίμα, -τος (nom commun) (n)''' : Inclinaison, pente. Inclinaison de la Terre, latitude, climat.<br> '''κλῖμαξ, -ίμακος (nom commun) (f)''' : Escalier ; échelle.<br> '''κλίνη, -ης (nom commun) (f)''' : lit.<br> '''κλίνω (verbe)''' : Pencher. Pencher sur, s’appuyer sur. Coucher, allonger, étendre.<br> '''κλίννω (verbe)''' : Forme éolienne de ''κλίνω''.<br> '''κλίσις, -εως (nom commun) (f)''' : déclinaison.<br> '''κλίτος, -ους (nom commun) (n)''' : allée.<br> '''κλῖτος, -ίτους (nom commun) (n)''' : .<br> '''κλιτύς, -ος (nom commun) (n)''' : Forme béotienne de ''κλῖτος''.<br> '''κλόνις, -ος (nom commun) (f)''' : sacrum.<br> '''κλόνος, -ου (nom commun) (m)''' : Confusion ; excitation.<br> '''κλύδων, -ος (nom commun) (m)''' : Vague. Trouble, agitation, mouvement tumultueux.<br> '''κλύζω ‎(verbe)''' : Laver, nettoyer. Battre de ses flots, baigner de ses flots.<br> '''κλυστήρ, -έρος (nom commun) (m)''' : seringue.<br> '''κλύω (verbe)''' : entendre.<br> '''κλωβός, -ϐοῦ (nom commun) (m)''' : cage à oiseau.<br> '''κλών, -ός (nom commun) (m)''' : .<br> '''κλώψ, -πός (nom commun) (m)''' : voleur.<br> '''κλῶ (verbe)''' : S’entendre nommer ; entendre parler de soi.<br> '''κνέφας, -ους (nom commun) (n)''' : Aube ; crépuscule, obscurité.<br> '''κνῆκος, -ήκου (nom commun) (f)''' : carthame des teinturiers.<br> '''κνήμη, -ης (nom commun) (f)''' : jambe.<br> '''κνίδη, -ης (nom commun) (f)''' : ortie.<br> '''κνίδωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : urticaire.<br> '''κνίζω (verbe)''' : Gratter. ; taillader.<br> '''κοϐαλεία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''κοϐαλεύω (verbe)''' : .<br> '''κοϐαλίκευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''κοϐαλισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κόϐαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : Chenapan ; garnement. Gobelin.<br> '''κοθαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''καθαρός''.<br> '''κόθαρος, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme éolienne de ''καθαρός''.<br> '''κοιλάς, -δος (nom commun) (f)''' : vallée.<br> '''κοῖλος, -ίλη, -ῖλον (adjectif)''' : creux.<br> '''κοῖλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : creux.<br> '''κοιμάω (verbe)''' : (Actif) Mettre sur une couche, mettre au lit. (Passif) Faire reposer, faire dormir. (Passif, par euphémisme) Faire mourir. (Figuré) Assoupir, apaiser, calmer.<br> '''κοιμέω (verbe)''' : Forme ionienne de ''κοιμάω''.<br> '''κοιμητήριον, -ου (nom commun) (n)''' : Dortoir ; cimetière.<br> '''κοιμίζω (verbe)''' : endormir.<br> '''κοινοϐουλευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : parlementaire.<br> '''κοινοϐούλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : parlement.<br> '''κοινός, -ή, -όν (adjectif)''' : commun.<br> '''κοινότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κοινός''.<br> '''κοινότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κοινός''.<br> '''κοινωνία, -ας (nom commun) (f)''' : société.<br> '''κοίνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''κοινῶς (adverbe)''' : communément.<br> '''κοινῶ (verbe)''' : Communiquer. Rendre commun à, faire savoir. Mettre en communication, unir. Rendre commun à tous, prostituer, profaner, souiller. Unir, assembler, ajuster (une pièce d'une construction). (Moyen) Communiquer, mettre en commun. <br> '''κοῖος, -ίη, -ῖον (adjectif)''' : Forme ionienne de ''ποῖος''.<br> '''κοῖτος, -ίτου (nom commun) (m)''' : Lit, couche.<br> '''κόκκος, -ου (nom commun) (m)''' : Graine, grain, pépin. (Entomologie) Cochenille, kermès, galle du chêne kermès. (par analogie) Pilule. (par analogie) Testicules.<br> '''κόλλαθον, -άθου (nom commun) (n)''' : .<br> '''κολοιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : choucas.<br> '''κόκκυξ, -υγος (nom commun) (m)''' : coucou, coccyx.<br> '''κόκκυ (onomatopée)''' : cri du coucou.<br> '''κωκύω (verbe)''' : crier, se lamenter.<br> '''κολακεία, -ας (nom commun) (f)''' : flatterie.<br> '''κολακευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : flatteur.<br> '''κολακευτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κολακευτικός''.<br> '''κολακευτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κολακευτικός''.<br> '''κολακευτικῶς (adverbe)''' : flatteusement.<br> '''κολακεύω (verbe)''' : flatter.<br> '''κόλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : flatteur.<br> '''κολάπτω (verbe)''' : frapper.<br> '''κόλασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : punition.<br> '''κολαφίζω (verbe)''' : gifler.<br> '''κόλαφος, -άφου (nom commun) (m)''' : gifle.<br> '''κολεός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Fourreau ; vagin.<br> '''κόλλα, -ης (nom commun) (f)''' : colle.<br> '''κόλλαϐος, -άϐου (nom commun) (m)''' : Gâteau, petit pain. Cheville qui attache les cordes de la lyre.<br> '''κολλάω (verbe)''' : coller.<br> '''κόλλιξ, -κος (nom commun) (m)''' : petit pain.<br> '''κολλύρα, -ας (nom commun) (f)''' : petit pain.<br> '''κολλῶ (verbe)''' : .<br> '''κολοϐός, -ή, -όν (adjectif)''' : écorné, tronqué ; mutilé.<br> '''κολοιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : geai.<br> '''κόλον, -ου (nom commun) (n)''' : membre, extrémité ; côlon.<br> '''κολοκύνθη, - (nom commun) (f)''' : .<br> '''κολοκυνθίς, - (nom commun) (f)''' : .<br> '''κολοσσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : colosse.<br> '''κολοττός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''κολοσσός''.<br> '''κολοφών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Sommet. (Figuré) Achèvement, couronnement. Balle de jeu.<br> '''κόλπος, -ου (nom commun) (m)''' : (Anatomie) Sein (de la mère ou de la nourrice). Utérus. Pli, creux d’un vêtement. Repli, renfoncement de la mer entre deux vagues. Sein de la terre, d’où Enfers. Golfe. Gouffre, cavité ; vallée profonde.<br> '''κολχικός, -ή, -όν (adjectif)''' : colchien.<br> '''κολώνη, -ης (nom commun) (f)''' : monticule, tertre ; tumulus.<br> '''κόμϐος, ου (nom commun) (m)''' : bande.<br> '''κοµικός, -ή, -όν (adjectif)''' : comique.<br> '''κοµικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''κοµικῶς''.<br> '''κοµικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κοµικῶς''.<br> '''κοµικῶς (adverbe)''' : comiquement.<br> '''κοµικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κοµικός''.<br> '''κοµικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κοµικός''.<br> '''κομπάζω (verbe)''' : hâbler.<br> '''κομπαστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : hâbleur.<br> '''κομψός, -ή, -όν (adjectif)''' : élégant.<br> '''κομψότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''κομψῶς''.<br> '''κομψότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κομψῶς''.<br> '''κομψότης, -τος (nom commun) (f)''' : élégance.<br> '''κομψῶς (adverbe)''' : élégamment.<br> '''κομψώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κομψός''.<br> '''κομψώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κομψός''.<br> '''κονδυλισμίς, -δος (nom commun) (f)''' : chiquenaude ; pichenette.<br> '''κόνδυ, -ος (nom commun) (n)''' : somm e.<br> '''κονία, -ας (nom commun) (f)''' : poussière.<br> '''κονίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme homérique et ionienne de ''κονία''.<br> '''κόνικλος, -ίκλου (nom commun) (m)''' : lapin.<br> '''κόνις, -εως (nom commun) (f)''' : cendre ; poussière.<br> '''κονίς, -δος (nom commun) (f)''' : lente.<br> '''κοντά (adverbe)''' : près ; à proximité.<br> '''κοντινός, -ή, -όν (adjectif)''' : proche.<br> '''κοντινῶς (adverbe)''' : .<br> '''κοντινώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κοντινός''.<br> '''κοντινώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κοντινός''.<br> '''κογχύλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : coquillage.<br> '''κοπριά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : fumier.<br> '''κόπρος, -ου (nom commun) (m)''' : excrément.<br> '''κόρα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''κόρη''.<br> '''κόραξ, -κος (nom commun) (m)''' : corbeau.<br> '''κορέννυμι (verbe)''' : rassasier ; (Au passif et au moyen) Être rassasié. Avoir le dégoût de.<br> '''κόρευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : virginité.<br> '''κορεύομαι (verbe)''' : être vierge.<br> '''κόρη, -ης (nom commun) (f)''' : jeune fille.<br> '''κορίαννον, -άννου (nom commun) (n)''' : coriandre.<br> '''κορίζομαι (verbe)''' : caresser.<br> '''κορμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''κόρος, -ου (nom commun) (m)''' : Jeune garçon ; satiété, dédain.<br> '''κόρυζα, -ης (nom commun) (f)''' : coryza.<br> '''κόρυς, -θος (nom commun) (f)''' : Tête ; casque.<br> '''κορώνη, -ης (nom commun) (f)''' : corneille.<br> '''κορωνός, -ή, -όν (adjectif)''' : courbe ; recourbé.<br> '''κόσμημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : bijou.<br> '''κοσμητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Décoratif ; ordonné.<br> '''κοσμητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Ordonnateur ; arrangeur.<br> '''κόσμος, -ου (nom commun) (m)''' : Ordre. Monde ; univers.<br> '''κόσσυκος, -ύκου (nom commun) (m)''' : Forme de ''κόσσυϕος''.<br> '''κόσσυϕος, -ύϕου (nom commun) (m)''' : merle.<br> '''κόσος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme ionienne de ''πόσος''.<br> '''κόττος, -ου (m)''' : coq.<br> '''κόττυϕος, -ύϕου (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''κόσσυϕος''.<br> '''κοτύλη, -ης (nom commun) (f)''' : écuelle.<br> '''κουρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : barbier.<br> '''κουρεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : boutique du barbier.<br> '''κούρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''κόρη''.<br> '''κοῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''κόρος''.<br> '''κοῦ (adverbe interrogatif)''' : Forme ionienne de ''ποῦ''.<br> '''κοῦφος, -ύφη, -ῦφον (adjectif)''' : léger.<br> '''κουφότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κοῦφος''.<br> '''κουφότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κοῦφος''.<br> '''κούφως (adverbe)''' : légèrement.<br> '''κόφινος, -ίνου (nom commun) (m)''' : corbeille.<br> '''κοχλιάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : cuillère.<br> '''κοχλίας, -ου (nom commun) (m)''' : escargot.<br> '''κρα (onomatopée)''' : croa.<br> '''κράϐατος, -άτου (nom commun) (m)''' : Forme macédonienne de ''κράϐϐατος''.<br> '''κράϐϐατος, -άτου (nom commun) (m)''' : grabat.<br> '''κραιπάλη, -ης (nom commun) (f)''' : ivresse.<br> '''κραίνω (verbe)''' : Commander, gouverner.<br> '''κράμϐη, -ης (nom commun) (f)''' : chou.<br> '''κράμϐος, -η, -ον (f)''' : fort (en parlant de la voix ou du son).<br> '''κρανίον, -ου (nom commun) (n)''' : crâne.<br> '''κρανοκοπέω (verbe)''' : décapiter.<br> '''κράνος, -ους (nom commun) (n)''' : casque.<br> '''κρᾶσις, -άσεως (nom commun) (n)''' : mélange de deux ou plusieurs choses.<br> '''κράτειρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : dirigeante.<br> '''κράτος, -ους (nom commun) (n)''' : Force du corps, vigueur, solidité. Domination, puissance.<br> '''κράτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : dirigeant.<br> '''κραυγάζω (verbe)''' : crier.<br> '''κραυγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : cri.<br> '''κρέας, -ατος (nom commun) (n)''' : viande.<br> '''κρεῖας, -ίατος (nom commun) (n)''' : Forme homérique de ''κρέας''.<br> '''κρείουσα, -ας (nom commun) (f)''' : cri.<br> '''κρείσσων, -ων, -ον (adjectif)''' : maîtresse ; souveraine.<br> '''κρείων, -οντος (nom commun) (m)''' : seigneur, maître ; souverain.<br> '''κρέξ, -κου (nom commun) (m)''' : râle (oiseau).<br> '''κρέων, -οντος (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''κρείων''.<br> '''κρημνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : falaise, précipice.<br> '''κρηναῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : .<br> '''κρήνη, -ης (nom commun) (m)''' : Source, puits ; fontaine. (Poétique) (Au pluriel) Eau.<br> '''κρηπίς, -ῖδος (nom commun) (f)''' : pantoufle.<br> '''κρῆσις, -ήσεως (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''κρᾶσις''.<br> '''κρῆς, -ήτος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''κρέας''.<br> '''κρίϐανος, -άνου (nom commun) (m)''' : braséro ; four à pain.<br> '''κρίκος, -ου (nom commun) (m)''' : anneau.<br> '''κρῖμα, -ίματος (nom commun) (n)''' : Objet de contestation, contestation, querelle. (Par suite) Jugement, décision judiciaire. Condamnation, peine. (Par extension) Jugement, Décision. Action de juger.<br> '''κριός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bélier.<br> '''κρίνω (verbe)''' : décider.<br> '''κρίσις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : décision.<br> '''κριτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : test.<br> '''κριτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : interprète.<br> '''κριτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : juge.<br> '''κριτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : décisif.<br> '''κριτικῶς (adverbe)''' : décisivement.<br> '''κριτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κριτικός''.<br> '''κριτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κριτικός''.<br> '''κροκόδειλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : crocodile.<br> '''κρόμμυον, -ύου (nom commun) (n)''' : ognon.<br> '''κρόμυον, -ύου (nom commun) (n)''' : Variante de ''κρόμμυον''.<br> '''κρόταφος, -άφου (nom commun) (m)''' : tempe.<br> '''κροῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : Choc, collision ; impact, percussion.<br> '''κρούω (verbe)''' : heurter, choquer. Frapper l’un contre l’autre. Frapper les cordes d’un instrument. Heurter ou pousser pour mettre en mouvement. Heurter avec le doigt pour l’éprouver et le faire résonner. (Figuré) Piquer, chatouiller en parlant de sensations physiques.<br> '''κρυμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : gel.<br> '''κρύος, -ους (nom commun) (n)''' : froid glacial. Frisson (de crainte).<br> '''κρύσταλλος, -άλλου (nom commun) (m)''' : Eau congelée ; verre transparent.<br> '''κροκόδειλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : crocodile.<br> '''κρόκος, -ου (nom commun) (m)''' : safran.<br> '''κρυπτός, -ός, -όν (adjectif)''' : caché, secret.<br> '''κρύπτω (verbe)''' : cacher.<br> '''κρυφᾷ (adverbe)''' : Forme dorienne de ''κρυφῇ''.<br> '''κρυφῇ (adverbe)''' : secrètement.<br> '''κρύφος, -ου (nom commun) (f)''' : Action de cacher ; cachette.<br> '''κρωγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : croassement.<br> '''κρώζω (verbe)''' : croasser.<br> '''κρωσσίον, -ου (nom commun) (n)''' : cruche.<br> '''κρωσσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : jarre ; urne.<br> '''κτείνω (verbe)''' : tuer.<br> '''κτείς, -ενός (nom commun) (m)''' : Peigne. Râteau. (Au pluriel) Doigts.<br> '''κτένιον, -ίου (nom commun) (m)''' : Diminutif de ''κτείς''.<br> '''κτῆνος, -ήνους (nom commun) (n)''' : (Au pluriel) Bétail. (Au singulier) Bête domestique.<br> '''κτίριον, -ίου (nom commun) (n)''' : bâtiment.<br> '''κτυπέω (verbe)''' : claquer.<br> '''κτύπημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : claquement.<br> '''κτῶμαι (verbe)''' : acquérir.<br> '''κυανός, -ή, -όν (adjectif)''' : bleu.<br> '''κυϐέρνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : pilotage ; gouvernement.<br> '''κυϐερνήτης, -ου (nom commun) (m)''' : pilote ; gouverneur.<br> '''κυϐερνητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : pilotable ; gouvernemental.<br> '''κυϐερνισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : pilotage ; gouvernement.<br> '''κυϐερνῶ (verbe)''' : piloter ; gouverner.<br> '''κῦδος, -ύδους (nom commun) (n)''' : gloire ; renommée.<br> '''κυῶ (verbe)''' : .<br> '''κύημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : vague.<br> '''κύησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : grossesse.<br> '''κύκλος, -ου (nom commun) (m)''' : cercle ; rond.<br> '''κυκλῶ (verbe)''' : Tourner, rouler. Envelopper, cerner.<br> '''κύκλωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : circuit.<br> '''κυκλών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : cyclone.<br> '''κύκνος, -ου (nom commun) (m)''' : cygne.<br> '''κυλινδρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : cylindrique.<br> '''κύλινδρος, -ίνδρου (nom commun) (m)''' : cylindre.<br> '''κυλίνδω (verbe)''' : rouler.<br> '''κύλιξ, -κος (nom commun) (f)''' : coupe (récipient).<br> '''κυλλός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme chypriote de ''χωλός''.<br> '''κῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : onde ; vague.<br> '''κυναλώπηξ, -εκος (nom commun) (f)''' : .<br> '''κυνηγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : chasseur.<br> '''κυνηγῶ (verbe)''' : chasser.<br> '''κύνικλος, -ίκλου (nom commun) (m)''' : Forme de ''κόνικλος''.<br> '''κυνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : canin ; (Philosophie) cynique.<br> '''κυπάρισσος, -ίσσου (nom commun) (f)''' : cyprès.<br> '''κυπάριττος, -ίττου (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''κυπάρισσος''.<br> '''κυπρῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : carpe.<br> '''κύπτω (verbe)''' : se baisser en avant. Baisser la tête (ou les yeux) de honte.<br> '''κυρία, -ας (nom commun) (f)''' : maîtresse ; souveraine.<br> '''κυριακός, -ή, -όν (adjectif)''' : seigneurial.<br> '''κύριος, -ίου (nom commun) (m)''' : maître ; souverain.<br> '''κύρος, -ους (nom commun) (n)''' : prestige.<br> '''κῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : décret.<br> '''κῦρρος, -ύρρου (nom commun) (m)''' : Forme thessalienne de ''κύριος''.<br> '''κύρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : sanction.<br> '''κυρῶ (verbe)''' : confirmer, ratifier ; sanctionner.<br> '''κυσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : sexe de la femme.<br> '''κύστιγξ, -γος (nom commun) (f)''' : vésicule.<br> '''κύστις, -εως (nom commun) (f)''' : sac ; (Au pluriel) Poches sous les yeux.<br> '''κύσσω (verbe)''' : Forme poétique de ''κύσω''.<br> '''κύσω (verbe)''' : donner un baiser.<br> '''κύτος, -ους (nom commun) (n)''' : Creux d'un navire, d'un bouclier, d'une cuirasse. Objet creux. Qui recouvre ou enveloppe.<br> '''κυφός, -ή, -όν (adjectif)''' : Arqué, bossu. Courbé.<br> '''κυφότατος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κυφός''.<br> '''κυφότερος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κυφός''.<br> '''κύφων, -ονος (nom commun) (m)''' : pilori.<br> '''κύφωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''κυφῶς (adverbe)''' : .<br> '''κύψελος, -έλου (nom commun) (m)''' : martinet (oiseau).<br> '''κύων, -ός (nom commun) (m/f)''' : chien(ne).<br> '''κωδωνίζω (verbe)''' : sonner les cloches.<br> '''κωδώνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : clochette.<br> '''κωδωνόκροτος, - ()''' : .<br> '''κωδωνοφαλαρόπωλος, - ()''' : .<br> '''κωδωνοφορέω (verb)''' : .<br> '''κώδων, -ος (nom commun) (m)''' : cloche.<br> '''κωκύω (verbe)''' : .<br> '''κώληψ, -πος (nom commun) (f)''' : jarret.<br> '''κωλοϐαθριστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Acrobate marchant sur des échasses.<br> '''κωλόϐαθρον, -άθρου (nom commun) (n)''' : échasse.<br> '''κῶλον, -ώλου (nom commun) (n)''' : .<br> '''κώμη, -ης (nom commun) (f)''' : village ; quartier.<br> '''κωμικός, -ή -όν (adjectif)''' : comique.<br> '''κωµικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''κωµικῶς''.<br> '''κωµικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''κωµικῶς''.<br> '''κωµικῶς (adverbe)''' : comiquement.<br> '''κωµικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''κωµικός''.<br> '''κωµικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''κωµικός''.<br> '''κῶμος, -ώμου (nom commun) (m)''' : Festin, banquet. (Par extension) Troupe impétueuse (en parlant des Érinyes), bande.<br> '''κωμόπολις, -όλεως (nom commun) (n)''' : bourgade.<br> '''κωμῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : poésie satirique.<br> '''κωνωπεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : moustiquaire.<br> '''κώνωψ, -ωπος (nom commun) (m)''' : cousin (genre de moustique) ; moucheron.<br> '''κώπα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''κώπη''.<br> '''κωπέω (f)''' : ramer.<br> '''κώπη, -ης (nom commun) (f)''' : Anse, poignée (d’une rame), manche. Rame.<br> '''κωπίον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''κώπη''.<br> '''κώρα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''κόρη''.<br> '''κῶρος, -ώρου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''κόρος''.<br> '''κῶς (adverbe)''' : Forme ionienne de ''πῶς''.<br> '''κώταλις, - (nom commun) (f)''' : cuillère.<br> '''κωφός, -ή -όν (adjectif)''' : sourd.<br> '''Καικιλία, -ας (nom propre) (f)''' : Cécile.<br> '''Καικίλιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Cécilius.<br> '''Κάϊν (nom propre) (m)''' : Caïn.<br> '''Καινὴ Διαθήκη (locution nominale) (f)''' : Nouveau Testament.<br> '''Καῖσαρ, -ίσαρος (nom propre) (m)''' : César.<br> '''Καλλίας, -ου (nom propre) (m)''' : Callias.<br> '''Καλλικρατίδας, -ου (nom propre) (m)''' : Callicratidas.<br> '''Καλλίμαχος, -άχου (nom propre) (m)''' : Callimaque.<br> '''Καλλιόπη, -ης (nom propre) (f)''' : Calliope.<br> '''Καλλιρόη, -ης (nom propre) (f)''' : Callirhoé.<br> '''Καλλιστώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Callisto.<br> '''Καλυψώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Calypso.<br> '''Καμϐύσης, -ου (nom propre) (m)''' : Cambyse.<br> '''Κανδάκη, -ης (nom propre) (f)''' : Candace.<br> '''Καρδοῦχος, -ύχου (nom commun) (m)''' : Kurde.<br> '''Καρκίνος, -ου (nom propre) (m)''' : Cancer.<br> '''Κᾶρ, -άρος (nom propre) (f)''' : Forme éolienne de ''Κήρ''.<br> '''Καρχηδόνιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Carthaginois.<br> '''Καρχηδών, -όνος (nom propre) (f)''' : Carthage.<br> '''Κασσάνδρα, -ας (nom propre) (f)''' : Cassandre.<br> '''Κάσσανδρος, -άνδρου (nom commun) (m)''' : Cassandre.<br> '''Κελτίς, -δος (nom commun) (f)''' : Celte.<br> '''Κελτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Celte.<br> '''Κερασούντιος, -α, -ον (adjectif)''' : cérasien.<br> '''Κερασοῦς, -ῦντος (nom commun) (m)''' : Cérasus.<br> '''Κέρϐερος, -έρου (nom propre) (m)''' : Cerbère.<br> '''Κέρκωψ, -πος (nom propre) (m)''' : Cercops.<br> '''Κήρ, -ός (nom propre) (f)''' : Une des Kères.<br> '''Κηφισιά, -ᾶς (nom propre) (f)''' : Céphisia.<br> '''Κικέρων, -ος (nom propre) (m)''' : Cicéron.<br> '''Κιλικία, -ας (nom propre) (f)''' : Cilicie.<br> '''Κίρκη, -ης (nom propre) (f)''' : Circé.<br> '''Κλεάνθης, -ου (nom propre) (m)''' : Cléante.<br> '''Κλεισθένης, -ους (nom propre) (m)''' : Clisthène.<br> '''Κλείτανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Clitandre.<br> '''Κλειτόμαχος, -άχου (nom propre) (m)''' : Clitomaque.<br> '''Κλεῖτος, -ίτου (nom propre) (m)''' : Cleithos.<br> '''Κλειτοφῶν, -τος (nom propre) (m)''' : Clitophon.<br> '''Κλειώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Clio.<br> '''Κλεoμήδης, -ους (nom propre) (m)''' : Cléomède.<br> '''Κλεοπᾶς, -ᾶ (nom propre) (m)''' : Cléopas.<br> '''Κλεοπάτρα, -ας (nom propre) (f)''' : Cléopâtre.<br> '''Κλεόπατρος, -άτρου (nom propre) (m)''' : Cléopatros.<br> '''Κλεώνυμος, -ύμου (nom propre) (m)''' : Cléonyme.<br> '''Κλωθώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Clotho (première Moire).<br> '''Κόϊντος, -ΐντου (nom propre) (m)''' : Quentin.<br> '''Κοῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Céos.<br> '''Κολοφών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Colophon (ville).<br> '''Κολχίς, -δος (nom propre) (f)''' : Colchide.<br> '''Κολχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Colchien.<br> '''Κόνων, -ος (nom commun) (m)''' : Conon.<br> '''Κόραμα, -ας (nom propre) (f)''' : Göreme.<br> '''Κορίνθιος, -ίου (nom commun) (f)''' : Corinthien.<br> '''Κόρινθος, -ίνθου (nom propre) (f)''' : Corinthe.<br> '''Κορσίς, -δος (nom propre) (f)''' : Corse.<br> '''Κόρκυρα, -ύρας (nom propre) (f)''' : Corcyre.<br> '''Κορυφώ, -οῦς (nom propre) (m)''' : Corfou (île).<br> '''Κότταλος, -άλου (nom propre) (m)''' : Cottalos.<br> '''Κράτος, -ους (nom propre) (m)''' : Cratos.<br> '''Κρατύλος, -ου (nom propre) (m)''' : Cratyle.<br> '''Κρεῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Crios.<br> '''Κρέουσα, -ας (nom propre) (f)''' : Créuse.<br> '''Κρέων, -οντος (nom propre) (m)''' : Créon.<br> '''Κριός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Bélier.<br> '''Κρίτοϐουλος, -ύλου (nom propre) (m)''' : Critobule.<br> '''Κροῖσος, -ίσου (nom propre) (m)''' : Crésus.<br> '''Κρίτοϐουλος, -ύλου (nom propre) (m)''' : Critobule.<br> '''Κροκοδειλόπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Fayoum.<br> '''Κτησιφῶν, -τος (nom propre) (m)''' : Ctésiphon.<br> '''Κτιμένη, -ης (nom propre) (f)''' : Ctimène (sœur d'Ulysse).<br> '''Κυαξάρης, -ου (nom propre) (m)''' : Cyaxare.<br> '''Κύθηρα, -ήρων (nom propre) (n)''' : Cythère.<br> '''Κυθήριος, -ίου (nom commun)''' : Cythérien.<br> '''Κύκλωψ, -ωπος (nom propre) (m)''' : Cyclope.<br> '''Κυνόσαργες, -ων (nom propre) (m)''' : Cynosarges.<br> '''Κύπριος, -ίου (nom commun) (m)''' : Chypriote.<br> '''Κύπρος, -ου (nom propre) (f)''' : Chypre.<br> '''Κύριλλος, -ίλλου (nom propre) (m)''' : Cyrille.<br> '''Κύριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Seigneur.<br> '''Κύρνιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Corse.<br> '''Κύρνος, -ου (nom propre) (f)''' : Corse.<br> '''Κῦρος, -ύρου (nom propre) (m)''' : Cyrus.<br> '''Κύψελος, -έλου (nom propre) (m)''' : Cypsélos.<br> '''Κωκυτός, -τοῦ (nom propre) (m)''' : Cocyte.<br> '''Κωνσταντῖνος, -ίνου (nom propre) (m)''' : Constantin.<br> '''Κωνσταντινούπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Constantinople.<br> ==Λ== '''λαϐή, -ῆς (nom commun) (f)''' : anse.<br> '''λάϐρυς, -εως (nom commun) (f)''' : labrys.<br> '''λαϐύρινθος, -ίνθου (nom commun) (m)''' : labyrinthe.<br> '''λάγανον, -άνου (nom commun) (n)''' : crêpe.<br> '''λαγαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Creux, enfoncé ; lâche, ample.<br> '''λαγνεία, -ας (nom commun) (f)''' : libertinage.<br> '''λάγνευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : coït (acte).<br> '''λαγνεύω (verbe)''' : coïter.<br> '''λάγνης, -ης, -ες (adjectif)''' : Forme attique de ''λάγνος''.<br> '''λάγνος, -α, -ον (adjectif)''' : libertin, débauché.<br> '''λαγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : lièvre.<br> '''λάγυνος, -ύνου (nom commun) (m/f)''' : flacon, pichet.<br> '''λαγών, -όνος (nom commun) (m)''' : flanc.<br> '''λαγώς, -ώ (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''λαγός''.<br> '''λᾴα -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''λεία''.<br> '''λάθος, -ους (nom commun) (n)''' : erreur.<br> '''λαϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : populaire.<br> '''λαϊκῶς (adverbe)''' : populairement.<br> '''λαϊκώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λαϊκός''.<br> '''λαϊκώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λαϊκός''.<br> '''λαϊκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''λαϊκῶς''.<br> '''λαϊκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''λαϊκῶς''.<br> '''λαιµός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cou, gorge.<br> '''λαῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : faux.<br> '''λαιός, -ά, -όν (adjectif)''' : qui est à gauche.<br> '''λαιψηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : agile, véhément.<br> '''λαιψηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λαιψηρός''.<br> '''λαιψηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λαιψηρός''.<br> '''λαιψηρῶς (adverbe)''' : agilement, véhémentement.<br> '''λάκτισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : coup de pied.<br> '''λάκυθος, -ύθου (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''λήκυθος''.<br> '''λακωνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : concis.<br> '''λακωνικότης, -τος (nom commun) (f)''' : concision.<br> '''λακωνικῶς (adverbe)''' : concisément.<br> '''λακωνικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λακωνικός''.<br> '''λακωνικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λακωνικός''.<br> '''λᾳστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''λῃστής''.<br> '''λαλέω (verbe)''' : Babiller, bavarder.<br> '''λαλιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Babil, bavardage.<br> '''λάλος, -ος, -ον (adjectif)''' : Babillard, bavard.<br> '''λαμϐάνω (verbe)''' : prendre.<br> '''λάμϐδα (nom commun) (n)''' : lambda.<br> '''λαμπάς, -δος (nom commun) (f)''' : torche.<br> '''λαμπέτης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''λαμπέτις, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''λάμπη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme homérique et ionienne de ''λαμπάς''.<br> '''λαμπηδών, -όνος (nom commun) (f)''' : brillance des yeux.<br> '''λαμπρός, -ά, -όν (adjectif)''' : brillant.<br> '''λαμπρῶς (verbe)''' : brillamment.<br> '''λαμπρώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λαμπρός''.<br> '''λαμπρώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λαμπρός''.<br> '''λαμπτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : briquet, lanterne ; torche.<br> '''λαμπυρίς, -δος (nom commun) (f)''' : ver luisant.<br> '''λάμπω (verbe)''' : briller.<br> '''λάμψις, -εως (nom commun) (f)''' : brillance des étoiles, des éclairs, du Soleil.<br> '''λανθάνω (verbe)''' : être caché, faire oublier.<br> '''λαός, -οῦ (nom commun) (m)''' : peuple.<br> '''λάριξ, -κος (nom commun) (m)''' : mélèze.<br> '''λάρυγξ, -γος (nom commun) (m)''' : larynx. (Par suite) Gorge, gosier.<br> '''λάσανον, -άνου (nom commun) (n)''' : Casserole, marmite ; pot.<br> '''λατρεία, -ας (nom commun) (f)''' : service à gages. Service d’un dieu ; culte, adoration. Soins à donner au corps ou à l'âme.<br> '''λατρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : serviteur engagé.<br> '''λατρεύω (verbe)''' : Être serviteur à gages. (Généralement) Servir que ce soit en parlant d’homme libre ou d’esclaves. (En particulier) Être serviteur de Dieu.<br> '''λάτρης, -ου (nom commun) (n)''' : adorateur.<br> '''λάτρον, -ου (nom commun) (n)''' : Gage, salaire ; rémunération.<br> '''λάφυρον, -ύρου (nom commun) (n)''' : butin.<br> '''λέαινα, -ίνης (nom propre) (f)''' : lionne.<br> '''λέϐης, -τος (nom commun) (m)''' : chaudière.<br> '''λέγω (verbe)''' : choisir.<br> '''λεία, -ας (nom commun) (f)''' : pillage.<br> '''λείϐω (verbe)''' : verser.<br> '''λειμών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : pré.<br> '''λειμωνήρης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''λειμωνιάς, -δος (nom commun) (f)''' : lémoniade.<br> '''λειμώνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''λειμώνιος, -α, -ον (adjectif)''' : .<br> '''λειμωνίς, -δος (nom commun) (f)''' : lémoniade.<br> '''λειμωνοειδής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''λειμωνόθεν (adverbe)''' : .<br> '''λεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : lisse, uni.<br> '''λείριον, -ίου (nom commun) (n)''' : lis (fleur).<br> '''λειτούργημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''λειτουργία, -ας (nom commun) (f)''' : Cérémonie publique, service public.<br> '''λειτουργός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Ministre, fonctionnaire. (Religion) Ministre du culte.<br> '''λειχήν, -ῆνος (nom commun) (m)''' : Lèpre, dartre sur le corps de l’homme. Cal sur la jambe du cheval. Lichen.<br> '''λείχω (verbe)''' : lécher.<br> '''λεξικός, -ή, -όν (adjectif)''' : lexical.<br> '''λεξικόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : dictionnaire.<br> '''λεξικῶς (adverbe)''' : lexicalement.<br> '''λεξικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λεξικός''.<br> '''λεξικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λεξικός''.<br> '''λέξις, -εως (nom commun) (f)''' : Parole, action de parler. Élocution, style, manière de parler.<br> '''λεόντειος, -ος, -ον (adjectif)''' : léonin.<br> '''λεπίς, -δος (nom commun) (f)''' : Coque d’œuf. Lamelle de métal.<br> '''λεπτότης, -τος (nom commun) (f)''' : Minceur. Délicatesse.<br> '''λεπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : Dépouillé de sa peau, de sa pellicule. Mince. Délicat.<br> '''λεπτότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λεπτός''.<br> '''λεπτότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λεπτός''.<br> '''λεπτῶς (adverbe)''' : Mincement. Délicatement<br> '''λέπω (verbe)''' : Peler, écosser ; écorcher.<br> '''λευγαλέος, -α, -ον (adjectif)''' : Triste, malheureux. Irrité, funeste. Désolé.<br> '''λευκός, -ή, -όν (adjectif)''' : blanc.<br> '''λεύκη, -ης (nom commun) (f)''' : peuplier.<br> '''λεύσσω (verbe)''' : voir.<br> '''λεώϐατος (nom commun)''' : .<br> '''λεωλογέω (verbe)''' : .<br> '''λέων, -οντος (nom commun) (m)''' : lion.<br> '''λεώς, -ώ (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''λαός''.<br> '''λεωσφέτερος''' : .<br> '''λεωφόρος, -ου (nom commun) (f)''' : Avenue, boulevard.<br> '''λήθαιος, -α, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ληθάνω (verbe)''' : faire oublier.<br> '''ληθαργέω (verbe)''' : oublier.<br> '''ληθαργία, -ας (nom commun) (f)''' : léthargie.<br> '''ληθαργικός, -ή, -όν (adjectif)''' : léthargique.<br> '''ληθαργικῶς (adverbe)''' : léthargiquement.<br> '''ληθαργικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ληθαργικός''.<br> '''ληθαργικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ληθαργικός''.<br> '''ληθαργικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ληθαργικῶς''.<br> '''ληθαργικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ληθαργικῶς''.<br> '''λήθαργος, -άργου (nom commun) (m)''' : torpeur.<br> '''λήθη, -ης (nom commun) (f)''' : oubli.<br> '''ληΐη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''λεία''.<br> '''ληΐς, - (nom commun) (f)''' : Forme homérique de ''λεία''.<br> '''ληϊστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''λῃστής''.<br> '''λήιτον, -ίτου (nom commun) (n)''' : (En Achaïe) mairie.<br> '''λήκυθος, -ύθου (nom commun) (f)''' : petit vase.<br> '''λῃστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : voleur, brigand. (en particulier) Pirate.<br> '''λῆξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : tirage au sort.<br> '''λῆμμα, -ήμματος (nom commun) (n)''' : Bénéfice, salaire, recette. Gain, profit. Bénéfice.<br> '''λημματιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : receveur.<br> '''λῆνος, -ήνους (nom commun) (n)''' : laine.<br> '''ληός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''λαός''.<br> '''λησμοσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : oubli.<br> '''λῆψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : prise.<br> '''λίϐανος, -άνου (nom commun) (m)''' : oliban.<br> '''λιϐάς, -δος (nom commun) (f)''' : prairie.<br> '''λίθος, -ου (nom commun) (m)''' : pierre.<br> '''λιμήν, -ένος (nom commun) (m)''' : port.<br> '''λίμνη, -ης (nom commun) (f)''' : lac.<br> '''λιµός, -οῦ (nom commun) (m)''' : faim.<br> '''λιποθυμῶ (verbe)''' : s’évanouir.<br> '''λίπος, -ους (nom commun) (n)''' : graisse ; gras.<br> '''λιπόψυχος, -ος, -ον (adjectif)''' : pusillanime.<br> '''λιτότης, -τος (nom commun) (f)''' : simplicité.<br> '''λιτός, -ή, -όν (adjectif)''' : Uni. Simple, sans apprêts. (Par extension) Pauvre, chétif, faible, petit.<br> '''λίψ, -ϐος (nom commun) (m)''' : sud-ouest.<br> '''λογίζομαι (verbe)''' : .<br> '''λογικός, -ή, -όν (adjectif)''' : intellectuel ; rationnel.<br> '''λογικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λογικός''.<br> '''λογικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λογικός''.<br> '''λογικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''λογικῶς''.<br> '''λογικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''λογικῶς''.<br> '''λογικῶς (adverbe)''' : intellectuellement ; rationnellement.<br> '''λόγιον, -ίου (nom commun) (n)''' : oracle.<br> '''λόγος, -ου (nom commun) (m)''' : discours, sujet ; parole.<br> '''λοιμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : peste.<br> '''λοίμωξις, -ώξεως (nom commun) (f)''' : infestation.<br> '''λοπαδοτεμαχοσελαχογαλεοκρανιολειψανοδριμυποτριμματοσιλφιοκαραϐομελιτοκατακεχυμενοκιχλεπικοσσυφοφαττοπεριστεραλεκτρυονοπτεκεφαλλιοκιγκλοπελειολαγῳ-οσιραιοϐαφητραγανοπτερυγών (nom commun) (m)''' : bigornocabillofricandortolangoustabricobouillabopoulaupococovin (Plat formé de dix-sept ingrédients différents, décrit par Aristophane dans ''L’Assemblée des femmes''. (v. 1169-1174)<br> '''λόγχη, -ης (nom commun) (f)''' : lance.<br> '''λοπάς, -δος (nom commun) (f)''' : écuelle.<br> '''λορδός, -ή, -όν (adjectif)''' : courbé.<br> '''λορδότατος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''λορδός''.<br> '''λορδότερος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''λορδός''.<br> '''λορδῶς (adverbe)''' : .<br> '''λουτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : baignoire.<br> '''λούω (verbe)''' : baigner.<br> '''λόφος, -ου (nom commun) (m)''' : colline.<br> '''λοχαγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : capitaine.<br> '''λόχος, -ου (nom commun) (m)''' : compagnie.<br> '''λύγη, -ης (nom commun) (f)''' : crépuscule, pénombre.<br> '''λύγξ, -γός (nom commun) (f)''' : hoquet.<br> '''λύγξ, -κός (nom commun) (m/f)''' : lynx.<br> '''λυγρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Fâcheux, triste. Malfaisant.<br> '''λύκαινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : louve.<br> '''λυκάνθρωπος, -ώπου (nom commun) (m)''' : loup-garou.<br> '''λυκίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : chien-loup.<br> '''λύκος, -ου (nom commun) (m)''' : loup.<br> '''λύμα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''λύμη''.<br> '''λῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''λῦμαξ, -ύμακος (nom commun) (m)''' : .<br> '''λυμαίνομαι (verbe)''' : .<br> '''λυμαντήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : destructeur.<br> '''λυμαντήριος, -α, -ον (adjectif)''' : injurieux, destructeur.<br> '''λυμαντής, -οῦ (nom commun) (m)''' : coureur.<br> '''λυμαντικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''λυμάντωρ, - (nom commun) (m)''' : .<br> '''λῦμαρ, -ύμαρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''λύμασις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''λυμάχη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''λύμη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''λύπη, -ης (nom commun) (f)''' : regret.<br> '''λυποῦμαι (verbe)''' : être affligé.<br> '''λυπῶ (verbe)''' : regretter.<br> '''λύρα, -ας (nom commun) (f)''' : lyre. (Par extension) Constellation de la lyre. (Par extension) Poisson du même nom.<br> '''λύσσα, -ης (nom commun) (f)''' : Rage. (maladie canine) Fureur belliqueuse, frénésie.<br> '''λύτρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : rédemption.<br> '''λύττα, -ης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''λύσσα''.<br> '''λύχνος, -ου (nom commun) (m)''' : lampe.<br> '''λωρίς, -δος (nom commun) (f)''' : bande.<br> '''λῶρος, -ώρου (nom commun) (m)''' : bande.<br> '''Λάζαρος, -άρου (nom propre) (m)''' : Lazare.<br> '''Λαέρτης, -ου (nom propre) (m)''' : Laërte (père d’Ulysse).<br> '''Λαῖλαψ, -ίλαπου (nom propre) (m)''' : Lélaps.<br> '''Λάκαινα, -ίνης (nom commun) (m)''' : Laconienne.<br> '''Λακεδαιμόνιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Lacédémonien.<br> '''Λακεδαίμων, -ονος (nom propre) (f)''' : Lacédémone.<br> '''Λακωνία, -ας (nom propre) (m)''' : Laconie.<br> '''Λάκων, -ος (nom commun) (m)''' : Laconien.<br> '''Λάμια, -ας (nom propre) (m)''' : Lamia.<br> '''Λαμπάς, -δος (nom propre) (f)''' : Lampade.<br> '''Λαμπετίη, -ης (nom propre) (f)''' : Lampétie.<br> '''Λάμπος, -ου (nom propre) (m)''' : Lampos.<br> '''Λαοδίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Laodicé.<br> '''Λαοκόων, -οντος (nom propre) (m)''' : Laocoon.<br> '''Λαομέδων, -οντος (nom propre) (m)''' : Laomédon (fils d’Ilos et d’Eurydice).<br> '''Λατῖνος, -ίνου (nom propre) (m)''' : Latinos.<br> '''Λάτιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Latium.<br> '''Λατώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Λητώ''.<br> '''Λαύρειον, -ίου (nom propre) (m)''' : Laurion.<br> '''Λάχεσις, -εως (nom propre) (f)''' : Lachésis (deuxième Moire).<br> '''Λέανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Léandre.<br> '''Λεία, -ας (nom propre) (f)''' : Léa.<br> '''Λεύκιππος, -ίππου (nom propre) (m)''' : Leucippe.<br> '''Λευκοτεκία, -ας (nom propre) (f)''' : Variante de ''Λoυκoτοκία''.<br> '''Λεωνίδας, -ου (nom propre) (m)''' : Léonidas.<br> '''Λέων, -οντος (nom propre) (m)''' : Lion.<br> '''Λεωχάρης, -ου (nom propre) (m)''' : Léocharès.<br> '''Λήθη, -ης (nom propre) (f)''' : Léthé.<br> '''Λητώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Léto.<br> '''Λιϐύη, -ης (nom propre) (f)''' : Lybie.<br> '''Λίϐυς, -ος (nom commun) (m)''' : Libyen.<br> '''Λουκᾶνος, -άνου (nom commun) (m)''' : Lucanien.<br> '''Λουκᾶς, -ᾶ (nom propre) (m)''' : Luke ; Lucas.<br> '''Λουκιανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Lucien.<br> '''Λoυκoτοκία, -ας (nom propre) (f)''' : Lutèce.<br> '''Λουκρητία, -ας (nom propre) (f)''' : Lucrèce.<br> '''Λουκρήτιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Lucrèce.<br> '''Λυγκεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Lyncée.<br> '''Λυκάμϐης, -ου (nom propre) (m)''' : Lycambès.<br> '''Λυκάων, -ονος (nom propre) (m)''' : Lycaon.<br> '''Λύκειον, -ίου (nom propre) (m)''' : Lycée. (Gymnase au nord-est d’Athènes où enseigna Aristote.)<br> '''Λυκομήδης, -ου (nom propre) (m)''' : Lycomède.<br> '''Λυκόπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Assiout.<br> '''Λυκοῦργος, -ύργου (nom propre) (m)''' : Lycurgue.<br> '''Λύσανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Lysandre.<br> '''Λυσιδίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Lysidice.<br> '''Λύσις, -δος (nom propre) (m)''' : Lysis. (œuvre de Platon)<br> '''Λῦσις, -ύσεως (nom propre) (m)''' Lysis. (philosophe grec)<br> '''Λωΐς, -δος (nom propre) (f)''' Loïs. (Personnage du Nouveau Testament : ''Timothée'', 1-5)<br> ==Μ== '''-μα, -τος (suffixe)''' : suffixe marquant des noms neutres abstraits.<br> '''μά (particule)''' : par. (Particule interjective.) (+ nom de divinité a l’accusatif)<br> '''μαγειρεῖον, -ίρου (nom commun) (n)''' : cuisine (pièce).<br> '''μαγειρεύω (verbe)''' : cuisiner.<br> '''μαγείρισσα, -ας (nom commun) (f)''' : cuisinière.<br> '''μάγειρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : cuisinier.<br> '''μαγικός, -ή, -όν (adjectif)''' : magique.<br> '''μαγικῶς (adverbe)''' : magiquement.<br> '''μαγικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μαγικός''.<br> '''μαγικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μαγικός''.<br> '''μάγος, -ου (nom commun) (m)''' : Enchanteur, magicien ; sorcier.<br> '''μαδαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : moite ; mouillé.<br> '''μαδάω (verbe)''' : être moite/mouillé.<br> '''μᾶζα, -άζης (nom commun) (f)''' : masse (tas).<br> '''μαζός, -οῦ (nom commun) (m)''' : sein.<br> '''μάθημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : leçon.<br> '''μαθητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : disciple.<br> '''μάθησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : apprentissage.<br> '''µαῖα, -ίας (nom propre) (f)''' : mère ; sage-femme.<br> '''μαίευμα, -ύµατος (nom commun) (n)''' : accouchement.<br> '''μαίευσις, -ύσεως (nom propre) (f)''' : accouchement.<br> '''μαιευτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : maïeutique.<br> '''μαιεύομαι (verbe)''' : faire accoucher.<br> '''μαίνομαι (verbe)''' : être fou, délirer ; être enragé.<br> '''μαίομαι (verbe)''' : .<br> '''μαιμάω (verbe)''' : .<br> '''μακάριος, -ία, -άριον (adjectif)''' : béni, bienheureux ; heureux, fortuné.<br> '''μακρός, -ά, -όν (adjectif)''' : (idée d’espace) long. (idée de durée) long. (idée de quantité) Grand, fort.<br> '''μακρύς, -ιά, -ύ (adjectif)''' : long.<br> '''μαλακτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''μαλάκτης, -ου (nom commun) (m)''' : masseur.<br> '''μάλαξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : massage.<br> '''μαλάσσω (verbe)''' : masser.<br> '''μᾶλον, -άλου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne et éolienne de ''μῆλον''. (Au sens de « pomme ».)<br> '''μαλλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : touffe de laine.<br> '''μάμμη, -ης (nom commun) (f)''' : maman.<br> '''μανδύα, -ας (nom commun) (f)''' : cape.<br> '''μανδύη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μανδύα''.<br> '''μανθάνω (verbe)''' : Apprendre ; s’apercevoir de. (Par suite) Comprendre.<br> '''μανία, -ας (nom commun) (f)''' : Folie, démence ; enthousiasme, transport.<br> '''μανίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μανία''.<br> '''μᾶνις, -άνιος (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μῆνις''.<br> '''μαντεία, -ας (nom commun) (f)''' : Prédiction, oracle ; divination.<br> '''μαντείη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme homérique de ''μαντεία''.<br> '''μαντηΐη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μαντεία''.<br> '''μάντις, -εως (nom commun) (m) ''' : devin.<br> '''μάραθον, -άθου (nom commun) (n)''' : fenouil.<br> '''μαργαρίδης, -ου (nom commun) (m) ''' : Forme ionienne de ''μαργαρίτης''.<br> '''μαργαρίτα, -ας (nom commun) (f) ''' : marguerite.<br> '''μαργαρίτης, -ου (nom commun) (m) ''' : perle.<br> '''μαρμαίρω (verbe)''' : briller.<br> '''μαρμάρεος, -έα, -άρεον (adjectif) ''' : brillant ; fait de marbre.<br> '''μαρμάρινος, -η, -ον (adjectif) ''' : marmoréen.<br> '''μάρμαρος, -άρου (nom commun) (m)''' : marbre.<br> '''μαρμαρώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : marbré.<br> '''μάρσιπος, -ίπου (nom commun) (m)''' : sac.<br> '''μαρσίππιον, -ίου (nom commun) (n)''' : petit sac.<br> '''μαρτυρέω (verbe)''' : .<br> '''μαρτύρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : témoignage.<br> '''μαρτυρία, -ας (nom commun) (f)''' : témoignage.<br> '''μαρτύριον, -ίου (nom commun) (n)''' : Témoignage, preuve. Sanctuaire dédié à un martyr.<br> '''μάρτυρ, -ος (nom commun) (m/f)''' : Forme éolienne de ''μάρτυς''.<br> '''μάρτυς, -ρος (nom commun) (m/f)''' : témoin ; témoin de Dieu.<br> '''μασδός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''μαζός''.<br> '''μασθός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme tardive de ''μαζός''.<br> '''μάσσω (verbe)''' : pétrir, masser.<br> '''μάσταξ, -κος (nom commun) (f)''' : mâchoire.<br> '''μαστιάω (verbe)''' : Forme homérique de ''μαστίζω''.<br> '''μαστίγωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : flagellation.<br> '''μαστιγῶ (verbe)''' : fouetter.<br> '''μαστίζω (verbe)''' : flageller.<br> '''μαστίσδω (verbe)''' : Forme dorienne de ''μαστίζω''.<br> '''μάστιξ, -ίγος (nom commun) (f)''' : fouet.<br> '''μαστός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mamelle ; sein.<br> '''μασχάλη, -ης (nom commun) (f)''' : aisselle (cavité placée sous le bras).<br> '''μάταιος, -ία, -αιον (adjectif)''' : futile, vain ; frivole.<br> '''ματαιότης, -τος (nom commun) (f)''' : futilité, vanité ; frivolité.<br> '''μάτημι (verbe)''' : Forme éolienne de ''πατέω''.<br> '''μάτηρ, -ρός (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μήτηρ''.<br> '''μάττω (verbe)''' : Forme attique de ''μάσσω''.<br> '''μαυρός, -ός, -όν (adjectif)''' : Forme alternative de ''ἀμαυρός''.<br> '''μάχαιρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : sabre.<br> '''μαχαιτάς, -δος (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''μαχητής''.<br> '''μαχανά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μηχανή''.<br> '''μαχατάρ, -ος (nom commun) (m)''' : Forme laconienne de ''μαχητής''.<br> '''μαχάτας, -ου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''μαχητής''.<br> '''μαχέομαι (verbe)''' : Forme ionienne de ''μάχομαι''.<br> '''μάχη, -ῆς (nom commun) (f)''' : Combat ; bataille.<br> '''μαχητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : combattant.<br> '''μάχλος, -ος, -ον (adjectif)''' : libertin, débauché.<br> '''μάχομαι (verbe)''' : combattre.<br> '''μᾶχος, -άχου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''μῆχος''.<br> '''μέγαθος, -άθεος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''μέγεθος''.<br> '''μεγαλομανής, -ής, -ές (adjectif)''' : mégalomane.<br> '''μέγας, -άλη, -α (adjectif)''' : grand.<br> '''μέγεθος, -έθους (nom commun) (n)''' : Grandeur, hauteur.<br> '''μεγιστάν, -ᾶνος (nom commun) (m)''' : magnat.<br> '''μέγιστος, -η, -ον (adjectif)''' : Superlatif de ''μέγας''.<br> '''μέδος, -ου (nom commun) (m)''' : hydromel.<br> '''μέδων, -οντος (nom commun) (m)''' : seigneur.<br> '''μέδω (verbe)''' : Commander, régner.<br> '''μεθίημι (verbe)''' : .<br> '''μέθυστος, -ος, -ον (adjectif)''' : ivre.<br> '''μέθυ, -ος (nom commun) (n)''' : vin.<br> '''μεθύω (verbe)''' : être ivre.<br> '''μεῖγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : mixture.<br> '''μείζων, -ων, -ον (adjectif)''' : Comparatif de ''μέγας''.<br> '''μεῖξις, -ίξεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''μεῖλον, -ίλου (nom commun) (n)''' : Forme béotienne de ''μῆλον''. (Au sens de « petit bétail ».)<br> '''μεῖραξ, -ίρακος (nom commun) (m/f)''' : jeune fille ; jeune garçon.<br> '''μείρομαι (verbe)''' : attribuer ; prendre.<br> '''μείωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : réduction.<br> '''μειῶ (verbe)''' : réduire.<br> '''μελάμπυγος, -ος, -ον (adjectif)''' : Qui a les fesses noires.<br> '''μελάντατος, -άτη, -άντατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μέλας''.<br> '''μελάντερος, -έρα, -άντερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μέλας''.<br> '''μελάνως (adverbe)''' : en noir.<br> '''μέλας, -αινα, -αν (adjectif)''' : noir ; sombre.<br> '''μελεαγρίς, -δος (nom commun) (f)''' : pintade.<br> '''μελετηρός, -ή, -όν (adjectif)''' : studieux.<br> '''μελετῶ (verbe)''' : étudier.<br> '''μελία, -ας (nom commun) (f)''' : frêne.<br> '''μελίζω (verbe)''' : moduler, chanter.<br> '''μελίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μελία''.<br> '''μέλι, -τος (nom commun) (f)''' : miel.<br> '''μέλισσα, -ης (nom commun) (f)''' : abeille.<br> '''μέλος, -ους (nom commun) (n)''' : Membre, articulation. Chant. <br> '''μελῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : mélodie.<br> '''μελῳδικός, -ή, -όν (adjectif)''' : mélodieux.<br> '''μελῳδός, -ή, -όν (adjectif)''' : musical.<br> '''μέλω (verbe)''' : être un objet de soin ; prendre soin de ; (impersonnel) être un sujet de souci.<br> '''μέλλων, -οντος (nom commun) (m)''' : futur.<br> '''μέμψις, -εως (nom commun) (f)''' : blâme ; censure.<br> '''μέμφομαι (verbe)''' : reprocher.<br> '''μέν (particule)''' : .<br> '''μένος, -ους (nom commun) (n)''' : Esprit. Courage, cœur, ardeur, volonté. Désir. Force, violence.<br> '''μέντοι (particule)''' : cependant.<br> '''μένω (verbe)''' : rester, demeurer. Attendre<br> '''μερίς, -δος (nom commun) (f)''' : part.<br> '''μέρος, -ους (nom commun) (n)''' : partie.<br> '''μεσαιπόλιος -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''µεσοστιχίς, -δος (nom commun) (f)''' : mésostiche.<br> '''μέσος, -η, -ον (adjectif)''' : médian.<br> '''μέσος, -ου (nom commun) (m)''' : majeur.<br> '''μεστός, -ή, -όν (adjectif)''' : plein.<br> '''μεστῶς (adverbe)''' : pleinement.<br> '''μεστώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μεστός''.<br> '''μεστώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μεστός''.<br> '''μεστῶ (verbe)''' : être plein.<br> '''μέσως (adverbe)''' : au milieu de.<br> '''μεσώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μέσος''.<br> '''μεσώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μέσος''.<br> '''μεσηγύ (adverbe)''' : au milieu.<br> '''μετά (adverbe)''' (Devient ''μετ’'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux, et ''μεθ’'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit rude.) : Au milieu, parmi.<br> '''μετα- (préfixe)''' : .<br> '''μεταϐαίνω (verbe)''' : changer ; dépasser.<br> '''μετάϐασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : changement ; dépassement.<br> '''μεταϐίϐασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : transfert ; transmission.<br> '''μεταϐιϐάζω (verbe)''' : transférer ; transmettre.<br> '''μεταγιγνώσκω (verbe)''' : regretter.<br> '''μετακινῶ (verbe)''' : .<br> '''μεταμέλεια, -ας (nom commun) (f)''' : repentir.<br> '''μεταμέλω (verbe)''' : se repentir.<br> '''μεταμόρφωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : transformation.<br> '''μετάνοια, -ίας (nom commun) (f)''' : repentance ; pénitence.<br> '''μετανοῶ (verbe)''' : faire pénitence.<br> '''μέταξα, -άξης (nom commun) (f)''' : soie.<br> '''µεταξύ (préposition)''' : entre.<br> '''μεταφέρω (verbe)''' : transporter.<br> '''μεταφορά, -άς (nom commun) (f)''' : transport.<br> '''μεταφράζω (verbe)''' : traduire.<br> '''μετάφρασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : traduction.<br> '''μετέωρος, -ος, -ον (adjectif)''' : élevé.<br> '''μέτοικος, -ίκου (nom commun) (m/f)''' : Individu étranger à une cité.<br> '''μετεωρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μετέωρος''.<br> '''μετεωρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μετέωρος''.<br> '''μετεωρότατα (adverbe)''' : Superlatif de ''μετεώρως''.<br> '''μετεωρότερον (adverbe)''' : Comparatif de ''μετεώρως''.<br> '''μετεώρως (adverbe)''' : de façon élevée.<br> '''μέτρον, -ου (nom commun) (n)''' : mesure.<br> '''μέτωπον, -ώπου (nom commun) (n)''' : front.<br> '''μέχρι (conjonction)''' : jusqu'à ce que.<br> '''μηδέν (adjectif numéral)''' : zéro.<br> '''μηδέποτε (adverbe)''' : jamais.<br> '''μηδικός, -ή, -όν (adjectif)''' : mède.<br> '''μῆδος, -ήδους (nom commun) (n)''' : mesure.<br> '''μή (particule)''' : non (subjectif).<br> '''μηλίτης, -ου (nom commun) (m)''' : cidre.<br> '''μῆλον, -ήλου (nom commun) (n)''' : Petit bétail ; pomme.<br> '''μηνιαῖος, -ία -ῖον (suffixe)''' : mensuel.<br> '''μηναιότατος, -άτη, -ότατον (suffixe)''' : Forme superlative de ''μηνιαῖος''.<br> '''μηναιότερος, -έρα, -ότερον (suffixe)''' : Forme comapartive de ''μηνιαῖος''.<br> '''μηναίως (suffixe)''' : mensuellement.<br> '''μήνη, -ης (nom commun) (f)''' : mère.<br> '''μῆνιγξ, -ήνιγγος (nom commun) (f)''' : membrane.<br> '''μῆνις, -ήνιος (nom commun) (f)''' : colère.<br> '''μήν, -ός (nom commun) (m)''' : mois.<br> '''μηριαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : fémural.<br> '''μηρóς, -οῦ (nom commun) (m)''' : côté, flanc ; cuisse, fémur.<br> '''μήτηρ, -ρός (nom commun) (f)''' : mère.<br> '''μητιάω (verbe)''' : ruse.<br> '''μητιόεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : .<br> '''μῆτις, -ήτεως (nom commun) (f)''' : ruse.<br> '''μήτις, -ις, -ι (pronom)''' : personne.<br> '''μήτρα, -ας (nom commun) (f)''' : matrice ; ventre ou sein de la mère.<br> '''μήτρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μήτρα''.<br> '''μητροκτονία, -ας (nom commun) (m)''' : matricide.<br> '''μητροκτόνος, -ου (nom commun) (m)''' : matricide.<br> '''μητρυιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : belle-mère.<br> '''μητρυιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : beau-père.<br> '''μηχανή, -ῆς (nom commun) (f)''' : machine ; engin. Invention.<br> '''μηχανικός, -ή, -όν (f)''' : mécanique ; ingénieux.<br> '''μηχανικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μηχανικός''.<br> '''μηχανικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μηχανικός''.<br> '''μηχανικῶς (adverbe)''' : mécaniquement ; ingénieusement.<br> '''μῆχος, -ήχους (nom commun) (n)''' : .<br> '''μιαίνω (verbe)''' : Salir, souiller, polluer, profaner, teindre, colorer.<br> '''μιαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : impur.<br> '''μίασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : Souillure provenant d’un meurtre. Personne souillée d’un meurtre.<br> '''μιασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Action de salir, souiller, tacher ; deuil, vêtements salis en signe de deuil, teinture.<br> '''μίγδην (adverbe)''' : confusément.<br> '''μῖγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''μικρός, -ά, -όν (adjectif)''' : petit.<br> '''μικρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : auriculaire.<br> '''μικρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μικρός''.<br> '''μικρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μικρός''.<br> '''μικρῶς (adverbe)''' : .<br> '''μιμάς, -δος (nom commun) (f)''' : actrice.<br> '''μιμεῖσθαι (verbe)''' : imiter.<br> '''μίμημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Imitation, copie ; contrefaçon.<br> '''μίμησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Imitation, représentation.<br> '''μιμητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : représentatif.<br> '''μιμητικῶς (adverbe)''' : représentativement.<br> '''μιμητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μιμητικός''.<br> '''μιμητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μιμητικός''.<br> '''μιμητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''μιμητικῶς''.<br> '''μιμητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''μιμητικῶς''.<br> '''μιμναίσκω (verbe)''' : Forme éolienne de ''μιμνήσκω''.<br> '''μιμνήσκω (verbe)''' : Rappeler à la mémoire. Rappeler une chose, mentionner.<br> '''μῖμος, -ίμου (nom commun) (m)''' : acteur.<br> '''μιμοῦμαι (verbe)''' : mimer.<br> '''μίνθη, -ης (nom commun) (f)''' : menthe.<br> '''µινώταυρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : minotaure.<br> '''μισανδρία, -ας (nom commun) (f)''' : misandrie.<br> '''μισάνδρος, -ος, -ον (adjectif)''' : misandre.<br> '''μισανθρωπία, -ας (nom commun) (f)''' : misanthropie.<br> '''μισάνθρωπος, -ος, -ον (adjectif)''' : misanthropie.<br> '''μισθός, -οῦ (nom commun) (m)''' : salaire.<br> '''μισθοφόρος, -ου (nom commun) (m)''' : mercenaire.<br> '''μισογύνης, -ου (nom commun) (m)''' : matcho.<br> '''μισογυνία, -ας (nom commun) (f)''' : misogynie.<br> '''μῖσος, -ίσους (nom commun) (n)''' : Haine, aversion ; objet de haine.<br> '''μισῶ (verbe)''' : détester, haïr.<br> '''μίτος, -ου (nom commun) (m)''' : fil.<br> '''μίτωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : mitose.<br> '''μνᾶ, -ᾶς (nom commun) (f)''' : mine (monnaie).<br> '''μνᾶμα, -άματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''μνῆμα''.<br> '''μνάμων, -ων, -ον (adjectif)''' : Forme dorienne de ''μνήμων''.<br> '''μνάομαι (verbe)''' : .<br> '''μναστήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''μνηστήρ''.<br> '''μνᾶστις, -άστεως (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μνῆστις''.<br> '''μνῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : tombe.<br> '''μνημεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : monument.<br> '''μνημήιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''μνημεῖον''.<br> '''μνήμων, -ων, -ον (adjectif)''' : .<br> '''μνηστήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : prétendant.<br> '''μνῆστις, -ήστεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''µvοῦς, -οῦ (nom commun) (m)''' : chatte (sexe féminin).<br> '''μόγις (adverbe)'''' : à peine.<br> '''μόγος, -ου (nom commun) (m)''' : peine ; labeur.<br> '''μόλις (adverbe)''' : Variante de ''μόγις''.<br> '''µοῖρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : part ; portion. Parti politique.<br> '''μοιχαλίς, -δος (nom commun) (f)''' : adultère (celle qui la commet).<br> '''μοιχεία, -ας (nom commun) (f)''' : adultère.<br> '''μοιχεύω (verbe)''' : commettre l’adultère.<br> '''μοιχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : adultère (celui qui la commet).<br> '''μόλυϐδος, -ύϐδου (nom commun) (m)''' : plomb.<br> '''μόλυνσις, -ύνσεως (nom commun) (f)''' : infection.<br> '''μομφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : reproche.<br> '''μονάς, -δος (nom commun) (f)''' : unité.<br> '''μοναχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : monastère.<br> '''μοναχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : moine.<br> '''μονή, -ῆς (nom commun) (f)''' : action de s’arrêter ; lieu où l’on séjourne.<br> '''μονόκερως, -έρωτος (nom commun) (f)''' : licorne.<br> '''μονομαχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : lieu de duel.<br> '''μονομαχέω (verbe)''' : se battre en duel.<br> '''μονομαχία, -ας (nom commun) (f)''' : duel.<br> '''μονομάχος, -ου (nom commun) (m)''' : duelliste.<br> '''μονόφθογγος, -όγγου (nom commun) (f)''' : monophtongue.<br> '''μόνος, -η, -ον (adjectif)''' : Seul, unique ; solitaire.<br> '''μόνϝος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme ancienne de ''μόνος''.<br> '''μονῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''μόνως (adverbe)''' : uniquement.<br> '''μονώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μόνος''.<br> '''μονώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μόνος''.<br> '''μορμολύκα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μορμολύκη''.<br> '''μορμολυκεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : croque-mitaine.<br> '''μορμολύκη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''μορμωτός, -ή, -όν (adjectif)''' : effroyable.<br> '''μορμῶ -οῦς (nom commun) (m)''' : monstre marin.<br> '''μορφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : forme.<br> '''μόρφωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : formation.<br> '''μορφῶ (verbe)''' : former.<br> '''μόσχευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : plant.<br> '''μοσχεύω (verbe)''' : planter.<br> '''μοσχοκαρύδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''μοσχοκάρυον''.<br> '''μοσχοκάρυον, -ύου (nom commun) (n)''' : noix de muscade.<br> '''μόσχος, -ου (nom commun) (m)''' : Musc ; pousse.<br> '''μοχθηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : malveillant ; souffrant.<br> '''μοχθηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μοχθηρός''.<br> '''μοχθηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μοχθηρός''.<br> '''μοχθηρῶς, -ά, -όν (adverbe)''' : .<br> '''μόχθος, -ου (nom commun) (m)''' : peine ; labeur.<br> '''μοχθῶ (verbe)''' : être malveillant.<br> '''μουνάς, -δος (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''μονάς''.<br> '''μοῦνος, -ύνη, -ῦνον (adjectif)''' : Forme homérique et ionienne de ''μόνος''.<br> '''μῶλυ, -ώλυος (nom commun) (n)''' : moly.<br> '''μῶνος, -η, -ον (adjectif)''' : Forme dorienne de ''μόνος''.<br> '''μορμολύκειον, -ίου (nom commun) (n)''' : masque.<br> '''μορφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : forme.<br> '''μόρφωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : formation.<br> '''μουσεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : musée.<br> '''μούσμων, -ονος (nom commun) (m)''' : mouflon.<br> '''μυδάω (verbe)''' : être moite.<br> '''μυγαλῆ, -ς (nom commun) (f)''' : musaraigne.<br> '''μύγις (adverbe)''' : Forme éolienne de ''μόγις''.<br> '''μυελός, -οῦ (nom commun) (m)''' : moelle.<br> '''μυζῶ (verbe)''' : sucer.<br> '''μυθικός, -ή, -όν (adjectif)''' : mythique.<br> '''μυθιστορία, -ας (nom commun) (f)''' : légende.<br> '''μυθιστορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : légendaire.<br> '''μῦθος, -ύθου (nom commun) (m)''' : mythe.<br> '''μυῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : mouche.<br> '''μύκης, -τος (nom commun) (m)''' : Champignon. (Par analogie) Toute excroissance fougueuse. Champignon que se forme à la mèche d’une lampe. Virole d’une gaine. Membre viril.<br> '''μυκτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : museau.<br> '''μύλη, -ης (nom commun) (f)''' : moulin.<br> '''μυλεργάτης, -ου (nom commun) (m)''' : meunier.<br> '''μυλών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : meunier.<br> '''μύξα, -ας (nom commun) (f)''' : morve.<br> '''μυρίαπους, -δος (nom commun) (m)''' : mille-pattes.<br> '''μυριάς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''μυρίος, -α, -ον (adjectif)''' : Innombrable, immense ; infini.<br> '''μύρμηξ, -κος (nom commun) (m)''' : fourmi.<br> '''μυροϐάλανος, -άνου (nom commun) (f)''' : myrobolan.<br> '''μύρος, -ου (nom commun) (m)''' : parfum.<br> '''μυρσίνα, - (nom commun) (f)''' : myrtille.<br> '''μύρτος, -ου (nom commun) (f)''' : myrtille.<br> '''μῦς, -ός (nom commun) (m)''' : Rat ; souris. Muscle.<br> '''μύσταξ, -κος (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''μάσταξ'' ; moustache.<br> '''μυστήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : sacrement.<br> '''μυστηριώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : relatif aux sacrements.<br> '''μυστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : secret.<br> '''μυστικῶς (adverbe)''' : secrètement.<br> '''μυστικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''μυστικός''.<br> '''μυστικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''μυστικός''.<br> '''µῦ (nom commun) (n)''' : mu.<br> '''μύχιος, -α, -ον (adjectif)''' : intime.<br> '''μυχός, -οῦ (nom commun)''' : cœur.<br> '''μῶλυ, -ώλυος (nom commun) (n)''' : moly.<br> '''μῶμαι (verbe)''' : méditer.<br> '''μῶμος, -ώμου (nom commun) (m)''' : blâme.<br> '''μῶνυξ, -ώνυχος (nom commun) (m)''' : .<br> '''μωρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Émoussé, hébété. Fade, Insipide. Sot, fou, insensé.<br> '''μῶρος, -ώρα, -ῶρον (adjectif)''' : Forme attique de ''μωρός''.<br> '''Μάατ (nom propre) (f)''' : Maât.<br> '''Μαθθαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Ματθαῖος''.<br> '''Μαθουσάλα, -ας (nom propre) (m)''' : Mathusalem.<br> '''Μαῖα, -ίας (nom propre) (f)''' : Maïa.<br> '''Μαῖρα, -ίρας (nom propre) (f)''' : Maera.<br> '''Μακάριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Macaire.<br> '''Μακαρία, -ας (nom propre) (f)''' : Macaria.<br> '''Μάνης, -ου (nom propre) (m)''' : Mani (prophète).<br> '''Μαντώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Manto.<br> '''Μάξυος, -ου (nom commun) (m)''' : Berbère.<br> '''Μαραθών, -ῶνος (nom propre) (m)''' : Marathon.<br> '''Μαργαρίτα, -ας (nom commun) (f) ''' : Marguerite.<br> '''Μαρδοχαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Mardochée.<br> '''Μάρθα, -ας (nom propre) (f)''' : Martha.<br> '''Μαρία, -ας (nom propre) (f)''' : Marie.<br> '''Μασσαλία, -ας (nom propre) (f)''' : Marseille.<br> '''Μασσαλιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : Marseillais.<br> '''Μασσαλιῶτις, -ώτιδα (nom commun) (f)''' : Marseillaise.<br> '''Μαῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : Maure.<br> '''Μαυσωλεῖον, -ίου (nom propre) (m)''' : Mausolée.<br> '''Μαύσωλος, -ώλου (nom propre) (m)''' : Mausole.<br> '''Ματθαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Matthieu.<br> '''Μέγαιρα, -ίρας (nom propre) (f)''' : Mégère (une des Érynies).<br> '''Μέδουσα, -ας (nom propre) (f)''' : Méduse.<br> '''Μελέαγρος, -άγρου (nom propre) (m)''' : Méléagre.<br> '''Μελησιγενής, -οῦ (nom propre) (m)''' : Mélésigène.<br> '''Μέλης (nom propre) (m)''' : Mélès (rivière).<br> '''Μελέτη, -ης (nom propre) (f)''' : Mélété.<br> '''Μέλισσα, -ίσσης (nom propre) (f)''' : Mélissa.<br> '''Μελίτη, -ης (nom propre) (f)''' : Mélite.<br> '''Μελπομένη, -ης (nom propre) (f)''' : Melpomène.<br> '''Μελχισέδεκ (nom propre) (m)''' : Melchisédech.<br> '''Μέμφις, -δος (nom propre) (f)''' : Memphis.<br> '''Μενίππη, -ης (nom propre) (f)''' : Ménippe.<br> '''Μένιππος, -ίππου (nom propre) (m)''' : Ménippe.<br> '''Μεχείρ (nom commun) (m)''' : Méchir.<br> '''Μήδεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Médée.<br> '''Μηδία, -ας (nom propre) (f)''' : Médie.<br> '''Μῆδος, -ήδου (nom commun) (m)''' : Mède.<br> '''Μηλινόη, -ης (nom propre) (f)''' : Mélinoé.<br> '''Μῆτις, -ήτιδος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Métis|Métis]].<br> '''Μίδας, -ου (nom propre) (m)''' : Midas.<br> '''Μίθρας, -ου (nom propre) (m)''' : Mithra.<br> '''Μίθρης, -ου (nom propre) (m)''' : Forme ionienne de ''Μίθρας''.<br> '''Μιθριδάτης, -ου (nom propre) (m)''' : Mithridate.<br> '''Μιχαίας, -ου (nom propre) (m)''' : Michée.<br> '''Μίνως, -ωος (nom propre) (m)''' : Minos.<br> '''Μίσφρης, -ου (nom propre) (m)''' : Menkhéperrê.<br> '''Μνεῦις, -ύιδος (nom propre) (m)''' : Mnévis.<br> '''Μοῖρα, -ίρας (nom propre) (f)''' : Moire.<br> '''Μοῖσα, -ίσης (nom propre) (f)''' : Forme éolienne de ''Μοῦσα''.<br> '''Μόνοικος, -ίκου (nom propre) (f)''' : Monaco.<br> '''Μορμώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Mormo.<br> '''Μορφεύς, -έως (nom propre) (m)''' : [[wikt:Morphée|Morphée]].<br> '''Μοῦσα, -ύσης (nom propre) (f)''' : Muse.<br> '''Μοϋσῆς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Μωϋσῆς''.<br> '''Μυκερίνος, -ου (nom propre) (m)''' : Mykérinos.<br> '''Μύρμηξ, -ηκος (nom propre) (f)''' : Myrmex.<br> '''Μῶμος, -ώμου (nom propre) (m)''' : Momos.<br> '''Μωσῆς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Μωϋσῆς''.<br> '''Μωϋση, -ης (nom propre) (m)''' : Forme alternative de ''Μωϋσῆς''.<br> '''Μωϋσῆς, -έως (nom propre) (m)''' : Moïse.<br> '''Μῶσα, -ώσης (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Μοῦσα''.<br> '''Μῶἁ, -ἁς (nom propre) (f)''' : Forme laconienne de ''Μοῦσα''.<br> ==Ν== '''ναϝός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme laconienne de ''ναός''.<br> '''ναί (particule)''' : oui.<br> '''ναίχι (adverbe)''' : certes.<br> '''ναίω (verbe)''' : Habiter. Héberger. Construire ; s’installer quelque part.<br> '''νᾶνος, -άνου (nom commun) (m)''' : nain.<br> '''ναός, -οῦ (nom commun) (m)''' : temple.<br> '''νᾶπυ, -άπυος (nom commun) (f)''' : moutarde (plante).<br> '''νάρθηξ, -κος (nom commun) (f)''' : férule.<br> '''ναρθηκοφόρος, -ου (nom commun) (m)''' : licteur.<br> '''νάρκη, -ης (nom commun) (f)''' : torpeur.<br> '''νάρκωσις, -όσεως (nom commun) (f)''' : engourdissement.<br> '''ναρκωτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : engourdissant.<br> '''ναρκῶ (verbe)''' : engourdir.<br> '''νάσσω (verbe)''' : Presser, fouler. Bourrer, emplir ; encombrer.<br> '''ναύκληρος, -ήρου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ναῦος, -ύου (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''ναός''.<br> '''ναῦς, -εώς (nom commun) (f)''' : navire.<br> '''ναυτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : marin.<br> '''ναύτης, -ου (nom commun) (m)''' : marin.<br> '''νάφθα, -ης (nom commun) (f)''' : naphte.<br> '''νεανιεία, -ας (nom commun) (f)''' : jouvence.<br> '''νεανίας, -ου (nom commun) (m)''' : jouvenceau.<br> '''νεᾶνις, -άνιδος (nom commun) (f)''' : jouvencelle.<br> '''νεανιεύομαι (verbe)''' : .<br> '''νεανίζω (verbe)''' : .<br> '''νεηνίης, -ου (nom commun) (m)''' : Forme homérique et ionienne de ''νεανίας''.<br> '''νεῆνις, -ήνιδος (nom commun) (f)''' : Forme homérique et ionienne de ''νεᾶνις''.<br> '''νεῖκος, -ίκους (nom commun) (n)''' : Bataille ; combat.<br> '''νεῖλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : rivière de vallée.<br> '''νεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : Forme ionienne de ''νέος''.<br> '''νεκραγωγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : nécragogue.<br> '''νεκρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mort, cadavre.<br> '''νεκροψία, -ας (nom commun) (f)''' : nécropsie.<br> '''νεκυαγωγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : nékyagogue.<br> '''νεκυάμϐατος, -άτου (nom commun) (m)''' : .<br> '''νεκυδαίμων, -ονος (nom commun) (m)''' : .<br> '''νεκυηπόλος, - (nom commun) (m)''' : .<br> '''νέκυια, -ίας (nom commun) (f)''' : descente aux Enfers.<br> '''νεκυοδαίμων, -ονος (nom commun) (m)''' : .<br> '''νεκυομαντεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : nékyomantien.<br> '''νεκυοπομπός, -οῦ (nom commun) (m)''' : nékyopompe.<br> '''νέκυς, -ος (nom commun) (m)''' : mort.<br> '''νάννα, -ας (nom commun) (f)''' : tante.<br> '''νέμος, -ους (nom commun) (n)''' : clairière.<br> '''νέμω (verbe)''' : Distribuer, partager, attribuer une part, diviser, découper. Attribuer à un troupeau la partie du pâturage où on le mène paître. Habiter. Occuper, détenir. Conduire, gouverner, administrer. Tenir pour, regarder comme (avec double accusatif). (Par suite) Choisir pour, admettre comme.<br> '''νέννος, -ου (nom commun) (m)''' : oncle.<br> '''νέομαι (verbe)''' : arriver.<br> '''νεοσσιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : nid.<br> '''νεοσσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : oisillon, poussin.<br> '''νέος, -α, -ον (adjectif)''' : Nouveau ; jeune. Neuf.<br> '''νευρόσπαστον, -ου (nom commun) (n)''' : marionnette.<br> '''νεῦρον, -ύρου (nom commun) (n)''' : Fibre ; nerf.<br> '''νευρώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : nerveux.<br> '''νεῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : nœud.<br> '''νεύω (verbe)''' : hocher la tête.<br> '''νέφος, -ους (nom commun) (n)''' : nuage.<br> '''νεφρῖτις, -ίτης (nom commun) (f)''' : néphrite (maladie).<br> '''νεφρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : rein.<br> '''νεώς, -ώ (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''ναός''.<br> '''νέω (verbe)''' : Flotter ; filer la laine.<br> '''νή (particule)''' : par. (Particule interjective.) (+ nom de divinité a l’accusatif)<br> '''νῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : fil.<br> '''νηματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''νηματώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : fibreux.<br> '''νηός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ναός''.<br> '''νήπιον, -ίου (nom commun) (n)''' : bébé.<br> '''νήπιος, -ίου (nom commun) (m)''' : bébé.<br> '''νήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : laurier-rose.<br> '''νῆσσα, -ήσσης (nom commun) (f)''' : canard.<br> '''νηστεία, -ας (nom commun) (f)''' : jeûne.<br> '''νηστεύω (verbe)''' : jeûner.<br> '''νῆττα, -ήττης (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''νῆσσα''.<br> '''νίζω (verbe)''' : nettoyer.<br> '''νικέω (verbe)''' : Forme ionienne de ''νικῶ''.<br> '''νίννη, -ης (nom commun) (f)''' : grand-mère ; belle-mère.<br> '''νίκη, -ης (nom commun) (f)''' : victoire.<br> '''νικῶ (verbe)''' : vaincre.<br> '''νιπτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : lavabo.<br> '''νίπτω (verbe)''' : Variante de ''νίζω''.<br> '''νίφω (verbe)''' : neiger.<br> '''νίψ, -φος (nom commun) (f)''' : neige.<br> '''νόημα, -ήµατος (nom commun) (n)''' : Source de la pensée ; intelligence. Pensée (chose).<br> '''νόησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : pensée (processus).<br> '''νοητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Mental ; intellectuel.<br> '''νοητικῶς (adverbe)''' : Mentalement ; intellectuellement.<br> '''νοητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''νοητικός''.<br> '''νοητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''νοητικός''.<br> '''νοητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''νοητικῶς''.<br> '''νοητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''νοητικῶς''.<br> '''νοητός, -ή, -όν (adjectif)''' : pensable.<br> '''νοητῶς (adverbe)''' : .<br> '''νοητώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''νοητός''.<br> '''νοητώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''νοητός''.<br> '''νομάς, -δος (nom commun) (m/f)''' : nomade.<br> '''νομοθέτης, -ου (nom commun) (m)''' : législateur.<br> '''νόμος, -ου (nom commun) (m)''' : Ce qui est attribué en partage. (Par suite) Opinion générale. Maxime. Règle de conduite.<br> '''νομός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Part, portion. (Par extension) Division de territoire. Pâturage, pacage. Herbe, fourrage.<br> '''νόννος, -ου (nom commun) (m)''' : grand-père ; beau-père.<br> '''νόος, -ου (nom commun) (m)''' : Faculté de penser.<br> '''νόσημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : infirmité ; fléau.<br> '''νοσοκομεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : hôpital.<br> '''νοσοκόμος, -ος, -ν (adjectif)''' : soignant<br> '''νόσος, -ου (nom commun) (f)''' : maladie.<br> '''νότιος, -ία, -ιον (adjectif)''' : méridional.<br> '''νοτιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''νότιως''.<br> '''νοτιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''νότιως''.<br> '''νοτιώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''νότιως''.<br> '''νοτιώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''νότιως''.<br> '''νότιως (adverbe)''' : méridionalement.<br> '''νότος, -ου (nom commun) (m)''' : sud.<br> '''νουθετέω (verbe)''' : Admonester ; avertir. Conseiller.<br> '''vοῦς, -οῦ (nom commun) (m)''' : Variante de ''νόος''.<br> '''νοῶ (verbe)''' : Penser. Percevoir, noter, observer. Ourdir. Avoir l’intention de. (Linguistique) Signifier, en parlant des mots.<br> '''νυκτάλωψ, -πία (nom commun) (f)''' : nyctalopie.<br> '''νυκτερίς, -δος (nom commun) (f)''' : chauve-souris.<br> '''νύκτερος, -ος, -ον (adjectif)''' : nocturne.<br> '''νύμφα, -ῦμφας''' : Forme dorienne de ''νύμφη''.<br> '''νύμφη, -ης (nom commun) (f)''' : nymphe.<br> '''νυμφόληπτος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''νυμφιάω (verbe)''' : Être possédé des nymphes ; être en délire.<br> '''νυμφομανία, -ας (nom commun) (n)''' : nymphomanie.<br> '''νῦν (adverbe)''' : maintenant.<br> '''νύξ, -κτός (nom commun) (f)''' : nuit.<br> '''νυός, -οῦ (nom commun) (f)''' : belle-fille.<br> '''νῦ (nom commun) (n)''' : nu.<br> '''νῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''νόημα''.<br> '''νωπός, -ή, -όν (adjectif)''' : frais.<br> '''νῶσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''νόησις''.<br> '''νωτίζω (verbe)''' : tourner le dos.<br> '''νῶτον, -ώτου (nom commun) (n)''' : (Anatomie) Derrière, dos. (Figuré) Large surface courbe (mer, ciel).<br> '''νωτοστροφέω (verbe)''' : tourner le dos.<br> '''νώ (pronom personnel)''' : nous (nous deux).<br> '''Ναϐαταῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Nabatéen.<br> '''Ναϐατηνή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Nabatea.<br> '''Ναϊάς, -δος (nom propre) (f)''' : Naïade.<br> '''Νάρκισσος, -ίσσου (nom propre) (m)''' : Narcisse.<br> '''Ναυσίθοος, - (nom propre) (m)''' : Nausithoos.<br> '''Ναυσικάα, -ας (nom propre) (f)''' : Nausicaa.<br> '''Ναυσίνοoς, - (nom propre) (m)''' : Nausinoos.<br> '''Νέαιρα, -ίρας (nom propre) (f)''' : Nérée.<br> '''Νεάπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Naples.<br> '''Νεῖλος, -ίλου (nom propre) (m)''' : Nil.<br> '''Νειλῶτις, -ώτεως (nom propre) (f)''' : Nilotis.<br> '''Νέμεσις, -έσεως (nom propre) (f)''' : [[wikt:Némésis|Némésis]].<br> '''Νέσσος, -ου (nom propre) (m)''' : Nessos.<br> '''Νέστωρ, -ορος (nom propre) (m)''' : Nestor.<br> '''Νεφέλη, -ης (nom propre) (f)''' : Néphélé.<br> '''Νεφελοκοκκυγία, -ας (nom propre) (f)''' : Coucouville-les-Nuées. (Ville décrite par Aristophane dans ''Les Oiseaux''.)<br> '''Νηρεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Nérée.<br> '''Νηρῇς, -δος (nom propre) (f)''' : Néréide.<br> '''Νίκαια, -ίας (nom propre) (f)''' : Nice.<br> '''Νίκανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Nicandre.<br> '''Νίκη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Niké|Niké]].<br> '''Νικόλαος, -άου (nom propre) (m)''' : Nicolas.<br> '''Νιόϐη, -ης (nom propre) (f)''' : Niobé.<br> '''Νότος, -ου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Notos|Notos]]. (dieu du vent du sud)<br> '''Νουμιδία, -ας (nom propre) (f)''' : Numidie.<br> '''Νύξ, -κτός (nom propre) (f)''' : [[wikt:Nyx|Nyx]].<br> '''Νῶε (nom propre) (m)''' : Noé.<br> ==Ξ== '''ξανθóς, -ή, -όν (adjectif)''' : Jaune ; jaunâtre. Blond.<br> '''ξενοδοχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : hôtel.<br> '''ξένος, -η, -ον (adjectif)''' : étranger, insolite.<br> '''ξένος, -ου (nom commun) (m)''' : étranger ; hôte.<br> '''ξενών, -ῶνος (nom commun) (f)''' : .<br> '''ξέσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ξεχνῶ (verbe)''' : oublier.<br> '''ξέω (verbe)''' : gratter ; raser. Polir.<br> '''ξηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : sec.<br> '''ξῖ (nom commun) (n)''' : xi.<br> '''ξιφίας, -ου (nom commun) (m)''' : espadon.<br> '''ξιφίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : dague.<br> '''ξίφος, -ους (nom commun) (n)''' : glaive.<br> '''ξύλον, -ου (nom commun) (n)''' : bois (matériau). Tout objet en bois.<br> '''ξυλόσπογγος, -όγγου (nom commun) (m)''' : tersorium.<br> '''ξύλωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : charpente.<br> '''ξυνός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''κοινός''.<br> '''ξύω (verbe)''' : Variante de ''ξέω''.<br> '''Ξενοφῶν, -τος (nom propre) (m)''' : Xénophon.<br> '''Ξέρξης, -ου (nom propre) (m)''' : Xerxès.<br> '''Ξοῦθος, -ύθου (nom propre) (m)''' : Xouthos.<br> ==Ο== '''ὁ (article défini)''' : le.<br> '''ὄασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : Voie, route ; chemin.<br> '''ὀγδοήκοντα (adjectif numéral)''' : quatre-vingts.<br> '''ὀγκάομαι (verbe)''' : .<br> '''ὄγκος, -ου (nom commun) (m)''' : tumeur.<br> '''ὄγχνη, -ης (nom commun) (f)''' : poirier.<br> '''ὅδερος, -έρου (nom commun) (m)''' : ventre.<br> '''ὁδηγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : conducteur.<br> '''ὁδηγῶ (verbe)''' : conduire.<br> '''ὁδός, -οῦ (nom commun) (f)''' : Voie, route ; chemin.<br> '''ὀδούς, -όντος (nom commun) (m)''' : dent.<br> '''ὀδμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Forme plus ancienne de ''ὀσμή''.<br> '''ὀδύνη, -ης (nom commun) (f)''' : douleur ; chagrin.<br> '''ὀδυσάω (verbe)''' : Haïr ; être fâché.<br> '''ὀδυσσειακός, -ή, -όν (adjectif)''' : odysséen.<br> '''ὀδύσσομαι (verbe)''' : Être irrité contre quelqu’un.<br> '''ὄζω (verbe)''' : Exhaler une odeur.<br> '''ὅθεν (adverbe relatif)''' : d’où (je viens).<br> '''οἷ (adverbe relatif)''' : là où (je vais).<br> '''ὀθόνη, -ης (nom commun) (f)''' : toile.<br> '''οἴ (interjection)''' : hélas ; ouille.<br> '''οἴκημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : résidence.<br> '''οἰκηματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : résidentiel.<br> '''οἰκημάτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''οἰκητήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : domicile.<br> '''οἰκοπεδικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''οἰκόπεδον, -έδου (nom commun) (n)''' : .<br> '''οἰκοπεδοποίησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''οἶκος, -ου (nom commun) (m)''' : maison.<br> '''οἰκοῦμαι (verbe)''' : .<br> '''οἰκουμένη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''οἰκουμενικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ϝοῖκος, -ίκου (nom commun) (m)''' : Forme ancienne de ''οἶκος''.<br> '''οἰκεῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : de la maison.<br> '''οἰκός, -τος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''εἰκός''.<br> '''οἰκοτροφεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : pensionnat.<br> '''οικότροφος, -όφου (nom commun) (m/f)''' : pensionnaire.<br> '''οἶκτος, -ἴκτου (nom commun) (m)''' : pitié.<br> '''οἰκτρός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''οἰκτρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''οἰκτρός''.<br> '''οἰκτρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''οἰκτρός''.<br> '''οἰκτρότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''οἰκτρῶς''.<br> '''οἰκτρότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''οἰκτρῶς''.<br> '''οἰκτρῶς (adverbe)''' : .<br> '''οἰκῶ (verbe)''' : Habiter ; occuper.<br> '''οἴμοι (interjection)''' : pauvre de moi.<br> '''οἶνος, -ἴνου (nom commun) (m)''' : vin.<br> '''ϝοῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''οἶνος''.<br> '''οἰνοχόη, -ης (nom commun) (f)''' : œnochoé ; échansonne.<br> '''οἰνοχόος, -ου (nom commun) (m)''' : échanson.<br> '''ὄϊς, -ΐος (nom commun) (m/f)''' : bélier ; brebis.<br> '''οἶς, -ός (nom commun) (m/f)''' : Forme attique de ''ὄϊς''.<br> '''οἷος, -ἵα, -ἷον (adjectif)''' : tel.<br> '''οἰσοφάγος, -ου (nom commun) (m)''' : œsophage.<br> '''οἶσος, -ἴσου (nom commun) (m)''' : gattilier.<br> '''οἶστρος, -ίστρου (nom commun) (m)''' : (au propre) taon. (au figuré) fureur, désir ; passion.<br> '''οἶτος, -ἴτου (nom commun) (m)''' : destin.<br> '''οἰφόλης, -ης, ες (adjectif)''' : obscène.<br> '''οἴφω (verbe)''' copuler.<br> '''οἰωνοσκοπία, -ας (nom commun) (f)''' : augure.<br> '''οἰωνοσκόπος, -ου (nom commun) (m)''' : augure.<br> '''οἰωνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : présage, augure.<br> '''ὀκνείω (verbe)''' : Forme homérique de ''ὀκνέω''.<br> '''ὀκνέω (verbe)''' : hésiter.<br> '''ὄκνος, -ου (nom commun) (m)''' : hésitation.<br> '''ὀκτώ (adjectif numéral)''' : huit.<br> '''ὄκχος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme poétique de ''ὄχος''.<br> '''ὀλιγάρχης, -ου (nom commun) (m)''' : oligarque.<br> '''ὀλιγαρχία, -ας (nom commun) (f)''' : oligarchie.<br> '''ὀλίγος, -η, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ὁλικός, -ή , -όν (adjectif)''' : total.<br> '''ὁλικῶς (adverbe)''' : totalement.<br> '''ὁλικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὁλικός''.<br> '''ὁλικώτερος, -έρη, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὁλικός''.<br> '''ὁλικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ὁλικῶς''.<br> '''ὁλικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ὁλικῶς''.<br> '''ὄλισϐος, -ίσϐου (nom commun) (m)''' : godemichet.<br> '''ὁλκή, -ῆς (nom commun) (f)''' : attraction.<br> '''ὄλλυμι (verbe)''' : (Sens actif) Perdre, causer la perte, détruire, annihiler. Mourir. (Sens passif) Périr.<br> '''ὅλος, -η, -ον (adjectif)''' : entier, complet.<br> '''ὁλοφύρομαι (verbe)''' : .<br> '''ὄλπη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''ὀλυμπιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : olympien.<br> '''ὀλυμπικός, -ή, -όν (adjectif)''' : olympique.<br> '''ὀλύμπιος, -ία, -ύμπιον (adjectif)''' : olympien.<br> '''ὁμαδικός, -ήν, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ὁμαλός, -ή, -όν (adjectif)''' : lisse.<br> '''ὁμάς, -δος (nom commun) (f)''' : équipe.<br> '''ὄμϐρος, -ου (nom commun) (m)''' : tempête de pluie, orage, envoyé par Zeus. Eau. Inondation.<br> '''ὁμηρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : homérique.<br> '''ὅμηρος, -ήρου (nom commun) (m/f)''' : otage.<br> '''ὂ μικρόν (nom commun) (n)''' : omicron.<br> '''ὁμιλία, -ας (nom commun) (f)''' : discours.<br> '''ὁμιλῶ (verbe)''' : discourir.<br> '''ὁμίχλη, -ης (nom commun) (f)''' : brouillard.<br> '''ὄμμα, -τος (nom commun) (n)''' : œil.<br> '''ὅμοιος, ία, -ον (adjectif)''' : semblable.<br> '''ὁμοῖος, -, -ῖον (adjectif)''' : Forme homérique, ionienne, et ancienne attique de ''ὅμοιος''.<br> '''ὁμοίιος, -, - (adjectif)''' : Forme homérique de ''ὅμοιος''.<br> '''ὁμοιοκαταληξία, -ας (nom commun) (f)''' : rime.<br> '''ὁμοιοκατάληκτος, -η, -ο (adjectif)''' : rimique.<br> '''ὁμοιοκαταληκτῶ (verbe)''' : rimer.<br> '''ὁμοούσιος, -ος, -ον (adjectif)''' : de même substance.<br> '''ὁμοιούσιος, -ος, -ον (adjectif)''' : de nature semblable.<br> '''ὁμοιοτέλευτος, -ύτου (nom commun) (m)''' : homéotéleute.<br> '''ὀμοίωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : effigie.<br> '''ὁμόνοια, -ας (nom commun) (f)''' : concorde.<br> '''ὁμός, -ή, -όν (adjectif)''' : Pareil ; semblable.<br> '''ὁμοῦ (adverbe)''' : En un même lieu, ensemble. (Par suite) Ensemble, à la fois. (Par extension) Auprès, proche.<br> '''ὀμφαλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : nombril.<br> '''ὀμφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : oracle, prophétie.<br> '''ὀμφής, -ής, -ές : (adjectif)''' : prophétique.<br> '''ὀμφητήρ, -τρός (nom commun) (m)''' : prophète.<br> '''ὄνειδος, -ίδους (nom commun) (n)''' : Reproche ; disgrâce.<br> '''ὀνειρευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : rêveur.<br> '''ὄνειρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : rêve.<br> '''ὀνειροπόλος, -ου (nom commun) (m)''' : rêvasseur.<br> '''ὀνειροπωλῶ (verbe)''' : rêvasser.<br> '''ὀνοκρόταλος, -άλου (nom commun) (m)''' : pélican.<br> '''ὄνομα, -όματος (nom commun) (n)''' : nom.<br> '''ὀνοματοποιία, -ας (nom commun) (f)''' : mot imitant un son.<br> '''ὄνος, -ου (nom commun) (m/f)''' : Âne ; ânesse.<br> '''ὄνυξ, -χος (nom commun) (m)''' : ongle.<br> '''ὄνυμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne et éolienne de ''ὄνομα''.<br> '''ὀνύχιον, -ίου (nom commun) (m)''' : griffe.<br> '''ὄνω (adverbe)''' : Forme éolienne de ''ἄνω''.<br> '''ὀξίνης, -ης, -ες (adjectif)''' : aigre.<br> '''ὀξύα, -ας (nom commun) (f)''' : Hêtre. Arme en bois de hêtre comme un épieu ou un javelot.<br> '''ὀξύγαλα, -άλακτος (nom commun) (n)''' : petit-lait.<br> '''ὀξύμωρος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ὀξύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Aigu. Pointu. Tranchant en parlant d’une arme. Piquant en parlant de la sensation (chaleur, froid, douleur), du goût (acidité). Vif. Fin, pénétrant. Prompt à l’action.<br> '''ὀξύτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὀξύς''.<br> '''ὀξύτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὀξύς''.<br> '''ὀπαδός, -οῦ (nom commun) (m)''' : fan.<br> '''ὀπάζω (verbe)''' : .<br> '''ὀπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Trou ; orifice.<br> '''ὄπιον, -ίου (nom commun) (n)''' : opium.<br> '''ὄπισθεν (adverbe)''' : arrière, derrière.<br> '''ὄπις, -δος (nom commun) (f)''' : (Sens négatif) Revanche, vengeance. (Sens positif) Regard bienveillant, égard. (Religion) Égards dûs aux dieux par les hommes.<br> '''ὄπις (adverbe)''' : en arrière (sans mouvement).<br> '''ὀπίσω (adverbe)''' : en arrière (avec mouvement), vers l’arrière.<br> '''ὁπλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : sabot (corne pédestre de certains animaux).<br> '''ὅπλη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme homérique de ''ὁπλή''.<br> '''ὁπλήεις, -εις, -ης (f)''' : .<br> '''ὁπλίτης, -ου (nom commun) (m)''' : Soldat pesamment armé.<br> '''ὅπλον, -ου (nom commun) (n)''' : Outil. (Au pluriel) Armes.<br> '''ὀποπάναξ, -κος (nom commun) (m)''' : jus de légume.<br> '''ὀπός, -οῦ (nom commun) (m)''' : jus ; suc.<br> '''ὀπτασία, -ας (nom commun) (f)''' : fantasme.<br> '''ὀπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : visuel.<br> '''ὀπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : Rôti, grillé. (Par extension) Cuit. Visible, vu.<br> '''ὀπτῶ (verbe)''' : Rôtir, griller.<br> '''ὅραμα, -άματος (nom commun) (n)''' : vision, spectacle.<br> '''ὄρασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : vue.<br> '''ὁρατός, -ή, -όν, (adjectif)''' : visible.<br> '''ὁράω (verbe)''' : voir, regarder.<br> '''ὀρεάς, -δος (nom commun) (f)''' : oréade.<br> '''ὁρέω (verbe)''' : Forme ionienne de ''ὁράω''.<br> '''ὄρημι (verbe)''' : Forme éolienne de ''ὁράω''.<br> '''ὄργανον, -άνου (nom commun) (n)''' : organe, instrument de musique.<br> '''ὀργασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : point culminant du plaisir sexuel.<br> '''ὀργάς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''ὀργή, -ῆς (nom commun) (f)''' : colère.<br> '''ὀργῶ (verbe)''' : enfler, être empli de désir amoureux.<br> '''ὄρεξις, -έξεως (nom commun) (f)''' : appétit.<br> '''ὀρθογραφία, -ας (nom commun) (f)''' : écriture correcte.<br> '''ὀρθόδοξος, -ος, -ον (adjectif)''' : orthodoxe.<br> '''ὀρθός, -ή, -όν (adjectif)''' : droit.<br> '''ὀρθότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὀρθός''.<br> '''ὀρθότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὀρθός''.<br> '''ὀρθῶς (adverbe)''' : droitement.<br> '''ὁρίζων, -οντος (m)''' : horizon.<br> '''ὁρίζω (verbe)''' : limiter, borner.<br> '''ὁρμά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Saut, essor.<br> '''ὁρμέω (verbe)''' : (Marine) Mouiller, être à l'ancrage.<br> '''ὁρμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : élan (rapidité).<br> '''ὅρμημα, -ήματος (nom commun) (f)''' : impulsion, désir.<br> '''ὅρμησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : élan.<br> '''ὁρμητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : impétueux.<br> '''ὁρμητικῶς (adverbe)''' : impétueusement.<br> '''ὁρμητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὁρμητικός''.<br> '''ὁρμητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὁρμητικός''.<br> '''ὁρμητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ὁρμητικῶς''.<br> '''ὁρμητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ὁρμητικῶς''.<br> '''ὁρμητικότης, -τος (nom commun) (f)''' : impétuosité.<br> '''ὁρμῶ (verbe)''' : Pousser, démarrer, mettre en mouvement ; presser, se presser ; aller vite.<br> '''ὄρνεον, -έου (nom commun) (n)''' : oiseau.<br> '''ὄρνις, -θος (nom commun) (m/f)''' : oiseau.<br> '''ὄρνυμι (verbe)''' : animer, inciter.<br> '''ὄρος, -ους (nom commun) (m)''' : Montagne ; colline, hauteur.<br> '''ὅρος, -ου (nom commun) (m)''' : borne.<br> '''ὀρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : sérum.<br> '''ὄρρος, -ου (nom commun) (m)''' : (Familier) cul.<br> '''ὀροφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : plafond.<br> '''ὁρόω (verbe)''' : Forme homérique de ''ὁράω''.<br> '''ὄρτυξ, -ύκου (nom commun) (m/f)''' : caille.<br> '''ὀρυκτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : mineur.<br> '''ὄρυξ, -γος (nom commun) (m)''' : oryx.<br> '''ὀρύσσω (verbe)''' : creuser.<br> '''ὀρφανία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''ὀρφανίζω (verbe)''' : .<br> '''ὀρφανιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ὀρφανός, -ή, -όν (adjectif)''' : orphelin.<br> '''ὀρφανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : orphelin.<br> '''ὀρφανοτροφεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : orphelinat.<br> '''ὄρανος, -άνου (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''οὐρανός''.<br> '''ὀρείχαλκος, -άλκου (nom commun) (m)''' : orichalque.<br> '''ὄρφνα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ὄρφνη''.<br> '''ὄρφνη, -ης (nom commun) (f)''' : obscurité.<br> '''ὀρφνός, -ή, -όν (adjectif)''' : obscur.<br> '''ὀρφνότατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὀρφνός''.<br> '''ὀρφνότερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὀρφνός''.<br> '''ὀρφνῶς (adverbe)''' : obscurément.<br> '''ὀρχήστρα, -ας (nom commun) (f)''' : place du chœur.<br> '''ὀρχηστρίς, -δος (nom commun) (f)''' : danseuse.<br> '''ὄρχις, -εως (nom commun) (m/f)''' : (Au masculin) Testicule, ovaire, orchidée. (Au féminin) Sorte d’olive.<br> '''ὀρχοῦμαι (verbe)''' : danser.<br> '''ὄσδω (verbe)''' : Forme dorienne de ''ὄζω''.<br> '''ὀσμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : odeur.<br> '''ὀστέον, -ου (nom commun) (n)''' : os ; noyau.<br> '''ὀστοῦν, -οῦ (nom commun) (n)''' : Forme attique de ''ὀστέον''.<br> '''ὀστεῦν, -εῦ (nom commun) (n)''' : Forme poétique de ''ὀστέον''.<br> '''ὄστιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Forme éolienne de ''ὀστέον''.<br> '''ὅς, ἥ, ὅ''' : (adjectif démonstratif) Celui-ci, celle-ci, ceci. (pronom relatif) Qui, lequel, laquelle.<br> '''ὄστρειον, -ίου (nom commun) (n)''' : Forme de ''ὄστρεον''.<br> '''ὄστρεον, -έου (nom commun) (n)''' : huître.<br> '''ὀσφραίνομαι (verbe)''' : sentir.<br> '''ὄσφρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : odorat.<br> '''ὀσφυαλγία, -ας (nom commun) (f)''' : lumbago.<br> '''ὀσφῦς, -ύος (nom commun) (f)''' : flanc.<br> '''οὐ- (préfixe)''' : préfixe privatif.<br> '''οὐαί (interjection)''' : ah.<br> '''οὖας, -τός (nom commun) (n)''' : Forme homérique de ''οὖς''.<br> '''οὐδείς, -μία, -έν (adjectif indéfini ; pronom indéfini)''' : Aucun, personne.<br> '''οὐδέποτε (adverbe)''' : jamais.<br> '''οὐδέτερος, -έρα, -έτερον (adjectif)''' : ni l’un ni l’autre.<br> '''οὕδωρ, -ατος (nom commun) (n)''' : Forme béotienne de ''ὕδωρ''.<br> '''οὐκί (adverbe)''' : Forme attique et ionienne de ''οὐ''<br> '''οὐλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : cicatrice.<br> '''οὔνομα, -όματος (nom commun) (n)''' : Forme homérique et ionienne de ''ὄνομα''.<br> '''οὖθαρ, -ὔθατος (nom commun) (n)''' : Mamelle. (Anatomie) Pis.<br> '''οὔποτε (adverbe)''' : jamais.<br> '''οὐροδοχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : pot de chambre.<br> '''οὖρον, -ὔρου (nom commun) (n)''' : urine.<br> '''οὖρος, -ὔρου (nom commun) (m)''' : gardien.<br> '''οὗ (adverbe relatif)''' : où (je suis).<br> '''οὐ (particule)''' (Devient ''οὐκ'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux, et ''οὐχ'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit rude.) : non.<br> '''οὖν (adverbe)''' : Sans doute, réellement, en effet. Donc, eh bien.<br> '''οὐρά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : queue.<br> '''οὐράνη, -ης (nom commun) (f)''' : pot de chambre.<br> '''οὐράνιος, -α, -ον (adjectif)''' : céleste.<br> '''οὐρανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : ciel.<br> '''οὔρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : miction.<br> '''οὐρητρίς, -δος (nom commun) (f)''' : pot de chambre.<br> '''οὖρον, -ὔρου (nom commun) (n)''' : urine.<br> '''οὐρῶ (verbe)''' : uriner.<br> '''οὐσία, -ας (nom commun) (f)''' : (Philosophie) Essence, substance, être. Élément, substance première. Biens, fortune, richesse.<br> '''οὐσιαστικόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : substantif.<br> '''οὐσίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''οὐσία''.<br> '''οὐσιώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : essentiel.<br> '''οὖς, ὠτός (nom commun) (n)''' : oreille.<br> '''οὔτις, -ις, -ι (pronom)''' : personne.<br> '''οὐχί (adverbe)''' : Forme attique et homérique de ''οὐ''<br> '''ὀφείλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : dette.<br> '''ὀφείλω (verbe)''' : devoir de l'argent.<br> '''ὀφέλλω (verbe)''' : Forme homérique et de ''ὀφείλω''.<br> '''ὄφελος, -έλους (nom commun) (n)''' : .<br> '''ὀφθαλμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : œil.<br> '''ὄφις, -εως (nom commun) (m)''' : serpent.<br> '''ὀφρῦς, -ύος (nom commun) (f)''' : sourcil.<br> '''ὀχεύω (verbe)''' copuler.<br> '''ὄχημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : véhicule.<br> '''ϝόχος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme ancienne de ''ὄχος''.<br> '''ὄχθη, -ης (nom commun) (f)''' : Rive ; berge.<br> '''ὀχλοκρατία, -ας (nom commun) (f)''' : ochlocratie.<br> '''ὄχλος, -ου (nom commun) (m)''' : Foule ; multitude. Tumulte d'une foule.<br> '''ὄχνη, -ης (nom commun) (f)''' : poire.<br> '''ὄχος, -ου (nom commun) (m)''' : Réceptacle, abri. Tout ce qui sert à transporter, véhicule.<br> '''-οχος, -όχου (suffixe) (m)''' : .<br> '''ὀχυρός, -ά, -όν (adjectif)''' : ferme.<br> '''ὀχυρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὀχυρός''.<br> '''ὀχυρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὀχυρός''.<br> '''ὀχυρῶς (adverbe)''' : fermement.<br> '''ὀχύρωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : forteresse.<br> '''ὀχυρῶ (verbe)''' : fortifier.<br> '''ὀχῶ (verbe)''' : .<br> '''ὄψις, -εως (nom commun) (f)''' : vue. (perception visuelle)<br> '''ὄψον, -ου (nom commun) (n)''' : (Cuisine) Plat cuisiné, mets. Assaisonnement, sauce. Délicatesse. (Attique) Poisson.<br> '''ὀψοποιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cuisinier.<br> '''ὀψώνης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''ὀψώνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Provisions, vivres. Salaire.<br> '''ὀψωνῶ (verbe)''' : .<br> '''ὄψ, -πός (nom propre) (f)''' : Voix. Parole, discours. Œil. (Par métonymie) Visage.<br> '''Ὀδρύσης, -ου (nom commun) (m)''' : Odryse.<br> '''Ὀδύσσεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Odyssée.<br> '''Ὀδυσσεία, -ας (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Ὀδύσσεια''.<br> '''Ὀδυσσεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Ulysse.<br> '''Ὀζυμάνδιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Ozymandias.<br> '''Ὄθων, -ου (nom propre) (m)''' : Othon.<br> '''Οἰδίπους, -οδος (nom propre) (m)''' : Œdipe.<br> '''Οἰκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Oïclès.<br> '''Οἰνεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Œnée.<br> '''Οἰνόμαος, -άου (nom propre) (m)''' : Œnomaos.<br> '''Οἰταῖος, -ίη, -ῖον (adjectif)''' : œtéen.<br> '''Οἴτη, -ης (nom propre) (f)''' : Œta.<br> '''Ὄλθφες, - (nom propre) (m)''' : Olivier.<br> '''Ὀλυμπιάς, -δος (nom propre) (f)''' : olympiade.<br> '''Ὀλύμπια, -ίων (nom propre) (n)''' : Jeux olympiques.<br> '''Ὄλυμπος, -ύμπου (nom propre) (m)''' : Olympe.<br> '''Ὀλυσσεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ὀδυσσεύς''.<br> '''Ὀλυττεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ὀδυσσεύς''.<br> '''Ὅμηρος, -ήρου (nom propre) (m)''' : Homère. (poète grec)<br> '''Ὄνειρος, -ίρου (nom propre) (m)''' : Oniros.<br> '''Ὀννῶφρις, -ίδος (nom propre) (m)''' : Onnophris.<br> '''Ὀνούφριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Onuphre.<br> '''Ὄρανος, -άνου (nom propre) (m)''' : Forme éolienne de ''Οὐρανός''.<br> '''Ὀρσηίς, -δος (nom propre) (f)''' : Orséis (épouse d'Hellen).<br> '''Ὄρθρος, -ου (nom propre) (m)''' : Orthros.<br> '''Ὀρφεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Orphée.<br> '''Ὄσιρις, -ίριδος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Osiris|Osiris]].<br> '''Οὐδαῖος, -ίου (nom propre) (m)''' : Udée.<br> '''Οὑδυσσεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ὀδυσσεύς''.<br> '''Οὐλιξεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ὀδυσσεύς''.<br> '''Οὐλίξης, -ους (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ὀδυσσεύς''.<br> '''Οὐόλκος, -ου (nom commun) (m)''' : Volque.<br> '''Οὐρανία, -ας (nom propre) (f)''' : Uranie.<br> '''Οὐρανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : [[wikt:Ouranos|Ouranos]].<br> '''Ὀφηλία, -ας (nom propre) (f)''' : Ophélie.<br> '''Ὀφιοῦχος, -ύχου (nom propre) (f)''' : Serpentaire.<br> '''Ὄφις, -εως (nom propre) (m)''' : Serpent.<br> ==Π== '''παγά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''πηγή''.<br> '''παγίδευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''παγιδεύω (verbe)''' : piéger.<br> '''παγίς, -δος (nom commun) (f)''' : piège.<br> '''παγκόσμιος, -α, -ον (adjectif)''' : universel.<br> '''πάγκοσμος, -όσμου (nom commun) (m)''' : univers.<br> '''πάγος, -ου (nom commun) (m)''' : glace (eau à l'état solide).<br> '''πάγουρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : crabe.<br> '''πάγχυ (adverbe)''' : totalement.<br> '''παθοποιός, -ός, -όν (adjectif)''' : Qui afflige le corps ou l’âme.<br> '''πάθος, -ους (nom commun) (n)''' : Ce que l’on éprouve. Évènement, conjoncture. État de l’âme agitée par diverses circonstances.<br> '''παιάν, -ᾶνος (nom commun) (m)''' : péan.<br> '''παίγνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : jeu.<br> '''παιδαγωγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : éducateur.<br> '''παιδάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : gamin.<br> '''παιδεραστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : amant de garçon.<br> '''παιδιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : jeu.<br> '''παιδίον, -ου (nom commun) (n)''' : petit enfant.<br> '''παιδοτρίϐης, -ου (nom commun) (m)''' : maître de gymnastique.<br> '''παίδων παῖδες (nom commun) (m/f)''' : Petits-fils/Petites-filles.<br> '''παίζω (verbe)''' : jouer.<br> '''παίκτης, -ου (nom commun) (m)''' : joueur.<br> '''παῖς, -δός (nom commun) (m/f)''' : enfant ; jeune serviteur.<br> '''παιωνία, -ας (nom commun) (f)''' : pivoine.<br> '''παιών, -ος (nom commun) (m)''' : physicien.<br> '''παλαιός, -ά, -όν (adjectif)''' : ancien.<br> '''παλιγγενεσία, -ας (nom commun) (f)''' : Renaissance, résurrection. Régénération.<br> '''παλιγγενεσιακός, -ά, -όν (adjectif)''' : palingénésiaque.<br> '''πάλιν (adverbe)''' : encore.<br> '''παλλακή, -ῆς (nom commun) (f)''' : concubine.<br> '''παλλακίς, -δος (nom commun) (f)''' : concubine.<br> '''πάλλαξ, -κος (nom commun) (m/f)''' : jeune enfant.<br> '''πάλληξ, -κος (nom commun) (m/f)''' : Forme ionienne de ''πάλλαξ''.<br> '''πάλλω (verbe)''' : vibrer.<br> '''παλμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : vibration.<br> '''παλός, -οῦ (nom commun) (m/f)''' : forme dorienne de ''πηλός''.<br> '''παμμεγεθέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''παμμεγέθης''.<br> '''παμμεγεθέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''παμμεγέθης''.<br> '''παμμεγέθης, -ης, -ες (adjectif)''' : immense.<br> '''παμμεγέθως (adverbe)''' : immensément.<br> '''πάμπαν (adverbe)''' : totalement.<br> '''πάμφλεκτος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''πανάκεια, -ας (nom commun) (f)''' : remède universel.<br> '''πάναξ, -κος (nom commun) (m)''' : plante médicinale.<br> '''πανδοκεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : auberge.<br> '''πανδοκεύς, -έως (nom commun) (m)''' : aubergiste.<br> '''παράδοσις, -όσεως (nom commun) (f)''' : transmission ; tradition.<br> '''πανήγυρις, -ύρεως (nom commun) (f)''' : réunion.<br> '''πάνθηρ, -ος (nom commun) (m)''' : panthère.<br> '''πανέλοψ, -πος (nom commun) (m)''' : Forme éolienne et dorienne de ''πηνέλοψ''.<br> '''πανοῦργος, -ύργα, -ῦργον (adjectif)''' : .<br> '''παντοπωλεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : épicerie.<br> '''παντοπώλης, -ου (nom commun) (m)''' : épicier.<br> '''πάνυ (adverbe)''' : totalement.<br> '''πάππας, -ου (nom commun) (m)''' : papa.<br> '''πάππος, -ου (nom commun) (m)''' : papi.<br> '''πάπυρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : papyrus.<br> '''παρά (adverbe ; préposition)''' : (avec le génitif) D’auprès de, du côté de. (avec le datif) Auprès avec l’idée de toute absence de mouvement. Chez, dans, en. (Avec l’accusatif) Auprès de, vers avec l’idée de mouvement.<br> '''παρά- (préfixe)''' : Auprès. Vers. Le long de. Contre. En détournant.<br> '''παραϐάλλω (verbe)''' : s’emparer de.<br> '''παράδειγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : modèle.<br> '''παραδειγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : modèle.<br> '''παράδεισος, -ίσου (nom commun) (m)''' : parc ; paradis.<br> '''παραδέχομαι (verbe)''' : admettre.<br> '''παραδίδωμι (verbe)''' : transmettre ; remettre.<br> '''παράθυρος, -ου (nom commun) (f)''' : Porte de côté ; porte dérobée.<br> '''παρακινῶ (verbe)''' : .<br> '''παρακλαυσίθυρον, -ύρου (nom commun) (n)''' : paraclausithuron.<br> '''παραλείπω (verbe)''' : omettre.<br> '''παράλειψις, -ίψεως (nom commun) (f)''' : omission.<br> '''πάρδαλις, -άλεως (nom commun) (f)''' : léopard.<br> '''παράλληλος, -η, -ον (adjectif)''' : Porte de côté ; porte dérobée.<br> '''παραλήρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : délire.<br> '''παράμεσος, -ου (nom commun) (m)''' : annulaire.<br> '''παραμυθέομαι (verbe)''' : exhorter.<br> '''παραμύθιον, -ίου (nom commun) (m)''' : exhortation.<br> '''παραποίησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : contrefaçon.<br> '''παραποιῶ (verbe)''' : contrefaire.<br> '''παράρτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : annexe.<br> '''παρασάγγης, -ου (nom commun) (m)''' : parasange. (env. 6 km)<br> '''παράσιτος, -ος, -ον (adjectif)''' : Qui sert de mets en surplus ; Parasite.<br> '''παραίσθησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : illusion.<br> '''παράστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : représentation.<br> '''παραστράτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : incartade.<br> '''παρειά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : joue.<br> '''παρελθών, -όντος (nom commun) (m)''' : passé.<br> '''παρεξήγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : malentendu.<br> '''παρεξηγῶ (verbe)''' : méprendre.<br> '''παρεργάτης, -ου (nom commun) (m)''' : assistant.<br> '''παρεύνασθαι (verbe)''' : représenter.<br> '''πάρευνος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''παρθενεία, -ας (nom commun) (f)''' : virginité .<br> '''παρθένειος, -α, -ον (adjectif)''' : virginal.<br> '''παρθενικός, -ή, -όν (adjectif)''' : de vierge.<br> '''παρθενικῶς (adverbe)''' : virginalement.<br> '''παρθενικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''παρθενικός''.<br> '''παρθενικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''παρθενικός''.<br> '''παρθενικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''παρθενικῶς''.<br> '''παρθενικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''παρθενικῶς''.<br> '''παρθένος, -ος, -ον (adjectif)''' : vierge.<br> '''παρθενεύω (verbe)''' : devenir jeune fille.<br> '''παρθενών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : parthénon.<br> '''παρθικός, -ή, -όν (adjectif)''' : parthe.<br> '''παρθιστί (adverbe)''' : en parthe.<br> '''παρίσθμιον, -ίου (nom commun) (n)''' : (anatomie) amygdale.<br> '''παρόρμησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : impulsion.<br> '''παρορμητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : impulsif.<br> '''παρορμητικῶς (adverbe)''' : impulsivement.<br> '''παρορμητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''παρορμητικός''.<br> '''παρορμητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''παρορμητικός''.<br> '''παρορμῶ (verbe)''' : impulser.<br> '''παρσένος, -ος, -ον (adjectif)''' : Forme laconienne de ''παρθένος''.<br> '''παρών, -όντος (nom commun) (m)''' : présent.<br> '''παρωνυχία, -ας (nom commun) (f)''' : panaris.<br> '''πᾶς, -σα, -ᾶν (adjectif)''' : (Au singulier) Chaque, chacun. Tout entier, tout. (Au pluriel) Tous.<br> '''πάσσω (verbe)''' : .<br> '''παστά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : pâte.<br> '''παστός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''πάσχω (verbe)''' : Être affecté de telle ou telle façon, telle ou telle affection, sensation ou sentiment.<br> '''πατήρ, -ρός (nom commun) (m)''' : père.<br> '''πάτος, -ου (nom commun) (m)''' : sentier.<br> '''πατριά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : tribu, famille.<br> '''πατριάρχης, -ου (nom commun) (m)''' : patriarche.<br> '''πατρίς, -δος (nom commun) (f)''' : patrie.<br> '''πατροφονεύς, -έως (nom commun) (m)''' : patricide.<br> '''πατροφόνος, -ου (nom commun) (m)''' : patricide.<br> '''πατῶ (verbe)''' : Manger, absorber. Fouler aux pieds. Fouler le sol.<br> '''παῦρος -ύρα, -ῦρον (adjectif)''' : En petit nombre. (Par extension) Petit, court.<br> '''παῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : cessation.<br> '''παύω (verbe)''' : cesser.<br> '''πάφλασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''πάχνη, -ης (nom commun) (f)''' : givre.<br> '''παχύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Épais, gras.<br> '''πεδά (préposition)''' : Forme arcado-chypriote, dorienne et éolienne de ''μετά''.<br> '''πεδιάς, -δος (nom commun) (f)''' : plaine.<br> '''πεδίον, -ου (nom commun) (n)''' : champ.<br> '''πέζα, -ης (nom commun) (f)''' : cheville du pied.<br> '''πεζός, -ή, -όν (adjectif)''' : piéton.<br> '''πεζῶς (adverbe)''' : .<br> '''πεζώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''πεζῶς''.<br> '''πεζώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''πεζῶς''.<br> '''πεζώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πεζός''.<br> '''πεζώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πεζός''.<br> '''πείθομαι (verbe)''' : persuader ; suivre.<br> '''πείθω (verbe)''' : convaincre ; persuader.<br> '''πεῖνα, -ίνας (nom commun) (f)''' : faim.<br> '''πεινῶ (verbe)''' : avoir faim.<br> '''πεῖρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : Essai, tentative ; épreuve.<br> '''πειράζω (verbe)''' : Essayer ; tenter.<br> '''πειράομαι (verbe)''' : essayer.<br> '''πειρασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Épreuve, essai ; expérience. Tentation.<br> '''πειρατής, -οῦ (nom commun) (m)''' : pirate.<br> '''πειρῶ (verbe)''' : .<br> '''πελεκάν, -ᾶνος (nom commun) (m)''' : pélican.<br> '''πελεκῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : pélican.<br> '''πέλεκυς, -έκεως (nom commun) (m)''' : hache.<br> '''πέλμα, -τος (nom commun) (n)''' : Plante du pied ; tige des pommes et des poires.<br> '''πελώριος, -α, -ον (adjectif)''' : prodigieux.<br> '''πελωρίς, -δος (nom commun) (f)''' : moule.<br> '''πέλωρ, -ος (nom commun) (n)''' : prodige.<br> '''πέμμα, -τος (nom commun) (n)''' : gâteau.<br> '''πεμπτουσία, -ας (nom commun) (f)''' : quintessence.<br> '''πεντάφυλλον, -ύλλου (nom commun) (n)''' : potentille.<br> '''πέντε (adjectif numéral)''' : cinq.<br> '''πεντήκοντα (adjectif numéral)''' : cinquante.<br> '''πενθερά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : belle-mère.<br> '''πενθερός, -οῦ (nom commun) (m)''' : beau-père.<br> '''πένθος, -ους (nom commun) (n)''' : deuil.<br> '''πέος, -ους (nom commun) (n)''' : pénis.<br> '''πέπερι, -τος (nom commun) (n)''' : poivre.<br> '''πέπλος, -ου (nom commun) (m)''' : péplos.<br> '''πέπλωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : robe.<br> '''πεπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : cuit.<br> '''πέπων, -ονος (nom commun) (m)''' : melon.<br> '''περαίνω (verbe)''' : Finir, conclure.<br> '''πέρασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : passage.<br> '''πέρας, -τος (nom commun) (n)''' : Fin, limite.<br> '''πέρδιξ, -ικος (nom commun) (m/f)''' : perdrix.<br> '''πέρδομαι (verbe)''' : péter (faire un pet).<br> '''περιϐόλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''περιδέραιον, -ου (nom commun) (n)''' : collier (bijou).<br> '''περιδέραιος, -ος, -ου (adjectif)''' : .<br> '''περίζωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : caleçon.<br> '''περιήγησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Voyage ; parcours.<br> '''περιηγοῦμαι (verbe)''' : Voyager ; parcourir.<br> '''περιηγητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : voyageur.<br> '''περιλαμϐάνω (verbe)''' : .<br> '''περίληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : résumé.<br> '''περίναιον, -ίου (nom commun) (n)''' : périnée.<br> '''περιπατητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : péripatéticien.<br> '''περιπατῶ (verbe)''' : Circuler, aller et venir ; se promener (Par extension) (Figuré) Se comporter, se conduire, vivre de telle ou de telle manière.<br> '''περιπέτεια, -ας (nom commun) (f)''' : aventure.<br> '''περιπίπτω (verbe)''' : tomber autour, sur.<br> '''περιποιοῦμαι (verbe)''' : s'occuper de.<br> '''περιποιῶ (verbe)''' : .<br> '''περιστερά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : pigeon, colombe.<br> '''περιστερός, -οῦ (nom commun) (m)''' : pigeon, colombe. (Pour un mâle de ces espèces.)<br> '''περιστερεών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : pigeonnier, colombier.<br> '''περιφρονῶ (verbe)''' : mépriser.<br> '''περιφρούρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : protection.<br> '''περιφρουρῶ (verbe)''' : protéger.<br> '''περκνός, -ή, -όν (adjectif)''' : noirâtre.<br> '''περκνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''περκνός''.<br> '''περκνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''περκνός''.<br> '''περκνότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''περκνῶς''. '''περκνότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''περκνῶς''. '''περκνῶς (adverbe)''' : noirâtrement.<br> '''πέρνημι (verbe)''' : Exploiter, vendre. (Au passif) Être vendu.<br> '''περόνη, -ης (nom commun) (f)''' : agrafe, clavette.<br> '''περῶ (verbe)''' : passer.<br> '''πέσσω (verbe)''' : Digérer ; cuire. Mûrir.<br> '''πετάννυμι (verbe)''' : .<br> '''πέτασος, -άσου (nom commun) (m)''' : pétase.<br> '''πετεεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme homérique de ''πετεινός''.<br> '''πετεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : capable de voler.<br> '''πετεσοũχος, -ύχου (nom commun) (m)''' : petsuchos.<br> '''πετηνός, -ή, -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''πετεινός''.<br> '''πετῶ (verbe)''' : voler (planer dans le ciel).<br> '''πεύκη, -ης (nom commun) (f)''' : pin.<br> '''πεύθομαι (verbe)''' : Forme poétique de ''πυνθάνομαι''.<br> '''πέψις, -εως (nom commun) (f)''' : digestion.<br> '''πηγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : source.<br> '''πήγνυμι (verbe)''' : .<br> '''πηδάλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : talaria.<br> '''πήδημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : saut.<br> '''πηδόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : .<br> '''πηδός, -οῦ (nom commun) (f)''' : .<br> '''πηδῶ (verbe)''' : sauter.<br> '''πῇ (adverbe interrogatif)''' : par où.<br> '''πήληξ, -κος (nom commun) (m)''' : .<br> '''πηλός, -οῦ (nom commun) (m/f)''' : boue.<br> '''πήμων, -ων, -ον (adjectif)''' : nuisible.<br> '''πηνέλοψ, -πος (nom commun) (m)''' : canard sauvage.<br> '''πήνη, -ης (nom commun) (f)''' : bobine.<br> '''πηνήκη, -ης (nom commun) (f)''' : perruque.<br> '''πηνηκίζω (verbe)''' : .<br> '''πηνήκισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''πῆνος, -ήνου (nom commun) (m)''' : .<br> '''πῆξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''πήρα, -ας (nom commun) (f)''' : besace.<br> '''πήριξ, -ικος (nom commun) (m/f)''' : Forme crétoise de ''πέρδιξ''.<br> '''πῆχυς, -ήχεως (nom commun) (m)''' : avant-bras.<br> '''πιέζω (verbe)''' : Presser ; appuyer.<br> '''πίεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : pression.<br> '''πῖ (nom commun) (n)''' : pi.<br> '''πίθακος, -άκου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''πίθηκος''.<br> '''πιθανός, -ή, -όν (adjectif)''' : probable.<br> '''πιθανῶς (adverbe)''' : probablement.<br> '''πιθανώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πιθανός''.<br> '''πιθανώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πιθανός''.<br> '''πιθηκοειδής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''πίθηκος, -ήκου (nom commun) (m)''' : singe.<br> '''πίθων, -ονος (nom commun) (m)''' : Singe, petit singe.<br> '''πῖλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : pileus.<br> '''πίμπλημι (verbe)''' : remplir.<br> '''πίναξ, -κος (nom commun) (m)''' : tableau.<br> '''πίπτω (verbe)''' : tomber.<br> '''πίσσα, -εως (nom commun) (f)''' : poix.<br> '''πιστάκη, -ης (nom commun) (f)''' : pistachier.<br> '''πιστάκιον, -ίου (nom commun) (n)''' : pistache.<br> '''πίστις, -εως (nom commun) (f)''' : Foi. Confiance en autrui. Ce qui fait foi. Résultat de la confiance. Moyen d’inspirer confiance, de persuader ; preuve.<br> '''πιστότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πιστός''.<br> '''πιστότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πιστός''.<br> '''πιστός, -ή, -όν (adjectif)''' : fidèle ; loyal.<br> '''πιστότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''πιστῶς''.<br> '''πιστότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''πιστῶς''.<br> '''πιστῶς (adverbe)''' : fidèlement ; loyalement.<br> '''πίστωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : crédit.<br> '''πισύγγιον, ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''πίσυγγος''.<br> '''πίσυγγος, -ύγγου (nom commun) (m)''' : cordonnier.<br> '''πίττα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme attique de ''πίσσα''.<br> '''πίτα, -ας (nom commun) (f)''' : pita.<br> '''πλαγκτός, -ή, -όν (adjectif)''' : errant.<br> '''πλαδαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Forme dorienne de ''βλαδαρός''.<br> '''πλάζω (verbe)''' : errer.<br> '''πλᾶθος, -άθους (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''πλῆθος''.<br> '''πλακοῦς, -ύντος (nom commun) (m)''' : Gâteau ; galette.<br> '''πλανάτας, -ου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''πλανήτης''.<br> '''πλάνης, -τος (nom commun) (m)''' : vagabond.<br> '''πλανήτης, -ου (nom commun) (m)''' : planète.<br> '''πλάν (préposition)''' : Forme dorienne de ''πλήν''.<br> '''πλανῶ (verbe)''' : vagabonder.<br> '''πλάξ, -κός (nom commun) (f)''' : plaque.<br> '''πλάσμα, -τος (nom commun) (n)''' : Ouvrage façonné, modelé ; figure. Modulation de la voix. Contrefaçon, imitation. Travail de composition.<br> '''πλάσσω (verbe)''' : former, mouler.<br> '''πλατέως (adverbe)''' : largement.<br> '''πλατύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πλατύς''.<br> '''πλατύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πλατύς''.<br> '''πλατύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : large.<br> '''πλάττω (verbe)''' : Forme attique de ''πλάσσω''.<br> '''πλέθρον, -ου (nom commun) (n)''' : plèthre. (env. 30 m)<br> '''πλεῖστος, -ίστη, -ῖστον (adjectif)''' : Superlatif de ''πολύς''.<br> '''πλείων, -ων, -ῖον (adjectif)''' : Comparatif de ''πολύς''.<br> '''πλεῖθος, -ίθους (nom commun) (n)''' : Forme béotienne de ''πλῆθος''.<br> '''πλῆθος, -ήθους (nom commun) (n)''' : .<br> '''πληθύς, -ος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''πλῆθος''.<br> '''πληθώρα, -ας (nom commun) (f)''' : plénitude.<br> '''πλήθω (verbe)''' : remplir.<br> '''πληκτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : ennuyeux.<br> '''πληκτικότης, -ητος (nom commun) (f)''' : ennui.<br> '''πλῆκτρον, -ήκτρου (nom commun) (n)''' : plectre.<br> '''πλῆξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : ennui.<br> '''πλήν (préposition)''' : plus que.<br> '''πληρέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πλήρης''.<br> '''πληρέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πλήρης''.<br> '''πλήρης, -ης, -ῆρες (adjectif)''' : complet ; plein.<br> '''πλήρως (adverbe)''' : complètement ; pleinement.<br> '''πληρῶ (verbe)''' : compléter ; emplir.<br> '''πλήσσω (verbe)''' : Frapper, battre. (Au passif) Être battu, subir une défaite.<br> '''πλήττω (verbe)''' : Forme attique de ''πλήσσω''.<br> '''πλοῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : navire, bateau ; vaisseau.<br> '''πλούσιος, -α, -ον (adjectif)''' : riche, opulent.<br> '''πλουσιότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πλούσιος''.<br> '''πλουσιότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πλούσιος''.<br> '''πλουσίως (adverbe)''' : richement.<br> '''πλουτηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : dispensateur de richesse.<br> '''πλουτίζω (verbe)''' : (voix active) enrichir ; (voix passive) s’enrichir, être enrichi.<br> '''πλουτίνδην (adverbe)''' : en choisissant parmi les plus riches.<br> '''πλουτοτήριος, -α, -ον (adjectif)''' : Capable d’enrichir.<br> '''πλουτοκρατία, -ας (nom commun) (f)''' : ploutocratie.<br> '''πλοῦτος, -ύτου (nom commun) (m)''' : richesse, opulence.<br> '''πλουτῶ (verbe)''' : être riche.<br> '''πλύνω (verbe)''' : laver des vêtements.<br> '''πνεῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : Souffle. Exhalaison ; odeur. Esprit.<br> '''πνευματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : spirituel.<br> '''πνευματικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πνευματικός''.<br> '''πνευματικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πνευματικός''.<br> '''πνευματικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''πνευματικῶς''.<br> '''πνευματικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''πνευματικῶς''.<br> '''πνευματικῶς (adverbe)''' : spirituellement.<br> '''πνεύμων, -ονος (nom commun) (m)''' : poumon.<br> '''πνέω (verbe)''' : souffler.<br> '''πνιγηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : étouffant, où l’on étouffe (Par extension) Étroit, resserré.<br> '''πνίγω (verbe)''' : étrangler, étouffer ; suffoquer.<br> '''πνίξ, -γός (nom commun) (f)''' : crampe.<br> '''ποδάριον -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''πούς''.<br> '''πόδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : podium.<br> '''πόθεν (adverbe interrogatif)''' : d’où.<br> '''πόθος, -ου (nom commun) (m)''' : Désir ; regret.<br> '''ποῖ (adverbe interrogatif)''' : où (avec mouvement).<br> '''ποίησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : création.<br> '''ποιμήν, -ένος (nom commun) (m)''' : berger.<br> '''ποινή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Expiation d’un crime. Argent par lequel on paye les parents de la victime, le prix du sang. Rançon, expiation, châtiment, vengeance. Délivrance. Compensation, récompense.<br> '''ποῖος, -ία, -ῖον (adjectif interrogatif)''' : quel.<br> '''ποιότης, -τος (nom commun) (f)''' : qualité.<br> '''ποιῶ (verbe)''' : faire.<br> '''πολεμικός, -ή, -όν (adjectif)''' : guerrier.<br> '''πολεμικῶς (adverbe)''' : belliqueusement.<br> '''πολεμικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πολεμικός''.<br> '''πολεμικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πολεμικός''.<br> '''πολεμιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : guerrier.<br> '''πολεμίστρα, -ας (nom commun) (f)''' : guerrière.<br> '''πόλεμος, -έμου (nom commun) (m)''' : guerre.<br> '''πολεμῶ (verbe)''' : guerroyer.<br> '''πολιός, -ός, -όν (adjectif)''' : gris.<br> '''πόλις, -εως (nom commun) (f)''' : ville.<br> '''πολιτεία, -ας (nom commun) (f)''' : citoyenneté.<br> '''πολίτευμα, -τος (nom commun) (n)''' : gouvernement.<br> '''πολιτεύω (verbe)''' : Être citoyen. Participer au gouvernement, faire de la politique. (Au passif) Être gouverné, en parlant de l’État.<br> '''πολίτης, -ου (nom commun) (m)''' : citoyen.<br> '''πολιτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : civique.<br> '''πολῖτις, -ίτιδος (nom commun) (f)''' : citoyenne.<br> '''πολλάκις (adverbe)''' : souvent.<br> '''πολλῶς (adverbe)''' : .<br> '''πολυμάθεια, -ας (nom commun) (f)''' : érudition.<br> '''πολυμαθής, -ής, -ές (adjectif)''' : érudit.<br> '''πολυμήτις, -, - (adjectif)''' : .<br> '''πολυμήχανος, -η, -ον (adjectif)''' : ingénieux.<br> '''πολύτροπος, -ος, -ον (adjectif)''' : astucieux.<br> '''πολύς, -λλή, -ύ (adjectif)''' : nombreux.<br> '''πολύχρωμος, -η, -ον (adjectif)''' : multicolore.<br> '''πομφολυγοπάφλασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''πομφόλυξ, -γος (nom commun) (m)''' : bulle ; ornement en forme de bulle, de rond. (Chimie) Oxyde de zinc.<br> '''πομφός, -οῦ (nom commun) (m)''' : verrue.<br> '''πονηρία, -ας (nom commun) (f)''' : ruse.<br> '''πονηρός, -ά, -όν (adjectif)''' : mauvais, méchant ; pervers.<br> '''πονηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πονηρός''.<br> '''πονηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πονηρός''.<br> '''πονηρῶς (adjectif)''' : mauvaisement, méchamment ; perversement.<br> '''πόποι (interjection)''' : hélas.<br> '''πορδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : pet. (gaz intestinal)<br> '''πορθμεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' .<br> '''πορθμεύς, -έως (nom commun) (m)''' nocher.<br> '''πορθμεύω (verbe)''' .<br> '''πορθμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : détroit.<br> '''πορνεία, -ας (nom commun)''' : Fornication, prostitution.<br> '''πορνεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' lupanar.<br> '''πόρνευμα, -ύµατος (nom commun (n)''' : .<br> '''πόρνευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''πορνεύτρια, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''πορνεύω (verbe)''' : prostituer.<br> '''πόρνη, -ης (nom commun) (f)''' : Prostituée, putain.<br> '''πορνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : de lupanar.<br> '''πορνοϐοσκεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : lupanar.<br> '''πορνοϐοσκία, -ας (nom commun) (f)''' : prostitution.<br> '''πορνοϐοσκός, -οῦ (nom commun) (m)''' : tenancier.<br> '''πορνοϐοσκῶ (verbe)''' : gérer un lupanar.<br> '''πορνοδιάκονος, -όνου (nom commun) (m/f)''' : .<br> '''πορνοδιδάσκαλος, -άλου (nom commun) (m) ''' : .<br> '''πορνοδύτης, -ου (nom commun) (m)''' .<br> '''πορνοφίλης, -ου (nom commun) (m)''' : amateur de prostituées.<br> '''πορνογενής, -ής, -ές (adjectif)''' : .<br> '''πορνογέννητος, -ος, -ον (adjectif)''' : né dans un lupanar.<br> '''πορνογράφος, -ου (nom commun) (m)''' : pornographe.<br> '''πορνοκοπέω (verbe)''' : .<br> '''πορνοκοπία, -ας (nom commun) (f)''' .<br> '''πορνοκόπος, -ου (nom commun) (m)''' : client de lupanar.<br> '''πορνομανής, -ής, -ές''' : furieux contre la prostitution.<br> '''πόρνος, -ου (nom commun) (m)''' : Prostitué ; gigolo.<br> '''πόρπη, -ης (nom commun) (f)''' : broche (bijou).<br> '''πόρ, -δός (nom commun) (m)''' : Forme laconienne de ''πούς''.<br> '''πόρρω (adverbe)''' : Forme attique de ''πρόσω''.<br> '''πορφύρεος, -α, -ον (adjectif)''' : (chez Homère) Sombre. (grec post-homérique) Pourpre.<br> '''πορφύρω (verbe)''' : Bouillir, fulminer ; rougir.<br> '''πόσις, -εως (nom commun) (f)''' : action de boire.<br> '''πόσις, -ιος (nom commun) (m)''' : époux ; mari.<br> '''πόσσις, -ιος (nom commun) (m)''' : Forme poétique de ''πόσις''. (au sens d’« époux », « mari »)<br> '''πόσος, -η, -ον (adjectif interrogatif)''' : combien.<br> '''ποσότης, -τος (nom commun) (f)''' : quantité.<br> '''πός, -δός (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''πούς''.<br> '''ποταμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : fleuve.<br> '''πότε (adverbe interrogatif)''' : quand.<br> '''ποτέ (adverbe)''' (Devient ''ποτ᾽'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux, et ''ποθ᾽'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit rude.) : jamais.<br> '''ποτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : coupe. (récipient)<br> '''ποτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : verre. (récipient)<br> '''πότμος, -ου (nom commun) (m)''' : destin ; sort.<br> '''πότνια, -ίης (nom commun) (f)''' : épouse ; maîtresse.<br> '''πούς, -δός (nom commun) (m)''' : pied.<br> '''ποῦ (adverbe interrogatif)''' : où (sans mouvement) ; comment.<br> '''πρᾶγμα, -άγματος (nom commun) (n)''' : Chose, évènement ; affaire. Fait.<br> '''πραγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : évènementiel ; factuel.<br> '''πραγματικῶς (adverbe)''' : évènementiellement ; factuellement.<br> '''πραγματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πραγματικός''.<br> '''πραγματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πραγματικός''.<br> '''πραικόκιον, -ίου (nom commun) (n)''' : abricot.<br> '''πράκτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : agent.<br> '''πρᾶξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : action.<br> '''πραπίς, -δος (nom commun) (f)''' : intelligence.<br> '''πράσινος, -ίνη, -άσινον (adjectif)''' : vert poireau.<br> '''πράσσω (verbe)''' : faire, pratiquer.<br> '''πρατήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : vendeur.<br> '''πρᾶτος, -άτη, -ᾶτον (adjectif)''' : Forme dorienne de ''πρῶτος''.<br> '''πράττω (verbe)''' : Forme attique de ''πράσσω''.<br> '''πρέπω (verbe)''' : .<br> '''πρέσϐυς, -έως (nom commun) (m)''' : Envoyé ; député ; ambassadeur.<br> '''πρεσϐυτέριον, -ίου (nom commun) (n)''' : assemblée des anciens.<br> '''πρῆγμα, -ήγματος (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''πρᾶγμα''.<br> '''πρηκτήρ, -ός (nom commun) (m)''' : Forme homérique et ionienne de ''πράκτωρ''.<br> '''πρῆξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : Forme homérique et ionienne de ''πρᾶξις''.<br> '''πρήσσω (verbe)''' : Forme homérique et ionienne de ''πράσσω''.<br> '''πρῆχμα, -ήχματος (nom commun) (f)''' : Autre forme ionienne de ''πρᾶγμα''.<br> '''πρῖγκιψ, -ίγκιπος (nom commun) (m)''' : prince. (chef d’une principauté)<br> '''πριγκιπίσσα, -ας (nom commun) (f)''' : princesse. (cheffe d’une principauté)<br> '''πρίν (conjonction)''' : avant que.<br> '''πριόνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : diminutif de ''πρίων''.<br> '''πρίων, -ονος (nom commun) (m)''' : scie.<br> '''προάστειος, -, - (adjectif)''' : suburbain.<br> '''προάστειον, -ίου (nom commun) (n)''' : banlieue.<br> '''προϐαίνω (verbe)''' : marcher en avant.<br> '''προϐατίνα, -ας (nom commun) (f)''' : brebis.<br> '''πρόϐατον, -άτου (nom commun) (n)''' : mouton.<br> '''πρόϐλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : problème.<br> '''πρόγνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''πρόγονος, -όνου (nom commun) (m)''' : ancêtre.<br> '''προπάτωρ, -ορος (nom commun) (m)''' : ancêtre.<br> '''πρόγραμμα, -άμματος (nom commun) (n)''' : notice écrite publique.<br> '''προγράφω (verbe)''' : écrire une notice publique.<br> '''προδίδωμι (verbe)''' : trahir.<br> '''προδότης, -ου (nom commun) (m)''' : traître.<br> '''προδοτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : traître.<br> '''προδοσία, -ας (nom commun) (f)''' : trahison.<br> '''προοίμιον, -ίου (nom commun) (n)''' : prélude.<br> '''προκινῶ (verbe)''' : .<br> '''πρόκοιτος, -ίτου (nom commun) (m)''' : chambellan.<br> '''προλαμϐάνω (verbe)''' : prévoir.<br> '''πρόληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : prévention.<br> '''πρόλογος, -όγου (nom commun) (m)''' : préface.<br> '''προσϐάλλω (verbe)''' : .<br> '''προσϐολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''προσευχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : prière.<br> '''προσεύχομαι (verbe)''' : Adresser une prière. (Absolu) Adorer, prier, supplier.<br> '''προσήλωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : attachemeent.<br> '''πρόσθεν (adverbe)''' Devant ; en avant.<br> '''προσιτός, -ή, -όν (adjectif)''' : abordable.<br> '''πρόσειμι (verbe)''' : aborder.<br> '''προσθιγγάνω (verbe)''' : .<br> '''προσκέφαλον, -άλου (nom commun) (m)''' : oreiller.<br> '''πρόσκοπος, -όπου (nom commun) (m)''' : éclaireur.<br> '''πρόσκοπευω (verbe)''' : .<br> '''προσποιῶ (verbe)''' : .<br> '''προσωποποιία, -ας (nom commun) (f)''' : personnification.<br> '''πρόσω (adverbe)''' : .<br> '''πρός (adverbe ; préposition)''' : Auprès, à côté ; en outre.<br> '''πρότατος, -άτα, -άτετον (adjectif)''' : Superlatif de ''πρῶτος''.<br> '''πρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πρῶτος''.<br> '''προτί (adverbe ; préposition)''' : Forme homérique de ''πρός''.<br> '''ποτί (adverbe ; préposition)''' : Forme homérique et dorienne de ''πρός''.<br> '''ποί (adverbe ; préposition)''' : Forme dorienne de ''πρός''.<br> '''πορτί (adverbe ; préposition)''' : Forme crétoise de ''πρός''.<br> '''πός (adverbe ; préposition)''' : Forme arcado-chypriote de ''πρός''.<br> '''πρές (adverbe ; préposition)''' : Forme éolienne de ''πρός''.<br> '''πέρτι (adverbe ; préposition)''' : Forme pamphylienne de ''πρός''.<br> '''πρᾶος, -ος, -ᾷον (adjectif)''' : doux ; calmant.<br> '''πραότης, -τος (nom commun) (f)''' : Douceur, bonté ; facilité de caractère.<br> '''πραύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : Variante de ''πρᾶος''.<br> '''πραΰς, -εΐα, -ΰ (adjectif)''' : Forme poétique de ''πρᾶος''.<br> '''πρήξιμον, -ίματος (nom commun) (n)''' : Enflure, gonflement ; ballonnement, boursouflure, fluxion.<br> '''πρῖγκιψ, -ίγκιπος (nom commun) (m)''' : prince (chef d’une principauté).<br> '''πριγκίπισσα, -ας (nom commun) (f)''' : princesse (cheffe d’une principauté).<br> '''πρό (adverbe ; préposition)''' devant.<br> '''προ- (préfixe)''' pré-.<br> '''παράρτημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : annexe.<br> '''προζύμιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''προζυμίτης, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''πρόσθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : addition.<br> '''προσφορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : offre.<br> '''προσωπεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : masque.<br> '''προσωπίς, -δος (nom commun) (f)''' : masque.<br> '''προσ- (préfixe)''' : Vers, à ; Auprès. En outre, encore. Excessivement ; tout à fait.<br> '''προσαρτῶ (verbe)''' : annexer.<br> '''προστίθημι (verbe)''' : additionner ; ajouter.<br> '''προσομοίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : simulation.<br> '''προσποιῶ (verbe)''' : simuler.<br> '''πρότανις, -άνεως (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''πρύτανις''.<br> '''προῦμνον, -ύμνου (nom commun) (n)''' : prune.<br> '''προφατεία, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''προφητεία''.<br> '''προφάτης, -ου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''προφήτης''.<br> '''προφητεία, -ας (nom commun) (f)''' : prophétie.<br> '''προφήτης, -ου (nom commun) (m)''' : prophète.<br> '''προφυλακτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''προφυλάξις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''προφυλάσσω (verbe)''' : .<br> '''πρύμνα, -ας (nom commun) (f)''' : poupe.<br> '''πρύμνη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''πρύμνα''.<br> '''πρυτανεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : (À Athènes) mairie.<br> '''πρύτανις, -άνεως (nom commun) (m)''' : prytane.<br> '''πρωΐ (adverbe)''' : tôt.<br> '''πρῴ (adverbe)''' : Forme attique de ''πρωΐ''.<br> '''πρωκτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : anus.<br> '''πρωκτόσοφος, -όφου (nom commun) (m/f)''' : Expert en débauche contre nature.<br> '''πρῷρα, -ῴρας (nom commun) (f)''' : proue.<br> '''πρωταγωνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : protagoniste.<br> '''πρῶτος, -ώτη, -ῶτον (adjectif)''' : premier.<br> '''πρωτόκολλον, -όλλου (nom commun) (n)''' : frontispice.<br> '''πτελέα, -ας (nom commun) (f)''' : orme.<br> '''πτέρινος, -ίνη, -ινον (adjectif)''' : .<br> '''πτέρις, -δος (nom commun) (f)''' : fougère.<br> '''πτερόεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : ailé.<br> '''πτερόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : aile.<br> '''πτέρνα, -ης (nom commun) (f)''' : talon. (partie postérieure du pied)<br> '''πτέρυξ, -υγος (nom commun) (f)''' : Aile ; nageoire.<br> '''πτηνόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : oiseau.<br> '''πτηνοπέδιλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : talaria.<br> '''πτισάνη, -ης (nom commun) (f)''' : tisane.<br> '''πτίσσω (verbe)''' : .<br> '''πτίττω (verbe)''' : Forme attique de ''πτίσσω''.<br> '''πτόλεμος, -έμου (nom commun) (m)''' : Forme homérique de ''πόλεμος''.<br> '''πτολίεθρον, -έθρου (nom commun) (n)''' : citadelle.<br> '''πτόλις, -εως (nom commun) (f)''' : Forme homérique de ''πόλις''.<br> '''πτύον, -ου (nom commun) (n)''' : pelle.<br> '''πτύω (verbe)''' : cracher.<br> '''πτῶσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : chute.<br> '''πτώσσω (verbe)''' : chuter.<br> '''πτωχεία, -ας (nom commun) (f)''' : pauvre.<br> '''πτωχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : hospice.<br> '''πτώχευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : banqueroute.<br> '''πτωχεύω (verbe)''' : faire banqueroute.<br> '''πτωχός, -ή, -όν (adjectif)''' : pauvre.<br> '''πτωχοτροφεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : hospice.<br> '''πτωχοτρόφος, -ου (nom commun) (m)''' : ptôchotrophe.<br> '''πτωχότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πτωχός''.<br> '''πτωχότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πτωχός''.<br> '''πτωχῶς (adverbe)''' : pauvrement.<br> '''πυγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : fesse.<br> '''πυγηφαvοῦς, -οῦ (nom commun) (m)''' : mooning. (Action de montrer ses fesses nues en baissant son pantalon et en se penchant en avant.)<br> '''πυγίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : croupion.<br> '''πυγίζω (verbe)''' : sodomiser.<br> '''πυγμαῖος, -ία -ῖον (adjectif)''' : pygmée.<br> '''πυγμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : poing.<br> '''πύελος, -έλου (nom commun) (f)''' : bassin (os).<br> '''πυθμήν, -ένος (nom commun) (m)''' : fond.<br> '''πυκνός, -ή, -όν (adjectif)''' : dense, sagace.<br> '''πυκνότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''πυκνῶς''.<br> '''πυκνότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''πυκνῶς''.<br> '''πυκνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πυκνός''.<br> '''πυκνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πυκνός''.<br> '''πυκνότης, -τος (nom commun) (f)''' : densité ; sagacité.<br> '''πυκνῶς (adverbe)''' : densément ; sagacement.<br> '''πύλη, -ης (nom commun) (f)''' : (Au singulier) battant de porte. (Au pluriel) porte.<br> '''πυλωρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Portier. (Anatomie) pylore.<br> '''πύνδαξ, -κος (nom commun) (m)''' : fond.<br> '''πυνθάνομαι (verbe)''' : chercher à savoir ; s’enquérir ; s’informer de ; apprendre en s’informant ; apprendre<br> '''πυξίς, -δος (nom commun) (f)''' : pyxide.<br> '''πύον, -ου (nom commun) (n)''' : ‎pus.<br> '''πυραμίς, -δος (nom commun) (f)''' : pyramide.<br> '''πυργίτης, -ου (nom commun) (m)''' : moineau.<br> '''πύργος, -ου (nom commun) (m)''' : Tour. (Par extension) Enceinte garnie de tours. (Par extension) Citadelle, remparts. (Par analogie) Sorte de bataillon carré.<br> '''πύρινος, -η, -ον (adjectif)''' : enflammé.<br> '''πυρινότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πύρινος''.<br> '''πυρινότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πύρινος''.<br> '''πύρινως (adverbe)''' : .<br> '''πῦρ, -ός (nom commun) (n)''' : feu.<br> '''πυρρός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''πυρρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''πυρρός''.<br> '''πυρρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''πυρρός''.<br> '''πυρρῶς (adverbe)''' : .<br> '''πύσμα, -τος (nom commun) (n)''' : question ouverte.<br> '''πύστις, -εως (nom commun) (f)''' : Enquête, question. Apprentissage, chose apprise.<br> '''πυστός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''πωγώνιον, -ίου (nom commun) (m)''' : menton.<br> '''πώγων, -ονος (nom commun) (m)''' : Barbe ; barbe d’animal, de plante. Barbelure. Langue de feu.<br> '''πωλέω (verbe)''' : vendre.<br> '''πώλης, -ου (nom commun) (m)''' : vendeur.<br> '''πωλητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : vendeur.<br> '''πῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : bouchon.<br> '''πῶυ, -ώεος (nom commun) (n)''' : Troupeau d’ovins ou de chèvres.<br> '''πῶς (adverbe)''' : comment.<br> '''Παιάν, -ᾶνος (nom commun) (m)''' : péan. (nom propre) : Péan.<br> '''Πακτωλός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Pactole.<br> '''Παλαιὰ Διαθήκη (locution nominale) (f)''' : Ancien Testament.<br> '''Παλλάδιον, -ίου (nom propre) (n)''' : Palladium.<br> '''Πάλλας, -αντος (nom propre) (m)''' : Pallas (nom masculin).<br> '''Παλλάς, -δος (nom propre) (f)''' : Pallas (nom féminin).<br> '''Πάλμυρα, -ύρας (nom propre) (f)''' : Palmyre.<br> '''Πάμφιλος, -ίλου (nom propre) (m)''' : Pamphile.<br> '''Πανάκεια, -ας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Panacée|Panacée]].<br> '''Πανδώρα, -ας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Pandore|Pandore]].<br> '''Πάν, -ός (nom propre) (m)''' : [[wikt:Pan|Pan]].<br> '''Πανοῦργος, -ύργου (nom propre) (m)''' : Panurge.<br> '''Πάνθειον, -ίου (nom propre) (m)''' : Panthéon.<br> '''Παρθένος, -ου (nom propre) (f)''' : Vierge.<br> '''Παρθενών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : Parthénon.<br> '''Παρθία, -ας (nom propre) (f)''' : Parthie.<br> '''Πάρθος, -ου (nom commun) (m)''' : Parthe.<br> '''Πάρις, -δος (nom propre) (m)''' : Pâris.<br> '''Παρμενίδης, -ου (nom propre) (m)''' : Parménide.<br> '''Πασιφάη, -ης (nom propre) (f)''' : Pasiphaé.<br> '''Παῦλος, -ύλου (nom propre) (m)''' : Paul.<br> '''Παῦνι (nom propre) (m)''' : Payni.<br> '''Παυσανίας, -ου (nom propre) (m)''' : Pausanias.<br> '''Παχώμιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Pacôme.<br> '''Παχών (nom propre) (m)''' : Pachon.<br> '''Πελοπόννησος, -ήσου (nom propre) (f)''' : Péloponnèse.<br> '''Πέλοψ, -πος (nom propre) (m)''' : Pélops.<br> '''Πεμφρηδώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Pemphrédo (une des Grées).<br> '''Πεντάτευχος, -ύχου (nom propre) (f)''' : Pentateuque.<br> '''Πέργαμον, -άμου (nom propre) (n)''' : Pergame.<br> '''Περίϐοια, -ίας (nom propre) (f)''' : Périboée.<br> '''Περικλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Périclès.<br> '''Περίλεως, -εω (nom propre) (m)''' : Périléos.<br> '''Περσέπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Persépolis.<br> '''Περσεπολίτης, -ου (nom commun) (m)''' : Persépolitain.<br> '''Πέρσης, -ου (nom commun) (m)''' : Perse.<br> '''Περσίς, -δος (nom propre) (f)''' : Perse.<br> '''Περσίς, -δος (nom commun) (f)''' : Perse.<br> '''Πετεφρής, -οῦ (nom propre) (m)''' : Potiphar.<br> '''Πήγασος, -άσου (nom propre) (m)''' : Pégase.<br> '''Πηλεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Pélée.<br> '''Πηνειός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Pénée.<br> '''Πηνελόπη, -ης (nom propre) (f)''' : Pénélope.<br> '''Πίστις, -εως (nom propre) (f)''' : Pistis.<br> '''Πιτθεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Pitthée. (Grand-père de Thésée.)<br> '''Πλάτων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Platon.<br> '''Πλευρών, -ῶνος (nom propre) (m/f)''' : Pleuron.<br> '''Πλούταρχος, -άρχου (nom propre) (m)''' : Plutarque.<br> '''Πλουτεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Autre nom de Pluton.<br> '''Πλουτίς, -δος (nom propre) (f)''' : Ploutis.<br> '''Πλοῦτος, -ύτου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Ploutos|Ploutos]].<br> '''Πλούτων, -ωνος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Pluton|Pluton]].<br> '''Πόθος, - (nom propre) (m)''' : [[wikt:Pothos|Pothos]].<br> '''Ποικίλη, -ης (nom propre) (f)''' : Pœcile. (portique au nord de l’Agora d’Athènes.)<br> '''Πολύϐιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Polybe.<br> '''Πολυμνία, -ας (nom propre) (f)''' : Polymnie.<br> '''Πολύαινος, -ίνου (nom propre) (m)''' : Polyen.<br> '''Πολυνείκης, -ους (nom propre) (m)''' : Polynice.<br> '''Πολυπήμων, -ονος (nom propre) (m)''' : Polypémon (véritable nom de Procuste).<br> '''Πολύφημος, -ήμου (nom propre) (m)''' : Polyphème.<br> '''Πομπηία, -ας (nom propre) (f)''' : Pompéi.<br> '''Πομπήϊος, -ΐου (nom propre) (m)''' : Pompée.<br> '''Ποσειδώνιος, - (nom propre) (m)''' : Posidonios (Philosophe grec stoïcien né à Apamée en 135 av. J.-C. et mort à Rome en 51 av. J.-C. .).<br> '''Ποσειδάν, - (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποσειδάων, - (nom propre) (m)''' : Forme homérique de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποσειδέων, - (nom propre) (m)''' : Forme ionienne de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποσειδῶν, -ῶνος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Poséidon|Poséidon]].<br> '''Ποτειδάν, - (nom propre) (m)''' : Autre forme dorienne de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποτείδαν, - (nom propre) (m)''' : Forme éolienne de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποτειδᾶς, - (nom propre) (m)''' : Forme de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Ποτειδάων, - (nom propre) (m)''' : Forme crétoise et béotienne de ''Ποσειδῶν''.<br> '''Πραξιτέλης, -ους (nom propre) (m)''' : Praxitèle.<br> '''Πρίαμος, -άμου (nom propre) (m)''' : Priam.<br> '''Πρόκνη, -ης (nom propre) (f)''' : Procné.<br> '''Προκρούστης, -ου (nom propre) (m)''' : Procuste (surnom de Polypémon.).<br> '''Προκύων, -ός (nom propre) (m)''' : Procyon.<br> '''Προμηθεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Prométhée.<br> '''Προξένος, -ρου (nom propre) (m)''' : Proxenos.<br> '''Προυσίας, -ου (nom propre) (m)''' : Prusias.<br> '''Πρωταγόρας, -ου (nom propre) (m)''' : Protagoras.<br> '''Πυγμαλίων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Pygamlion.<br> '''Πυθαγόρας, -ου (nom propre) (m)''' : Pythagore.<br> '''Πυθόπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Antioche du Méandre.<br> '''Πύθων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Python.<br> '''Πυθώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Ancien nom de Delphes.<br> '''Πυλάδας, -ου (nom propre) (m)''' : Forme dorienne de ''Πυλάδης''.<br> '''Πυλάδης, -ου (nom propre) (m)''' : Pylade.<br> '''Πύραμος, -άμου (nom propre) (m)''' : Pyrame.<br> '''Πυρετός, -οῦ (nom propre) (m)''' : (fleuve d’Europe de l’Est).<br> '''Πυργοπολυνείκης, -ους (nom propre) (m)''' : Pyrgopolinice.<br> '''Πύργος, -ου (nom propre) (m)''' : Pyrgos.<br> '''Πύρρα, -ας (nom propre) (f)''' : Pyrrha.<br> '''Πύρρος, -ου (nom propre) (m)''' : Pyrrhus.<br> '''Πύρρων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Pyrrhon.<br> '''Πῶλος, -ώλου (nom propre) (m)''' : Polos.<br> ==Ρ== '''ῥᾶ (nom commun) (n)''' : rhubarbe.<br> '''ῥαϐϐί (nom commun) (m)''' : rabbin.<br> '''ῥαϐδομαντεία, -ας (nom commun) (f)''' : Divination pratiquée grâce à une baguette.<br> '''ῥαϐδονόμος, -ου (nom commun) (m)''' : licteur.<br> '''ῥαϐδοῦχος, -ύχου (nom commun) (m)''' : licteur.<br> '''ῥάϐδος, -ου (nom commun) (f)''' : baguette.<br> '''ῥαγάς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''ῥαιϐηδόν, -οῦ (nom commun) (n)''' .<br> '''ῥαιϐοειδής, -ής, -ές (adjectif) ''' .<br> '''ῥαιϐόκρανος, -άνου (nom commun) (m)''' .<br> '''ῥαιϐοσκελής, -ής, -ές (adjectif) ''' .<br> '''ῥαιϐός, -ή, -όν (adjectif)''' : tendu.<br> '''ῥαιϐότης, -τος (nom commun) (f)''' .<br> '''ῥαιϐῶς (adverbe)''' : de façon tendue.<br> '''ῥαιϐῶ (verbe)''' tendre.<br> '''ῥαδινός, -ή -όν (adjectif)''' : souple.<br> '''ῥᾴδιος, -α, -ον (adjectif)''' : facile.<br> '''ῥᾳδίως (adverbe)''' : facilement.<br> '''ῥᾷστος, -, - (adjectif)''' : Superlatif de ''ῥᾴδιος''.<br> '''ῥᾴων, -, - (adjectif)''' : Comparatif de ''ῥᾴδιος''.<br> '''ῥάμνος, -ου (nom commun) (f)''' nerprun épineux.<br> '''ῥάμφος, -ους (nom commun) (n)''' : bec (d’un oiseau).<br> '''ῥάξ, -γός (nom commun) (m)''' : téton.<br> '''ῥάπισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : gifle.<br> '''ῥαπίς, -δος (nom commun) (f)''' : verge ; bâton.<br> '''ῥάπτης, -ου (nom commun) (n)''' : tailleur (de vêtements).<br> '''ῥαπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : cousu.<br> '''ῥάπτω (verbe)''' : coudre.<br> '''ῥάπυς, -ος (f)''' : navet.<br> '''ῥάσσω (verbe)''' : .<br> '''ῥάττω (verbe)''' : Forme attique de ''ῥάσσω''.<br> '''ῥαφανιδῶ (verbe)''' : .<br> '''ῥαφανίδωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ῥαφανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : radis.<br> '''ῥαφεύς, -έως (nom commun) (m)''' : couturier.<br> '''ῥαφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : couture.<br> '''ῥαφίς, -δος (nom commun) (f)''' : Aiguille, poinçon. Aiguille (poisson de mer).<br> '''ῥάφυς, -ος (nom commun) (f)''' : Variante de ''ῥάπυς''.<br> '''ῥαχίζω (verbe)''' : .<br> '''ῥάχις, -εως (nom commun) (f)''' : épine dorsale.<br> '''ῥαχιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ῥαχιστός, -ός, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ῥαχίτης, -ης, -ες, (adjectif)''' : .<br> '''ῥαχός, -ή, -όν, (adjectif)''' : superficiel.<br> '''ῥαχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''ῥάψις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ῥαψῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : récitation d’un poème épique.<br> '''ῥαψῳδός, -οῦ (nom commun) (m)''' : barde.<br> '''ῥέδδω (verbe)''' : Forme béotienne et dorienne de ''ῥέζω''.<br> '''ῥέζω (verbe)''' : Travailler, faire, exécuter.<br> '''ῥέπω (verbe)''' : incliner.<br> '''ῥεῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : rhume.<br> '''ῥευματίζομαι (verbe)''' : souffrir de rhumatismes.<br> '''ῥευματισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : rhumatisme.<br> '''ῥευστός, -ή -όν (adjectif)''' : liquide.<br> '''ῥέω (verbe)''' : couler.<br> '''ῥῆγμα, -ήγματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ῥήγνυμι (verbe)''' : .<br> '''ῥῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : verbe.<br> '''ῥῆξις, -ήξεως (nom commun) (f)''' : déchirure.<br> '''ῥῆον, -ήου (nom commun) (n)''' : rhubarbe.<br> '''ῥῆσις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : citation.<br> '''ῥήσσω (verbe)''' : Forme ionienne de ''ῥάσσω''.<br> '''ῥητορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : oratoire.<br> '''ῥητορικῶς (adverbe)''' : oratoirement.<br> '''ῥητορικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ῥητορικός''.<br> '''ῥητορικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ῥητορικός''.<br> '''ῥητορικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''-ικῶς''.<br> '''ῥητορικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''-ικῶς''.<br> '''ῥητός, -ή, -όν (adjectif)''' : Dit ; dicible, (Mathématiques) rationnel.<br> '''ῥήτρα, -ας (nom commun) (f)''' : clause.<br> '''ῥήτωρ, -ορος (nom commun) (m/f)''' : orateur.<br> '''ῥηχός, -ή -όν (adjectif)''' : Forme ionienne de ''ῥαχός''.<br> '''ῥῖγος, -ίγους (nom commun) (n)''' : frisson.<br> '''ῥιγῶ (verbe)''' : frissonner.<br> '''ῥίζα, -ης (nom commun) (f)''' : racine.<br> '''ῥινόκερως, -έρωτος (nom commun) (m)''' : rhinocéros.<br> '''ῥίον, -ου (nom commun) (n)''' : sommet.<br> '''ῥιπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''ῥίπτω (verbe)''' : lancer, jeter ; projet.<br> '''ῥίς, -νός (nom commun) (f)''' : nez.<br> '''ῥίψασπις, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''ῥίψις, -πός (nom commun) (f)''' : entrelac.<br> '''ῥιπίζω (verbe)''' : éventer.<br> '''ῥιπίς, -δος (nom commun) (f)''' : éventail.<br> '''ῥοά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''ῥοή''.<br> '''ῥοή, -ῆς (nom commun) (f)''' : écoulement.<br> '''ῥοδόεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : rosé.<br> '''ῥοδοέντως (adverbe)''' : .<br> '''ῥοδοέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ῥοδόεις''.<br> '''ῥοδοέστερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ῥοδόεις''.<br> '''ῥόδον, -ου (nom commun) (n)''' : rose (fleur).<br> '''ϝρόδον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme éolienne de ''ῥόδον''.<br> '''ῥοιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : grenade (fruit).<br> '''ῥόκα, -ας (nom commun) (f)''' : roquette (plante).<br> '''ῥόμος, -ου (nom commun) (m)''' : ver.<br> '''ῥομφαία, -ας (nom commun) (f)''' : estramaçon.<br> '''ῥόπαλον, -άλου (nom commun) (n)''' : gourdin.<br> '''ῥοφῶ (verbe)''' : sucer.<br> '''ῥύαξ, -κος (nom commun) (n)''' : ruisseau.<br> '''ῥύγχος, -ους (nom commun) (n)''' : Trompe, museau. Bec d’un oiseau.<br> '''ῥυθμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : mouvement régulier.<br> '''ῥύμη, -ης (nom commun) (f)''' : rue.<br> '''ῥυπαίνω (verbe)''' : polluer.<br> '''ῥύπανσις, -άνσεως (nom commun) (f)''' : pollution.<br> '''ῥυπαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : crasseux.<br> '''ῥυπαρῶς (adverbe)''' : crasseusement.<br> '''ῥυπαρώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ῥυπαρῶς''.<br> '''ῥυπαρώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ῥυπαρῶς''.<br> '''ῥυπαρώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ῥυπαρός''.<br> '''ῥυπαρώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ῥυπαρός''.<br> '''ῥύπος, -ου (nom commun) (m)''' : polluant.<br> '''ῥυσμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ῥυθμός''.<br> '''ῥυτίς, -δος (nom commun) (f)''' : ride.<br> '''ῥωγμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : fissure.<br> '''ῥώθων, -ος (nom commun) (m)''' : narine.<br> '''ῥωμαϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : romain.<br> '''ῥωμαϊκῶς (adverbe)''' : romainement.<br> '''ῥωμαϊκώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ῥωμαϊκῶς''.<br> '''ῥωμαϊκώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ῥωμαϊκῶς''.<br> '''ῥωμαϊκώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ῥωμαϊκός''.<br> '''ῥωμαϊκώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ῥωμαϊκός''.<br> '''ῥωμαλέος, -α, -ον (adjectif)''' : fort, robuste (en parlant des personnes) ; solide (en parlant des choses).<br> '''ῥωμαλεότης, -τος (nom commun) (f)''' : force, robustesse (en parlant des personnes) ; solidité (en parlant des choses).<br> '''ῥώμη, -ης (nom propre) (f)''' : force.<br> '''ῥώομαι (verbe)''' : se précipiter, fondre sur.<br> '''ῥωσικός, -ή, -όν (adjectif)''' : russe.<br> '''ῥώξ, -γός (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ῥάξ''.<br> '''ῥῶ (nom commun) (n)''' : rhô.<br> '''Ῥαάβ (nom propre) (f)''' : Rahab.<br> '''Ῥα (nom propre) (m)''' : Rê.<br> '''Ῥᾶ (nom propre) (n)''' : Volga.<br> '''Ῥαδάμανθυς, -άνθυος (nom propre) (m)''' : Rhadamanthe.<br> '''Ῥαθούρης, -ου (nom propre) (m)''' : Niouserrê.<br> '''Ῥαθωτις, -ίδος (nom propre) (m)''' : Toutânkhamon.<br> '''Ῥαμέσσης, -ου (nom propre) (m)''' : Ramsès.<br> '''Ῥαμνοῦς, -ντος (nom propre) (m)''' : Rhamnonte.<br> '''Ῥαφαήλ (nom propre) (m)''' : Raphaël.<br> '''Ῥεϐέκκα, -ας (nom propre) (f)''' : Rebecca.<br> '''Ῥῆνος, -ήνου (nom propre) (m)''' : Rhin.<br> '''Ῥίον, -ου (nom propre) (m)''' : Río (ville de Grèce).<br> '''Ῥοδανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Rhône.<br> '''Ῥόδη, -ης (nom propre) (f)''' : Rhodé.<br> '''Ῥόδιος, - (nom propre) (m)''' : Rhodien.<br> '''Ῥοδόπη, -ης (nom propre) (f)''' : Rhodope.<br> '''Ῥόδος, -ου (nom propre) (f)''' : Rhodes.<br> '''Ῥούθ (nom propre) (f)''' : Ruth.<br> '''Ῥοῦφος, -ύφου (nom propre) (m)''' : Rufus.<br> '''Ῥωμαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Romain.<br> '''Ῥώμη, -ης (nom propre) (f)''' : Rome.<br> '''Ῥῶμος, -ώμου (nom propre) (m)''' : Rémus.<br> '''Ῥώμυλος, -ύλου (nom propre) (m)''' : Romulus.<br> '''Ῥωξάνη, -ης (nom propre) (f)''' : Roxane (Épouse d'Alexandre le Grand.)<br> '''Ῥωσία, -ας (nom propre) (f)''' : Russie.<br> '''Ῥωσίς, -δος (nom propre) (f)''' : Russe.<br> '''Ῥῶς, -ώσος (nom commun) (m)''' : Russe.<br> ==Σ== '''σάϐϐατον, -άτου (nom commun) (n)''' : shabbat.<br> '''σαϐϐατισμός, -οῦ (nom commun) (n)''' : sabbatisme.<br> '''σαδδουκαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : sadducéen.<br> '''σάγμα, -τος (nom commun) (n)''' : bât.<br> '''σάκκος, -ου (nom commun) (m)''' : sac.<br> '''σάκος, -ους (nom commun) (n)''' : bouclier.<br> '''σάκχαρις, -άρεως (nom commun) (f)''' : sucre.<br> '''σάλπιγξ, -γoς (nom commun) (f)''' : trompette.<br> '''σᾶμα, -άματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''σῆμα''.<br> '''σάμερον (adverbe)''' : Forme dorienne de ''σήμερον''.<br> '''σάμιος, -ος, -ον (adjectif)''' : samosien.<br> '''σαμψήρα, -ας (nom commun) (f)''' : cimeterre.<br> '''σάνδαλον, -άλου (nom commun) (n)''' : sandale.<br> '''σανίς, -δος (nom commun) (f)''' : planche.<br> '''σαρδονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sarde.<br> '''σαρδονικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαρδονικός''.<br> '''σαρδονικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαρδονικός''.<br> '''σαρδονικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σαρδονικῶς''.<br> '''σαρδονικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σαρδονικῶς''.<br> '''σαρδονικῶς (adverbe)''' : sardoniquement.<br> '''σαρκικός, -ή, -όν (adjectif)''' : charnel.<br> '''σαρκικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαρκικός''.<br> '''σαρκικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαρκικός''.<br> '''σαρκικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σαρκικῶς''.<br> '''σαρκικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σαρκικῶς''.<br> '''σαρκικῶς (adverbe)''' : charnellement.<br> '''σάρκινος, -ίνη, -άρκινον (adjectif)''' : charnu.<br> '''σάρξ, -κός (nom commun) (f)''' : chair.<br> '''σατυρίασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : satyriasis.<br> '''σατυρικός, -ή, -όν (adjectif)''' : satyrique.<br> '''σατύριον, -ίου (nom commun) (n)''' : satyrion.<br> '''σατυρίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : satyreau.<br> '''σάτυρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : satyre.<br> '''σατυρώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : satyrode.<br> '''σαύρα, -ας (nom commun) (f)''' : lézard ; quéquette.<br> '''σαύρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''σαύρα''.<br> '''σαυροματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sarmate.<br> '''σαυροματικῶς (adverbe)''' : .<br> '''σαυροματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαυροματικός''.<br> '''σαυροματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαυροματικός''.<br> '''σαῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : lézard.<br> '''σάπφειρος, -ίρου (nom commun) (f)''' : saphir.<br> '''σαφέστερος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαφής''.<br> '''σαφέστατος, -έρα, -έσερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαφής''.<br> '''σαφής, -ής, -ές (adjectif)''' : Clair, évident ; manifeste.<br> '''σαφῶς (adverbe)''' : Clairement, évidemment ; manifestement.<br> '''σεϐάζω (verbe)''' : respecter.<br> '''σεϐασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : respect.<br> '''σεϐαστός, -ός, -όν (adjectif)''' : respectable ; respecté.<br> '''σέϐομαι (verbe)''' : Craindre les dieux. Vénérer.<br> '''σείριος, -ίου (nom commun) (m)''' : destructeur.<br> '''σελάνα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''σελήνη''.<br> '''σελάννα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''σελήνη''.<br> '''σέλας, -τος (nom commun) (n)''' : Éclat, lumière ; lueur brillante.<br> '''σελάχιον, -ίου (nom commun) (n)''' : raie (poisson).<br> '''σέλαχος, -άχους (nom commun) (n)''' : requin.<br> '''σελήνη, -ης (nom commun) (f)''' : lune.<br> '''σεληνιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : lunaire.<br> '''σέλινον, -ίνου (nom commun) (n)''' : céleri.<br> '''σελίς, -δος (nom commun) (f)''' : page. (Face d'une feuille de papier, de parchemin, de vélin, servant à l'écriture.)<br> '''σεμίδαλις, -άλεως (nom commun) (f)''' : semoule.<br> '''σεμνός, -ή, -όν (adjectif)''' : modeste.<br> '''σεμνότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σεμνῶς''.<br> '''σεμνότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σεμνῶς''.<br> '''σεμνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σεμνός''.<br> '''σεμνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σεμνός''.<br> '''σεμνότης, -τος (nom commun) (f)''' : modestie.<br> '''σεμνῶς (adverbe)''' : modestement.<br> '''σῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : signe.<br> '''σημαντικός -ή -όν (adjectif)''' : significatif.<br> '''σημαντικῶς (adverbe)''' : significativement.<br> '''σημαντικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σημαντικός''.<br> '''σημαντικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σημαντικός''.<br> '''σημαντικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σημαντικῶς''.<br> '''σημαντικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σημαντικῶς''.<br> '''σημεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : signal.<br> '''σήμερον (adverbe)''' : aujourd’hui.<br> '''σημύδα, -ης (nom commun) (f)''' : bouleau.<br> '''σῆραγξ, -ήραγγος (nom commun) (f)''' : tunnel.<br> '''σήσαμον, άμου (nom commun) (n)''' : sésame.<br> '''σής, -τός (nom commun) (m)''' : mite.<br> '''σητόδοκις, -εως (nom commun) (f)''' : papillon.<br> '''σῆψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : putréfaction.<br> '''σιαγών, -όνος (nom commun) (f)''' : mâchoire.<br> '''σιηγών, -όνος (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''σιαγών''.<br> '''σῖγμα (nom commun) (n)''' : sigma.<br> '''σικάριος, -ίου (nom commun) (m)''' : assassin.<br> '''σικελικός, -ή, -όν (adjectif)''' : sicilien.<br> '''σικυός, -οῦ (nom commun) (m)''' : concombre.<br> '''σικυώνιος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''σίλφιον, -ίου (nom commun) (n)''' : silphium.<br> '''σιμός, -ή, -όν (adjectif)''' : Camus ; montant.<br> '''σιμῶ (verbe)''' : lever le nez.<br> '''σίναπι, -άπεως (nom commun) (n)''' : moutarde (plante).<br> '''σιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme laconienne de ''θεός''.<br> '''σίσυς, -ος (nom commun) (m)''' : fourrure.<br> '''-σις, -εως (suffixe) (f)''' : Suffixe formant des noms d'action.<br> '''σῖτος, -ίτου (nom commun) (m)''' : Grain, à la fois le blé et l'orge. (Par extension) Toute nourriture végétale (par opposition à la viande ou la boisson). Pension alimentaire. (Droit athénien) Distribution de blé aux indigents.<br> '''σιωπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : calme, silence.<br> '''σιωπηρός, -ός, -όν (adjectif)''' : silencieux, tacite.<br> '''σιωπηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαρκικός''.<br> '''σιωπηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαρκικός''.<br> '''σιωπηρότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σαρκικῶς''.<br> '''σιωπηρότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σαρκικῶς''.<br> '''σιωπηρῶς (adverbe)''' : tacitement.<br> '''σιωπηρότης, -τος (nom commun) (f)''' : tacité.<br> '''σιωπῶ (verbe)''' : se taire.<br> '''σκαιός, -ά, -όν (adjectif)''' : qui est à gauche.<br> '''σκάνδαλον, -άλου (nom commun) (n)''' : Piège placé sur le chemin.<br> '''σκανδάληθρον, -ήθρου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σκανδαλίζω (verbe)''' : Placer un piège sur le chemin.<br> '''σκαπανεύς, -έως (nom commun) (m)''' : .<br> '''σκαπάνη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''σκᾶπτρον, -άπτρου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''σκῆπτρον''.<br> '''σκάπτω (verbe)''' : creuser.<br> '''σκεδάννυμι (verbe)''' : disperser, répandre.<br> '''σκέλος, -ους (nom commun) (n)''' : (Anatomie) Jambe de l’homme et des animaux. (Au pluriel) Les murs (entre Athènes et le Pirée, entre Mégare et Nisæa).<br> '''σκεπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : observateur.<br> '''σκεπτικῶς (adverbe)''' : sceptiquement.<br> '''σκεπτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σκεπτικός''.<br> '''σκεπτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σκεπτικός''.<br> '''σκέπτομαι (verbe)''' : Considérer ; examiner avec soin.<br> '''σκευαρίδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σκευάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σκευωρία, -ας (nom commun) (f)''' : machination.<br> '''σκεῦος, -ύους (nom commun) (n)''' : ustensile.<br> '''σκέψις, -εως (nom commun) (f)''' : pensée. (opération de l’intelligence.)<br> '''σκηπτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : ouragan.<br> '''σκῆπτρον, -ήπτρου (nom commun) (n)''' : Étai, sceptre.<br> '''σκήπτω (verbe)''' : Étayer, soutenir. Brandir.<br> '''σκίουρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : écureuil.<br> '''σκολιός, -ά, -όν (adjectif)''' : tordu.<br> '''σκολόπαξ, -άκος (nom commun) (m)''' : bécasse.<br> '''σκολόπενδρα, -ένδρας (nom commun) (f)''' : scolopendre.<br> '''σκολοπένδριον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''σκολόπενδρα''.<br> '''σκόλοψ, -πος (nom commun) (m)''' : écharde.<br> '''σκόπελος, -έλου (nom commun) (m)''' : écueil.<br> '''σκοπῶ (verbe)''' : observer.<br> '''σκόροδον, -όδου (nom commun) (n)''' : ail.<br> '''σκορπιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : scorpion.<br> '''σκοτεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : obscur.<br> '''σκοτεινῶς (adverbe)''' : obscurément.<br> '''σκοτεινώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σκοτεινός''.<br> '''σκοτεινώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σκοτεινός''.<br> '''σκότιος, -ία, -ότιον (adjectif)''' : bâtard.<br> '''σκότος, -ου (nom commun) (m)''' : obscurité.<br> '''σκυθικός, -ή, -όν (adjectif)''' : scythe.<br> '''σκυθικῶς (adverbe)''' : .<br> '''σκυθικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σκυθικός''.<br> '''σκυθικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σκυθικός''.<br> '''σκύλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : chiot.<br> '''σκυλεύω (verbe)''' : dépouiller.<br> '''σκύλλω (verbe)''' : Déchirer, troubler.<br> '''σκῦλον, -ύλου (nom commun) (n)''' : butin.<br> '''σκῦτος, -ύτου (nom commun) (m)''' : .<br> '''σκώληξ, -κος (nom commun) (m)''' : ver.<br> '''σκῶμμα, -ώμματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''σκωραμίς, -δος (nom commun) (f)''' : pot de chambre.<br> '''σκωρία, -ας (nom commun) (f)''' : scorie.<br> '''σκῶρ, -ατός (nom commun) (n)''' : excrément.<br> '''σκώψ, -πός (nom commun) (m)''' : hibou.<br> '''σμάραγδος, -άγδου (nom commun) (f)''' : émeraude.<br> '''σμάω (verbe)''' : frotter, nettoyer.<br> '''σμῆγμα, -ήγματος (nom commun) (n)''' : savon, détergent ; onguent.<br> '''σμήχω (verbe)''' : essuyer.<br> '''σμῖλαξ, -ίλακος (nom commun) (f)''' : if.<br> '''σμίλη, -ης (nom commun) (f)''' : Ciseau. Bistouri, lancette.<br> '''σμύραινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : murène.<br> '''σμῶδιξ, -ώδιγγος (nom commun) (f)''' : contusion.<br> '''σμώχω (verbe)''' : frotter.<br> '''σοϐαρός, -ή, -όν (adjectif)''' : Effrayant. Fuyant, rapide. Hautain, dédaigneux ; pompeux.<br> '''σοϐαρῶς (adverbe)''' : Effrayamment, rapidement. Hautainement, dédaigneusement ; pompeusement.<br> '''σοϐαρώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σοϐαρός''.<br> '''σοϐαρώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σοϐαρός''.<br> '''σοϐῶ (verbe)''' : Chasser, effrayer les oiseaux. Bouger rapidement.<br> '''σαπρός, -ή, -όν (adjectif)''' : Pourri, putride<br> '''σαπρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σαπρός''.<br> '''σαπρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σαπρός''.<br> '''σαπρῶς (adverbe)''' : putridement.<br> '''σός, -ή, -όν (adjectif possessif)''' : ton.<br> '''σοφία, -ας (nom commun) (f)''' : sagesse.<br> '''σοφίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''σοφία''.<br> '''σοφός, -ή, -όν (adjectif)''' : Habile. (En parlant de l’intelligence ou du caractère) Prudent, sage. (En particulier) Initié à la sagesse. Ingénieux, fin, rusé.<br> '''σοφῶς (adverbe)''' : Habilement, sagement. Ingénieusement, finement.<br> '''σοφώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σοφός''.<br> '''σοφώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σοφός''.<br> '''σπαδωνισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : castration.<br> '''σπάδων, -ος (nom commun) (m)''' : castrat ; eunuque.<br> '''σπάθη, -ης (nom commun) (f)''' : épée.<br> '''σπαθίον, -ου (nom commun) (m)''' : Diminutif de ''σπάθη''.<br> '''σπανακόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : épinard.<br> '''σπάναξ, -κος (nom commun) (m)''' : épinard.<br> '''σπάνιος, -ία, -ιον (adjectif)''' : rare.<br> '''σπανίως (adverbe)''' : rarement.<br> '''σπανιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σπάνιος''.<br> '''σπανιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σπάνιος''.<br> '''σπαργάνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : rubanier.<br> '''σπάργανον, -άνου (nom commun) (n)''' : lange.<br> '''σπάργω (verbe)''' : langer.<br> '''σπαρτιατικός, -ή, -όν (adjectif)''' : spartiate.<br> '''σπασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : spasme.<br> '''σπαστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''σπάω (verbe)''' : briser.<br> '''σπεῖρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : spire.<br> '''σπεῖρον, -ίρου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σπέος, -ους (nom commun) (n)''' : grotte.<br> '''σπεύδω (verbe)''' : se hâter.<br> '''σπήλαιον, -ίου (nom commun) (n)''' : caverne, grotte ; cavité.<br> '''σπῆλυγξ, -ήλυγγος (nom commun) (m)''' : caverne, antre ; grotte.<br> '''σπογγιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : éponge.<br> '''σπόγγος, -ου (nom commun) (m)''' : éponge ; (anatomie) amygdale.<br> '''σποδός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cendre.<br> '''σπολεύς, -έως (nom commun) (m)''' : sorte de pain.<br> '''σπονδεῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : spondée.<br> '''σπόνδυλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''σφόνδυλος''.<br> '''σπουδαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : important.<br> '''σπουδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : hâte.<br> '''στάδιον, -ου (nom commun) (n)''' : stade. (env. 180 m)<br> '''σταγών, -όνος (nom commun) (f)''' : goutte.<br> '''στάζω (verbe)''' : couler goutte à goutte.<br> '''σταθερός, -ή, -όν (adjectif)''' : fixe, constant, ferme.<br> '''στακτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cendre.<br> '''στάλα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''στήλη''.<br> '''στάλαγμα, -άγματος (nom commun) (n)''' : goutte.<br> '''σταλαγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : écoulement, égouttage.<br> '''σταλάσσω (verbe)''' : tomber, couler.<br> '''στάλλα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''στήλη''.<br> '''στάσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''σταυρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : croix.<br> '''σταυρόω (verbe)''' : crucifier.<br> '''σταύρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : crucifixion.<br> '''σταφυλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : grappe de raisin mûr.<br> '''σταφυλίς, -δος (nom commun) (f)''' : luette.<br> '''στέαρ, -ατος (nom commun) (n)''' : Graisse compacte ; lard ; suif. Graisse.<br> '''στεατοπυγός, -ός, -όν (adjectif)''' : Qui a de grosses fesses.<br> '''στέγασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : accommodation.<br> '''στέγος, -ους (nom commun) (n)''' : Abri. Toit. Maison. Tombeau. Urne funéraire.<br> '''στέγω (verbe)''' : Couvrir. Supporter, résister.<br> '''στεῖρος, -ίρα, -ῖρον (adjectif)''' : stérile.<br> '''στειρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στεῖρος''.<br> '''στειρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στεῖρος''.<br> '''στείρως (adverbe)''' : stérilement.<br> '''στελεά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : axe, pôle.<br> '''στελεόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : manche.<br> '''στέλεχος, -έχους (nom commun) (n)''' : .<br> '''στέλλω (verbe)''' : .<br> '''στέμμα, -τος (nom commun) (n)''' : guirlande.<br> '''στεμματηφορῶ (verbe)''' : .<br> '''στεμματιαῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''στεμματία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''στεμματοφορία, -ας (nom commun) (n)''' : .<br> '''στεμματοφόρος, -ό, -όν (adjectif)''' : étroit, resserré.<br> '''στεμματῶ (verbe)''' : .<br> '''στενός, -ή, -όν (adjectif)''' : étroit, resserré.<br> '''στενῶς (adverbe)''' : étroitement.<br> '''στενώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στενός''.<br> '''στενώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στενός''.<br> '''στερεός, -ά, -όν (adjectif)''' : ferme, dur.<br> '''στερέωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : firmament.<br> '''στερεῶς (adverbe)''' : fermement, durement.<br> '''στερεώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στερεός''.<br> '''στερεώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στερεός''.<br> '''στερεῶ (verbe)''' : .<br> '''στέφανος, -άνου (nom commun) (m)''' : cercle d'une armée sur un champ de bataille. Couronne.<br> '''στέφω (verbe)''' : couronner.<br> '''στηθόδεσμος -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''στῆθος, -ήθους (nom commun)''' : poitrine.<br> '''στήλη, -ης (nom commun) (f)''' : stèle.<br> '''στήνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : sein.<br> '''στιϐάς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''στίϐι, -τος (nom commun) (n)''' : antimoine.<br> '''στιγμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : moment.<br> '''στοργή, -ῆς (nom commun) (f)''' : amour familial.<br> '''στοιχεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : élément.<br> '''στοιχειωδέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στοιχειώδης''.<br> '''στοιχειωδέστερος, -έρη, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στοιχειώδης''.<br> '''στοιχειώδης, -ης, -ῶδες (m)''' : élémentaire.<br> '''στοιχειωδῶς (adverbe)''' : élémentairement.<br> '''στολίζω (verbe)''' : .<br> '''στόμα, -τος (nom commun) (n)''' : bouche.<br> '''στομάχιον, -ίου (nom commun) (n)''' : estomac.<br> '''στώμυλμα, -τος (nom commun) (n)''' : bavard.<br> '''στοχάζομαι (verbe)''' : Conjecturer. Viser.<br> '''στοχαστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Conjectureur, penseur.<br> '''στοχαστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Qui vise bien, qui tend directement vers. Habile à conjecturer, conjectural.<br> '''στοχαστικῶς (adverbe)''' : conjecturalement.<br> '''στοχαστικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στοχαστικός''.<br> '''στοχαστικώτερος, -έρη, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στοχαστικός''.<br> '''στόχος, Cible, but, point visé. Conjecture.<br> '''στορέννυμι (verbe)''' : étendre, recouvrir.<br> '''στραγγαλίζω (verbe)''' : étrangler.<br> '''στραγγαλίς, -δος (nom commun) (f)''' : nœud.<br> '''στραγγαλοῦμαι (verbe)''' : tordre.<br> '''στραγγίζω (verbe)''' : essorer.<br> '''στραγγουρία, -ας (nom commun) (f)''' : strangurie.<br> '''στράγξ, -γός (nom commun) (f)''' : goutte.<br> '''στρατός, -οῦ (nom commun) (m)''' : armée.<br> '''στρατηγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : général.<br> '''στραταγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme arcadienne et dorienne de ''στρατηγός''.<br> '''στρατήγημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : stratagème.<br> '''στρατηγία, -ας (nom commun) (f)''' : stratégie.<br> '''στρέμμα, -τος (nom commun) (n)''' : Tournure ; rouleau. Conspiration.<br> '''στρεπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''στρεπτικῶς (adverbe)''' : .<br> '''στρεπτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στρεπτικός''.<br> '''στρεπτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στρεπτικός''.<br> '''στρεπτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''στρεπτικῶς''.<br> '''στρεπτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''στρεπτικῶς''.<br> '''στρεπτός, -ή, -όν (adjectif)''' : Tourné ; docile.<br> '''στρεπτῶς (adverbe)''' : docilement.<br> '''στρεπτώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στρεπτός''.<br> '''στρεπτώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στρεπτός''.<br> '''στρέφω (verbe)''' : Tourner, retourner.<br> '''στρέψις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''στρίζω (verbe)''' : strider.<br> '''στρίξ, -γός (nom commun) (f)''' : chouette.<br> '''στρόταγος, -άγου (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''στρατηγός''.<br> '''στρατιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : soldat.<br> '''στρόϐιλος, -ίλου (nom commun) (m)''' : Ce qui tourne ou tournoie. Toupie. Tourbillon, ouragan. Objet divers en spirale ou de forme conique. Pomme de pin ou fruit des arbres résineux. Coquillage en spirale. Enroulement du hérisson sur lui-même. Qui tournoie en spirale.<br> '''στροϐιλόω (verbe)''' : tourner.<br> '''στραγγός, -ή, -όν (adjectif)''' tordu.<br> '''στρογγύλλω (verbe)''' : arrondir.<br> '''στρογγύλος, -η, -ον (adjectif)''' : arrondi.<br> '''στρογγυλότης, -τος (nom commun) (f)''' : rondeur.<br> '''στρουθιοκάμηλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : autruche.<br> '''στρουθίον, -ου (nom commun) (n)''' : moineau.<br> '''στροφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : tour.<br> '''στρόφιγξ, -γος (nom commun) (m)''' : charnière.<br> '''στρόφιον, -ίου (nom commun) (n)''' : strophium.<br> '''στρόφος, -ου (nom commun) (m)''' : corde.<br> '''στύφω (verbe)''' : contracter.<br> '''στῦψις, -ύψεως (nom commun) (f)''' : contraction.<br> '''στρῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : matelas.<br> '''στρώννυμι (verbe)''' : .<br> '''στυγερός, -ά, -όν (adjectif)''' : horrible.<br> '''στυγερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''στυγερός''.<br> '''στυγερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''στυγερός''.<br> '''στυγερῶς (adverbe)''' : horriblement.<br> '''στῦλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : Pilier, colonne.<br> '''στῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : érection (action physiologique).<br> '''στύω (verbe)''' : avoir une érection.<br> '''συγάτηρ, -τρός (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''θυγάτηρ''.<br> '''συγγνώμη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''συγγιγνώσκω (verbe)''' : .<br> '''συγκέντρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : concentration.<br> '''συγκεντρῶ (verbe)''' : concentrer.<br> '''συγκεράννυμι (verbe)''' : .<br> '''συγκρητισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''συγκινῶ (verbe)''' : émouvoir.<br> '''συγκίνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : émotion.<br> '''συγκινητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : émouvant.<br> '''συγκρίνω (verbe)''' : comparer.<br> '''σύγκρισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : comparaison.<br> '''συγκριτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : comparatif.<br> '''σύγκρουσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : collision.<br> '''συγχώρησις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''συγχωρητέος, -α, -ον (adjectif)''' : .<br> '''συζήτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : discussion, conversation ; débat.<br> '''συζητῶ (verbe)''' : discuter, converser ; débattre.<br> '''σῦκον, -ύκου (nom commun) (n)''' : Figue ; vulve.<br> '''συκοφάντης, -ου (nom commun) (m)''' : Délateur, calomniateur. Chicaneur de mauvaise foi.<br> '''σύκχος, -ους (nom commun) (n)''' : pantoufle.<br> '''συλάω (verbe)''' : Saisir, prendre ; emporter. Dépouiller, prendre les armes de son ennemi mort. Piller.<br> '''σύλη, -ης (nom commun) (f)''' : Prise ; saisie.<br> '''σύλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : profanation.<br> '''σύλον, -ου (nom commun) (n)''' : Forme attique de ''ξύλον''.<br> '''συλλαμϐάνω (verbe)''' : .<br> '''σύλληψις, -ήψεως (nom commun) (f)''' : Action de prendre ensemble. Compréhension. Réunion par prononciation de deux voyelles. Action de s’emparer, de saisir. Conception dans le sein de la mère. Assistance, secours.<br> '''συμϐάλλω (verbe)''' : .<br> '''σύμϐασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : convention.<br> '''συμϐίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : vie commune.<br> '''συμϐιῶ (verbe)''' : vivre ensemble.<br> '''συμϐόλαιον, -ίου (nom commun) (n)''' : contrat.<br> '''συμϐολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : relatif aux signes de reconnaissance.<br> '''σύμϐολον, -όλου (nom commun) (n)''' : signe de reconnaissance.<br> '''συμμετρία, -ας (nom commun) (f)''' : bonne proportion.<br> '''συμπάθεια, -ίας (nom commun) (f)''' : Communauté de sentiments ou d’impressions. (Philosophie), (Terme stoïcien) Rapport de certaines choses entre elles.<br> '''συμπεραίνω (verbe)''' : accomplir, finir, trancher, décider.<br> '''συμπέρασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : conclusion.<br> '''συμπερασματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : conclusif.<br> '''συμπερασματικῶς (adverbe)''' : conclusivement.<br> '''συμπεριφέρομαι (verbe)''' : se comporter.<br> '''συμπεριφορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : comportement.<br> '''συμπεριφορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : comportemental.<br> '''συμπεριφορισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : comportementalisme.<br> '''συμπεριφοριστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : comportementaliste.<br> '''συμπίνω (verbe)''' : festoyer.<br> '''συμπονῶ (verbe)''' : compatir.<br> '''συμπόσιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Banquet, festin. (Collectif) Les convives. Salle de festin.<br> '''σύμπτωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : Accident, malchance ; symptôme.<br> '''σύμπτωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : coïncidence.<br> '''συμπίπτω (verbe)''' : coïncider.<br> '''συμφορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : désastre.<br> '''συμφοράζω (verbe)''' : .<br> '''συμφοραίνω (verbe)''' : .<br> '''συμφορηδόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : .<br> '''συμφόρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''συμφόρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : congestion.<br> '''συμφορή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''συμφορά''.<br> '''συμφέρω (verbe)''' : accumuler.<br> '''συμφύρομαι (verbe)''' : .<br> '''σύμφυσις, -εως (nom commun) (f)''' : symphyse.<br> '''σύμφωνον, -ώνου (nom commun) (n)''' : consonne.<br> '''συναγωγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Rassemblement, assemblée de gens. Rassemblement, regroupement, mis en tas, etc., de choses.<br> '''συνάγω (verbe)''' : rassembler.<br> '''συναίσθημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : émotion.<br> '''συναισθάνομαι (verbe)''' : .<br> '''σύν (préposition)''' : Avec, à côté de.<br> '''σύν- (préfixe)''' (Devient ''σύγ-'' devant ''γ'', ''κ'', ''ξ'', ''χ'' ; ''σύλ-'' devant ''λ'' ; ''σύμ-'' devant ''β'', ''π'', ''φ'', ''μ'', ''ψ''.) : syn-.<br> '''σύναψις, -άψεως (nom commun) (f)''' : connexion.<br> '''συνάπτω (verbe)''' : connecter.<br> '''συνέδριον, -ίου (nom commun) (n)''' : conseil, congrégation.<br> '''σύνεδρος, -έδρου (nom commun) (n)''' : conseiller, congrégationniste.<br> '''συνείδησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : conscience.<br> '''συνεργάτης, -ου (nom commun) (m)''' : collaborateur.<br> '''σύνεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : connexion.<br> '''συνέχεια, -ίας (nom commun) (f)''' : continuité.<br> '''συνεχής, -ής, -ές (adjectif)''' : continu.<br> '''συνεχέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''συνεχής''.<br> '''συνεχέστερος, -έρα, -έστερον (adjectif)''' : Comparatif de ''συνεχής''.<br> '''συνεχότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''συνεχῶς''.<br> '''συνεχότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''συνεχῶς''.<br> '''συνεχῶς (adverbe)''' : continuellement.<br> '''συνίημι (verbe)''' : rejoindre.<br> '''συνίστημι (verbe)''' : .<br> '''συνουσία, -ας (nom commun) (f)''' : copulation.<br> '''συνουσιάζω (verbe)''' : copuler.<br> '''σύνοψις, -όψεως (nom commun) (f)''' : Vue d'ensemble. Coup d'œil général. Table des matières. (Figuré) Examen.<br> '''σύνταγμα, -άγματος (nom commun) (n)''' : constitution.<br> '''συνταγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : constitutionnel.<br> '''συνταγματικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''συνταγματικῶς''.<br> '''συνταγματικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''συνταγματικῶς''.<br> '''συνταγματικότης, -τος (nom commun) (f)''' : constitutionnalité.<br> '''συνταγματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''συνταγματικός''.<br> '''συνταγματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''συνταγματικός''.<br> '''συνταγματικῶς (adverbe)''' : constitutionnellement.<br> '''σύνταξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : mise en ordre.<br> '''συντάσσω (verbe)''' : mettre en ordre.<br> '''συνύπαρξις, -άρξεως (nom commun) (f)''' : coexistence.<br> '''συνυπάρχω (verbe)''' : coexister.<br> '''συνωμοσία, -ας (nom commun) (f)''' : conspiration.<br> '''συνωμότης, -ου (nom commun) (m)''' : conspirateur.<br> '''συνωμότρια, -ας (nom commun) (f)''' : conspiratrice.<br> '''συνωμοτῶ (verbe)''' : conspirer.<br> '''σῦριγξ, -ύριγγος (nom commun) (f)''' : Roseau. (Musique) Flûte de Pan.<br> '''συριστί (adverbe)''' : .<br> '''σύρξ, -κός (nom commun) (f)''' : Forme éolienne de ''σάρξ''.<br> '''σύρραξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''συρτός, -οῦ (nom commun) (m)''' : tiroir.<br> '''συσκευή, -ῆς (nom commun) (f)''' : appareil.<br> '''συσσώρευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : accumulation.<br> '''σύσταμα, -άματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''σύστημα''.<br> '''συστέλλω (verbe)''' : Resserrer, contracter. Réprimer.<br> '''σύστημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Réunion en un unique corps.<br> '''συστολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Resserrement, contraction. Répression.<br> '''σύ (pronom personnel)''' : tu.<br> '''σφαγεύς, -έως (nom commun) (m)''' : tueur.<br> '''σφαγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : abattage.<br> '''σφάζω (verbe)''' : tuer, sacrifier.<br> '''σφαῖρα, -ίρας (nom commun) (f)''' : Balle, ballon ; globe.<br> '''σφάκελος, -έλου (nom commun) (m)''' : nécrose.<br> '''σφάλλω (verbe)''' : Faire tomber. faire chuter ; renverser. Défaire, avoir le dessus. Avoir lieu (bien ou mal tomber). Tromper, abuser. (Au passif) Se tromper, fauter. Emballer, rouler.<br> '''σφάλμα, -τος (nom commun) (n)''' : Chute, faux pas. Erreur. Perte.<br> '''σφεδανός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''σφένδαμνος, -άμνου (nom commun) (f)''' : érable.<br> '''σφενδόνη, -ης (nom commun) (f)''' : fronde.<br> '''σφενδονήτης, -ου (nom commun) (m)''' : frondeur.<br> '''σφενδονητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : frondeur.<br> '''σφενδονητικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''σφενδονητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σφενδονητικός''.<br> '''σφενδονητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σφενδονητικός''.<br> '''σφενδονητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σφενδονητικῶς''.<br> '''σφενδονητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σφενδονητικῶς''.<br> '''σφήν, -ός (nom commun) (m)''' : coin (instrument).<br> '''σφηνάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σφηνεύς, -έως (nom commun) (m)''' : coin.<br> '''σφηνίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφηνοειδής, -ής, -ές (adjectif)''' : cunéiforme.<br> '''σφηνοκέφαλος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''σφηνόπους, -δός (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφηνοπώγων, -ονος (nom commun) (m)''' : coin.<br> '''σφηνῶ (verbe)''' : .<br> '''σφήνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''σφήξ, -ῆκος (nom commun) (f)''' : guêpe.<br> '''σφίγγω (verbe)''' : attacher fortement.<br> '''σφιγκτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : sphincter.<br> '''σφιγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφόγγος, -ου (nom commun) (m)''' : Forme attique de ''σπόγγος''.<br> '''σφοδρός, -ά, -όν (adjectif)''' : véhément.<br> '''σφοδρότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σφοδρῶς''.<br> '''σφοδρότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σφοδρῶς''.<br> '''σφοδρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σφοδρός''.<br> '''σφοδρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σφοδρός''.<br> '''σφοδρότης, -τος (nom commun) (f)''' : véhémence.<br> '''σφοδρῶς (adverbe)''' : véhémentement.<br> '''σφόνδυλος, -ύλου (nom commun) (m)''' : vertèbre.<br> '''σφραγίς, -δος (nom commun) (f)''' : sceau.<br> '''σφράγισμα, -ατος (nom commun) (n)''' : .<br> '''σφραγισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφραγιστήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφραγιστήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σφραγιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''σφραγιστός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''σφυγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : pouls.<br> '''σφύζω (verbe)''' : .<br> '''σφύξις, -εως (nom commun) (f)''' : palpitation.<br> '''σφῦρα, -ύρας (nom commun) (f)''' : marteau.<br> '''σφώ (pronom personnel)''' : vous (vous deux).<br> '''σχεδίασμα, -τος (nom commun) (n)''' : caprice.<br> '''σχῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Manière d'être. Forme, figure, extérieur. Apparence, faux-semblant.<br> '''σχίζω (verbe)''' : Fendre, séparer en fendant. Séparer en douze parts, avec l’idée de violence. Déchirer la peau avec ses griffes. Fendre, séparer, partager en deux.<br> '''σχίσμα, -ατος (nom commun) (n)''' : division.<br> '''σχοῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : corde.<br> '''σχολαστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : Désœuvré. Inoccupé ; studieux.<br> '''σχολαστικός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Homme d'étude. (Péjoratif) Homme d'étude détaché des réalités de la vie ; pédant, nigaud, etc.<br> '''σχολεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : école.<br> '''σχολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Repos. Temps libre. Philosophie, méditation. École.<br> '''σχολιάζω (verbe)''' : commenter.<br> '''σχολιαστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : commentateur.<br> '''σχολιάστρια, -ας (nom commun) (f)''' : commentatrice.<br> '''σχολιογράφος, -ου (nom commun) (m/f)''' : chroniqueur.<br> '''σχόλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : commentaire.<br> '''σῴζω (verbe)''' : sauver.<br> '''σωλήν, -ῆνος (nom commun) (m)''' : Tube ; tuyau.<br> '''σωληνοειδής -ής -ές (adjectif)''' : .<br> '''σῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : corps.<br> '''σωματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : corporel.<br> '''σωματικῶς (adverbe)''' : corporellement.<br> '''σωματικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''σωματικός''.<br> '''σωματικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''σωματικός''.<br> '''σωματικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''σωματικῶς''.<br> '''σωματικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''σωματικῶς''.<br> '''σωμάτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : codex.<br> '''σώος, -α, -ον (adjectif)''' : sain.<br> '''σωτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : Sauveur ; libérateur.<br> '''σωφρονιστήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''σωφρονιστήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : .<br> '''σωφρονίζω (verbe)''' : modérer, tempérer.<br> '''σωφροσύνη, -ης (nom commun) (f)''' : modération, tempérence.<br> '''σώφρων, -ων, -ῶφρον (adjectif)''' : prudent.<br> '''σϝάδυς, -εια, -υ (adjectif)''' : Forme ancienne de ''ἡδύς''.<br> '''Σάϊς, -εως (nom commun) (f)''' : Saïs.<br> '''Σαλμακίς, - (nom commun) (f)''' : Salmacis.<br> '''Σαλομών, -ος (nom propre) (m)''' : Salomon.<br> '''Σαλμωνεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Salmonée.<br> '''Σαμάρεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Samarie.<br> '''Σαμοθρᾴκη, -ης (nom propre) (f)''' : Samothrace.<br> '''Σαμόθρᾳξ, -κος (nom commun) (m)''' : Samothracien.<br> '''Σάμος, -ου (nom propre) (f)''' : Samos.<br> '''Σανδρόκυπτος, -ύπτου (nom propre) (m)''' : Chandragupta.<br> '''Σαγχουνιάθων, - (nom propre) (m)''' : Sanchoniathon.<br> '''Σαούλ (nom propre) (m)''' : Saül.<br> '''Σαπφώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Sapphô.<br> '''Σαπώρης, -ου (nom commun) (m)''' : Shapur.<br> '''Σάρα, -ας (prénom) (f)''' : Sarah.<br> '''Σαρδόνιος, -ίου (nom commun) (m)''' : Sarde.<br> '''Σαρδώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Sardaigne.<br> '''Σαυρομάτης, -ου (nom commun) (m)''' : Sarmate.<br> '''Σαυροματία, -ας (nom propre) (f)''' : Sarmatie.<br> '''Σαυρομάτις, -δος (nom commun) (f)''' : Sarmate.<br> '''Σατάν (nom propre) (m)''' : Satan.<br> '''Σδεύς, -έως (nom propre) (f)''' : Autre forme éolienne de ''Ζεύς''.<br> '''Σεϐάστεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Sivas.<br> '''Σεϐαστή, -ῆς (nom propre) (f)''' : .<br> '''Σεϐαστός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Sébastien.<br> '''Σειρήν, -ῆνος (nom propre) (f)''' : sirène.<br> '''Σείριος, -ίου (nom propre) (m)''' : Sirius.<br> '''Σελεύκεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Séleucie.<br> '''Σελεύκειος, -α, -ον (adjectif)''' : séleucien.<br> '''Σελευκεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Séleucien.<br> '''Σελευκίδης, -ου (nom commun) (m)''' : Séleucide.<br> '''Σελευκίς, -δος (nom commun) (f)''' : Séleucienne.<br> '''Σέλευκος, -ύκου (nom propre) (m)''' : Séleuce.<br> '''Σελήνη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Séléné|Séléné]].<br> '''Σεντικλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Senticlès.<br> '''Σέργιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Serge.<br> '''Σέσορθος, -όρθου (nom commun) (m)''' : Djéser.<br> '''Σεύθης, -ου (nom commun) (m)''' : Seuthès.<br> '''Σευθόπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : .<br> '''Σῆθ (nom propre) (m)''' : Seth.<br> '''Σηρική, -ῆς (nom propre) (f)''' : Chine.<br> '''Σθεννώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Sthéno.<br> '''Σίϐυλλα, -ύλλης (nom propre) (f)''' : Sibylle.<br> '''Σιδών, -ῶνος (nom propre) (f)''' : Sidon.<br> '''Σικελία, -ας (nom propre) (f)''' : Sicile.<br> '''Σικελιώτης, -ου (nom commun) (m)''' : Sicéliote.<br> '''Σικελιῶτις, -ώτιδος (nom commun) (f)''' : Sicéliotide.<br> '''Σίκελος, -έλου (nom commun) (m)''' : Sicule.<br> '''Σικυών, -ῶνος (nom propre) (f)''' : Sicyone.<br> '''Σίσυφος, -ύφου (nom propre) (m)''' : Sisyphe.<br> '''Σίνη, -ης (nom propre) (f)''' : Chine.<br> '''Σíνων, -ος (nom propre) (m)''' : Sinon. (cousin d'Ulysse)<br> '''Σιός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Autre forme béotienne de ''Ζεύς''.<br> '''Σίσυφος, -ύφου (nom propre) (m)''' : Sisyphe.<br> '''Σκορπιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Scorpion.<br> '''Σκύθαινα, -ίνης (nom propre) (f)''' : Scythe.<br> '''Σκύθης, -ου (nom propre) (m)''' : Scythe.<br> '''Σκυθία, -ας (nom propre) (f)''' : Scythie.<br> '''Σκύλλα, -ης (nom propre) (f)''' : Scylla.<br> '''Σκύλλη, -ης (nom propre) (f)''' : Forme homérique de ''Σκύλλα''.<br> '''Σόλλαξ, -κος (nom propre) (m)''' : Sollax (ancien nom du Tigre).<br> '''Σολομών, -ος (nom propre) (m)''' : Salomon.<br> '''Σόλων, -ος (nom propre) (m)''' : Solon. (cousin d’Ulysse)<br> '''Σούηϐος, -ήϐου (nom propre) (m)''' : Suève.<br> '''Σουοϐηνός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Slave.<br> '''Σουσάννα, -ας (nom propre) (f)''' : Suzanne.<br> '''Σοῦφις, -ύφιδος (nom propre) (m)''' : Souphis.<br> '''Σοῦχος, -ύχου (nom propre) (m)''' : Sobek.<br> '''Σοφία, -ας (nom propre) (f)''' : Sophie.<br> '''Σοφοκλῆς, -έους (nom propre) (m)''' : Sophocle.<br> '''Σπάρτα, -ας (nom propre) (f)''' : Forme dorienne de ''Σπάρτη''.<br> '''Σπάρτη, -ης (nom propre) (f)''' : Sparte.<br> '''Σπαρτιάτης, -ου (nom commun) (m)''' : Spartiate.<br> '''Σπαρτιᾶτις, -άτιδος (nom commun) (f)''' : Spartiate.<br> '''Σταυανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Slave.<br> '''Στέφανος, -άνου (nom propre) (m)''' : Étienne ; Stéphane.<br> '''Στράϐων, -ος (nom propre) (m)''' : Strabon.<br> '''Στρογγύλη, ης (nom propre) (f)''' : Stromboli. (île)<br> '''Στρούθας, -ου (nom propre) (m)''' : Struthas.<br> '''Στύξ, -γός (nom propre) (f)''' : Styx.<br> '''Σύϐαρις, -άριδος (nom propre) (f)''' : Sybaris (ville).<br> '''Σύϐαρις, -άρεως (nom propre) (m)''' : Sybaris (fleuve).<br> '''Συδύκ (nom propre) (m)''' : Sydyk.<br> '''Συρία, -ας (nom propre) (f)''' : Syrie.<br> '''Συριακός, -ός, -όν (adjectif)''' : syrien.<br> '''Σύριος, -ίου (nom commun) (m)''' : Syrien.<br> '''Σῦριγξ, -ύριγγος (nom propre) (f)''' : Syrinx.<br> '''Σφίγξ, -γός (nom propre) (f)''' : Sphinx, Sphinge.<br> '''Σωσίας, -ου (nom propre) (m)''' : Sosie.<br> '''Σωσίπατρος, -άτρου (nom propre) (m)''' : Sosipatros.<br> ==Τ== '''τάγηνον, -ήνου (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''τήγανον''.<br> '''τάγμα, -τος (nom commun) (n)''' : Arrangement. (Militaire) Régiment.<br> '''ταινία, -ας (nom commun) (f)''' : ruban.<br> '''ταινίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ταινία''.<br> '''τακτική, -ῆς (nom commun) (f)''' : tactique.<br> '''τακτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : tactique.<br> '''τακτικῶς (adverbe)''' : tactiquement.<br> '''τακτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τακτικός''.<br> '''τακ τικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τακτικός''.<br> '''τακτικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τακτικῶς''.<br> '''τακτικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τακτικῶς''.<br> '''τάλαντον, -άντου (nom commun) (n)''' : plateau de balance.<br> '''ταλαντοῦμαι (verbe)''' : osciller.<br> '''ταλάντωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : oscillation.<br> '''ταμεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''ταμία, -ας (nom commun) (f)''' : maîtresse de maison.<br> '''ταμιακόν, -οῦ (nom commun) (m)''' : fisc.<br> '''ταμιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : fiscal.<br> '''ταμιακότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ταμιακός''.<br> '''ταμιακότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ταμιακός''.<br> '''ταμιακῶς (adverbe)''' : fiscalement.<br> '''ταμίας, -ου (nom commun) (m)''' : Dispensateur, distributeur ; partageur. Intendant, économe. Gardien d’un trésor. Directeur, ordonnateur ; arbitre.<br> '''ταμιεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : caisse.<br> '''ταμιεύω (verbe)''' : .<br> '''τάμνω (verbe)''' : Forme homérique et ionienne de ''τέμνω''.<br> '''τάξις, -εως (nom commun) (f)''' : disposition.<br> '''τάξος, -ου (nom commun) (f)''' : if.<br> '''τάπης, -τος (nom commun) (m)''' : tapis.<br> '''τάραγμα, -άγματος (nom commun) (m)''' : inquiétude ; trouble.<br> '''ταραξίας, -ου (nom commun) (m)''' : trouble-fête.<br> '''τάραξις, -άξεως (nom commun) (f)''' : trouble.<br> '''ταράσσω (verbe)''' : troubler.<br> '''ταραχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : trouble.<br> '''ταρταροῦχος, -ος, -ον (adjectif)''' : du Tartare.<br> '''τάσις, -εως (nom commun) (f)''' : tension.<br> '''τάσσω (verbe)''' : disposer.<br> '''τατᾶ (interjection)''' : papa ; maman.<br> '''ταταλίζω (verbe)''' : .<br> '''ταῦρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : taureau.<br> '''ταυρῶ (verbe)''' : tirer.<br> '''ταῦ (nom commun) (n)''' : tau.<br> '''τάφος, -ου (nom commun) (m)''' : tombeau.<br> '''τάχα (adverbe)''' (Devient ''τάχ’'' devant un mot commençant par une voyelle à esprit doux.) : bientôt.<br> '''ταχέως (adverbe)''' : rapidement.<br> '''ταχύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : rapide ; pressé.<br> '''ταχύτατος, -άτη, -ύτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ταχύς''.<br> '''ταχύτερος, -έρα, -ύτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ταχύς''.<br> '''ταχυτής, -ῆτος (nom commun) (f)''' : rapidité.<br> '''ταώς, -ώ (nom commun) (m)''' : paon.<br> '''τείνω (verbe)''' : étirer ; tendre.<br> '''τέκτων, -ονος (nom commun) (m)''' : Auteur, créateur. Ouvrier, artisan.<br> '''τεῖχος, -ίχους (nom commun) (n)''' : mur de ville.<br> '''τέλειος, -ία, -ιον (adjectif)''' : terminé ; parfait.<br> '''τελειότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τέλειος''.<br> '''τελειότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τέλειος''.<br> '''τελείως (adverbe)''' : parfaitement.<br> '''τελειῶ (verbe)''' : terminer.<br> '''τέλεσμα, -έσματος (nom commun) (n)''' : Paiement, taxe. Certificat.<br> '''τελεστιχίς, -δος (nom commun) (f)''' : téléstiche.<br> '''τελετή, -ῆς (nom commun) (f)''' : cérémonie.<br> '''τελευταῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : dernier.<br> '''τελευτή, -ῆς (nom commun) (f)''' : fin ; finalité.<br> '''τελέω (verbe)''' : Accomplir. Mettre un terme à.<br> '''τέλος, -ους (nom commun) (n)''' : Achèvement ; accomplissement ; réalisation. Prix dans les luttes.<br> '''τέμαχος, -άχους (nom commun) (n)''' : tranche ; morceau.<br> '''τέμενος, -ένους (nom commun) (n)''' : téménos.<br> '''τέμνω (verbe)''' : couper.<br> '''τέρας, -τος (nom commun) (n)''' : Signe divin ; monstre.<br> '''τεράστιος -α -ον (adjectif)''' : monstrueux.<br> '''τερπνός, -ή, -όν (adjectif)''' : Amusant ; plaisant.<br> '''τερπνότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τερπνός''.<br> '''τερπνότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τερπνός''.<br> '''τερπνότης, -τος (nom commun) (f)''' : amusement.<br> '''τερπνῶς (adverbe)''' : plaisamment.<br> '''τέρπω (adverbe)''' : Prendre plaisir ; s’amuser.<br> '''τέσσαρες (adjectif numéral)''' : quatre.<br> '''τετράδιον, -ίου (nom commun) (n)''' : cahier.<br> '''τετραίνω (verbe)''' : trouer.<br> '''τετράλημμα, -ήμματος (nom commun) (n)''' : tétralemme.<br> '''τετράπους, -δος (nom commun) (m)''' : quadrupède.<br> '''τετράς, -δος (nom commun) (f)''' : .<br> '''τετράων, -ος (nom commun) (m)''' : coq de bruyère.<br> '''τετράστιχον, -ίχου (nom commun) (n)''' : quatrain.<br> '''τετταράκοντα (adjectif numéral)''' quarante.<br> '''τέττιξ, -γος (nom commun) (m)''' : cigale.<br> '''τεῦτλον, -ύτλου (nom commun) (n)'''' : blette.<br> '''τεῦχος, -ύχους (nom commun) (n)''' : Ustensile, instrument. (Au pluriel) Armes, armure. (Au pluriel) Agrès de navire (voiles, cordages, rames). Urne pour les libations. Urne funéraire. Baignoire. Tonneau de bois. Huche pour la farine. Ruche d’abeilles.(Par analogie) Vaisseau du corps. Enveloppe qui enferme les petits. Livre.<br> '''τεύχω (verbe)''' : .<br> '''τέφρα, -ας (nom commun) (f)''' : cendre.<br> '''τέφρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme homérique et ionienne de ''τέφρα''.<br> '''τεχνάζω (verbe)''' : faire avec art.<br> '''τέχνασμα, -άσματος (nom commun) (n)'''' : Artifice, machination, ruse.<br> '''τέχνη, -ης (nom commun) (f)''' : Art ; habileté.<br> '''τέχνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : artéfact.<br> '''τεχνητός, -ή, -όν (adjectif)''' : artificiel.<br> '''τεχνητῶς (adverbe)''' : artificiellement.<br> '''τεχνητώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τεχνητός''.<br> '''τεχνητώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τεχνητός''.<br> '''τεχνικός, -ή, -όν (adjectif)''' : artistique.<br> '''τεχνικῶς (adverbe)''' : artistiquement.<br> '''τεχνικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τεχνικός''.<br> '''τεχνικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τεχνικός''.<br> '''τεχνῶμαι (verbe)''' : .<br> '''τηγάνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''τήγανον''.<br> '''τήγανον, -άνου (nom commun) (n)''' : poêle à frire.<br> '''τήκω (verbe)''' : fondre.<br> '''τῆλε (adverbe ; préposition)''' Loin, au loin. (Avec le génitif) Loin de.<br> '''τήμερον (adverbe)''' : Forme attique de ''σήμερον''.<br> '''-τήρ, -ῆρος (suffixe) (m)''' : Suffixe nominal.<br> '''-τής, -ῆτος (suffixe) (f)''' : Suffixe permettant de créer à partir d’un adjectif le nom désignant la qualité correspondante.<br> '''-της, -τος (suffixe) (f)''' : Suffixe de même usage que ''-τής''.<br> '''τίγρις, -εως (nom commun) (m/f)''' : Tigre ; tigresse.<br> '''τίθημι (verbe)''' : Poser ; placer.<br> '''τιθήνη, -ης (nom commun) (f)''' : nourrice.<br> '''τεκμηρίωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : documentation.<br> '''τεκμηριῶ (verbe)''' : documenter.<br> '''τίκτω (verbe)''' : Engendrer, produire ; mettre au monde.<br> '''τιμή, -ῆς (nom commun) (f)''' : (Sens positif) Évaluation, estimation. Prix attaché à un honneur. Ce qui est tenu en honneur ; objet de l’estime, du respect ; autorité, magistrature. (Sens négatif) Peine, châtiment, vengeance.<br> '''τίμιος, -α, -ον (adjectif)''' : honnête.<br> '''τιμιότης, -τος (nom commun) (f)''' : honnêteté.<br> '''τιμωρητέος, -α, -ον (adjectif)''' : punissable.<br> '''τιμωρητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : punitif.<br> '''τιμωρητικῶς (adverbe)''' : punitivement.<br> '''τιμωρητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τιμωρητικός''.<br> '''τιμωρητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τιμωρητικός''.<br> '''τιμωρητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τιμωρητικῶς''.<br> '''τιμωρητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τιμωρητικῶς''.<br> '''τιμωρία, -ας (nom commun) (f)''' : punition.<br> '''τιμωρῶ (verbe)''' : punir.<br> '''τιμῶ (verbe)''' : honorer.<br> '''τίνω (verbe)''' : Payer ; payer pour ses fautes, expier.<br> '''τιούχα, -ας (nom commun) (f)''' : Autre forme béotienne de ''τύχη''.<br> '''τίσις, -εως (nom commun) (f)''' : Paiement, récompense. Pénalité, vengeance.<br> '''τιταίνω (verbe)''' : étendre.<br> '''τίταξ, -κos (nom commun) (m)''' : roi.<br> '''τίτας, -αντος (nom commun) (m)''' : vengeur.<br> '''τίτης, -ου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''τίτας''.<br> '''τῖφος, -ίφου (nom commun) (m)''' : Étang, marais.<br> '''τίω (verbe)''' : rendre (i.e. payer) des hommages à quelqu’un, estimer une personne. Évaluer, estimer.<br> '''τμῆμα, -ήµατος (nom commun) (n)''' : Partie, secteur ; section.<br> '''τμῆσις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : césure.<br> '''τοιοῦτος, -αύτη, -οῦτο (pronom)''' : .<br> '''τοῖχος, -ίχου (nom commun) (m)''' : Mur de maison ; bord ou paroi d’un navire.<br> '''τοιχωρύχημα, -ήµατος (nom commun) (n)''' : cambriolage.<br> '''τοιχώρυχος, -ύχου (nom commun) (m)''' : cambrioleur.<br> '''τοιχωρυχῶ (verbe)''' : cambrioler.<br> '''τοκογλυφία, -ας (nom commun) (f)''' : usure.<br> '''τοκογλυφικός, -ή, -όν (adjectif)''' : usurier.<br> '''τοκογλύφος, -ου (nom commun) (m)''' : usurier.<br> '''τόκος, -ου (nom commun) (m)''' : Parturition, accouchement. Descendance. Intérêt de l'argent prêté.<br> '''τόλμα, -ης (nom commun) (f)''' : Audace ; courage.<br> '''τολμηρός, -ή, -όν (adjectif)''' : hardi.<br> '''τολμηρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τολμηρός''.<br> '''τολμηρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τολμηρός''.<br> '''τολμηρότης, -τος (nom commun) (f)''' : hardiesse.<br> '''τολμηρῶς (adverbe)''' : hardiment.<br> '''τολμηρώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τολμηρῶς''.<br> '''τολμηρώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τολμηρῶς''.<br> '''τολμῶ (verbe)''' : oser.<br> '''-τομία, -ας (suffixe) (f)''' : Suffixe signifiant « coupure », « césure ».<br> '''τόμος, -ου (nom commun) (m)''' : Tranche, pièce ; chose coupée.<br> '''τομός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Coupure, action de couper.<br> '''τοπικός, -ή, -όν (adjectif)''' : local.<br> '''τοπικῶς (adverbe)''' : localement.<br> '''τοπικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τοπικός''.<br> '''τοπικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τοπικός''.<br> '''τοπικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τοπικῶς''.<br> '''τοπικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τοπικῶς''.<br> '''τοξάριον, -ίου (nom commun) (n)''' : archet.<br> '''τοξικός, -ή, -όν (adjectif)''' : qui convient pour un arc ou pour des flèches.<br> '''τόξον, -ου (nom commun) (n)''' : arc ; arc-en-ciel.<br> '''τοξότης, -ου (nom commun) (m)''' : archer.<br> '''τὸ (article défini)''' : le (neutre).<br> '''τούχα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme béotienne de ''τύχη''.<br> '''τράγημα, -ατος (nom commun) (n)''' : friandise.<br> '''τραγικός, -ή, -όν (adjectif)''' : tragique.<br> '''τραγικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τραγικῶς''.<br> '''τραγικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τραγικῶς''.<br> '''τραγικῶς (adverbe)''' : comiquement.<br> '''τραγικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τραγικός''.<br> '''τραγικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τραγικός''.<br> '''τραγίσκος, -ου (nom commun) (m)''' : chevreau.<br> '''τράγος, -ου (nom commun) (m)''' : bouc.<br> '''τραγῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : tragédie.<br> '''τραγωδῶ (verbe)''' : chanter.<br> '''τράπεζα, -ης (nom commun) (f)''' : table.<br> '''τραυλίζω (verbe)''' : bégayer, bafouiller.<br> '''τραυλισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bégaiement, bafouillis.<br> '''τραυλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bègue, bafouilleur.<br> '''τραῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : Blessure. Déroute, désastre.<br> '''τράχηλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : Cou. (En particulier) Derrière du cou, nuque.<br> '''τραχύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : rude.<br> '''τράχω (verbe)''' : Forme dorienne de ''τρέχω''.<br> '''τρεῖς (adjectif numéral)''' : trois.<br> '''τρέμω (verbe)''' : trembler, s’agiter ; s’ébranler.<br> '''τρέπω (verbe)''' : tourner.<br> '''τρέστης, -ου (nom commun) (m)''' : couard ; peureux.<br> '''τρέφω (verbe)''' : Rendre compact. Rendre gras, engraisser, nourrir. Nourrir, élever. (Par extension) Élever, former, façonner, instruire. Pourvoir aux besoins de. S’épaissir, se condenser. Être nourri ou élevé.<br> '''τρέχω (verbe)''' : courir.<br> '''τρέω (verbe)''' : avoir peur.<br> '''τρῆμα, -ήµατος (nom commun) (n)''' : trou.<br> '''τρηρός, -ή, -όν (adjectif)''' : fou.<br> '''τρήρων, -ος (nom commun) (m/f)''' : timide.<br> '''τριάκοντα (adjectif numéral)''' : trente.<br> '''τρίϐω (verbe)''' : frotter.<br> '''τρίλημμα, -ήμματος (nom commun) (n)''' : trilemme.<br> '''τρίμμα, -τος (nom commun) (n)''' : .<br> '''τρίπος, -ου (nom commun) (m)''' : trépied.<br> '''τρίπους, -δος (adjectif)''' : tripède.<br> '''τρισκελής, -οῦ (nom commun) (m)''' : triskèle.<br> '''τρισκέλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''τρισκελής''.<br> '''τριταγωνιστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : tritagoniste.<br> '''τρίτος, -η, -ον (adjectif numéral)''' : troisième.<br> '''τρίφυλλον, -ύλλου (nom commun) (n)''' : trèfle.<br> '''-τρον, -ου (suffixe) (n)''' : Suffixe servant à former des noms d’instruments.<br> '''τρόπαιον, -ίου (nom commun) (n)''' : trophée.<br> '''τροπή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Tour. Fuite. Révolution, changement. (Rhétorique) Tournure de phrase.<br> '''τροπικός, -ή, -όν (adjectif)''' : tournant.<br> '''τρόπος, -ου (nom commun) (m)''' : Tour, direction ; façon, mode, manière.<br> '''τροχαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : trochée.<br> '''τροχαλία, -ας (nom commun) (f)''' : poulie.<br> '''τροχίλος, -ου (nom commun) (m)''' : poulie.<br> '''τρόχος, -ου (nom commun) (m)''' : blaireau.<br> '''τροχός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Roue. Tour de potier. Pain (de forme ronde) de suif ou de cire.<br> '''τρύϐλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : bol ; coupe.<br> '''τρυγόνιον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de ''τρυγών ''.<br> '''τρυγών, -όνος (nom commun) (f)''' : tourterelle.<br> '''τρύζω (verbe)''' : .<br> '''τρῦπα, -ύπας (nom commun) (f)''' : trou.<br> '''τρύπημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : trou.<br> '''τρύω (verbe)''' : user.<br> '''τύρρις, -ος (nom commun) (f)''' : variante de ''τύρσις''.<br> '''τύρσις, -ος (nom commun) (f)''' : tour (construction élevée).<br> '''τρύφαξ, -κος (nom commun) (m)''' : débauché.<br> '''τρυφερός, -ά, -όν (adjectif)''' : délicat.<br> '''τρυφερότης, -τος (nom commun) (f)''' : délicatesse.<br> '''τρυφερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τρυφερός''.<br> '''τρυφερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τρυφερός''.<br> '''τρυφερῶς (adverbe)''' : délicatement.<br> '''τρυφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Douceur, mollesse. Luxe, délicatesse. Dissolution, débauche.<br> '''τρύφημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : orgueil.<br> '''τρυφητής, -ής, -ές (adjectif)''' : voluptueux.<br> '''τρυφῶ (verbe)''' : être extravagant, se donner des airs.<br> '''τρῦχος, -ύχους (nom commun) (n)''' : Haillon, lambeau.<br> '''τρύχω (verbe)''' : épuiser, user.<br> '''τρώγω (verbe)''' : ronger, grignoter.<br> '''τρωϊκός, -ή -όν (adjectif)''' : troyen.<br> '''τρῶ (verbe)''' : avoir peur.<br> '''τῦκον, -ύκου (nom commun) (m)''' : Forme béotienne de ''σῦκον''.<br> '''τύμϐος, -ου (nom commun) (m)''' : tumulus.<br> '''τυνδάρειος, -ος, -ον (nom commun) (m)''' : tyndaréen.<br> '''τυπικός, -ή -όν (adjectif)''' : figuré.<br> '''τυπικῶς (adverbe)''' : figurativement.<br> '''τυπικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''τυπικός''.<br> '''τυπικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''τυπικός''.<br> '''τυπικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''τυπικῶς''.<br> '''τυπικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''τυπικῶς''.<br> '''τύπος, -ου (nom commun) (m)''' : Coup ; frappe. Frappe, marque du coup ; sceau, impression.<br> '''τύπτω (verbe)''' : frapper.<br> '''τύραννος, -άννου (nom commun) (m)''' : Maître, dominateur. (Péjoratif) Tyran, dictateur ; despote.<br> '''τύρϐη, -ης (nom commun) (f)''' : tumulte, désordre.<br> '''τυρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : fromage.<br> '''τυτώ, -οῦς (nom commun) (f)''' : chouette.<br> '''τύ (pronom personnel)''' : Forme dorienne de ''σύ''.<br> '''τυφλός, -ή -όν (adjectif)''' : aveugle.<br> '''τῦφος, -ύφου (nom commun) (m)''' : fumée, vapeur qui monte au cerveau ; orgueil.<br> '''τῦφω (verbe)''' : enfumer.<br> '''τυχαῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : chanceux.<br> '''τυχερῶς (adverbe)''' : .<br> '''τύχη, -ης (nom commun) (f)''' : chance.<br> '''τυχηρός, -ά, -όν, (adjectif)''' : chanceux.<br> '''τύψις, -εως (nom commun) (f)''' : remords.<br> '''Ταλθύϐιος, -ίου (nom propre) (m)''' : Talthybios.<br> '''Τάλως, -ώ (nom propre) (m)''' : Talos.<br> '''Τάμεσις, -έσεως (nom propre) (f)''' : Tamise.<br> '''Τάναϊς, -άϊδος (nom propre) (m)''' : Tanaïs.<br> '''Τάν, -ός (nom propre) (m)''' : Forme crétoise de ''Ζεύς''.<br> '''Ταραντῖνος, -ίνου (nom commun) (m)''' : Tarentin.<br> '''Τάρας, -αντος (nom propre) (m)''' : Tarente.<br> '''Τάρταρος, -άρου (nom propre) (m)''' : Tartare.<br> '''Ταῦρος, -ύρου (nom propre) (m)''' : Taureau.<br> '''Τειρεσίας, -ου (nom propre) (m)''' : Tirésias.<br> '''Τεΐσπης, -ου (nom propre) (m)''' : Teispès.<br> '''Τελεύτας, -αντος (nom propre) (m)''' : Téleutas.<br> '''Τελευτίας, -ου (nom propre) (m)''' : Téleutias.<br> '''Τερψιχόρα, -ας (nom propre) (f)''' : Terpsichore.<br> '''Τεύτων, -ονος (nom commun) (m)''' : Teuton.<br> '''Τηθύς, -ος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Téthys|Téthys]].<br> '''Τηλέγονος, -όνου (nom propre) (m)''' : Télégonos.<br> '''Τηλέμαχος, -άχου (nom propre) (m)''' : Télémaque.<br> '''Τηρεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Térée.<br> '''Τίγρης, -τος (nom propre) (m)''' : Tigre (fleuve du Moyen-Orient).<br> '''Τίγρις, -δος (nom propre) (f)''' : Forme alternative de ''Τίγρης''.<br> '''Τιθωνός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Tithon.<br> '''Τιμασίθεος, -έου (nom propre) (m)''' : Timasithée.<br> '''Τιμόθεος, -έου (nom propre) (m)''' : Timothée.<br> '''Τίμων, -ωνος (nom propre) (m)''' : Timon.<br> '''Τισαμενός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Tisamène.<br> '''Τίσανδρος, -άνδρου (nom propre) (m)''' : Tisandre.<br> '''Τισίας, -ου (nom propre) (m)''' : Tisias.<br> '''Τισικράτης, -ου (nom propre) (m)''' : Tisicrate.<br> '''Τισιφόνη, -ης (nom propre) (f)''' : Tisiphone (une des Érynies).<br> '''Τισσαφέρνης, -ου (nom propre) (m)''' : Tissapherne.<br> '''Τιτάν, -ᾶνος (nom propre) (m)''' : Titan.<br> '''Τιτανίς, -δος (nom propre) (f)''' : Titanide.<br> '''Τιτυός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Tityos.<br> '''Τόσορθρος, -όρθου (nom commun) (m)''' : Djéser.<br> '''Τοξότης, -ου (nom propre) (m)''' : Sagittaire.<br> '''Τρίπολις, -όλεως (nom propre) (f)''' : Tripoli.<br> '''Τρίτων, -ος (nom propre) (m)''' : Triton.<br> '''Τροία, -ας (nom propre) (f)''' : Troie.<br> '''Τρωάς, -δος (nom commun) (f)''' : Troyenne.<br> '''Τρώς, -ός (nom commun) (m)''' : Troyen.<br> '''Τῦϐι (nom propre) (m)''' : Tybi.<br> '''Τυδεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Tydée.<br> '''Τυνδάρεως, -εω (nom propre) (m)''' : Tyndare.<br> '''Τυνδαρίδης, -ου (nom propre) (m)''' : Tyndaride.<br> '''Τυνδαρίς, -δος (nom propre) (f)''' : Tyndaride.<br> '''Τυφάων, -ος (nom propre) (m)''' : Forme de ''Τυφῶν''.<br> '''Τυφωεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Forme de ''Τυφῶν''.<br> '''Τυφώς, - (nom propre) (m)''' : Forme de ''Τυφῶν''.<br> '''Τυφῶν, -ος (nom propre) (m)''' : Typhon.<br> '''Τύχη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Tyché|Tyché]].<br> '''Τύχων, -ος (nom propre) (m)''' : Tychon.<br> ==Υ== '''ὕαινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : hyène.<br> '''ὕαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : verre. (matière)<br> '''ὑϐριζω (verbe)''' : maltraiter, outrager.<br> '''ὕϐρις, -εως (nom commun) (f)''' : démesure, violence ; excès, outrage.<br> '''ὑγίεια, -ίας (nom commun) (f)''' : propreté.<br> '''ὑγιεινή, -ῆς (nom commun) (f)''' : santé.<br> '''ὑγιεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : salubre.<br> '''ὑγραίνω (verbe)''' : humidifier.<br> '''ὑγρασία, -ας (nom commun) (f)''' : humidité.<br> '''ὑγρός, -ά, -όν (adjectif)''' : humide.<br> '''ὑγρότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ὑγρῶς''.<br> '''ὑγρότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ὑγρῶς''.<br> '''ὑγρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὑγρός''.<br> '''ὑγρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὑγρός''.<br> '''ὑγρῶς (adverbe)''' : humidement.<br> '''ὑδραγωγεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : aqueduc.<br> '''ὑδράργυρος, -ύρου (nom commun) (m)''' : mercure.<br> '''ὑδρόμελι, -τος (nom commun) (n)''' : Boisson à base d'eau et de miel.<br> '''ὑδρο- (préfixe)''' : hydro-.<br> '''ὕδωρ, -ατος (nom commun) (n)''' : Eau ; sueur.<br> '''ὕενος, -ένου (nom commun) (m)''' : mercure.<br> '''υἱός, -οῦ (nom commun) (m)''' : fils.<br> '''ὕλη, -ης (nom commun) (f)''' : matière ; bois.<br> '''ὑμεῖς (pronom personnel)''' : vous.<br> '''ὑμέτερος, -έρα, -έτερον (adjectif possessif)''' : votre.<br> '''ὑμήν, -ένος (nom commun) (m)''' : Membrane ; pellicule enveloppant les organes du corps.<br> '''ὕμνος, -ου (nom commun) (m)''' : trame ; chant.<br> '''ὑμνῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : hymne.<br> '''ὑμνῶ (verbe)''' : .<br> '''ὔμοι (adverbe)''' : Forme éolienne de ''ὁμοῦ''.<br> '''ὔμοιος, -, - (adjectif)''' : Forme éolienne de ''ὅμοιος''.<br> '''ὑμοῖος, -, -ῖον (adjectif)''' : Forme arcado-chypriote de ''ὅμοιος''.<br> '''ὑπαγόρευσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : dictée.<br> '''ὑπάγω (verbe)''' : mener sous.<br> '''ὑπακτικός -ή -όν (adjectif)''' : .<br> '''ὑπακοή, -ῆς (nom commun) (f)''' : obéissance.<br> '''ὑπάκουος, -η, -ον (adjectif)''' : obéissant.<br> '''ὑπακούω (verbe)''' : obéir.<br> '''ὑπαρξιακός, -ή, -όν (adjectif)''' : existentiel.<br> '''ὕπαρξις, -άρξεως (nom commun) (f)''' : existence.<br> '''ὑπάρχω (verbe)''' : exister.<br> '''ὑπεξαίρεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : malversation.<br> '''ὑπεξαιρῶ (verbe)''' : .<br> '''ὑπερκόσμιος, -α, -ο (adjectif)''' : .<br> '''ὑπέρ (adverbe ; préposition)''' : au-dessus.<br> '''ὑπερϐάλλω (verbe)''' : exagérer.<br> '''ὑπερϐολή, -ῆς (nom commun) (f)''' : exagération.<br> '''ὑπερϐολικός, -ή, -όν (adjectif)''' : excessif.<br> '''ὑπερθετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : superlatif.<br> '''ὑπεριώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : ultraviolet.<br> '''ὑπεροπτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : arrogant.<br> '''ὑπέροπτος, -ος, -ον (adjectif)''' : .<br> '''ὑπεροψία, -ας (nom commun) (f)''' : arrogance.<br> '''ὑπέρυθρος, -η, -ον (adjectif)''' : infrarouge.<br> '''ὑπερφυσικός, -ή, -όν (adjectif)''' : surnaturel.<br> '''ὑπεύθυνος, -ος, -ον (adjectif)''' : responsable.<br> '''ὑπευθυνότητα, -ας (nom commun) (f)''' : responsabilité.<br> '''ὑπηρεσία, -ας (nom commun) (f)''' : service.<br> '''ὑπηρέτης, -ου (nom commun) (m)''' : serviteur.<br> '''ὑπηρετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : de service.<br> '''ὑπηρετικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''ὑπηρετικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὑπηρετικός''.<br> '''ὑπηρετικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὑπηρετικός''.<br> '''ὑπηρετικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''ὑπηρετικῶς''.<br> '''ὑπηρετικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''ὑπηρετικῶς''.<br> '''ὑπηρέτρια, -ας (nom commun) (f)''' : servante.<br> '''ὑπηρετῶ (verbe)''' : servir.<br> '''ὑπνολαλία, -ας (nom commun) (f)''' : somniloquie.<br> '''ὑπνολαλῶ (verbe)''' : somniloquer.<br> '''ὕπνωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : hypnose.<br> '''ὑπνωτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : hypnotique.<br> '''ὑπνῶ (adjectif)''' : hypnotiser.<br> '''ὑπόϐαθρον, -άθρου (nom commun) (n)''' : arrière-plan.<br> '''ὑπόγειον, -ίου (nom commun) (n)''' : cave.<br> '''ὑπόδειγμα, -ίγματος (nom commun) (n)''' : exemple.<br> '''ὑποδειγματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : exemplaire.<br> '''ὑποδείκνυμι (verbe)''' : .<br> '''ὑπόδημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : chaussure.<br> '''ὑποδηματοποιεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : boutique du cordonnier.<br> '''ὑποδηματοποιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cordonnier.<br> '''ὑποζύγιον, -ίου (nom commun) (n)''' : attelage.<br> '''ὑπόθεσις, -έσεως (nom commun) (f)''' : supposition.<br> '''ὑποκινῶ (verbe)''' : .<br> '''ὑποκορίζομαι (verbe)''' : parler comme un enfant.<br> '''ὑποκόρισμα, -τος (nom commun) (n)''' : sobriquet.<br> '''ὑποκοριστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : caressant, propre à atténuer.<br> '''ὑποκρίνομαι (verbe)''' : jouer une pièce.<br> '''ὑπόκρισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : Réponse. Action de jouer un rôle, une pièce, une pantomime. Débit théâtral, déclamation. Feinte, faux-semblant.<br> '''ὑποκριτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : Donneur de réponse. Acteur, comédien.<br> '''ὑπόκωφος, -η, -ον (adjectif)''' : sourd.<br> '''ὑποκώφως (adverbe)''' : sourdement.<br> '''ὑπολογίζομαι (verbe)''' : calculer.<br> '''ὑπολογισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : calcul.<br> '''ὑπομιμνήσκω (verbe)''' : .<br> '''ὑπομονή, -ῆς (nom commun) (f)''' : .<br> '''ὑπόμνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ὑπόνομος, -ου (nom commun) (m)''' : égout.<br> '''ὑπόστασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''ὑποταγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Subordination, soumission.<br> '''ὑποτάσσω (verbe)''' : Subordonner, soumettre. Dominer, contrôler.<br> '''ὑποτίθημι (verbe)''' : supposer.<br> '''ὑπότριμμα, -ίμματος (nom commun) (n)''' : Sauce aux herbes, sauce verte et piquante.<br> '''ὑπουργεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : ministère.<br> '''ὑπουργικός, -ή, -όν (adjectif)''' : ministériel.<br> '''ὑπουργός, -οῦ (nom commun) (m)''' : ministre.<br> '''ὑποχώρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : régression.<br> '''ὑποχωρητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : régressif.<br> '''ὑποψήφιος, -ίου (nom commun) (m)''' : candidat.<br> '''ὑπό (adverbe ; préposition)''' : en dessous.<br> '''ὑπο- (préfixe)''' : relatif au dessous.<br> '''ὕραξ, -κος (nom commun) (m)''' : souris.<br> '''ὕσσωπος, -ώπου (nom commun) (f)''' : hysope.<br> '''ὕστατος, -η, -ον (adjectif)''' : dernier.<br> '''ὑστερέω (verbe)''' : .<br> '''ὑστέρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : hystérèse.<br> '''ὑστερικός, -ή, -όν (adjectif)''' : utérin ; hystérique.<br> '''ὑστερο- (préfixe)''' : suivant ; tardif.<br> '''ὕστερος, -α, -ον (adjectif)''' : postérieur.<br> '''ὕστερος, -έρου (nom commun) (m)''' : matrice ; utérus.<br> '''ὑστέρως (adverbe)''' : .<br> '''ὕστριξ, -χός (nom commun) (m/f)''' : porc-épic.<br> '''ὗς, -ός (nom commun) (m/f)''' : Porc, sanglier. Truie, laie.<br> '''ὑφαίνω (verbe)''' : tisser.<br> '''ὕφαλος, -άλου (nom commun) (m)''' : récif.<br> '''ὑφή, -ῆς (nom commun) (f)''' : toile d’araignée.<br> '''ὕφος, -ους (nom commun) (n)''' : tissu.<br> '''ὑψηλός, -ή, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ὕψι (adverbe)''' : en haut.<br> '''ὖ ψιλόν (nom commun) (n)''' : upsilon.<br> '''ὑψίτερος, -έρη, -ερον (adverbe)''' : Comparatif de ''ὕψι''.<br> '''ὕψιστος, -ίστη, -ιστον (adverbe)''' : Superlatif de ''ὕψι''.<br> '''ὕψος, -ους (nom commun) (n)''' : hauteur.<br> '''ὕψωμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : élévation.<br> '''ὕψωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : élévation.<br> '''ὑψῶ (verbe)''' : élever.<br> '''ὕω (verbe)''' : pleuvoir.<br> '''Ὕϐρις, -εως (nom propre) (f)''' : Hybris.<br> '''Ὑδροχόος, -ου (nom propre) (m)''' : Verseau.<br> '''Ὑγίεια, -ίας (nom propre) (f)''' : [[wikt:Hygie|Hygie]].<br> '''Ὕηττος, -ήττου (nom propre) (m)''' : Hyettos.<br> '''Ὑκσώς, -οῦς (nom commun) (m)''' : Hyksôs.<br> '''Ὕλλος, -ου (nom propre) (m)''' : Hyllos.<br> '''Ὑμέναιος, -ίου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Hyménée|Hyménée]].<br> '''Ὑμήν, -ένος (nom propre) (m)''' : Variante de ''Ὑμέναιος''.<br> '''Ὑπερίων, -ος (nom propre) (m)''' : Hypérion.<br> '''Ὕπνος, -ου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Hypnos|Hypnos]].<br> '''Ὑστάσπης, -ου (nom propre) (m)''' : Hystaspès.<br> '''Ὕψιστος, -ίστου (nom propre) (m)''' : Très-Haut.<br> ==Φ== '''φαγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''φηγός''.<br> '''φαιδρός, -ίδρα, -ιδρόν (adjectif)''' : brillant ; rayonnant, enjoué ; gai, jovial.<br> '''φαίνεσθαι (verbe)''' : se montrer.<br> '''φαινόμενον, -ένου (nom commun) (n)''' : phénomène.<br> '''φαίνω (verbe)''' : faire briller.<br> '''φακός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Lentille. (Anatomie) Cristallin. Tache de rousseur.<br> '''φακόχοιρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : phacochère.<br> '''φάλαγξ, -γος (nom commun) (f)''' : phalange.<br> '''φάλλαινα, -ίνης (nom commun) (f)''' : baleine.<br> '''φαλλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : phallus.<br> '''φάμη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''φήμη''.<br> '''φαμί (verbe)''' : Forme dorienne de ''φημί''.<br> '''φάναξ, -κος (nom commun) (m)''' : .<br> '''φανερός, -ά, -όν (adjectif)''' : Apparent. En vue.<br> '''φανερῶς (adverbe)''' : .<br> '''φανερώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φανερός''.<br> '''φανερώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φανερός''.<br> '''φανερῶ (verbe)''' : .<br> '''φανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''φάνταγμα, -άγματος (nom commun) (n)''' : Forme ionienne de ''φάντασμα''.<br> '''φαντάζω (verbe)''' : Dénoncer ; Se montrer, apparaître.<br> '''φαντασία, -ας (nom commun) (f)''' : imagination.<br> '''φάντασμα, -άσματος (nom commun) (n)''' : Apparition, vision, songe ; fantôme, spectre.<br> '''φανταστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : vantard.<br> '''φανταστικός, -ή, -όν (adjectif)''' : imaginaire.<br> '''φάραγξ, -γος (nom commun) (m)''' : canyon.<br> '''φαραώ (nom commun) (m)''' : pharaon.<br> '''φαρέτρα, -ας (nom commun) (f)''' : carquois.<br> '''φαρέτρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''φαρέτρα''.<br> '''φαρετρεών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : .<br> '''φαρισαϊκός, -ή, -όν (adjectif) (f)''' : pharisien.<br> '''φαρισαϊκότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φαρισαϊκῶς''.<br> '''φαρισαϊκότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φαρισαϊκῶς''.<br> '''φαρισαϊκῶς (adverbe)''' : pharisiennement.<br> '''φαρισαϊκώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φαρισαϊκός''.<br> '''φαρισαϊκώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φαρισαϊκός''.<br> '''φαρισαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : pharisien.<br> '''φαρμακεία, -ας (nom commun) (f)''' : ensemble des médicaments.<br> '''φαρμακεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Apothicaire, empoisonneur. Sorcier.<br> '''φαρμακευτικός, -ή, -όν (adjectif) (f)''' : de remède.<br> '''φαρμακευτικότατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φαρμακευτικῶς''.<br> '''φαρμακευτικότερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φαρμακευτικῶς''.<br> '''φαρμακευτικῶς (adverbe)''' : .<br> '''φαρμακευτικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φαρμακευτικός''.<br> '''φαρμακευτικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φαρμακευτικός''.<br> '''φαρμακίς, -δος (nom commun) (f)''' : Apothicaire, empoisonneuse. Sorcière.<br> '''φάρμακον, -άκου (nom commun) (n)''' : Médicament, remède ; poison, préparation magique. Teinture, fard.<br> '''φαρμακοποσία, -ας''' : action de boire une potion.<br> '''φαρμακοπώλης, -ου (nom commun) (m)''' : pharmacien.<br> '''φαρμακός, -οῦ (nom commun) (m)''' : victime expiatoire.<br> '''φαρμακοτρίϐης, -ου (nom commun) (m)''' : laborantin.<br> '''φαρμακώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : médicinal ; vénéneux.<br> '''φαρμακῶ (verbe)''' : empoisonner.<br> '''φάρυγξ, -γος (nom commun) (m)''' : gosier.<br> '''φάσηλος, -ήλου (nom commun) (m)''' : haricot sec.<br> '''φασιανικός, -ή, -όν (adjectif)''' : phasianien.<br> '''φασιανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : faisan.<br> '''φάκελος, -έλου (nom commun) (m)''' : fagot, faisceau.<br> '''φάσκος, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''φασκώλιον, -ίου (nom commun) (n)''' : valisette.<br> '''φάσκωλος, -ώλου (nom commun) (m)''' : valise.<br> '''φάσμα, -τος (nom commun) (n)''' : spectre.<br> '''φασματικός, -ή, -όν (adjectif)''' : spectral.<br> '''φασματικώτατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φασματικός''.<br> '''φασματικώτερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φασματικός''.<br> '''φασματικῶς (adverbe)''' : spectralement.<br> '''φασματικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φασματικῶς''.<br> '''φασματικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φασματικῶς''.<br> '''φάτις, -εως (nom commun) (f)''' : rumeur, parole.<br> '''φάττα, -ης (nom commun) (f)''' : palombe ; ramier.<br> '''φαῦλος, -ύλη, -ῦλον (adjectif)''' : vicieux.<br> '''φέγγος, -ους (nom commun) (n)''' : .<br> '''φέρετρον, -έτρου (nom commun) (n)''' : cercueil.<br> '''φέρω (verbe)''' : porter.<br> '''φεύγω (verbe)''' : fuir (prendre la fuite).<br> '''φεῦξις, -ύξεως (nom commun) (f)''' : échappée, évasion ; fuite.<br> '''φεῦ (interjection)''' : Hélas ; ah.<br> '''φή (conjonction)''' : Forme homérique de ''ὡς''.<br> '''φηγός, -οῦ (nom commun) (f)''' : chêne.<br> '''φηλητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : trompeur.<br> '''φῆλος, -ος, -ον (adjectif)''' : trompeur.<br> '''φήμη, -ης (nom commun) (f)''' : Voix prophétique, oracle. Rumeur, réputation.<br> '''φημί (verbe)''' : dire.<br> '''φήρ, -ός (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''θήρ''.<br> '''φθέγγομαι (verbe)''' : proférer.<br> '''φθειρρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : pou.<br> '''φθείρω (verbe)''' : user.<br> '''φθινόπωρον, -ώρου (nom commun) (n)''' : automne.<br> '''φθίσις, -εως (nom commun) (f)''' : Déclin, ruine. Atrophie, consomption. Contraction, réduction de la pupille.<br> '''φθίω (verbe)''' : périr, disparaitre.<br> '''φθόγγος, -ου (nom commun) (m)''' : son.<br> '''φθονερός, -ή, -όν (adjectif) (f)''' : envieux.<br> '''φθόνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : dénégation.<br> '''φθόνος, -ου (nom commun) (m)''' : envie.<br> '''φθονῶ (verbe)''' : envier.<br> '''φθορά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : Perdition, perte, ruine, destruction. Action de corrompre, corruption, séduction. (Peinture) Dégradation de couleur, affaiblissement de teinte.<br> '''φῖ (nom commun) (n)''' : phi.<br> '''φίλαμα, -άματος (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''φίλημα''.<br> '''φιλαδελφία, -ας (nom commun) (f)''' philadelphie.<br> '''φιλανδρία, -ας (nom commun) (f)''' philandrie.<br> '''φιλανθρωπία, -ας (nom commun) (f)''' philanthropie.<br> '''φιλάνθρωπος, -ος, -ον (adjectif)''' : Humain, bon ; bienveillant, affable. Qui aime les hommes (en parlant des dieux). Qui plaît aux hommes, agréable.<br> '''φιλαργυρία, -ας (nom commun) (f)''' : avarice.<br> '''φιλάργυρος, -ος, -ον (adjectif)''' : avare.<br> '''φίλειμι (verbe)''' : Forme béotienne de ''φιλῶ''.<br> '''φίλημμι (verbe)''' : Forme éolienne de ''φιλῶ''.<br> '''φιλία, -ας (nom commun) (f)''' : amitié, amour absolu, plaisir de la compagnie.<br> '''φιλίη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''φιλία''.<br> '''φίλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : baiser.<br> '''φίλημμι (verbe)''' : Forme éolienne de ''φιλῶ''.<br> '''φιλόγελως, -ωτος (nom commun) (m)''' : Amateur d'histoires drôles.<br> '''φιλόπαις, -δός (nom commun) (m)''' : philopaide.<br> '''φίλος, -η, -ον (adjectif)''' : amical.<br> '''φίλος, -ου (nom commun) (m)''' : ami.<br> '''φιλο- (préfixe)''' : qui aime.<br> '''φιλογυνία, -ας (nom commun) (f)''' : philogynie.<br> '''φιλοπαιδία, -ας (nom commun) (f)''' : philopaidie.<br> '''φιλόπαις, -αίδος (nom commun) (m)''' : philopaide.<br> '''φιλοσοφία, -ας (nom commun) (f)''' : philosophie.<br> '''φιλοσοφικός, -ή, -όν (adjectif)''' : philosophique.<br> '''φιλοσοφικότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φιλοσοφικός''.<br> '''φιλοσοφικότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φιλοσοφικός''.<br> '''φιλοσοφικῶς (adverbe)''' : philosophiquement.<br> '''φιλοσοφικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φιλοσοφικῶς''.<br> '''φιλοσοφικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φιλοσοφικῶς''.<br> '''φιλόσοφος, -όφου (nom commun) (m)''' : philosophe.<br> '''φιλοσοφῶ (verbe)''' : philosopher.<br> '''φιλότης, -τος (nom commun) (f)''' : Amitié ; relation sexuelle.<br> '''φιλύρα, -ας (nom commun) (f)''' : tilleul.<br> '''φιλῶ (verbe)''' : Aimer d'amitié. Éprouver de l'amitié. Traiter en ami, regarder comme un ami. Donner un signe d'amitié. Aimer d'amour. (Par extension) Aimer. Voir volontiers, accueillir avec plaisir, approuver, agréer. Rechercher, poursuivre. Se plaire à.<br> '''φίλως ‎(adverbe)''' : amicalement.<br> '''φιμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''φίμωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : musellement.<br> '''φίμωτρον, -ου (nom commun) (m)''' : muselière.<br> '''φιμῶ (verbe)''' : museler.<br> '''φιτύω (verbe)''' : engendrer.<br> '''φλέγμα, -τος (nom commun) (n)''' : flegme.<br> '''φλέγω (verbe)''' : brûler.<br> '''φλέψ, -ϐός (nom commun) (f)''' : veine (vaisseau sanguin).<br> '''φλέω (verbe)''' : sourdre.<br> '''φλίϐω (verbe)''' : étendre, presser.<br> '''φλόγωσις, -ώσεως (nom commun) (m)''' : inflammation.<br> '''φλογῶ (verbe)''' : flamber.<br> '''φλοιός, -οῦ (nom commun) (m)''' : écorce.<br> '''φλόξ, -γός (nom commun) (m)''' : flamme.<br> '''φλύαρος, -ος, -ον (adjectif)''' : bavard.<br> '''φλυαρῶ (verbe)''' : bavarder.<br> '''φλύκταινα, -ίνας (nom commun) (f)''' : cloque.<br> '''φλύζω (verbe)''' : Forme de ''φλύω''.<br> '''φλύω (verbe)''' : couler.<br> '''φοϐερός, -ά, -όν (adjectif)''' : effrayant.<br> '''φόϐος, -ου (nom commun) (m)''' : peur.<br> '''φοῖϐος, -η, -ον (adjectif)''' : .<br> '''φοῖνιξ, -ίνικος (nom commun) (m)''' : palmier-dattier ; phénix.<br> '''φονεύς, -έως (nom commun) (m)''' : meurtrier.<br> '''φονεύω (verbe)''' : assassiner.<br> '''φονικός, -ή, -όν (adjectif)''' : meurtrier.<br> '''φόνος, -ου (nom commun) (m)''' : meurtre.<br> '''φόρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''φόρμιγξ, -γος (nom commun) (f)''' : (poésie) lyre.<br> '''φορτίζω (verbe)''' : charger.<br> '''φόρτισις, -ίσεως (nom commun) (f)''' : charge.<br> '''φόρτος, -ου (nom commun) (m)''' : .<br> '''φοῦκτα, -ύκτας (nom commun) (m)''' : poignée de main.<br> '''φοῦρνος, -ύρνου (nom commun) (m)''' : four.<br> '''φραγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : bloc.<br> '''φράγμα, -ατος (nom commun) (n)''' : clôture.<br> '''φραγμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bloc.<br> '''φράν, -ός (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''φρήν''.<br> '''φράσις, -εως (nom commun) (f)''' : Suite de mots.<br> '''φράσσω (verbe)''' : déclarer.<br> '''φράτηρ, -ερος (nom commun) (m)''' : Membre d'une phratrie.<br> '''φρατήρ, -έρος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''φράτηρ''.<br> '''φρατρία, -ας (nom commun) (f)''' : phratrie.<br> '''φρέαρ, -τος (nom commun) (n)''' : puits.<br> '''φρενητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : délirant.<br> '''φρενητικῶς (adverbe)''' : -ment.<br> '''φρενητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φρενητικός''.<br> '''φρενητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φρενητικός''.<br> '''φρενητικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φρενητικῶς''.<br> '''φρενητικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φρενητικῶς''.<br> '''φρενῖτις, -ίτιδος (nom commun) (f)''' : délire.<br> '''φρήν, -ενός (nom commun) (f)''' : Toute membrane qui enveloppe un organe. (Au pluriel) Viscères, entrailles. (Par suite) (Poésie) Cœur, âme.<br> '''φρήτηρ, -ερος (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''φράτηρ''.<br> '''φρίκη, -ης (nom commun) (f)''' : terreur.<br> '''φρίξ, -ικός (nom commun) (f)''' : terreur.<br> '''φριξός, -ή, -όν (adjectif)''' : terrifiant.<br> '''φρίσσω (verbe)''' : terroriser.<br> '''φρόνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Intelligence, pensée. Manière de penser.<br> '''φρόνησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Pensée, dessein. Intelligence raisonnable, sagesse. Intelligence (ou sagesse) divine.<br> '''φρόνιμος, -ος, -ον (adjectif)''' : sensé.<br> '''φρονῶ (verbe)''' : Penser, avoir la faculté de penser ou de sentir, vivre. Être dans son bon sens. Penser. Être sensé. Avoir dans l’esprit. Songer à, projeter de.<br> '''φρουρά, -ᾶς (nom commun) (m)''' : garde (corps d’armée).<br> '''φρουρή, -ῆς (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''φρουρή''.<br> '''φρούρημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : bannissement.<br> '''φρούρησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : fuite, bannissement.<br> '''φρουρητός, -ός, -όν (adjectif)''' : banni.<br> '''φρούριον, -ίου (nom commun) (n)''' : forteresse.<br> '''φρουρός, -οῦ (nom commun) (m)''' : garde (surveillant).<br> '''φρουρῶ (verbe)''' : bannir.<br> '''φρύγω (verbe)''' : rôtir.<br> '''φρῦνος, -ύνου (nom commun) (m)''' : crapaud.<br> '''φυγάς, -δος (nom commun) (m)''' : fugitif.<br> '''φυγή, -ῆς (nom commun) (f)''' : fuite, bannissement.<br> '''φύζω (verbe)''' : Forme ionienne de ''φεύγω''.<br> '''φυίω (verbe)''' : Forme éolienne de ''φύω''.<br> '''φυλακή, -ῆς (nom commun) (f)''' : garde, surveillance ; vigilance.<br> '''φυλακτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : amulette.<br> '''φυλακτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : garde.<br> '''φυλάξις, -εως (nom commun) (f)''' : garde.<br> '''φύλαξ, -κος (nom commun) (m)''' : observateur, garde ; protecteur.<br> '''φυλάσσω (verbe)''' : garder.<br> '''φυλάττω (verbe)''' : Forme attique de ''φυλάσσω''.<br> '''φυλετικός, -ή, -όν (adjectif)''' : racial.<br> '''φυλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Tribu, groupe de familles de même races ; (Militaire) Corps de troupes au nombre de 10. (Par extension) Classe, genre ; espèce.<br> '''φύλλον, -ου (nom commun) (n)''' : feuille.<br> '''φυλλόω (verbe)''' : .<br> '''φῦλον, -ύλου (nom commun) (n)''' : groupe, tribu ; nation.<br> '''φῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''φυμάτιον, -ίου (nom commun) (n)''' : .<br> '''φύραμα, -τος (nom commun) (n)''' : .<br> '''φυράω (verbe)''' : .<br> '''φύρδην (adverbe)''' : .<br> '''φυρατέον, -ου (nom commun) (n)''' : .<br> '''φυρατής, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''φύρμα, -τος (nom commun) (n)''' : .<br> '''φυρμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : .<br> '''φύρσιμος, -ίµου (nom commun) (m)''' : .<br> '''φύρσις, -εως (nom commun) (f)''' : .<br> '''φύρω (verbe)''' : .<br> '''φυσσαλίς, -δος (nom commun) (m)''' : bulle.<br> '''φῦσα, -ύσας (nom commun) (f)''' : .<br> '''φυσάω (verbe)''' : .<br> '''φυσητήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : soupirail.<br> '''φῦσιγξ, -ύσιγγος (nom commun) (m)''' : cartouche.<br> '''φύσις, -εως (nom commun) (f)''' : nature.<br> '''φυσικός, -ή, -όν, (adjectif)''' : naturel.<br> '''φυσικῶς (adverbe)''' : naturellement.<br> '''φυσικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φυσικός''.<br> '''φυσικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φυσικός''.<br> '''φυσικώτατα, -, - (adverbe)''' : Superlatif de ''φυσικῶς''.<br> '''φυσικώτερον, -, - (adverbe)''' : Comparatif de ''φυσικῶς''.<br> '''φύσκα, -ας (nom commun) (f)''' : Forme dorienne de ''φύσκη''.<br> '''φύσκη, -ης (nom commun) (f)''' : .<br> '''φύτευμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : raiponce.<br> '''φυτεύω (verbe)''' : planter.<br> '''φυτόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : végétal, plante.<br> '''φυτο- (préfixe)''' : relatif aux plantes.<br> '''φῦ (interjection)''' : pouah.<br> '''φύω (verbe)''' : croître.<br> '''φώκη, -ης (nom commun) (f)''' : phoque.<br> '''φώκιος, -ος, -ον (adjectif)''' : phocidien.<br> '''φωλεός, -οῦ (nom commun) (m)''' : tanière, terrier.<br> '''φωνήεις, -σσα, -ῆεν (adjectif)''' : vocalique.<br> '''φωνῆεν, -ήεντος (nom commun) (n)''' : voyelle.<br> '''φωνή, -ῆς (nom commun) (f)''' : voix.<br> '''φώνημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : phonème.<br> '''φωνητικός, -ή, -όν (adjectif)''' : phonétique.<br> '''φωνητικῶς (adverbe)''' : phonétiquement.<br> '''φωνητικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''φωνητικός''.<br> '''φωνητικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''φωνητικός''.<br> '''φωνῶ (verbe)''' : Faire entendre un son de voix. Parler haut, dire d'une voix forte, élever la voix Ordonner, commander, prescrire. Parler de. Chanter.<br> '''φώς, -τός (nom commun) (m)''' : homme.<br> '''φῶς, -τός (nom commun) (n)''' : lumière, éclair.<br> '''φωσφορίζων, -ουσα, -ον (adjectif)''' : fluorescent.<br> '''φωσφορίζω (verbe)''' : fluorescer.<br> '''φωσφόρος, -ος, -ον (adjectif)''' : qui apporte la lumière.<br> '''Φαέθουσα, -ας (nom propre) (f)''' : Phaéthuse.<br> '''Φαέθων, -οντος (nom propre) (m)''' : Phaéton.<br> '''Φαίδρα, -ας (nom propre) (f)''' : Phèdre.<br> '''Φαῖδρος, -ίδρου (nom propre) (f)''' : Phèdre.<br> '''Φαιδρία, -ας (nom propre) (f)''' : Phédrie.<br> '''Φαμενώθ (nom propre) (m)''' : Phaminoth.<br> '''Φαντασός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Phantasos.<br> '''Φάρος, -ου (nom propre) (f)''' : Pharos.<br> '''Φαρμουθί (nom propre) (m)''' : Pharmouti.<br> '''Φασιανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Phasien.<br> '''Φᾶσις, -άσιος (nom propre) (m)''' : Phase.<br> '''Φαῶφι (nom propre) (m)''' : Phaophi.<br> '''Φειδίας, -ου (nom propre) (m)''' : Phidias.<br> '''Φερεκύδης, -ου (nom propre) (m)''' : Phérécyde.<br> '''Φερενίκη, -ης (nom propre) (f)''' : Véronique.<br> '''Φηγεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Phégée.<br> '''Φθόνος, -ου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Phtonos|Phtonos]].<br> '''Φιλάμμων, -ονος (nom propre) (m)''' : Philammon. (Demi-frère d'Autolycos.)<br> '''Φιλέας, -ου (nom propre) (m)''' : Philéas.<br> '''Φίλιππος, -ίππου (nom propre) (m)''' : Philippe.<br> '''Φιλόγελως, -τος (nom propre) (m)''' : Philogélos. (Recueil d’histoires drôles probablement rédigé au V{{e}} siècle apr. J.-C., attribué à Hiéroclès et Philagrios)<br> '''Φιλοκτήτης, -ου (nom propre) (m)''' : Philoctète.<br> '''Φιλομήλη, -ης (nom propre) (f)''' : Philomèle.<br> '''Φιλότης, -τος (nom propre) (f)''' : [[wikt:Philotès|Philotès]].<br> '''Φίλων, -ος (nom propre) (m)''' : Philo.<br> '''Φιλώτας, -ου (nom propre) (m)''' : Philinte.<br> '''Φινεές, -οῦ (nom propre) (m)''' : Phinées.<br> '''Φινεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Phinée.<br> '''Φίξ, -γγός (nom propre) (f)''' : Forme béotienne de ''Σφίγξ''.<br> '''Φλεγέθων, -οντος (nom propre) (m)''' : Phlégéthon.<br> '''Φλεγύας, -ντος (nom propre) (m)''' : Phlégias. (père de Coronis)<br> '''Φλέγων, -ος (nom propre) (m)''' : Phlégon.<br> '''Φοϐητώρ, -όρος (nom propre) (m)''' : Phobétor.<br> '''Φοίϐη, -ης (nom propre) (f)''' : [[wikt:Phœbé|Phœbé]].<br> '''Φοιϐίδας, -ου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Phébidas|Phébidas]].<br> '''Φοῖϐος, -ίϐου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Phébus|Phébus]].<br> '''Φοῖνιξ, -ίνικος (nom commun) (m/f)''' : Phénicien. Carthaginois. (les descendants de Phénicie.)<br> '''Φόϐος, -ου (nom propre) (m)''' : Phobos.<br> '''Φραόρτης, -ου (nom propre) (m)''' : .<br> '''Φρυγία, -ας (nom propre) (f)''' : Phrygie.<br> '''Φρύξ, -γός (nom commun) (m)''' : Phrygien.<br> '''Φυλεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Phylée (fils d’Augias).<br> '''Φυλλίς, -δος (nom propre) (f)''' : Phyllis.<br> '''Φυσίγναθος, -άθου (nom propre) (f)''' : Physignathe.<br> '''Φωκεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Phocidien.<br> '''Φώκαια, -ίας (nom propre) (f)''' : Phocée. (Ancienne cité grecque d’Asie Mineure.)<br> '''Φωκαιεύς, -έως (nom commun) (m)''' : Phocéen.<br> '''Φωκαιίς, -δος (nom commun) (f)''' : Phocéenne.<br> '''Φωκίς, -δος (nom propre) (f)''' : Phocide.<br> '''Φῶκος, -ώκου (nom propre) (m)''' : Phocus.<br> '''Φορμίων, -ος (nom propre) (m)''' : Phormion.<br> '''Φωτεινή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Photine.<br> ==Χ== '''χαίνω (verbe)''' : .<br> '''χαῖρε (interjection)''' (Devient ''χαίρετε'' au pluriel.) : bonjour ; salut.<br> '''χαίρω (verbe)''' : se réjouir ; être joyeux. Se réjouir d'ordinaire, se plaire d'ordinaire à ou dans. Avoir sujet de se réjouir.<br> '''χάλαζα, -άζης (nom commun) (f)''' : grêle.<br> '''χαλαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : détendu.<br> '''χαλαρότης, -τος (nom commun) (f)''' : détente.<br> '''χαλάρωσις, -ώσεως (nom commun) (f)''' : détente.<br> '''χαλαρῶς (adverbe)''' : .<br> '''χαλαρῶ (verbe)''' : détendre.<br> '''χαλάω (verbe)''' : Lâcher, relâcher. Laisser tomber, baisser, rabaisser. Laisser aller. (Au passif) Être adouci. Être indulgent. Céder le passage. Affaiblir.<br> '''χάλασις, -άσεως (nom commun) (f)''' : Relâchement, relaxation.<br> '''χαλεπός, -ή, -όν (adjectif)''' : difficile.<br> '''χαλεπῶς (adverbe)''' : difficilement.<br> '''χαλεπώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χαλεπός''.<br> '''χαλεπώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χαλεπός''.<br> '''χάλιξ, -κος (nom commun) (m/f)''' : galet ; gravier.<br> '''χαλκεύς, -έως (nom commun) (m)''' : forgeron.<br> '''χαλκός, -οῦ (nom commun) (m)''' : cuivre ; bronze, fer.<br> '''χαλυϐήϊος, -ΐα, -ήϊον (adjectif)''' : d’acier.<br> '''χάλυψ, -ϐος (nom commun) (m)''' : acier.<br> '''χαμᾶζε (adverbe)''' : à terre (avec mouvement).<br> '''χαμαί (adverbe)''' : à terre (sans mouvement).<br> '''χαμαικέρασος, -άσου (nom commun) (f)''' : fraise.<br> '''χαμαιλέων, -οντος (nom commun) (m)''' : caméléon.<br> '''χαμαίμηλον, -ήλου (nom commun) (f)''' : camomille.<br> '''χαμαιτυπεῖον, -ίου (nom commun) (n)''' : lupanar.<br> '''χαμαιτύπη, -ης (nom commun) (f)''' : prostituée.<br> '''χάν, -ός (nom commun) (m/f)''' : Forme dorienne de ''χήν''.<br> '''χάος, -ους (nom commun) (n)''' : chaos.<br> '''χαρά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : joie ; plaisir.<br> '''χαρακτηρίζω (verbe)''' : inscrire, marquer.<br> '''χαρακτήρ, -ῆρος (nom commun) (m)''' : Fer pour marquer le bétail, marque faite au fer rouge. Marque, signe, empreinte, stigmate. Cachet, caractère, genre de style, style.<br> '''χαράσσω (verbe)''' : Aiguiser. Gratter, couper.<br> '''χάραξ, -κος (nom commun) (m)''' : pieu.<br> '''χαριέντως (adverbe)''' : gracieusement.<br> '''χαρίεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : gracieux.<br> '''χαρίϝεις, -εσσα, -εν (adjectif)''' : Forme homérique de ''χαρίεις''.<br> '''χαριέστατος, -άτη, -έστατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χαρίεις''.<br> '''χαριέστερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χαρίεις''.<br> '''χαρίϝεττα, -, - (adjectif)''' : Forme béotienne de ''χαρίεις''.<br> '''χαρίζομαι (verbe)''' : .<br> '''χάρις, -τος (nom commun) (f)''' : Ce qui brille ; ce qui réjouit. Grâce.<br> '''χάρισμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : grâce accordée par Dieu.<br> '''χαριτῶ (verbe)''' : .<br> '''χάρμα, -τος (nom commun) (n)''' : source de joie, délice.<br> '''χάσμα, -τος (nom commun) (n)''' : béance, ouverture ; creux, gouffre. Abysse.<br> '''χάσκω (verbe)''' : bayer, béer.<br> '''χαῦνος, -ύνη, -ῦνον (adjectif)''' : .<br> '''χαυνότης, -τος (suffixe) (f)''' : .<br> '''χαυνῶ (verbe)''' : .<br> '''χέζω (verbe)''' : chier.<br> '''χεῖμα, -ίματος (nom commun) (n)''' : hiver.<br> '''χείμαρρος, -άρρου (nom commun) (m)''' : torrent.<br> '''χειμών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : (sens propre) Mauvais temps. (sens figuré) Trouble.<br> '''χειραφέτησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : émancipation.<br> '''χείριστος, -ίστη, -ίριστον (adjectif)''' : Superlatif de ''κακός''.<br> '''χείρ, -ός (nom commun) (f)''' : main.<br> '''χειρόγραφον, -άφου (nom commun) (n)''' : manuscrit.<br> '''χειρόγραφος, -η, -ον (adjectif)''' : manuscrit.<br> '''χείρων, -ων, -ῖρον (adjectif)''' : Comparatif de ''κακός''.<br> '''χελιδών, -ονός (nom commun) (f)''' : hirondelle.<br> '''χελώνη, -ης (nom commun) (f)''' : tortue.<br> '''χερνίϐιον, -ίου (nom commun) (n)''' : pot de chambre.<br> '''χερσόνησος, -ήσου (nom commun) (f)''' : péninsule.<br> '''χέρσος, -ος, -ον (adjectif)''' : sec ; stérile.<br> '''χέω (verbe)''' : jouir. (Profiter d'une chose que l'on possède.)<br> '''χηλή, -ῆς (nom commun) (f)''' : pince ; serre de certains animaux.<br> '''χηλός, -οῦ (nom commun) (m)''' : coffre.<br> '''χήν, -ός (nom commun) (m/f)''' : jars ; oie.<br> '''χήρα, -ας (nom commun) (f)''' : veuve.<br> '''χῆρος, -ήρου (nom commun) (m)''' : veuf.<br> '''χθές (adverbe)''' : hier.<br> '''χθόνιος, -α, -ον (adjectif)''' : Relatif aux divinités infernales.<br> '''χθών, -ονός (nom commun) (f)''' : Sol, terre. Terre, pays, contrée. Ensemble du sol terrestre, terre entière. Terre comme séjour des vivants et des morts.<br> '''χῖ (nom commun) (n)''' : chi.<br> '''χίλιοι (adjectif numéral)''' : mille.<br> '''χιόνεος, -έα, -εον (verbe)''' : enneigé.<br> '''χιονίζω (verbe)''' : enneiger.<br> '''χιονόχρως (adjectif)''' : blanc comme neige.<br> '''χιτών, -ῶνος (nom commun) (m)''' : chiton.<br> '''χιών, -όνος (nom commun) (f)''' : neige.<br> '''χλαμύς, -δος (nom commun) (n)''' : chlamyde.<br> '''χλευάζω (verbe)''' : se moquer.<br> '''χλευασία, -ας (nom commun) (f)''' : moquerie.<br> '''χλευασμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Moquerie ; blague.<br> '''χλιαρός, -ή, -όν (adjectif)''' : tiède.<br> '''χλωμός -ή -όν (adjectif)''' : pâle.<br> '''χλωρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Vert ; jaune verdâtre.<br> '''χοῖρος, -ίρου (nom commun) (m)''' : Petit cochon. (Par extension) Cochon engraissé, porc.<br> '''χόνδρος, -ου (nom commun) (m)''' : Petit corps dur et rond, grain. Grain de froment et d’épeautre. Froment, épeautre. Cartilage.<br> '''χονδρός, -ά, -όν (adjectif)''' : gros.<br> '''χονδρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χονδρός''.<br> '''χονδρότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χονδρός''.<br> '''χονδρύνω (verbe)''' : grossir.<br> '''χονδρῶς (adverbe)''' : .<br> '''χοραύλης, -ου (nom commun) (m)''' : choraule.<br> '''χοραυλικός, -ή, -όν (adjectif)''' : choraulique.<br> '''χορδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : ficelle.<br> '''χορεία, -ας (nom commun) (f)''' : danse.<br> '''χορεῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : chorée.<br> '''χορευτής, -οῦ (nom commun) (m)''' : danseur.<br> '''χορεύω (verbe)''' : danser.<br> '''χορήγιον, -ίου (nom commun) (m)''' : chorégie.<br> '''χορηγός, -οῦ (nom commun) (m)''' : chorège.<br> '''χορικός, -ή, -όν (adjectif)''' : chorique.<br> '''χοροκιθαριστής, -οῦ (nom commun) (m)''' : chorocithariste.<br> '''χορός, -οῦ (nom commun) (m)''' : danse en ronde.<br> '''χόρτος, -ου (nom commun) (m)''' : Enclos. Pré clôturé ; pâturage. Nourriture.<br> '''χορῳδία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''χράω (verbe)''' : Frapper, attaquer. Infliger, asséner. Désirer ardemment. Proclamer. (Au passif) Être déclaré par un oracle. (Voix moyenne) Consulter un oracle, être averti par un oracle. Fournir, prêter. Utiliser. Avoir besoin de.<br> '''χρεία, -ας (nom commun) (f)''' : Usage, emploi. Manière dont on fait usage. Profit qu'on retire d'un usage. Besoin, nécessité.<br> '''χρείη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''χρεία''.<br> '''χρεώ (verbe)''' : avoir besoin.<br> '''χρῄζω (verbe)''' : nécessiter, désirer ; vouloir.<br> '''χρή (verbe)''' : il faut.<br> '''χρῆμα, -ήματος (nom commun) (n)''' : Chose dont on se sert, ou dont on a besoin. (Au singulier) Ce dont on se sert, chose, affaire. Évènement, occurrence. (Au pluriel) Bien, avoir.<br> '''χρῆσις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : .<br> '''χρησμός, -οῦ (nom commun) (f)''' : oracle.<br> '''χρηστομάθεια, -ίας (nom commun) (f)''' : savoir utile.<br> '''χρηστός, -ή -όν (adjectif)''' : Dont on peut se servir. Qui rend service.<br> '''χρηστότης, -τος (nom commun) (f)''' : Bonne qualité, bonté. (En particulier) Bonté de cœur.<br> '''χρίζω (verbe)''' : oindre.<br> '''χρῖσμα, -ίσματος (nom commun) (n)''' : onction.<br> '''χρονικός, -ή -όν (adjectif)''' : temporel.<br> '''χρονικῶς (adverbe)''' : temporellement.<br> '''χρονικώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χρονικός''.<br> '''χρονικώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χρονικός''.<br> '''χρόνιος, -ία -όνιον (adjectif)''' : tardif.<br> '''χρονίως (adverbe)''' : tardivement.<br> '''χρονιώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χρονίως''.<br> '''χρονιώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χρονίως''.<br> '''χρόνος, -ου (nom commun) (m)''' : temps (durée).<br> '''χρυσαίετος, -ου (nom commun) (m)''' : aigle royal.<br> '''χρυσάνθεμον, -έμου (nom commun) (n)''' : chrysanthème.<br> '''χρυσόγονον, -όνου (nom commun) (n)''' : navet noir.<br> '''χρυσομηλιά, -ᾶς (nom commun) (f)''' : orange.<br> '''χρυσός, -οῦ (nom commun) (m)''' : or.<br> '''χρῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : couleur.<br> '''χυδαῖος, -ίη ,-ῖον (adjectif)''' : s’affaissant ; commun. Vulgaire.<br> '''χυδαιολογία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''χυλός, οῦ (nom commun) (m)''' : gruau.<br> '''χυλοπίτα, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''χυλώδης, -ης, -ες (adjectif)''' : .<br> '''χύλωμα, -τος (nom commun) (n)''' : .<br> '''χυλώνω (verbe)''' : .<br> '''χύμα, -τος (nom commun) (n)''' : suc.<br> '''χυμεία, -ας (nom commun) (f)''' : .<br> '''χυµός, -οῦ (nom commun) (m)''' : jus.<br> '''χωλαίνω (verbe)''' : boiter.<br> '''χωλίαμϐος, -άμϐου (nom commun) (m)''' : choliambe.<br> '''χωλός, -ή, -όν (adjectif)''' : boiteux. (En parlant de l'intelligence) Dont l'esprit cloche, infirme d'esprit. Mal équilibré, instable, chancelant.(Rhétorique) Boiteux. (Métrique) Qui n'est pas sur ses pieds, boiteux.<br> '''χωλότης, -τος (nom commun) (f)''' : .<br> '''χωλῶς (adverbe)''' : en boitant.<br> '''χωλότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''χωλός''.<br> '''χωλότερος, -έρα, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''χωλός''.<br> '''χῶμα, -ώματος (nom commun) (n)''' : (Militaire) Terrassement. (Par extension) Toute jetée, même en pierres, môle.<br> '''κώμη, -ης (nom commun) (f)''' : village.<br> '''χώρα, -ας (nom commun) (f)''' : Lieu. Place, endroit. (Militaire) Poste, position. (Au sens abstrait) Moment. Pays, région. Campagne. Champ, ferme.<br> '''χώρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''χώρα''.<br> '''χωρίζω (verbe)''' : séparer.<br> '''χωρίον, -ου (nom commun) (n)''' : district.<br> '''χωρισμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : séparation.<br> '''χωρίς (adverbe)''' : Séparément ; à part. (Avec le génitif) sans. (Par suite) différemment.<br> '''Χαιρέας, -ου (nom propre) (m)''' : Chéréas.<br> '''Χαιρεφῶν, -ῶντος (nom propre) (m)''' : Chariphon.<br> '''Χαιρώνεια, -ίας (nom propre) (f)''' : Chéronée (cité de Béotie).<br> '''Χαιρωνεύς, -έως (nom propre) (m)''' : Chéronéen.<br> '''Χαλδαία, -ας (nom propre) (f)''' : Chaldée.<br> '''Χαλδαῖα, -ίας (nom commun) (f)''' : Chaldéenne.<br> '''Χαλδαϊκός, -ή, -όν (adjectif)''' : chaldéen.<br> '''Χαλδαῖος, -ίου (nom commun) (m)''' : Chaldéen.<br> '''Χαλκηδών, -όνος (nom commun) (f)''' : Chalcédoine.<br> '''Χαλκίς, -δος (nom commun) (f)''' Chalcis.<br> '''Χάλυψ, -ϐος (nom propre) (m)''' : Chalybe.<br> '''Χαπύ (nom propre) (m)''' : Hâpy.<br> '''Χάρις, -τος (nom propre) (f)''' : Charite.<br> '''Χαρίτων, -ος (nom propre) (m)''' : Chariton.<br> '''Χάρυϐδις, -ύϐδεως (nom propre) (f)''' : Charybde.<br> '''Χάρων, -ος (nom propre) (m)''' : Charon. (nocher des Enfers)<br> '''Χέϐρης, -ου (nom propre) (m)''' : Toutânkhamon.<br> '''Χείρων, -ος (nom propre) (m)''' : Chiron.<br> '''Χένερης, -ου (nom propre) (m)''' : Khâsekhemoui.<br> '''Χέοψ, -πος (nom propre) (m)''' : Khéops.<br> '''Χεφρήν, -ένος (nom propre) (m)''' : Khéphren.<br> '''Χθών, -ονός (nom propre) (f)''' : Chthon.<br> '''Χιόνη, -ης (nom propre) (f)''' : Chioné.<br> '''Χλόη, -ης (nom propre) (f)''' : Chloé.<br> '''Χλωρίς, -δος (nom propre) (f)''' : Chloris (nymphe).<br> '''Χνοῦϐις, -ύϐιδος (nom propre) (m)''' : [[wikt:Khnoum|Khnoum]].<br> '''Χοίακ (nom propre) (m)''' : Choeac.<br> ‎ '''Χοσρόης, -ου (nom propre) (m)''' : Chosroès.<br> ‎ '''Χριστόφορος, -όρου (prénom) (m)''' : Christophe.<br> '''Χριστός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Christ.<br> '''Χρυσάωρ, -ου (nom propre) (m)''' : Chrysaor.<br> '''Χρύσιππος, -ίππου (nom propre) (m)''' : Chrysippe.<br> '''Χρυσόμαλλον Δέρας (locution nominale)''' : Toison d'or.<br> '''Χρυσόμαλλος, -ου (nom propre) (m)''' : Chrysomallos.<br> '''Χρυσόπολις, -όλεως (nom propre) (m)''' : Üsküdar.<br> ==Ψ== '''ψάλλω (verbe)''' : chanter.<br> '''ψαλμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : psaume.<br> '''ψαλτήριον, -ίου (nom commun) (n)''' : psaltérion.<br> '''ψάλτιγξ, -γος (nom commun) (m)''' : psaltinx.<br> '''ψάρ, -ός (nom commun) (m)''' : étourneau.<br> '''ψαρός, -ά, -όν (adjectif)''' : .<br> '''ψαῦμα, -ύματος (nom commun) (n)''' : palpation.<br> '''ψαῦσις, -ύσεως (nom commun) (f)''' : palpation.<br> '''ψαύω (verbe)''' : palper.<br> '''ψᾶφαξ, -άφακου (nom commun) (m)''' : Forme éolienne de ''ψῆφος''.<br> '''ψᾶφος, -άφου (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''ψῆφος''.<br> '''ψάω (verbe)''' : Frotter, gratter.<br> '''ψέγω (verbe)''' : Blâmer, reprocher.<br> '''ψευδής, -ής, -ές (adjectif)''' : faux.<br> '''ψεύδομαι (verbe)''' : mentir.<br> '''ψεῦδος, -ύδους (nom commun) (n)''' : tromperie.<br> '''ψευδῶς (adverbe)''' : faussement.<br> '''ψευδώτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ψευδής''.<br> '''ψευδώτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ψευδής''.<br> '''ψεύδω (verbe)''' : tromper.<br> '''ψεῦσμα, -ύσματος (nom commun) (n)''' : mensonge.<br> '''ψεύστης, -ου (nom commun) (m)''' : menteur.<br> '''ψεύστρα, -ας (nom commun) (f)''' : menteuse.<br> '''ψῆγμα, -ήγματος (nom commun) (n)''' : pépite.<br> '''ψηλάφησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : palpation.<br> '''ψηλαφῶ (verbe)''' : palper.<br> '''ψήρ, -ός (nom commun) (m)''' : Forme ionienne de ''ψάρ''.<br> '''ψῆφος, -ήφου (nom commun) (m)''' : Galet, caillou, pierre, en particulier utilisée pour le calcul. Gemme, pierre précieuse.<br> '''ψήχω (verbe)''' : racler.<br> '''ψῖ (nom commun) (n)''' : psi.<br> '''ψιλός, -ή, -όν (adjectif)''' : Nu ; simple.<br> '''ψίξ, -χός (nom commun) (m/f)''' : Mie ; miette.<br> '''ψιττακός, -οῦ (nom commun) (m)''' : perroquet.<br> '''ψιχίον, -ου (nom commun) (n)''' : miette.<br> '''ψίω (verbe)''' : .<br> '''ψόα, -ας (nom commun) (f)''' : lombes.<br> '''ψόγος, -ου (nom commun) (m)''' : Blâme, reproche.<br> '''ψόλος, -ου (nom commun) (m)''' : suie.<br> '''ψό (interjection)''' : beurk.<br> '''ψυδρεύς, -έως (nom commun) (m)''' : trompeur.<br> '''ψυδρός, -ά, -όν (adjectif)''' : faux.<br> '''ψυχεινός, -ή, -όν (adjectif)''' : frais.<br> '''ψυχή, -ῆς (nom commun) (f)''' : Âme ; papillon.<br> '''ψύθος, -ους (nom commun) (n)''' : Forme homérique de ''ψεῦδος''.<br> '''ψυχοπομπός, -ός, -όν (adjectif)''' : psychopompe.<br> '''ψυχοπομπός, -οῦ (nom commun) (m)''' : psychopompe.<br> '''ψῦχος, -ύχους (nom commun) (n)''' : fraîcheur.<br> '''ψυχραίνω (verbe)''' : refroidir.<br> '''ψυχρός, -ά, -όν (adjectif)''' : Froid ; glacial.<br> '''ψυχρότατος, -άτη, -ότατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ψυχρός''.<br> '''ψυχρότερος, -έρη, -ότερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ψυχρός''.<br> '''ψυχρῶς (adverbe)''' : Froidement ; glacialement.<br> '''ψύχω (verbe)''' : Souffler, respirer. Se refroidir.<br> '''ψχέντ (nom commun) (m)''' : pschent.<br> '''ψωμός, -οῦ (nom commun) (m)''' : bouchée de pain.<br> '''Ψαπφώ, -οῦς (nom propre) (f)''' : Forme éolienne de ''Σαπφώ''.<br> '''Ψίλαξ, -κος (nom propre) (m)''' : Psilax.<br> '''Ψιχάρπαξ, -γος (nom propre) (m)''' : Psicharpax.<br> '''Ψουσέννης, -ου (nom propre) (m)''' : Psousennès.<br> '''Ψυχή, -ῆς (nom propre) (f)''' : Psyché.<br> '''Ψωφίς, -δος (nom propre) (f)''' : Psophis.<br> ==Ω== '''ᾠδή, -ῆς (nom commun) (f)''' : chant.<br> '''ὠδυσάμην, - ()''' : .<br> '''ὠθῶ (verbe)''' : pousser, forcer ; (militaire) repousser l’ennemi.<br> '''ὠκεανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : océan.<br> '''ὠκέως (adverbe)''' : rapidement.<br> '''ὠκύς, -εῖα, -ύ (adjectif)''' : rapide.<br> '''ὠκύτατος, -άτη, -ώτατον (adjectif)''' : Superlatif de ''ὠκύς''.<br> '''ὠκύτερος, -έρα, -ώτερον (adjectif)''' : Comparatif de ''ὠκύς''.<br> '''ὦλαξ, ὤλακος (nom commun) (m)''' : Forme dorienne de ''αὖλαξ''.<br> '''ὠλένη, -ης (nom commun) (f)''' : coude, coudée ; avant-bras.<br> '''ὠμοπλάτη, -ης (nom commun) (f)''' : omoplate.<br> '''ὦμος, ὤμου (nom commun) (m)''' : épaule.<br> '''ὠνέομαι (verbe)''' : acheter.<br> '''ὠνητής, -οῦ (nom commun) (m)''' : client.<br> '''ὦνος, ὤνου (nom commun) (m)''' : prix.<br> '''ᾠόν, -οῦ (nom commun) (n)''' : œuf.<br> '''ὦ μέγα (nom commun) (n)''' : oméga.<br> '''ὤρα, -ας (nom commun) (f)''' : soin ; souci.<br> '''ὥρα, -ας (nom commun) (f)''' : heure.<br> '''ὡραῖος, -ία, -ῖον (adjectif)''' : Qui est de la saison. Qui se fait à une époque, dans une saison déterminée. Qui est dans la fleur de l’âge.<br> '''ὠρανός, -οῦ (nom commun) (m)''' : Forme dorienne et béotienne de ''οὐρανός''.<br> '''ὡρεῖον‎, -ίου (nom commun) (n)''' : grenier.<br> '''ὤρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ὤρα''.<br> '''ὥρη, -ης (nom commun) (f)''' : Forme ionienne de ''ὥρα''.<br> '''ὥριμος, -ος, -ον (adjectif)''' : mûr.<br> '''ὡρολόγιον, -ίου (nom commun) (n)''' : horloge.<br> '''ὡσαννά (interjection)''' : hosanna.<br> '''ὦσις, ὤσεως (nom commun) (f)''' : poussée.<br> '''ὦς, -τός (nom commun) (n)''' : Forme dorienne de ''οὖς''.<br> '''ὡς (adverbe ; conjonction)''' : .<br> '''ὥτερος, -έρα, -ερον (adjectif)''' : Autre forme dorienne de ''ἕτερος''.<br> '''ὠτικός, -ή, -όν (adjectif)''' : otique.<br> '''ὠτίον, -ίου (nom commun) (n)''' : Diminutif de '' οὖς''.<br> '''ὠτίς, -δος (nom commun) (f)''' : outarde.<br> '''ὦτος, ὤτου (nom commun) (m)''' : hibou.<br> '''ὠφέλεια, -ίας (nom commun) (f)''' : Aide ; secours.<br> '''ὠφέλημα, -ήματος (nom commun) (n)''' : .<br> '''ὠφέλησις, -ήσεως (nom commun) (f)''' : Aide ; secours.<br> '''ὠφελῶ (verbe)''' : Aider ; secourir.<br> '''ὠχρός, -ά, -όν (adjectif)''' : pâle.<br> '''ὤψ, -πός (nom commun) (f)''' : Vue ; visage.<br> '''ὦ (particule)''' : ô.<br> '''ὤ (interjection)''' : ah !, oh !<br> '''Ὠγυγία, -ας (nom propre) (f)''' : Ogygie.<br> '''Ὠγυγίη, -ης (nom propre) (f)''' : Forme ionienne de ''Ὠγυγία''.<br> '''Ὠκεανίς, -δος (nom propre) (f)''' : Océanide.<br> '''Ὠκεανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Océan.<br> '''Ὠρανός, -οῦ (nom propre) (m)''' : Forme dorienne et béotienne de ''Οὐρανός''.<br> '''Ὠρείθυια, -ίας (nom commun) (f)''' : Orithye (fille d'Érechthée).<br> '''Ὠριγένης, -ου (nom propre) (m)''' : Origène.<br> '''Ὠρομέδων, -οντος (nom propre) (m)''' : Oromédon.<br> '''Ὧρος, Ὥρου (nom propre) (m)''' : [[wikt:Horus|Horus]].<br> trjwmbin8rdevq7dfv8fkftmoehc06f OpenBSD/Introduction 0 45758 745189 655509 2025-06-21T20:51:28Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Un système sécurisé */Pallier quelque chose (et non pallier à quelque chose) 745189 wikitext text/x-wiki {{en travaux}} L'histoire d'OpenBSD commence en 1995 avec la séparation de Théo De Raadt vis-à-vis du projet NetBSD. Le projet OpenBSD a pour but : * de fournir la meilleure plateforme de développement possible, * d'intégrer du code correctement écrit venant de copyright acceptable tel que la licence BSD, * de fournir un système à jour et sécurisé, * de fournir une plus grande intégration des logiciels cryptographiques, * de suivre les normes ANSI et POSIX, * de rendre le code source indépendant de l'architecture, * d'un choix technique plutôt que politique, * d'une orientation développeur, * de fournir une plateforme de développement pour la compilation croisée, * de régler le maximum de problèmes importants. Vous pouvez retrouver tous ces principes sur le site officiel (http://www.openbsd.org/fr/goals.html). == Un système qui fonctionne par défaut== OpenBSD a la particularité de "juste fonctionner" après une installation. C’est-à-dire que le système contient tout ce qui est nécessaire à l'utilisateur, une interface graphique (le serveur X ainsi que xdm et twm), des éditeurs de textes (vi et mg), des services réseaux (dhcp, http, dns...), des outils pour les développeurs (gcc, gdb...) ainsi que la documentation complète d'OpenBSD. == Un système sécurisé == OpenBSD a une volonté de sécurité au niveau du système. Le projet OpenBSD a mis d'ailleurs en place de nombreuses solutions par défaut pour pallier les problèmes de sécurité. Par exemple, les services utilisés couramment tel que le serveur web Apache, sont directement livrés avec OpenBSD et offrant des améliorations intéressantes tel que le chrooting par défaut pour Apache et Bind. == Une documentation importante == Le principal avantage que l'on peut trouver sur les distributions libres est une documentation libre de droit, importante et surtout présente par défaut. OpenBSD ne déroge pas à la règle et offre à ses utilisateurs une vaste documentation via la commande <tt>man</tt>. $ man usage: man [-achw] [-C file] [-M path] [-m path] [-S subsection] [-s section] [section] name ... man -f command ... man -k keyword ... $ man intro NAME intro - introduction to general commands (tools and utilities) DESCRIPTION The manual pages in section one contain most of the commands which comprise the BSD user environment. Some of the commands included in section one are text editors, command shell interpreters, searching and sorting tools, file manipulation commands, system status commands, remote file copy commands, mail commands, compilers and compiler tools, formatted output tools, and line printer commands. All commands set a status value upon exit which may be tested to see if the command completed normally. The exit values and their meanings are explained in the individual manuals. Traditionally, the value 0 signifies successful completion of the command. SEE ALSO man(1), intro(2), intro(3), intro(4), intro(5), intro(6), intro(7), intro(8), intro(9) HISTORY An intro manual appeared in Version 6 AT&T UNIX. OpenBSD 4.8 January 10, 2010 OpenBSD 4.8 [[Catégorie:OpenBSD (livre)]] oywaf939n1p5dxj2u6bw698i6hc35fo Ict@innovation: Free your IT Business in Africa/2-12 0 53218 745186 714867 2025-06-21T20:40:13Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Résumé */Correction d'une faute de français 745186 wikitext text/x-wiki = Module 2.12 L’Expérience d’INTIC4DEV = == Durée == 1:15hrs == Perspectives == [[Image:row.png]] '''Dénomination: ''' INSTITUT DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION POUR LE DÉVELOPPEMENT (INTIC4DEV) '''Fondé en:''' 12 janvier 2004 '''Effectif:''' 5 '''Pays:''' Togo '''Site Web:''' [ http://www.intic4dev.org ] (actuellement en réconstruction) '''Type d’Entreprise:''' Formation, Consultations, Prestations de services == Résumé == INTIC4DEV (lire intic FOR Dêv), est une initiative d’un ancien Volontaire national des Nations Unies (VNU), spécialiste des NTIC qui, après avoir fait le constat de l’absence notoire de représentants de la société civile spécialisés dans le domaine des TIC au Togo, décida, à la fin de son contrat de VNU, de créer une organisation de type Loi 1901 pour pallier ce manque à gagner. C’est ainsi que l’INCTIC4DEV fut mis officiellement sur les « fonds baptismaux » le 12 Janvier 2004 après avoir tenu son assemblée générale constitutive (AGC) en novembre 2003. La vision de l’INTIC4DEV était de se constituer en une sorte d’ONG (Organisation non-gouvernementale) qui pourrait « héberger » ou abriter des initiatives telles que le « Least Developed Countries Initiative (LDCI) » du début des années 2000 initié par le G8 et qui ont permis d’implanter des Académies de réseau Cisco dans plusieurs pays africains, de même que d’autres types de certifications telles que la Certification LPI qui se développait. == Introduction == Quatre ans avant sa création en 2004, le fondateur de l’INTIC4DEV, Monsieur KOUAMI Olévié (<sup>mort en novembre 2023</sup>) avait suivi la première formation de formateurs de type « TRANSFERT » organisé à l’Université du Bénin à Lomé (Togo) par l’Association des Universités Francophones (AUF), un organe de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Le thème de cette formation était : « Administration de réseau sous GNU/Linux ». Depuis lors, son intérêt pour Linux et les logiciels libres n’a cessé de grandir et il s’y spécialisa. Avec les encouragements de l’INTIF (un autre organe de l’OIF jusqu’au début des années 2000,) il contribua largement en 2002 à la création de la première « LUG » du Togo : ATULL (Association Togolaise des Utilisateurs de logiciels Libres) dont il fut le premier Secrétaire Général. En 2004, il lança l’INTIC4DEV en finançant, avec quelques amis venus de Belgique (qui lui ont prêté quelques PC à l’époque), son installation dans le quartier d’Agbalépédogan à Lomé (capitale du Togo). Les premières activités de l’INTIC4DEV ont été : sa participation en tant que Coordinateur à l’« Étude de faisabilité pour la création d’un cybercafé communautaire dans la région de la Kara » dans la partie septentrionale du Togo, ses activités d’initiation des enfants du cours primaire à l’informatique, sa participation à la Journée mondiale de l’Internet au Togo en 2005, l’organisation d’un premier atelier de renforcement de capacités en TIC dont le thème était : « Linux et Réseaux », une réplique des ateliers de formation organisés par l’AUF et/ou l’INTIF. Par manque de sponsors pour financer les activités de l’INTIC4DEV, son fondateur crée en 2004 une entreprise commerciale de prestations de services informatiques (Ets OKtetS_Z) qui devient le sponsor officiel de l’INTIC4DEV (voir le logo de l’INTIC4DEV). Jusqu’à ce jour, les activités menées par l’INTIC4DEV sont financées par Ets OKtetS_Z. En novembre 2007, INTIC4DEV obtint son récépissé de déclaration d’Association (N° 1003/MAT-SG-DAPOC-DOCA) dont le but est de contribuer à la promotion des NTIC pour une meilleure intégration des pays du Tiers Monde dans la dynamique mondiale de la Société de l’Information. == La vision de l’INTIC4DEV == La vision actualisée de l’INTIC4DEV est de se transformer en un Groupement d’Intérêt Économique (GIE) dont le but est de mettre en place et gérer un Centre d’Excellence en NTIC qui mène des activités de formations aboutissant à des certifications mondialement reconnues spécifiquement dans le domaine des Logiciels Libres (FLOSS), de même que d’autres prestations de services en informatique basées sur le système GNU/Linux et les logiciels libres. == Étude de cas de l’INTIC4DEV == {| style="border-spacing:0;" | colspan="2" style="border:0.0069in solid #000000;padding:0.0382in;"| * '''Nom de l’entreprise''': Institut des Technonologes de l’Information et de la Communication Pour le Développement (INTIC4DEV) * '''Pays ''': Togo * '''Année de Création''': Démarrage officiel des activités : janvier 2004 * '''Site Web''': [ http://www.intic4dev.org ] (actuallement en reconstruction) * '''Services offerts''': Formations et consultances en logiciels libres |- | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:none;padding:0.0382in;"| '''Section 1: ''' '''Perspectives et Rapport d’Expérience ''' | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:0.0069in solid #000000;padding:0.0382in;"| '''Q1. Quand est-ce que votre entreprise a été fondée et combien de personnes a-t-elle embauchées ?''' L’INSTITUT DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION POUR LE DÉVELOPPEMENT (INTIC4DEV) a démarré officiellement ses activités en Janvier 2004 et emploie 4 personnes en plus du fondateur. '''Q2'''. Au cours de vos années d’exploitation, quels problèmes (par exemple obtenir le capital de démarrage, obtenir des crédits pour financer certains aspects de vos activités, construire une base de clientèle, embaucher les employés, trouver l’espace de bureau, obtenir les documents d’entreprise, etc.) avez-vous rencontrés ? ET les solutions possibles. 1°) des problèmes financiers pour acquérir le matériel informatique et les accessoires nécessaires. De même que pour louer un local en guise de bureau et payer régulièrement les employés (manque de fonds de démarrage et de budget de fonctionnement); 2°) les difficultés d’obtention des documents officiels de l’entreprise; 3°) une clientèle minoritaire ; 4°) la mobilité du personnel, difficulté à le retenir. Afin d’adresser le problème de manque de moyens pour financer les activités de l’INTIC4DEV, le promoteur principal a initié une autre société commerciale dénommée Ets OktetS_Z qui es devenu le sponsor officel de l’INTIC4DEV (voir le logo). Des relations personnelles avec des membres du gouvernement ont permis d’accélerer (à l’époque), l’obtention de l’autorisation officielle de l’NTICTIC4DEV, reconnue comme un organisme de ma société civile régie par la la Loi dite de 1901. '''Q3. En regardant d’autres compagnies (à l’intérieur et en dehors de votre pays) qui peuvent offrir des services similaires aux vôtres, que diriez-vous fonctionne bien pour votre entreprise ?''' L’INTIC4DEV est pionnière au Togo des formations en logiciels libres. Certes, il existe d’autres prestataires dans le pays et en dehors du pays qui proposent également des services similaires mais n’ayant pas spécialistes accrédités parmi leur personnel, ils sont obligés de louer nos services pour assumer leurs offres. La compétence et la proximité sont les qualités de l’INTIC4DEV. Nous sommes notamment leaders en formation d’administrateurs de systèmes et réseaux sous Linux et le seul représentatant pour le Togo et pour la sous-région (Afrique de l’Ouest) du produit USE IT LINUX SERVER de Prologue SA. '''Q4. Quel est votre conseil pour quelqu’un qui crée une entreprise autour de logiciels open source en Afrique en général et dans votre pays en particulier ?''' Il faut être expert dans son domaine et être capable d’expliquer aux clients et autre public comment les logiciels libres peuvent aider à lutter contre la pauvreté. Faire le plaidoyer en tout temps et à tout moment sur les multiples avantages de l’adoption des logiciels libres pour l’Afrique et son peuple. Ils doivent également impliquer leur clientèle dans les projets ou prestations qu’ils réalisent pour eux afin de rendre pérenne leur activité. |- | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:none;padding:0.0382in;"| '''Section 2: ''' '''Génération de Revenus ''' | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:0.0069in solid #000000;padding:0.0382in;"| '''Q5. Quels services (ex. formation, marketing, appui technique, hébergement et développement de logiciels, services de conseil, etc.) est-ce que votre société offre ?''' L’activité principale de l’INTIC4DEV est la formation dispensée sous forme d’ateliers ou de séminaires en vue de renforcer les capacités des étudiants, des techniciens et des ingénieurs du Togo en informatique et réseaux. Il y a aussi : Le support technique à une entreprise qui a choisis de migrer son système informatque sur une plate-forme libre. '''Q6. Lesquels des services en '''Q5''' génèrent plus de revenus pour votre société ?''' En 2009, l’INTIC4DEV a été sollicitée par une entreprise grossiste-répartatiteur de produits pharmaceutiques à apporter son concours dans la migration de leur système d’information d’un ancien et obsolète système d’exploitation à une distribution Linux de la société européenne PROLOGUE SA dénommée USE IT LINUX SERVER. Cette activité a permis à l’INTIC4DEV de générer en une année plus de revenus que trois années de formations uniquement. '''Q7. Quel est le chiffre d’affaires annuel pour chacun des secteurs de services ?''' À la fin de l’année 2009, le chiffre d’affaires réalisé par l’INTIC4DEV se répartit comme suit : Migration = 60% Trainings = 30% Autre activités de consultances = 10%. '''Q8. Quelles sont certaines des difficultés, le cas échéant, auxquelles vous devez faire face pour vous faire payer pour les services que vous offrez ?''' Les gens aiment étudier les logiciels libres sans payer de frais parce qu’ils pensent, pour la plupart, que logiciel libre rime avec logiciel gratuit. Ils hésitent pour payer leur formation et disparaissent parfois dans la nature après avoir participé à une formation. |- | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:none;padding:0.0382in;"| '''Section 3: ''' '''Ligne de Service et Motivation de logiciels libres et open source''' | style="border-top:none;border-bottom:0.0069in solid #000000;border-left:0.0069in solid #000000;border-right:0.0069in solid #000000;padding:0.0382in;"| '''Q9. Quelle est la motivation pour le choix de l’open source comme une affaire principale ?''' Notre motivation à l’INTIC4DEV est notre profonde conviction que les logiciels libres sont une solution majeure pour le développement de l’Afrique. Car, les logiciels libres offrent la possibilité au peuple africain de participer activement à l’élaboration du patrimoine universel plutôt que d’être de simples consommateurs de connaissances et de technologies exportés d’ailleurs. '''Q10. Développez-vous de nouveaux produits (logiciels et/ou matériels de formation) ou personnalisez-vous les solutions open source (logiciels sur mesure) pour répondre aux besoins de vos clients ?''' Notre contribution pour l’instant se limite à la traduction des matériaux de formation de la langue anglaise à la langue française. '''Q11. Quelles sont certaines des stratégies que vous utilisez pour commercialiser vos produits et services ?''' Nous utilisons très souvent la stratégie du ”bouche-à-oreille” pour vendre nos services parmi mes étudiants. Parfois, nous utilisons la publicité par la radio et les banderolles pour annoncer nos activités de formation. '''Q12. Qui sont vos clients les plus prolifiques et quel type de services demandent-ils le plus ?''' Nombreux de nos clients sont des étudiants des universités notamme,t ceux des filières informatique. Le plus souvent, ils cherchent à compléter leur formation en participant à des formation sur le thème ”Administration système et réseaux sous Linux”. '''Q13. Est-ce que vous transcrivez (traduire en langues locales) certains de vos produits ?''' Pas maintenant. Mis à part les traductions de documents sur les logiciels libres trouvés en ligne (sur Internet) que nous traduisons souvent en français qui est la langue officielle au Togo. '''Q14. Comment décririez-vous votre entreprise, "'''une société open source pure'''" qui développe, distribue et fournit des services autour de logiciels open source ou une “'''société hybride'''” qui développe, distribue et fournit des services autour de logiciels libres et open source et propriétaires ?''' L’INTIC4DEV a opté pour la promotion uniquement de Linux et des logiciels libres. Alors que son sponsor officiel Ets OKtetS_Z est hybride. Il offre des prestations de services sous Windows tout comme sous Linux. '''Q15. Quels sont certains de vos plans d’affaires pour les prochaines années en vue d’améliorer la position concurrentielle de votre entreprise ?''' INTIC4DEV a pour projet à moyen terme d’implémenter la certification LPI dans son programme et aussi de développer une plate-forme de formation en ”e-learning” tout comme ce que fait alison.com depuis l’Irlande. En effet, alison.com offre une variété de programmes de formations en ligne. |} [[Catégorie:Ict@innovation: Free your IT Business in Africa]] [[en:Ict@innovation: Free your IT Business in Africa/2-12]] sh5pnws25oe8wciyfqc2oiy59wixsr7 Histoire du clavier alphabétique/Clavier pour instrument à vent 0 59095 745187 684758 2025-06-21T20:41:41Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* La tierce et la quinte */Correction d'une faute de français 745187 wikitext text/x-wiki {{ébauche}} {{Histoire du clavier alphabétique}} ==Les orgues== [[Image:Maindroitestececile.jpg|320px|right]] Les premiers clavier étaient les claviers d'orgues. Ils sont plutôt anciens <ref>gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62765629/f37.image Titre : Nouveau manuel complet du facteur d'orgues, ou Traité théorique et pratique de l'art de construire les orgues.... Tome 1 / par M. Hamel... Auteur : Hamel, Marie-Pierre (1786-1879) Éditeur : Roret (Paris) Date d'édition : 1849 Sujet : Orgue -- Facture </ref>. On peut donc penser qu'ils ont inventé l'organisation des claviers des instruments à corde. L'orgue fut, semble-t-il, inventé à Alexandrie vers 250 avant JC. par le mécanicien Stésibius, sous le nom d'hydraulis, mais ce n'est pas pour autant qu'ils étaient munis de claviers tels que nous les connaissons. Les tuyaux des premiers orgues médiévaux sont encore actionnés à l'aide de tirettes, comme l'atteste le traité ''[[w:Schedula_diversarum_artium|De diversis artibus]]'' du moine Théophile (XI{{ème}} siècle). L'orgue aurait été introduit en France en 757, l'empereur grec Constantin Copronyme l'ayant fait parvenir eu roi Pépin. Les pédales auraient été inventées par l'organiste Bernard Murer En 951, l'orgue de winchester nécéssitaient70 hommes vigoureux pour le soufflet de l'orgue. Les touches étaient logues de six pouces et ne pouvaient être enfoncées qu'à coup de poing.<ref> page 46 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64205770/f68.image </ref>. Le premier clavier, d'après les découvertes archéologiques, était d'abord simplement constitué de petites lames de bois coulissantes, des languettes, qui obturaient le trou par lequel arrivait l'air. Il n'y avait qu'un seul tuyau par note, le clavier était diatonique et couvrait deux ou trois octaves. Quand le musicien tirait la languette, le tuyau parlait sans arrêt. Il fallait repousser la languette pour arrêter le son. On pense que l'idée de mettre des ressorts de rappel afin que la fermeture se fasse toute seule en lâchant la languette est également due à [[Ctésibios]]. Pendant un temps, les deux types de clavier ont coexisté : clavier avec touches à fermeture manuelle et clavier avec touches à fermeture automatique par ressort. Ces ressorts étaient en bois souple (roseau, bambou) ou en métal (bronze, laiton). Chaque clavier étant le reflet de la musique qui se joue à son époque, les premiers claviers ne comportaient que les notes simples de la [[échelle diatonique|gamme diatonique]], laquelle n'était constituée que de 6 notes correspondant à l'[[Polycorde#Hexacorde|hexacorde]] et commençait au fa et non au do comme nous en avons l'habitude aujourd'hui. Il faudra attendre le haut Moyen Âge pour voir apparaître progressivement les touches supplémentaires, à commencer par le si, absent de l'hexacorde. On sait que les premières altérations historiques sont le si bémol et le si bécarre rencontrés au IX{{e}} et employés couramment au XII{{e}}. Les deux notes portant le même nom de solmisation, on cherche à les différencier sur le clavier pour éviter qu'on les confonde. C'est ainsi que vont apparaître les feintes, touches de couleur, de position et de forme différentes que l'on va progressivement intercaler en retrait au-dessus et entre les touches diatoniques (que l'on appelle marches). L'invention du si bémol vient de ce que l'intervalle fa-si était jugé dissonant (quarte augmentée, le fameux « triton »). Aussi les chanteurs baissaient-ils naturellement le si en si♭ pour obtenir un intervalle jugé consonant, fa-si♭ donnant une quarte pure. C'est pourquoi pour accompagner le chanteur on ajouta au clavier de l'orgue primitif une touche supplémentaire, intercalée entre le la et le si. On lui donna le nom latin de ''« B mollis »'' (le si adouci), par opposition au ''« B quadratus »'' (le si dur), dénominations d'où proviennent les termes musicaux bémol et bécarre. Le mot « feinte », qui désigne les touches correspondant aux notes altérées, vient de [[musica ficta]] (musique feinte ou fausse). En effet, on avait recours aux notes "fausses" (c'est-à-dire situées en dehors de la [[gamme naturelle]]) à chaque fois que l'on voulait [[modulation (musique)|moduler]] (au sens premier : changer de [[mode (musique)|mode]]). C'est ainsi que progressivement on ajouta les feintes correspondant aux notes réellement chantées et qui permettaient de compléter les gammes des autres degrés. Après le si et le si bémol (qui attire le fa majeur et le ré mineur), on ajoutera le fa dièse (pour sol majeur) le mi bémol (pour la tonalité de si bémol majeur), le la bémol et le do dièse. Cette transition s'est faite progressivement et pas toujours dans cet ordre selon les besoins et les constructeurs, mais on sait qu'elle se situe approximativement entre le {{XIIe}} et le {{XIIIe}}. L'aboutissement de cette évolution se situe à la fin du {{XIIIe}} où, mis à part les variations dans la largeur des touches, le clavier se présente désormais sous la forme qu'on lui connaît, une octave étant constituée de 7 marches et 5 feintes, ce groupe se répétant à l'identique pour couvrir la tessiture voulue. Cependant, plus de trois siècles après cette tentative de normalisation, [[Michael Prætorius]] écrit en 1619 qu'il se trouve encore quelques orgues dont les claviers sont simplement diatoniques et ne présentent qu'une seule feinte, le si bémol. On sait aussi que l'orgue que touchait [[Jan Pieterszoon Sweelinck]] n'avait pas de ré dièse. Ainsi, les pièces qu'il écrit pour orgue, sauf quelques exceptions, n'utilisent jamais cette touche. Il faut également noter que sur certains claviers jusqu'à la fin de la période baroque, le premier do dièse est fréquemment absent car presque jamais utilisé à la basse dans un tempérament inégal. Sur des orgues, généralement de taille modeste et principalement en Italie dans la période baroque, on rencontre aussi l'[[octave courte]]. Les tuyaux les plus gros étant les plus chers, ce système ingénieux permettait d'économiser le coût de quelques notes graves peu utilisées. L'octave courte ne comportait que 6 ou 7 notes, conservant les notes diatoniques et sacrifiant les notes altérées. C'est probablement l'octave courte qui a favorisé la descente du clavier dans le grave, commençant au fa au Moyen Âge pour descendre au do et parfois au la dans la période baroque. ==L'orgue expressif et la genèse de l'accordéon== ===Musette=== En 1775, on appelle «Musette» un «instrument champêtre à vent & à anche, dont les flageolets reçoivent le vent d'une vessie, qui est un magasin d'air entretenu par un soufflet, ou par la bouche de celui qui en joue».<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5510881p/f688.image Titre : Mémoires de physique sur l'art de fabriquer le fer, d'en fondre & forger des canons d'artillerie ; sur l'histoire naturelle, et sur divers sujets particuliers de physique et d'économie,... par M. Grignon,... page 614 Auteur : Grignon, Pierre-Clément (1723-1784) Éditeur : Delalain (Paris) Date d'édition : 1775 Également connu en 1756, sans qu'il soit déjà fait mention d'une vessie gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1081750/f108.image </ref>. Musette était déjà un instrument de musique an 1549<ref> Le terme musette était déjà employé dans cet ouvrage pour désigner un instrument de musique : Titre : Les Illustrations de Gaule et singularitez de Troye, par maistre Jean Le Maire de Belges, avec la Couronne margaritique et plusieurs autres œuvres de luy. [Les trois Contes intitulez de Cupido et d'Atropos, dont le premier fut inventé par Séraphin, poète italien, et traduit par Jean Le Maire, le second et tiers de l'invention de maistre Jean Le Maire. Le Traicté de la différence des schismes et des conciles de l'Église. Le traicté nommé la Légende des Vénitiens.] Le tout reveu et fidèlement restitué par maistre Antoine Du Moulin,... Auteur : Lemaire de Belges, Jean (1473-1524?) Éditeur : J. de Tournes (Lyon) Date d'édition : 1549 catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30784362k </ref>. L'action de les remplir était était alors dénommée ''enfler''<ref> Par exemple dans le vers lyrique : «Qui enflent leurs dousses musettes» gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54497891/f139.image Titre : Les œuvres poétiques de Jacques Peletier du Mans Auteur : Peletier, Jacques (1517-1583) Éditeur : impr. de M. de Vascosan, pour luy et G. Corrozet (Paris) Date d'édition : 1547 </ref> Déjà en 1826/1827, la musette était un instrument sur lequel on dansait<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k117352r/f247.image Titre : Le Spectateur ["puis" Spectateur (Le) des tribunaux]. Journal des cours et tribunaux Éditeur : [s.n.?] (Paris) Date d'édition : 1826-1827 </ref>. ===L'anche libre=== Si l'anche libre n'est pas directement liée au clavier, l'accordéon et son clavier n'aurait pas existé sans l'anche libre. Il convient donc d'en dire quelques mots: L'anche libre est une languette en métal mise en vibration par l'air. L'idée de l'anche libre à été fournie à Grenié par Pierre Bédos, dans ''«l'Art du facteur d'orgues»''. En 1796, l'abbé Vogler avait installé un jeu d'anches libres dansun orgue. En 1800, l'Appolinion a été construit en Allemagne, en utilisant notamment des anches libres. L'anche libre a également été utilisée par Ruchwirtz, Stockholm 1798, Sanes, Pragues 1803, Keber, Vienne 1805. Elle était également utilisée dans le ''chenk'' chinois <ref> Titre : Dictionnaire encyclopédique et biographique de l'industrie et des arts industriels.... 1, A-B / par E.-O. Lami et A. Tharel,... Auteur : Lami, Eugène-Oscar (1839-19..) Auteur : Tharel, Alfred Éditeur : Lami, Tharel et Cie (Paris) Date d'édition : 1881-1891 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39779z/f172.image </ref>. De ce fait, l'anche libre a également été connue sous le nom d'anche de Grenié<ref> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55052362/f158.image Titre : Cours élémentaire de physique : à l'usage des écoles professionnelles, des écoles normales et des aspirants aux baccalauréats / par Am. Jacquet,... Auteur : Jacquet, Amable Éditeur : A. Boyer (Paris) page 150 </ref> En 1805, il existe en France un harmonica matellica supérieur à l'harmonica fait de cloches de verre<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6423254w/f230.image Titre : Panorama de Paris et de ses environs, ou Paris vu dans son ensemble et dans ses détails. Tome 2 / ; son origine, la description de ses monuments, avec l'indication des jours ou le public y est admis ; l'état de son industrie, de son commerce, des arts et manufactures qu'il renferme. Le tout enrichi de notes curieuses et historiques. Tome premier [-second]. Auteur : Brayer de Beauregard, Jean-Baptiste-Louis (1770-1834) Éditeur : À Paris, chez Ant. Bailleul, imprimeur-libraire, rue Neuve-Grange-Batelière, hôtel de Choiseul, n° 3. Latour, libraire, palais du Tribunat, galeries de bois, n°. 189. Et Renard, libraire, rues Caumartin, n°. 750, et de l'Université, n°. 922. An XIII.-1805. Date d'édition : 1805 </ref> ===La tierce et la quinte=== Vu la disposition des touches de l'accordéon, un auteur ne peut s'empêcher de rappeler qu'un aubergiste de Bade a inventé le muth harmonika, un instrument à bouche (par opposition aux harmonica qui étaient constitués de cloches en verre <ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62208623/f36.image gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6319474p/f44.image </ref>) capable de jouer trois notes: la tonique, la tierce et la quinte. Ceci conduisit, par perfectionnement, Candide Buffet à créer l'accordéon en 1827. Pour pallier la monotonie du son, Martin de Provins inventa la percussion de l'anche. <ref> Titre : Dictionnaire encyclopédique et biographique de l'industrie et des arts industriels.... 1, A-B / par E.-O. Lami et A. Tharel,... Auteur : Lami, Eugène-Oscar (1839-19..) Auteur : Tharel, Alfred Éditeur : Lami, Tharel et Cie (Paris) Date d'édition : 1881-1891 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39779z/f172.image </ref>. ===L'orgue expressif=== Les premiers essais d'orgues expressifs datent de 1810<ref> Titre : Annuaire musical. - Institut - Conservatoires - Théâtres lyriques... Éditeur : [s.n.?] (Paris) Date d'édition : 18?? gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6323032c/f177.image </ref>. Plus tard, une adaptation au piano conduit la maison Alexandre a commercialisa également un orgue à 100 francs portatif<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6323032c/f178.image</ref>. Un certain nombre d'instruments semblent être des dérivés de l'orgue expressif. * En 1818 l'autrichien [[:de:Anton Haeckl|Anton Haeckl]] construit le premier [[:de:Physharmonika|physharmonica]], instrument à anches libres clavier et à soufflet manuel. Un brevet lui a été accordé le 8 avril 1821. Dans le journal [[:de:Allgemeine Musikalische Zeitung|«Allgemeine Zeitung Musikalische»]] du 14 avril 1821, la publicité du physharmonica dit entre autres: {{citation|Le maître fait aussi des versions très petites qui reposent confortablement sur le bras gauche, et dont on joue de la main droite.}} Cet élément est primordial. pour l'avenir. * On parle également de l'existence d'un ''Æolos-clavier'' en 1820, inventé par un dénommé Schortmann de Buttelstardt<ref> Titre : Dictionnaire de musique théorique et historique (5e édition) / par les frères Escudier ; avec une préface de M. F. Halévy Auteur : Escudier, Marie (1819-1880) Auteur : Escudier, Léon (1821-1881) Éditeur : E. Dentu (Paris) Date d'édition : 1872 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54367195/f61.image </ref> *En 1827, ou avant, Mr Dietz invente/commercialise l'Aerephone, un petit instrument à vent que l'on eut placer à côté du piano, pour jouer de la main droite<ref> En français: gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k69764j/f544.image En anglais: books.google.fr/books?id=IwYVAAAAQAAJ </ref>. * En 1822, selon les dire de son petit-fils, Buschmann monte un soufflet sur son « aura » qui devient « handaeoline », l'éoline à main. Notons également qu'en 1828, de nombreux brevets sont déposés sur des nouveaux procédés de fabrication de bouton de diverses formes et de diverses matières. Les premiers accordéons ne disposaient d'un clavier que de quelques touches et était essentiellement considérés comme des joujoux<ref> Titre : Nouveau manuel complet du facteur d'orgues, ou Traité théorique et pratique de l'art de construire les orgues.... Tome 1 / par M. Hamel... Auteur : Hamel, Marie-Pierre (1786-1879) Éditeur : Roret (Paris) Date d'édition : 1849 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62765629/f60.image </ref>. ==Accordion == Le 11 mai 1829 à 17 h 30 est accordé un brevet dont le nom de l'invention, « accordion », sert pour la première fois à désigner un instrument à anche libre et à soufflet. [[Cyrill Demian]], facteur de piano et orgues à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] ([[Autriche]]), fabrique un instrument dans la veine de Buschmann et Haeckl, dont il veut déposer le brevet sous le nom d'« Aeolina ». Ce nom étant déjà pris par un modèle Buschmann, ce nouvel instrument étant, contrairement à ses prédécesseurs, voué à l'accompagnement et en ce sens n'émettant que des accords, c'est naturellement que Demian déposa son brevet sous le nom d'« Accordion », muni d'un soufflet manié par la main gauche, la main droite se réservant un clavier dont chacune des 5 touches émet un accord, différend en tirant ou en poussant. L'accordéon est arrivé d'Allemagne en France vers 1830 <ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6558716j/f190.image Titre : L'Art du XIXe siècle (Paris) Titre : L'Art du XIXe siècle : revue mensuelle. Beaux-arts appliqués à l'industrie, romans, chroniques Éditeur : [s.n.] (Paris) Date d'édition : 1856-1860 Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/cb32702502d/date Identifiant : ISSN 1270637X Source : Ville de Paris / Bibliothèque Forney, 2013-313217 Relation : catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32702502d </ref>. En 1830, ou avant, un dénommé Mac Kewan de Philadelphie a également indiqué avoir inventé un instrument musical dénommé accordion<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6152696d/f15.image </ref>. En France, en 1830, Marie Candide Buffet positionne un clavier mélodique en main droite à la place des accords. Demian invente, vers 1834, la combinaison d’un deuxième clavier pour les accords, et d’un premier pour la mélodie. Toutefois, les premiers accordéons n'auraient pas permis de jouer les demi-tons, ce qui aurait interdit de jouer es mélodies<ref> /gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58136006/f35.image Page 28 Titre : Dictionnaire universel des connaissances humaines.... Tome 1 / sous la direction de B. Lunel,... Éditeur : Lacroix-Comon (Paris) Éditeur : [puis] Magiaty (Paris) Date d'édition : 1857-1859 Contributeur : Lunel, Adolphe Benestor (1822-1864). Directeur de publication </ref> En 1834 également, Uhlig a l'idée de répartir les boutons sur les deux mains, en offrant un accordéon de dix boutons sur une simple rangée<ref> page 6, The Anglo-German Concertina: A Social History, Volume 1 books.google.fr/books?id=1-thWE5XRmsC&pg=PR2&dq=concertina+volume1&hl=fr&sa=X&ei=V0DyU-jvGsWb1AXVoIGYDw&ved=0CCwQ6AEwAA#v=onepage&q=concertina%20volume1&f=false </ref> <ref>publicité du 19 juillet 1834 dans le Chemnitzer Antzieger </ref> Uhlig a également été le premier producteur à la foire internationale de Leipzig<ref>The Anglo-German Concertina: A Social History, Volume 1</ref>. La disposition sur deux rangées en quinte sur les concertina est restée un standard inchangé jusqu'à ce jour. I a également été repris parla suite sur les concertinas à trois rangées. À ce sujet, en 1856, Berlioz prétend que sur les concertinas allemandes, le nombre de touches varie en fonction du bon vouloir des facteurs d'instruments <ref> Le chef d’orchestre : Les nouveaux instruments : Supplément du grand traité d ... Par Hector Berlioz,J. C. Grünbaum (publié en 1856, par la revue et Gazette musicale e Paris, d'après la Revue de musique ancienne et moderne gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k123760q/f132.image ) </ref>. ==1837: Le mélophone== En 1837, Leclerc, un horloger de Paris invente le mélophone, un instrument à forme de guitare. Le souffle est introduit dans le mélophone par un archer tenu à main droite, tandis qu'un clavier de 5×12 boutons est touché de la main gauche. La matrice de touches est incrémenté de quinte en quinte dans un sens et de demi-ton en demi-ton d'ans l'autre sens.<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64205770/f234.image page 212 Titre : Les Musées d'Italie, guide et mémento de l'artiste et du voyageur, précédé d'une Dissertation sur les origines traditionnelles de la peinture moderne, par Louis Viardot Auteur : Viardot, Louis (1800-1883) Éditeur : L. Maison (Paris) Date d'édition : 1855 </ref> ==1837: l'harmoniphone== L'harmoniphone est une boite rectangulaire de 38 centimètres sur quatorze et doté d'un clavier semblable au clavier d'un piano. L'air est introduit par la bouche, tandis que les touches activent des soupapes<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64205770/f234.image page 213 Titre : Les Musées d'Italie, guide et mémento de l'artiste et du voyageur, précédé d'une Dissertation sur les origines traditionnelles de la peinture moderne, par Louis Viardot Auteur : Viardot, Louis (1800-1883) Éditeur : L. Maison (Paris) Date d'édition : 1855 </ref> ==1837: Suppression des tierces== Vers 1837, monsieur Ioart transforma l'accordéon qui avait depuis un certain temps, un certain succès à Vienne. Jusque là, il était organisé avec les notes de la gamme, ut, ré, mi, fa sol, la, et pour chacune leur tierces diatoniques. Cette possibilité de faire des accords lui avait valu le nom d'accordéon. Monsieur Isoart perfectionnant l'instrument, en ne donnant qu'un seul son à chaque touche, et en supprimant les tierces, et en ajoutant l'accord parfait<ref> Titre : Dictionnaire universel des connaissances humaines.... Tome 8 / sous la direction de B. Lunel,... Éditeur : Lacroix-Comon (Paris) Éditeur : [puis] Magiaty (Paris) Date d'édition : 1857-1859 Contributeur : Lunel, Adolphe Benestor (1822-1864). Directeur de publication gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5813598k/f260.image </ref>. ==de 1837 à 1845== Entre 1837 et 1840, le premier ouvrage pour apprendre à jouer d'un accordéon de vingt touches est publié par Höselbarth<ref> The Anglo-German Concertina: A Social History, Volume 1 </ref> <ref> Anweifung das Accordion zu spielen (disponible on line)</ref> En 1841 Louis Léon Douce dépose un brevet pour son « accordéon harmonieux », instrument unisonore. En 1842, Debain améliora le son des anches en le rendant moins dur et moins criard, en enfermant les anches dans des cases dont la taille et la matière étaient propres à donner une meilleure sonorité (harmonium)<ref>gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39779z/f172.image</ref>. ==1839== En 1839, un instrument dit concertina est breveté par le facteur Alexandre<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6357351t/f410.image </ref>. ==1840== En 1840, l'organino est breveté parLegris (Alexandre) de Paris. ==1845== En 1845, on écrit déjà de l'accordéon qu'il et composé d'un mécanisme de touches sur chacune des deux faces, et que grâce aux derniers perfectionnement, il couvre une étendue de «trois octaves et demie chromatiquement»<ref> gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6271002r/f288.image Titre : Encyclopédie populaire : répertoire des connaissances humaines à la portée de toutes les classes. Tome 1 / par une société de savants, de littérateurs... sous la direction de Aug. Savagner Éditeur : F. Prévost (Paris) Date d'édition : 1845 Contributeur : Savagner, Auguste (1808-1849). Directeur de publication </ref>. La même année, le journal littéraire La Sylphide fait la publicité des orgues expressifs, dits harmonium et accordéons accueillis à l'exposition, doté d'un clavier perfectionné de la fabrique de Laurencin<ref> La Sylphide (Paris. 1840) http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61096610/f466.image </ref> ==Exposition de 1851 à Londres== Lors de l'exposition de Londres en 1851, différents accordéons sont exposés, dotés de claviers dotées de une, deux, ou trois rangées de touches. ==Accordéon à clavier piano== En 1852 des perfectionnements interviennent sur cet instrument<ref> Brevet de Leterme, fabriquant d'accordéons à Paris, rue du Temple. Brevet 15051 de Busson, fabriquant d'accordéons à Paris. Perfectionnement dans la fabrication des accordéons, par Alexandre père, fabricant d'orgues et d'accordéons à Paris, rue Meslay. </ref>. Mais, cette même année, Philippe-Joseph Bouton conçoit l’instrument avec un clavier piano à la main droite<ref> Brevet 14486 du 20 octobre 1852: Instrument de musique dit accordéon-piano Brevet de 15 ans pris le 16 septembre 1852 par Bouton, facteur de pianos, rue de sèvres, n 98, à Vaugirard (département de la Seine). {{ouvrage| titre= Catalogue des brevets d'invention d'importation et de perfectionnement |Identifiant = ark:/12148/cb32737985v/date |Source = Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-26717 |Relation = http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32737985v }} </ref> [[:w:Piano-Accordion.jpg]] [[File:Piano-Accordion.jpg|thumbnail|right|250px|Un accordéon piano moderne]] Un '''accordéon piano''' est un [[accordéon]] doté d'un [[Clavier (orgue)|clavier]] droit tel celui d'un clavier de [[piano]] ou d'[[orgue]]. Le mécanisme et le mode de fonctionnement de la main-droite se rapprochent plus d'un doigté pour [[orgue]] qu'au [[piano]], puisque tous deux des [[Instrument à vent|instruments à vents]], on doit le terme « accordéon-piano » à [[Guido Deiro]] vers 1910<ref>Henry Doktorski, The Brothers Deiro and Their Accordions (The Classical Free-Reed, Inc.: 2005)</ref>— et en est l'appellation populaire. Quant à lui le registre de main-gauche, peut être équipé de tous les types de nomenclatures possible. Par rapport au clavier de piano, les touches sont plus arrondies, plus petites et plus légères au toucher (la pression requise pour enfoncer est moindre qu'une touche de piano.) Celles-ci sont placées à la verticale sur le côté, tournées vers le centre et les 'jeux', les rendant toutes accessibles d'une seule main lorsqu'on manipule l'accordéon<ref group="notes">Du [[feutre]] ou du [[caoutchouc (matériau)|caoutchouc]] est placé sous les touches du clavier piano pour déterminer la touche et empêcher le bruit : aussi placé sur les palettes pour empêcher les notes non enfoncées en restreignant le mouvement de l'air. Bien évidemment, ces matériaux viennent à s'user, ce qui créée un claquement caractéristique, et doivent être remplacés pour réduire ces bruits parasites.</ref>. Le premier accordéon à offrir un clavier-piano fut probablement introduit en 1852 par Bouton de Paris<ref> Joseph Macerollo, ''Accordion Resource Manual'', Avondale Press (1980), 17.</ref>. D'autre sources clament que le premier accordéon-piano fut fabriqué en 1854 par ''Allgemeine Deutsche Industrieausstellung'' à [[Munich]] et présenté par le luthier Mattäus Bauer. L''''accordéon-piano''' devint rapidement un compétiteur à l'accordéon-diatonique<ref>Bjarne Glenstrup, ''Harmonikaens Historie'' (1972), The University of Copenhagen (Faculty of Music), p. 41</ref>. Aux États-Unis, l'accordéon-piano connu une forte popularité entre 1900-1930, il doit sa grande popularité, en partie à cause de sa large distribution, mais aussi a l'arrangement des claviers qui facilitait l'enseignement pour de nombreux immigrants européens. L'image du clavier de l'accordéon-piano fut aussi propulsé par la popularité de l'artiste de vaudeville [[Guido Deiro]] et son frère [[Pietro Deiro|Pietro]] qui se produisirent sur scène, dans de nombreux enregistrements et à la radio. Les contemporains des Deiro, s'inspirèrent de leur succès, au point où un jour le joueur [[Pietro Frosini]] dissimula les touches du clavier de son accordéon chromatique, de façon à ressembler à celui de l'accordéon-piano, afin de ne pas paraître trop ''vieux-jeu.''<ref>"Looks Like a Cash Register and Sounds Worse" The Deiro Brothers and the Rise of the Piano Accordion in American Culture 1908-1930 By Peter C. Muir www.guidodeiro.com/cashregister.html</ref> (voir [[Accordion music genres]]) En 1972, l'accordéon-piano dominait les continents anglo-saxons, l'[[Amérique du Nord]], l'[[Écosse]], ainsi que certains pays d'[[Europe de l'Est]]. D'autres systèmes de touches se retrouvent quant à eux en [[Scandinavie]], [[France]], [[Belgique]] et les pays de l'ex-[[Union soviétique]]<ref>Bjarne Glenstrup, ''Harmonikaens Historie'' (1972), The University of Copenhagen (Faculty of Music), p. 42</ref>. L'accordéon-piano est aussi prédominant en [[Italie]], [[Nouvelle-Zélande]] et l'[[Australie]]. En comparaison de l'[[accordéon chromatique]] layout<ref name="pianovschromatic">Dan Lindgren, Accordéon-piano vs. Accordéon chromatique à bouton [home.swipnet.se/nydana/accordiontest.pdf Online PDF]</ref>, montre certains avantages de l'utilisation des touches piano, un choix logique et simple<ref group="notes"> Puisque chaque touche correspond à une seule note, et ne présente pas de doigtés alternatifs. </ref>, la taille des touches permet des ''legato'', et sa disposition comparativement aux autres systèmes de clavier<ref group="notes"> Avec un accordéon-piano, il n'y a aucun besoin de transposer la mélodie vers une partition de piano, orgue ou clavecin.</ref>. Cependant, sa gamme est plus courte, rendant difficile de rejoindre des notes éloignées, par exemple lorsque deux octaves séparent deux notes successives d'une partition, car ceci se traduit par un plus grand déplacement des doigts sur le clavier. === Notes === <references group="notes" /> === Références === {{Références}} === Liens externes === * [www.dmoz.org/World/Fran%c3%a7ais/Arts/Musique/Instruments/Instruments_traditionnels/Accord%c3%a9on/ Catégorie accordéon sur DMOZ] ==Clavier moderne== En Autriche, le Schrammelharmonika, qui sera le premier instrument avec le clavier main droite moderne qui va inspirer les italiens. Le terme de Schrammelharmonika est éventuelement lié à la famille de musicien Schrammel: Au décès de Georg Dänzer en 1890, [[Anton Ernst]], un cousin de la femme de Johann Schrammel pris la suite. Ernst était le premier joueur d'accordéon Schrammel, qui a aussi arrangé la musique pour le quartet et écrit un totorialpour cet instrument. En un très court temps, cet assortiment de deux violins, accordion, et contraguitar a été connu sous le nom de "Schrammelquartett", et leur musique [[Schrammelmusik]]. [[Image:ButtonAccordeon.jpg|thumb|right|300px|A button accordion.]] [[Image:C-Griff.svg|150px|thumb|left|Chromatic button system (C system)]] [[Image:B-Griff.svg|150px|thumb|left|Chromatic button system (type system)]] Sur les claviers modernes, les boutons sont disposés en quinconce. Un accordéon chromatique est un accordéon à boutons ou les boutons du côté droits sont ordonnés selon une arrangement chromatique. Il ont entre trois et cinq parfois six rangées diagonales . Chaque rangée peut jour les notes chromatiques successives. Les accordéons chromatiques sont surtout populaires en Europe. En Russie en particulier, cet instrument est appelé un « bayan » (''баян''). Bien sur, le nombre de notes est plus élevé sur un accordéon à boutons. ==Mélodion== (Instrument à cordes) Le mélodion est une invention e Monsieur Dietz. Il est doté d'un clavier de piano forté de petite dimension qui couvre cinq octaves et demie <ref> Voir l'article Mélodio dans:le Dictionnaire des inventions et découvertes anciennes et modernes, dans les sciences, les arts et l'industrie.... Tome 2 / recueillis et mis en ordre par M. le marquis de Jouffroy ; publié par l'abbé Migne,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6338674m/f206.image </ref>. ==Concertina== [[Fichier:Anglo-concertina-40button.jpg|thumb|Anglo concertina Bastari]] Un '''concertina''' (anglo-concertina<ref> The Anglo-German Concertina: A Social History, Volume 1 </ref>) est un [[instrument de musique]] de la famille des [[instrument à vent|instruments à vent]] à [[Instrument à anche libre|anches libres]] et à clavier, comme l'[[accordéon]]. Il a été inventé en 1829 par Sir [[Charles Wheatstone]], qui en a breveté une version améliorée en [[1844]]. Les concertinas ont des boutons disposés aux deux bouts du soufflet et se distinguent des accordéons par la direction de pression des boutons : identique à celle du soufflet pour les concertinas, perpendiculaire pour les accordéons. Les concertinas tels qu'inventés par le professeur Wheatstone FRS ont 14 touches par octave <ref> Royal socity of London 22 décembre 1864. gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k561074/f113.image gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k561074/f438.image </ref>. Le terme « ''concertina'' » désigne une famille d'instruments construits selon différents modèles, se différenciant par les tons et les gammes disponibles, la disposition des boutons, la taille, la forme, la tenue de l'instrument et surtout la sonorité : * les instruments dits « bi-sonore » produisent une note différente selon qu'on pousse ou que l'on tire. * les instruments « mono-sonore » produisent la même note au poussé et au tiré. * les instruments à « action-simple » produisent du son seulement dans une direction du soufflet (habituellement seulement des instruments de basse) * les instruments à « action-double » produisent des sons au poussé et au tiré du soufflet Un joueur habitué à l'un des systèmes sera probablement désorienté sur un autre système. Bien que relativement ancien et répandu, le concertina est sujet à des expériences modernes (telles les gammes chromatiques offrant plus de 12 écarts par octave, ou encore des instruments dont la hauteur peut être modifiée par le musicien). Les systèmes présentés sont les plus fréquents mais leurs types ne sont ni exhaustifs ni définitifs. Les arrangements des concertina anglaises sont critiquées par Berlioz. En effet, selon lui, ces arrangements sont fait par des acousticiens qui n'entendent pas les nuances de la musique qu'une oreille avertie perçoit<ref> Le chef d’orchestre: Les nouveaux instruments : Supplément du grand traité d ... Par Hector Berlioz,J. C. Grünbaum</ref>. ==Évolutions ultérieures== En 1863, d'après la chambre de commerce, le commerce des accordéons atteignait le chiffre de 1,284,703 francs, (contre 11 millions pour les pianos), sur 22 millions de francs tous instruments confondus. L'ensemble des instruments faisait alors vivre 358 facteurs et 4,739 ouvriers.<ref> page 733 Titre : Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 9 H-K / par M. Pierre Larousse Auteur : Larousse, Pierre (1817-1875) Éditeur : Administration du grand Dictionnaire universel (Paris) Date d'édition : 1866-1877 gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2053614/f737.image </ref>. En Italie, en 1863, [[:de:Paolo Soprani|Paolo Soprani]] fonde la première industrie du ''fisarmonica'' à [[Castelfidardo]], ville considérée comme l'un des berceaux de l'accordéon moderne (ainsi que [[Stradella (Lombardie)|Stradella]], dans la province de [[Pavie]]). Castelfidardo héberge, à ce propos, un musée international de l'accordéon et, chaque année, un concours international est organisé dans la ville. Le terme de fisarmonica est très important car Paolo Soprani ne va pas fabriquer des accordéons, mais des physharmonika, fisarmonica. Cette distinction n'est pas anodine, car en 1861 le Maître de chapelle de Loréto ( à proximité de Castelfidardo) expose un instrument décrit comme:" accordéon par la forme, mais véritable fisarmonica". À l'époque le fisarmonica et l'accordéon sont deux choses différentes en Italie). C'est l'origine de l'industrie italienne. La première génération d'instruments encore usités apparaît sur la fin du {{s-|XIX|e}}. Mais jusqu'à nos jours, les modèles n'ont cessé de se perfectionner, d'évoluer, de se spécialiser selon les styles, selon les coutumes, selon les traditions culturelles ayant accueilli l'une ou l'autre forme de l'instrument à anche libre et à soufflet manuel. Entre 1880 et 1883, les traités de commerce sont renégociés, ce qui conduisit au changement de tarif (nouveau et ancien tarif général, nouveau tarif conventionnel), ainsi, les tarifs des accordéons et concertinos passent de 3 francs 74 pièce à 1 franc, contre 10% <ref> par exemple le traité avec la Suisse le 11 mai 1882 page 416, pour les explications sur les traités et les tarifs page 424, pour les tarifs des différents instruments de musique </ref> ==Notes== afrpdbumfe0megmv9vblfc6pw3hnp34 La ville opportunités ou menaces pour la faune nocturne ? 0 60412 745188 676720 2025-06-21T20:50:00Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Pollution sonore */Correction usage du verbe pallier 745188 wikitext text/x-wiki {{étiquette progression|nouveau}} == Éléments de définition == La population vivant en ville s'accroît d'année en année, conduisant au phénomène d''''étalement urbain'''. Celui-ci exprime la migration de la population depuis les milieux urbains vers des zones périphériques de moindre densité de population, se traduisant ainsi par l’expansion de ces zones (Squires, 2002). Le '''milieu urbain''' est défini quant à lui comme un lieu de regroupement de la population dont les activités sont autres qu’agricoles. Il est fonction de la taille et la densité de population, les organisations économiques et sociales qu’elle induit, ainsi que l’aire concernée et la transformation de l’environnement originel en des constructions et infrastructures (Weeks, 2010). La ville peut être considérée aujourd'hui comme un nouveau milieu pour la faune et la flore. Tandis que la préservation de la biodiversité est mise en avant dans toutes démarches réalisées par les villes, l'attention portée à la faune nocturne commence progressivement à s'accroitre. La '''faune nocturne''' se différencie des espèces diurnes par son rythme biologique. Elle est, à l'inverse de ces espèces, en activité au cours de la nuit et au repos le jour. Elle profite de ces conditions pour se déplacer, se reproduire, ou encore s’alimenter, soit en utilisant l’obscurité pour ne pas être repérée de ses prédateurs, ou alors dans le but justement de chasser (Davies et al., 2012). == Impacts positifs et négatifs sur la faune nocturne == === Pollution sonore === Les infrastructures de transport en milieu urbain sont particulièrement bruyantes. Cela peut s’expliquer par la configuration de l’aménagement urbain et la présence de constructions verticales, ne faisant qu’amplifier les sons. Dès lors, le bruit produit par les routes est réverbéré sur les surfaces, augmentant ainsi son intensité initiale. Dans le cas présent, le bruit correspond à une nuisance sonore qui implique une certaine gêne sur les êtres vivants exposés. Cette nuisance peut être qualifiée également de [[w:Pollution_sonore|pollution sonore]]. Cette pollution causée par l'homme fait partie de l’un des nombreux facteurs qui contribuent à l'appauvrissement de la faune en ville. On relève plusieurs effets de cette pollution, tels que le masquage des signaux sonores (chant, cris, etc.), des modifications de comportement (abandon du territoire, diminution de la reproduction, etc.) ainsi que des répercussions physiologiques (stress, augmentation du rythme cardiaque et de la respiration). Les signaux sonores sont employés par de nombreux animaux de manière à communiquer entre eux, pour se reconnaître, se reproduire, s’orienter ou se protéger. Bernard Krause indique que chaque espèce a une « niche sonore » qui lui est propre (Krause, 1993). Ainsi, les chauves-souris peuvent percevoir les sons de 100 kHz, ce qui n'est pas le cas d’autres animaux. De plus, pour que la communication entre les individus soit efficace, les sons doivent se propager dans l'environnement entre l'émetteur et le récepteur ; or, les sons produits par les activités humaines en milieu urbain viennent interférer avec ceux émis par les animaux. C’est le cas par exemple des anoures, qui émettent des sons de 200 à 4 000 Hz contre 1 000 à 40 000 Hz pour le bruit des voitures (Thirion et al., 2010). Les chauves-souris, qui utilisent des ultrasons pour se nourrir, sont aussi concernées : les ondes ultrasonores sont réfléchies par l’insecte puis sont captées par l’oreille de la chauve-souris. Il lui est ainsi possible de déterminer la distance qui la sépare d’un obstacle ou d’une proie. Les chauves-souris utilisent également leur système d’écholocation pour se déplacer dans le noir total. À cause de la pollution sonore, ces ondes se propagent moins bien mais sont surtout mal réfléchies. Tout cela entraîne une perte des repères, ainsi qu’une sous-alimentation. Les modifications du comportement varient considérablement entre les espèces et les caractéristiques du bruit. Le bruit des autoroutes engendre par exemple une mauvaise répartition des oiseaux nicheurs. Dans le même raisonnement, le bruit du trafic routier affecte les oiseaux dans l’utilisation de leur territoire et perturbe l’activité de chasse de certains rapaces et des chauves-souris. Toutefois, il semblerait que plusieurs espèces aient évolué en adaptant leurs manières de communiquer (Brumm & Slabbekkorn, 2005). En effet, certaines espèces ont augmenté l’intensité de leur chant pour pallier les bruits ambiants. Comme l’illustre l’étude réalisée par Sun et Narins (2005), l’espèce ''Rana taipehensis'' a su modifier l’intensité de son chant en réponse aux interférences acoustiques. C’est le cas également des oiseaux : un mâle faiblement affecté par le bruit ambiant émettra un chant à environ 77 décibels (A), mais le même oiseau situé dans un milieu urbain bruyant devra chanter à plus de 91 dB(A) pour se faire entendre par ses congénères. Il y a une différence de 14 décibels entre les deux chants mais compte tenu de l’échelle logarithmique de la puissance sonore, cela correspond à une puissance quintuplée (Brumm, 2004). Ces adaptations ne sont pas sans conséquences. En élevant l’intensité de son chant, l’oiseau consomme plus d’énergie. Il doit donc par la suite prendre plus de temps pour la recherche de nourriture afin de compenser les pertes d’énergie. Par exemple, une hausse de 16 dB(A) dans le chant correspond à une augmentation de consommation d’oxygène de 16 % chez ''Sturnus vulgaris'' (Brumm, 2004). D’autres espèces, quant à elles, changent la fréquence de leur chant, comme le montre l’étude sur les criquets mélodieux ''Chorthippus biguttulus''. Celle-ci compare le chant des mâles de populations vivants près des routes à celui d’autres en espaces exemptes de fortes pollutions sonores anthropiques. Les chercheurs ont étudié plus de 1 000 chants et ainsi observé que les stridulations des criquets du bord des routes ont été modifiées, avec des basses fréquences plus fortes. Cette adaptation permettrait la perception du chant par la femelle et ainsi de passer outre le bruit de la route. Néanmoins, les scientifiques ont mis en évidence de nombreux risques comme la non reconnaissance du mâle par la femelle, ou encore la remise en question de leur capacité reproductrice. L’adaptation semble d’autant plus forte que la coexistence de la population avec le bruit routier est grande (Lampe et al., 2012; Paiges et al., 2006). Certaines espèces ont, quant à elles, changé leur période d’émission de signaux. C’est le cas par exemple de certains oiseaux qui chantent désormais durant les moments les plus calmes de la journée. Ces changements engendrent malgré tout un stress pour l’oiseau. Plusieurs espèces ont su trouver des solutions pour remédier aux problèmes de perception de leurs signaux. Cependant, toutes ne possèdent pas cette faculté. De nombreuses études montrent que le nombre d’espèces et le nombre d’individus en ville déclinent à cause de l’augmentation du bruit causé par le trafic routier (Reijnen et al., 1997; Weiserbs & Jacob, 2001; Forman et al., 2002). === Pollution lumineuse === [[Image:Wtc-2004-memorial.jpg|thumb|right|Canons à lumière érigés en 2004 en mémoire des [[attentats du 11 septembre 2001]]. Des milliers d'oiseaux ont été attirés par le double faisceau et tournoyaient dans la lumière.]] [[Image:Empire State Building Night.jpg|thumb|Le ciel nocturne de New York photographié en temps de pose rallongé. Ce ciel est connu pour être d'autant plus orangé que l'air est humide et pollué.]] [[Image:Sydney night 7.jpg|thumb|Principales sources de pollution lumineuse : l'éclairage de ville de nuit, en particulier les lampadaires omnidirectionnels (éclairage jaune sodium à droite de l'image), l'éclairage décoratif des très grands édifices, et le reflet de ces éclairages sur l'eau (photographie prise à [[Sydney]] en janvier 2007).]] [[Image:Laveaux Place de l'Opéra.jpg|thumb|L'éclairage nocturne urbain est installé à Paris à partir de la fin du {{s-|XVII|e}}. Cette peinture de [[Ludwik de Laveaux]] représente la place du [[Palais Garnier]] en 1892 où sont visibles des éclairages permanents à [[bec de gaz]].]] [[Image:20050124 Vitkovice blast furnace.jpg|thumb|Au {{s-|XX|e}}, les zones industrielles et charbonnières (ici en [[Tchéquie]] avec les [[Hauts-fourneaux]] des [[aciérie]]s dans la zone minière et industrielle de Vitkovice/Ostrava, travaillant à feu continu) ont généré un important besoin en éclairage nocturne, pour des raisons de sécurité, puis parfois d'image. Un des problèmes posé par ces éclairages puissants et permanents est qu'ils attirent de nombreux animaux (oiseaux, insectes...) dans les zones les plus dangereuses et polluées.]] [[File:Ibira at night.jpg|thumb|Les illuminations nocturnes gagnent parfois les espaces verts en y exacerbant la pollution lumineuse, ici durant les fêtes de Noël dans l'hémisphère sud (en été) dans le [[parc d'Ibirapuera]] (second plus grand parc de [[São Paulo]] (Brésil), comparable en importance au [[Bois de Boulogne]] pour Paris, ou [[Hyde Park]] pour Londres]] [[File:CanonLumièreNY5294681087 1b4c59ec28 b.jpg|thumb|Durant les [[Migration aviaire|migrations aviaires]], des canons à lumière (ici ceux du mémorial du [[World Trade Center]]) peuvent attirer et [[piège écologique|piéger]] dans leur faisceau de nombreux oiseaux (ici probablement en migration automnale nord → sud)]] Lorsque l’on parle de faune nocturne, les impacts de l’éclairage public sont bien souvent les premiers cités. Le noir est qualifié d’habitat par certains chercheurs dans le cas des espèces lucifuges (fuyant la lumière contrairement aux espèces photophiles). On parle de pollution lumineuse lorsque les effets engendrés sont néfastes sur l’environnement. Celle-ci peut se traduire de différentes manières : lumière du ciel nocturne, éblouissement, sur-éclairage (Hölker et al., 2010). De nombreuses sources interviennent comme les éclairages publics, les habitations, vitrines, etc. Ces diverses technologies émettent dans des longueurs d’ondes différentes allant même jusqu’à l’ultra-violet ou l’infra-rouge (Jehin & Demoulin, 2009). Or, la faune possède des capacités de perception de la lumière variables selon les espèces. Toutes ne vont pas être impactées de la même manière. À cette explication de variabilité s’ajoute également le cycle de vie, qui intervient comme un facteur prépondérant. Afin d’illustrer les différents effets de la pollution lumineuse sur la faune en villes, seront pris comme exemple trois classes (insectes, oiseaux et amphibiens) et deux ordres (les tortues faisant partie des reptiles et les chauves-souris faisant partie des mammifères). Parmi les insectes, les papillons de nuit sont de bons exemples. Ces derniers, actifs la nuit, sont notamment attirés par les petites longueurs d’onde. Lors d’un éclairage en pleine nuit, ils vont s’orienter vers la source lumineuse et voler autour jusqu’à épuisement voire finir brûlés par la chaleur émise (Van Langevelde et al., 2011). Une étude a montré l’impact de l’installation d’un lampadaire sur un carrefour giratoire en milieu rural. Il a été mesuré que dans un rayon de 200 m autour de la source lumineuse, la plupart des insectes nocturnes avaient disparu en l’espace de deux ans (ANPCEN, 2008). Plusieurs explications répondent à ce phénomène. La première est celle évoquée dans le paragraphe précédent tandis que la migration forcée des populations vers des milieux moins éclairés ou encore une prédation plus favorisée sont venues compléter les causes observées (Gaston et al., 2012). En outre, de nombreux insectes nocturnes se reproduisent la nuit. Il a été observé que les sources lumineuses artificielles interagissaient dans la survie des papillons de nuit car les femelles, désorientées, déposaient leurs œufs en des endroits inadaptés pour les larves. Il est estimé en France près de 5 200 espèces de papillons de nuit contre seulement 257 espèces de papillons diurnes. Toutes jouent un rôle écologique important, laissant supposer que si les papillons nocturnes disparaissent en grand nombre, les conséquences en termes de fonctionnement des écosystèmes peuvent être désastreuses (Van Langevelde et al., 2011). Un autre exemple concerne les jeunes tortues marines. Celles-ci s’orientent en direction de la mer grâce à la lumière des étoiles et de la lune reflétée sur l’eau. Or, seule la moitié des tortues venant d’éclore s’y dirigent, les autres étant désorientées par les lumières artificielles près des plages. Elles s’orientent alors dans la direction opposée, finissant par mourir (Mark, 2001). De plus, la présence ou non de lumière influence le choix des tortues adultes sur le lieu de ponte. En effet, celles-ci évitent les plages illuminées, ce qui a pour conséquence de concentrer les pontes dans des lieux parfois non propices et l’augmentation de la mortalité. Une étude réalisée en Floride indique que cela induit aussi des conséquences sur le sex-ratio des jeunes (Witherington et al., 2003). Ce déséquilibre peut engendrer des problèmes au niveau de la reproduction. La lumière a également une incidence sur la vie des amphibiens car ces derniers ont un rythme biologique réglé par la lumière. Les résultats de l’étude réalisée par Wise démontrent que la lumière artificielle durant la nuit affecte la physiologie et le comportement de base d'une grande variété d'amphibiens (Wise, 2006). Une autre étude soulève le problème de la lumière sur leur reproduction. Les mâles de grenouilles vertes seraient moins vocaux en présence de lumière. Ces derniers se servent du chant pour attirer les femelles et se reproduire ensuite. Ainsi, la baisse des signaux vocaux a pour conséquence une diminution de la reproduction de ces grenouilles (Baker & Richardson, 2006). Les effets néfastes de la pollution lumineuse sur l’avifaune sont nombreux et pourtant beaucoup moins surveillés que ceux entraînés par la pollution sonore. Les espèces migratrices et sédentaires sont toutes deux concernées par ce phénomène grandissant. Chez le rouge-gorge familier (Erithacus rubecula), la mésange bleue (Parus caerulus), la mésange charbonnière (Parus Majors) et le merle noir (Turdus merula), les mâles nichant près des sources de lumière dans la ville se mettent à chanter environ 1h20 plus tôt par rapport aux autres oiseaux situés dans des milieux où la pollution lumineuse est absente. Les mâles chantant le matin plus tôt ont plus de chance de séduire les femelles. Cependant, la lumière artificielle engendrant ce phénomène « coupe » le lien entre qualité du mâle et chant du matin. Ce qui signifie que cela rend un mâle plus attractif qu’il ne l’est en réalité au détriment des « bons » mâles (Kempenaers et al., 2010). La réussite de la reproduction de l’espèce pourrait être mise en péril. Sous l’influence des faisceaux lumineux, les femelles commencent à pondre les œufs en moyenne 1,5 jours en avance par rapport à la normale. Ceci entraîne un décalage dans le temps lorsque les oisillons demandent de la nourriture et la disponibilité de cette dernière. La lumière artificielle conduit donc à une mauvaise adaptation du timing de reproduction. Les femelles proches des sources de lumière sont généralement en meilleure condition physique que celles commençant à pondre plus tard dans la saison, mais le nombre d’œufs n’est pas plus important. Une fois les oisillons assez grands pour accompagner les parents, les lumières artificielles sont susceptibles de les désorienter et les empêchent de regagner le nid ou de trouver leur direction. Cela a surtout lieu chez les procellariiformes (albatros, fulmars, pétrels, puffins, etc.) (Kempenaers et al., 2010). Un autre phénomène notable concerne les mâles formant des couples extra-conjugaux lorsque leur territoire se trouve près d’une rue éclairée. Ces mâles sont deux fois plus efficaces pour obtenir plusieurs femelles par rapport aux mâles dont le territoire se situe au centre d’une forêt et non perturbés constamment par la lumière. À noter que ceci n’est pas dû au fait que le territoire des mâles se trouve en lisière de forêt. Au contraire, il a été démontré que les mâles situés dans les lisières non éclairées étaient moins efficaces que ceux situés au centre de la forêt non éclairée (Kempenaers et al., 2010). Il ne faut pas non plus négliger l’éclairage des automobiles qui entraînent des collisions fréquentes, surtout avec les rapaces nocturnes et les engoulevents. L’éclairage provenant d’édifices tels que les phares, les tours ou les plateformes pétrolières pose également un sérieux problème lors des déplacements migratoires des oiseaux. La majorité des migrateurs et particulièrement ceux allant vers l’Afrique en survolant le Sahara voyagent de nuit en utilisant la position des étoiles pour se repérer. “Cette boussole stellaire n’est pas innée, mais acquise avant le vol migratoire” (Siblet, 2008). Les éclairages sur les constructions entraînent un taux de mortalité très important, que ce soit par collision avec des édifices ou désorientation de l’oiseau qui tournera en rond au-dessus de l’éclairage jusqu’à épuisement. Une désorientation peut avoir lieu lorsqu’ils pénètrent dans le dôme lumineux formé au-dessus de la ville. L’éblouissement provoqué les empêche de discerner les étoiles, conduisant à leur égarement. Les oiseaux migrateurs peuvent aussi être très sensibles à une stimulation soudaine de l’œil comme un faisceau lumineux issu d’une lampe de 200 W dirigée vers le haut. Ils peuvent dévier de manière très brutale de leur route initiale, parfois jusqu’à 45°, et l’influence d’un tel faisceau peut être ressentie jusqu’à 1 km de distance par rapport à la source (Siblet, 2008). Les oiseaux ne sont pas les seuls animaux volants perturbés par la lumière. En effet, les chauves-souris qui s'orientent dans l'obscurité en utilisant les échos de leurs cris ultra-sonores détestent la lumière. “Les chauves-souris sont des espèces lumifuges, explique Josselin Boireau, chargé de mission dans le Groupe mammalogique breton (GMB) à Sizun (Finistère). Elles trouvent généralement refuge sous les charpentes, dans des clochers ou des cavités. Si vous installez un projecteur pour éclairer toute la nuit une église par exemple, vous perturbez le rythme biologique de ces animaux qui ne chassent que dans l'obscurité”. Avec un taux de reproduction déjà très bas (pas plus d'un petit par an), les populations de chiroptères subissent ces pressions anthropiques qui désorganisent totalement leur habitat. Autre conséquence de cette luminosité: la concurrence entre les espèces. Il en existe une vingtaine en Bretagne. Certaines chauves-souris communes, comme la pipistrelle représentée ci-contre (Pipistrellus pipistrellus),se sont progressivement adaptées aux garde-manger à ciel ouvert que sont les réverbères, contrairement à d'autres, comme le grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), dont les effectifs n'ont cessé de diminuer depuis trente ans. « Les pipistrelles sont insectivores, comme toutes les chauves-souris européennes, rappelle Josselin Boireau. La nuit, les lampadaires attirent les insectes et ces dernières n'ont plus qu'à se servir. Par contre, le grand rhinolophe, une autre espèce présente en Bretagne, ne chasse que dans l'obscurité la plus totale. Il est donc privé d'une partie de son alimentation. Les scientifiques estiment aujourd'hui que cette compétition interspécifique pour la nourriture pourrait porter préjudice, à terme, à certaines espèces qui n'en avaient vraiment pas besoin ». Sur les 33 espèces en France, seul le murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) tolère de la lumière dans son gîte (Museum national d’histoire naturelle, 2014). Les autres chiroptères désertent les clochers, les bâtiments, les cavités, dès lors que les entrées ou sorties sont éclairées. De fait, certaines espèces ont totalement disparu des régions urbanisées. À court terme, la lumière artificielle peut sembler être une opportunité pour les chauves-souris, notamment au niveau de l’alimentation (à défaut de pouvoir se repérer aux sons, elles se dirigent vers la lumière). En effet, la lumière attire les insectes, qui servent d’alimentation aux chauves-souris. Cependant, à long terme on constate que cette lumière artificielle se révèle en fait être une réelle menace. La corrélation négative de la lumière sur les chauves-souris n'est plus à démontrer : retard dans le temps d'émergence nocturne accompagné d'une perte significative des opportunités de chasse, diminution de la croissance des juvéniles, accroissement de la demande énergétique, ce qui affecte la reproduction. Ces observations se retrouvent pour d’autres taxons. La pollution lumineuse a des effets démontrables sur l’écologie comportementale des organismes en conditions naturelles (Longcore & Rich, 2004). Dans l’ensemble, ces effets dérivent des changements d’orientation, désorientation et attraction ou répulsion à cause d’un environnement altéré par la lumière artificielle, ce qui alternativement peut affecter la prédation, la reproduction, la migration et la communication. Une étude récente (Boldogh et al., SAMU. 2007) a analysé l’éclairage direct des chauves-souris (ici des colonies de Grand rhinolophe, Murin à oreilles échancrées et Petit murins (Myotis blythii)) vivant dans des bâtiments plus ou moins illuminés et non-éclairés, mais dans des bâtiments proches les uns des autres. Les chercheurs ont étudié et comparé les dates des naissances, la masse corporelle et la longueur de l’avant-bras de ces chauves-souris et ont constaté que l’éclairage artificiel retardait le développement des jeunes et qu’il pouvait parfois même anéantir toute une colonie. Les jeunes étaient significativement plus petits dans les bâtiments illuminés que non-éclairés. Les différences de longueur de l’avant-bras et de masse corporelle suggèrent qu’après la mise-bas, le taux de croissance des jeunes est plus faible pour les chauves-souris vivant dans les bâtiments illuminés. La pollution lumineuse très présente dans les milieux urbanisés affecte grandement la faune diurne et nocturne. Les effets sont souvent indirects mais la lumière artificielle nuit principalement de deux manières. La première concerne la perturbation du cycle biologique de l’animal, ce dernier étant basé sur la succession du jour et de la nuit. Ces perturbations mettent en péril les performances de reproduction de l’espèce (mauvais choix d’emplacement de ponte pour la tortue, sous développement des jeunes chez la chauve-souris, etc.) La seconde est un phénomène plus direct que la précédente : l’attirance des animaux par la lumière artificielle entraînant leur collision avec des bâtiments (oiseaux migrateurs) et/ou leur désorientation menant à l’épuisement (oiseaux et insectes). === Structure et organisation du milieu urbain === Nous pouvons voir que plusieurs impacts majeurs issus de l’urbanisation ressortent telles les pollutions lumineuse et sonore. Cependant certains impacts plus indirects touchant plusieurs espèces sont à prendre en compte. L’urbanisation entraîne des changements parfois moins flagrants que ceux évoqués précédemment car moins visibles. Ce sont par exemple des modifications de la température, la structure du bâti, l’organisation avec les espaces naturels, ou encore certaines activités d’entretien des espaces. Ces paramètres peuvent offrir aux espèces une opportunité de développement mais aussi représenter une menace. La construction de bâtiments a, par exemple, pour conséquences la modification de la circulation de l’air, l’augmentation de la température, mais aussi une imperméabilisation du sol et ainsi une perte de ressources pour la faune nocturne. Cela peut engendrer une perte d’habitats, d’espèces ou une réduction de la taille de la population et donc de biodiversité. Au niveau des sources d’alimentation, le milieu urbain peut favoriser ou nuire certaines espèces (Exemple du papillon). Malgré les initiatives de “Village fleuri”, les villes offrent peu de fleurs à butiner, concourant à la formation d’une compétition à la fois intra-espèce et inter-espèces. En outre, certaines sont généralistes, c’est-à-dire qu’elles peuvent se nourrir de végétaux différents, alors que d’autres ont une alimentation plus spécifique (Parisot et al., 2009) . Les mites par exemple s’alimentent de plumes, poils, fibres textiles comme le coton. La végétation en milieu urbain n’est généralement pas celle originelle mais constituée d’espèces végétales exotiques. Deux conséquences possibles à cela, soit une perte de sources d’alimentation et d’habitats peut être observée, ou alors la possibilité de nouvelles sources de nourriture et d'abris (ex: arbre à papillons) (Hunter, 2007). Les oiseaux quant à eux, tout comme certaines espèces de chauve-souris peuvent s’adapter à ce nouvel environnement. Les insectes étant malgré tout présents, cela leur fournit une alimentation parfois complétée par des restes de nourriture humaine. La ville est également un milieu où la stagnation d’eau, alliée à des conditions de températures favorables, permet le développement des larves de moustiques (Li et al., 2014). Les chauves-souris s’en trouvent favorisées. Un autre problème se pose et entraîne de nombreuses conséquences sur la reproduction des insectes : la circulation de l’air qui, en milieu urbain, est modifiée. Les édifices constituent des barrières à la circulation initiale de l’air et des allées dans lesquelles le vent s’engouffre, alors que le vent joue de nombreux rôles pour les insectes. Les papillons femelles émettent des phéromones en période de reproduction afin d’attirer les mâles (Retamoza et al., 2014). Or, si la circulation du vent est modifiée, les chances que ces hormones ne parviennent pas aux futurs partenaires sont accrues, impactant la pérennité de l’espèce (Abdullah et al., 2012). C’est le cas également des lampyres (vers luisants), les mâles peuvent repérer les femelles à une distance de près de 20 m (contre une centaine de mètres pour certaines espèces de papillons nocturnes). Cette étude a démontré qu’ils ont également besoin que le vent suive une direction constante et une certaine vitesse pour que la détection du partenaire soit optimale. Le milieu urbain, par ses nombreuses sources d’air, vient donc contraindre ce besoin. (De Cock, Matthysen, 2005). De plus, les activités anthropiques inhérentes à la ville, mais également sa configuration et sa composition jouent un rôle sur la température. En effet, la température en milieu urbain a tendance à être plus élevée que celle en zone rurale. On parle souvent d’îlot de chaleur pour caractériser ce phénomène (Rizwan et al., 2008). La température joue un rôle prédominant dans les écosystèmes et le cycle de vie des espèces. Les œufs de papillon par exemple peuvent éclore au bout de quelques jours lorsque les températures sont douces, alors que cela peut aller jusqu’à plusieurs mois en cas de basses températures. Le froid peut également influer la période larvaire, si celui-ci est trop intense ou dure trop longtemps, les larves meurent. Par ces conditions de température plus douces, la ville peut ainsi offrir un milieu favorable à la survie des individus en périodes de froid (ex: cas des larves de processionnaires qui “hibernent” l’hiver). Il peut aussi favoriser une levée plus rapide de la période de diapause dans laquelle était l’insecte (Mauchamp, 1988). Une autre menace de grande ampleur touche directement et massivement les insectes : l’utilisation de produits phytosanitaires. Ceux-ci étaient, jusque ces dernières années, fortement utilisés en ville comme désherbant chimique par exemple. Or, les pesticides représentent un danger pour les populations d’insectes. Selon de nombreux chercheurs, ce sont la première source de mortalité des insectes en ville. : les insecticides tuent directement les individus ou indirectement en intoxiquant leur alimentation, leur habitat, etc. (The Task Force on Systemic Pesticides, 2015). La pollinisation est par exemple remise en cause, impactant la biodiversité végétale mais également le reste de la chaîne alimentaire. En outre, les phénomènes de bioaccumulation et biomagnification posent problème, ils concernent toute la chaîne alimentaire.(Kogan & Lattin, 1993). Enfin, les édifices en ville eux-mêmes influent sur le cycle de vie des espèces. Malgré l’accroissement des milieux urbains, les chauves-souris ont su s’adapter et créer leur habitat dans le bâti. Les chauves-souris dites anthropophiles trouvent refuge, pour tout ou partie de leur cycle biologique, dans les bâtiments publics ou privés. S'installant aussi bien dans les combles que sous la charpente, ces monuments servent de gîte pour l'élevage des petits en période estivale, de site d'hibernation ou encore de site de swarming (site précis où les chauves-souris d'une grande aire géographique se retrouvent pour l'accouplement lors de la saison de reproduction en automne) (Vienne Nature, 2014).Malheureusement, les chauves-souris font toujours l’objet de mauvaise croyance, engendrant une modification ou une réhabilitation des bâtis en défaveur de celles-ci : combles bouchés, grillages dans les églises. Certains grillages sont dangereux pour elles, ils peuvent d’une part piéger les grandes espèces de chauves-souris qui se coincent les avant-bras dans les mailles, mais également empêcher l’accessibilité des combles pour des espèces comme les Rhinolophes. Certaines espèces parviennent tout de même à accéder au bâti malgré le grillage, comme les espèces rampantes : pipistrelles, les grands-murins, etc. Malgré leurs capacités d’adaptations, les espèces les plus communes restent les plus touchées par la construction de bâtiment. Dans le cas des chauves-souris, et malgré leurs efforts pour s’adapter aux activités anthropiques, les conséquences ne cessent de croître et de s’imposer sur la vie de ces espèces (Parc naturel régional des caps et marais d’opale, 2011). Les aménagements et la construction même des villes impactent la faune nocturne. La principale menace pour les reptiles et les amphibiens correspond à la perte d’habitats remplacés par les villes. Un tiers des amphibiens sont menacés d’extinction, notamment à cause de la destruction des habitats d’eau douce (Beatty et al., 2011). De plus, les amphibiens sont d’autant plus exigeants en termes d’habitat puisqu’ils ont besoin de deux habitats (terrestre et aquatique). Cela augmente les impacts liés à la destruction du milieu initial. La deuxième cause du déclin de ces populations est due à la fragmentation des milieux par les infrastructures de transport. En effet, la connectivité de l'habitat semble jouer un rôle clef dans la viabilité régionale des populations d'amphibiens (Cushman, 2006). Plus l’habitat est proche d’une route plus le risque de mortalité est important. Comme l’illustre l’étude sur la mortalité des tortues sur les routes de l’Outaouais, les lieux de concentration de tortues mortes sur la route se trouve le long de la rivière des Outaouais (le nombre atteint 4,38 tortues mortes/10 km). De plus, les échanges entre populations sont limités par ces infrastructures ce qui menace, à terme, la pérennité de l’espèce (Desroches & Picard, 2005). D’après les études présentées dans cette première partie, nous pouvons constater que la ville a parfois des impacts positifs sur la faune nocturne. Cependant, ceux-ci ne restent effectifs qu’à court terme. La plupart des impacts relevés sont négatifs comme les pollutions lumineuse et sonore qui, à court terme, influent sur le cycle de vie des espèces nocturnes, et à long terme, sur la pérennité de celles-ci. L’homme étant diurne, la faune nocturne demeure plus discrète pour celui-ci. À travers les actuelles problématiques liées à la biodiversité, celles des espèces nocturnes n’attirent pas encore toute son attention. Il semble nécessaire aujourd’hui de minimiser ces impacts négatifs et ainsi définir la place que la faune nocturne pourrait avoir dans la ville de demain. == Place de la faune nocturne dans la ville de demain == === Trame noire === L'article 36 de la loi Grenelle 1 fut voté en octobre 2008 par le Parlement. Il souligne le fait que des dispositions de prévention, interdiction ou restriction doivent être prises concernant “Les émissions de lumière artificielle de nature à présenter des dangers ou à causer un trouble excessif aux personnes, à la faune, à la flore ou aux écosystèmes, entraînant un gaspillage énergétique ou empêchant l'observation du ciel nocturne” (Braye et al., 2009). Bien que l’intérêt économique pour les acteurs concernés soit omniprésent dans cet extrait, on note cependant qu’un tel aspect se veut source d’impulsion pour une protection accrue de la biodiversité. La mise en place de la trame noire en ville est ainsi apparue, suivie d’autres initiatives comme les Plans-lumières. Cette trame a pour objectif la création de corridors non éclairés, permettant aux différentes espèces « de communiquer, de s’alimenter, de se reproduire, dans des milieux naturels protégés » (Jehin & Demoulin, 2009). Ce principe rejoint le but recherché par les trames vertes et bleues. Le 20 mars 2012, l’ANPCEN (Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement) et la Fédération des Parcs Naturels régionaux (PNR) de France et Parcs nationaux de France ont signé deux conventions. Ces textes ont pour but d’améliorer la qualité de la nuit et limiter l’ensemble des nuisances lumineuses portant atteinte à la biodiversité. Il s’agit ici de promouvoir la trame noire qui s’ajouterait aux trames vertes et bleues mises en place par la loi Grenelle 2. En milieu urbain, les mêmes perspectives sont suivies, avec pour objectif final d’améliorer la qualité de la nuit, pour les habitants comme pour la biodiversité. En effet, les sources d’éclairage y sont multiples (affichage publicitaire, enseignes, éclairage public, privé, etc.), et ce pour de nombreuses fins allant de la sécurité aux visées touristiques (Mérigou, 2013). En recréant un réseau d’obscurité, les espèces nocturnes seraient préservées. Des habitats écologiques seraient également protégés, les déplacements facilités ainsi que les étapes de reproduction et alimentation nettement moins entravées. La trame noire constitue donc un précieux outil face à la menace qu’est la lumière pour ces espèces (Deda et al., 2007). Dans le but de créer des corridors non éclairés, différentes solutions peuvent être envisagées en milieu urbain. Ces alternatives doivent toutefois concilier protection de la biodiversité et attentes sociales. Il s’agit en effet de limiter l’éclairage de nuit dans les villes et répondre ainsi aux attentes de la trame noire, sans compromettre la sécurité et la sûreté au cours de la nuit (Jehin & Demoulin, 2009) : ‐ Le plus important est d’éviter absolument la diffusion de la lumière vers le ciel. Des abat-jours peuvent être disposés sur les émetteurs de lumière. Cela permet de limiter les pertes d’éclairage et d’éviter les problèmes d’éblouissement. La lumière étant renvoyée et donc concentrée vers le bas, sa puissance peut être diminuée. On économise ainsi de l’énergie tout en conservant le même éclairage. ‐ L’utilisation d’un appareillage permettant de réguler le flux de lumière pour obtenir un éclairement optimal est recommandé (ni trop fort, ni trop faible). ‐ L’éblouissement peut être éliminé en installant des réflecteurs adaptés. « On ne doit pas voir directement la lumière d’un lampadaire à une distance supérieure à trois fois sa hauteur au-dessus du sol » (Jehin & Demoulin, 2009). ‐ N’émettre un éclairage que lorsque cela est nécessaire. Le temps d’éclairage peut être limité à l’aide d’une minuterie ou de détecteurs de mouvements. Les éclairages publicitaires et des monuments doivent être coupés après 23h. ‐ Avoir un excellent contrôle de l’éclairage : la lumière est uniquement dirigée là où elle est requise. ‐ Favoriser autant que possible l’éclairage au sodium à basse pression (le plus économique et le moins polluant) et émettant dans la lumière jaune. Ce type de lumière n’émet pas d’UV et impacte moins la faune nocturne comme les insectes qui sont moins attirés (Shockley Cruz & Linder, 2011; Hori et al., 2014). ‐ Diffuser de manière uniforme la lumière pour limiter l’adaptation de nos yeux à différentes intensités lumineuses. La transition entre obscurité et lumière doit être graduelle et non pas directe (Jehin & Demoulin, 2009). Les éclairages à boule sont parmi les moins adaptés, en effet, près de 65 % des rayons lumineux sont diffusés dans d’autres directions que vers sol, soit une grande inefficacité. La dispersion de la lumière est importante et contribue à perturber le rythme nycthéméral de la faune nocturne comme des Hommes (Duffy & Czeisler, 2009; Kyba et al., 2011). En outre, leur consommation énergétique est élevée car leur fonctionnement se base sur la présence d’une lampe à vapeur de mercure. Leur utilisation sera interdite dès 2015 (AFE, 2010; Arnaud, 2013). Ainsi, il est aujourd’hui conseillé d’utiliser un boîtier contenant le dispositif d’éclairage afin d’éviter toute diffusion dans les zones où la lumière ne serait pas requise. De plus, l’angle de diffusion de lumière doit être inférieur à 10° par rapport à la verticale. La lampe consommant le moins d'énergie parmi celles existantes pour l'éclairage public demeure la sodium basse pression. Elle n'éclaire que dans une seule longueur d'onde : orange. Son rendu de couleur est très mauvais mais c'est la moins polluante au niveau lumineux. Cette lampe pourrait être installée dans des endroits où ce rendu n’a pas grande importance (rue de passage, etc.) (Jehin & Demoulin, 2009). De plus, les solutions précédemment citées concilient enjeux environnementaux et intérêts socio-économiques car l’amélioration de l’éclairage entraînerait une économie d’énergie de 60 à 65 % tout en limitant de manière significative la pollution lumineuse (AREHN, 2014). La ville de Lille est un exemple d’application de ces mesures. Au niveau de la Citadelle de la ville, les luminaires ont été modifiés pour des éclairages comportant un bafflage interne. Cette conception permet d’éviter non seulement les pertes de lumière mais également de la diffuser avec plus de précision, restreignant le périmètre d’émanation lumineuse et l’orientant vers la zone d’intérêt. En parallèle, les lampes ont été changées pour de nouvelles à sodium haute pression. Ces dernières ont la caractéristique d’émettre une lumière plus jaune et sans UV. La fonction d’éclairage est ainsi assurée sans toutefois nuire à la faune nocturne par éblouissement ou gêne. Suite à ces modifications, des observations ont commencé à être faites. Moins d’insectes volaient au niveau des lampadaires. Les chiroptères semblent être moins perturbés par la lumière et deux espèces remarquables ont pu être observées: le murin de Daubenton (Myotis daubentonii) et le murin à moustache (Myotis mystacinus) (NORPAC & IDDR, 2000). D’autres modifications ont également été apportées dans la ville, initialement engendrées à des fins de réduction de la facture énergétique. En effet, Lille s’est engagée dans une démarche d’amélioration de l’éclairage public grâce à un plan d’action de 8 ans (2004-2012). Celui-ci était basé sur la diminution des sources d’éclairage, leur remplacement par des dispositifs de haute performance, la diminution de temps d’allumage. En parallèle, la ville a décidé d’éduquer la population à travers des campagnes de sensibilisation, et de mieux adapter l’éclairage via l’emploi de télésurveillance, etc. Entre 2004 et 2008, la consommation électrique annuelle de la ville est passée de 21 715 000 KWh à 13 897 600 KWh, soit une diminution de 36 %. Ces mesures ont également contribué à réduire la pollution lumineuse (Decaillon, 2010). Aucune recherche sur les impacts positifs comme négatifs concernant la faune nocturne de la ville suite à ces changements n’ont été trouvées. Toutefois, au regard des travaux cités précédemment, une amélioration des conditions de vie de la faune nocturne peut être imaginée. '''Pas de grandes surfaces lisses''' : Le strès grandes vitres réfléchissantes ou donnant sur de locaux éclairés sont des pièges souvent mortels pour les oiseaux, et on a démontré en 2017 que la nuit les grandes surfaces verticales lisse sont également des pièges sensoriels qui peuvent tromper les chauves-souris qui les confondent avec des voies ouvertes et entrent en collision avec ces obstacles. Les chauves-souris qu’on croirait protégées par leur capacité d’écholocation semblent ne pas "voir" ces surfaces, ce qui est source de collisions et de blessures (sur 21 chauve souris filmées dans un couloir de vol où a été placée une surface lisse verticale, 19 ont heurté cette surface sans la percevoir alors que tous les autres obstacles et parfois étaient facilement évités par toutes les chauve-souris <ref>voir la vidéo : http://www.sciencemag.org/news/2017/09/why-do-bats-crash-smooth-surfaces-they-never-see-them-video-reveals?_ga=2.32649718.995006870.1505145618-1420427352.1480973542</ref> ; il reste à étudier le cas des vitres ou parois métalliques lisses verticales urbaines et à voir si les chauve-souris ont trouvé des parades ou des apprentissage). Le recul des hirondelles et de nombreuses espèces de chauve-souris (on peut même parler de disparition sur de vastes territoires) pourraient avoir des effets négatifs considérables sur la survie de ces espèces, mais également sur les écosystèmes et notre santé<ref> Stefan Greif, Sándor Zsebők , Daniela Schmieder, Björn M. Siemers & al. “Acoustic mirrors as sensory traps for bats” ; Science 08 Sep 2017: Vol. 357, N° 6355, pp. 1045-1047 DOI:10.1126/science.aam7817</ref>{{,}}</ref>Peter Stilz & al. (2017) “Perspective Echolocation How glass fronts deceive bats “ |Science | 08 Sep 2017| Vol. 357, Issue 6355, pp. 977-978 | DOI: 10.1126/science.aao2989</ref> === Trame verte === La '''trame verte et bleue''' est une démarche instaurée lors du Grenelle de l’Environnement et soutenue par la Stratégie Nationale de Biodiversité. D’après l’AREHN (l’Agence Régionale de l’Environnement de Haute-Normandie, 2014), la trame verte et bleue est une « ''démarche qui vise à maintenir et/ou à reconstituer à l’échelle nationale un réseau écologique (corridors écologiques) pour que les espèces animales et végétales puissent vivre, communiquer, se déplacer, s’alimenter, se reproduire, se reposer'' ». Cet outil vise à protéger la biodiversité ainsi que son fonctionnement écologique à travers la conservation ou création de continuités écologiques sur l’ensemble du territoire (Dalloz & Dejean, 2010). Il se base sur la présence de corridors écologiques et de réservoirs appelés aussi cœurs de nature (Dalloz & Dejean, 2010). Or, la ville prend part au tissage du réseau écologique sur l’ensemble du territoire, on parle souvent de '''trame verte urbaine'''. Différentes initiatives contribuent à créer et/ou affirmer la trame verte en ville, nécessaire à la pérennité de la faune nocturne. Le cas de Lille, élue Capitale française de la biodiversité en 2012, est un exemple (Kervadec, 2012). Après avoir réalisé un '''inventaire faunistique''', la ville a décidé de mettre en place une '''gestion différenciée''' de ses espaces verts, et ce depuis 2002. Cela se traduit par un entretien réfléchi de ces milieux selon leurs caractéristiques. A cela s’ajoute une diminution de l’emploi des produits phytosanitaires avec comme objectif d’être une '''ville “zéro pesticide”''' fin 2014 (Cormier & Kenderesy, 2013). Cette résolution protège non seulement certaines espèces, mais elle évite également la contamination des habitats. Pour les habitants, les produits phytosanitaires semblent également nocifs. Par exemple, des recherches de l’INSERM ont démontré une étroite corrélation entre certaines molécules présentes dans ces produits et le développement de cancers, de défaillances des systèmes neurologiques ou immunitaires, etc. L'avantage de cette mesure est donc double, tant pour la faune que pour la santé même des populations (INSERM, 2013). Ensuite, le mouvement “Verdissons nos murs” est apparu dans la ville de Lille. Il consiste en la '''végétalisation''' des façades de tout type de bâtiments, allant des maisons individuelles aux écoles, mairies de quartiers, etc. À ces fins, diverses plantes grimpantes sont sélectionnées et plantées. Elles créent par exemple des habitats pour des espèces d’oiseaux ou d’insectes, mais peuvent également favoriser leurs déplacements. Elles contribueraient ainsi à relier les cœurs de nature, renforçant la continuité écologique recherchée. Ces aménagements sont bénéfiques également pour les Hommes. En effet, l'amélioration de l'isolation thermique apportée aux façades par cette végétalisation est un avantage reconnu. De plus, les plantes contribuent à l’assainir l’air en captant certains polluants. Par leur fonctionnement, elles pourraient également contre-balancer l’effet d’îlot thermique urbain. Enfin, l’aspect esthétique demeure un critère important à souligner (NORPAC & IDDR, 2012). On peut toutefois nuancer certaines initiatives en y percevant un frein écologique majeur. Par exemple, les espèces végétales proposées sont bien souvent exotiques. Mais, sont-elles adaptées à la biodiversité? C'est là la question centrale à se poser lors de l'établissement d'une trame verte, quelle diversité souhaite-t-on favoriser? Dans le cas énoncé, l’objectif est-il bien de favoriser la faune? Mais alors, quelles espèces sont-elles visées? La faune nocturne y trouve-t-elle son compte? Ces initiatives sont des exemples et sont propres à chaque ville. De nombreuses démarches peuvent être instaurées. Elles doivent toutefois être profondément réfléchies et adaptées à chaque cas afin d'engendrer le plus d'externalités positives pour les citadins comme pour la faune. === Un changement de conscience === La ville est aujourd’hui considérée sous un nouveau regard. Bien que des erreurs soient encore commises, elle se veut plus respectueuse pour la biodiversité qu’avant. L’émergence des trames noires renforce d’autant plus l’attention portée à la faune nocturne. Parallèlement à cela, on assiste à une demande croissante de la part des citadins pour le verdissement des villes. Philippe Clergeau, instructeur au Muséum national d’Histoire naturelle évoque le mouvement actuel: “Il existe aujourd’hui un refus du tout minéral et une vraie demande pour une nature de proximité dans la ville”. L’Ile-de-France fait ainsi face à de nombreuses sollicitations des habitants pour mettre en place des jardins familiaux, des parcs, etc. Bien que ces milieux soit plus accueillants et riches de biodiversité que des surfaces imperméabilisées, il n’en demeure pas moins que toutes les espèces nocturnes n’y trouveront pas leur compte (Mao, 2009). La limite entre intérêts purement écologiques et anthropologiques est mise en évidence, révélant l’importance d’une bonne communication sur les enjeux environnementaux impliqués. Le comportement de chaque individu est essentiel pour la cohabitation de l’Homme avec la faune nocturne. En effet, la demande d’éclairage publique en ville pour des raisons de sécurité ont conduit à une sur-illumination. Il en est de même pour les éclairages automatiques installés à l’entrée des habitations ou dans les jardins. Les chouettes sont par exemple affectées, les chauves-souris également. Une sensibilisation de la population est nécessaire. Un “Jour de la Nuit” a été instauré le 20 septembre de chaque année où les villes participant éteignent la majeure partie des éclairages publics. C’est également l’occasion de proposer aux personnes des activités d’observation nocturne et d’avertir sur les conséquences engendrées pour la faune nocturne (Huet, 2015). La “Nuit de la Chouette” est un autre exemple. Survenant au printemps une année sur deux, cet événement met en avant l’importante de la protection des rapaces nocturnes et des attitudes à adopter afin de nuire le moins possible (LPO & FPNRF, 2015). Les villes peuvent donc mettre en place différents outils de sensibilisation du grand public: sorties d’observation, expositions, conférences, ateliers, etc. Il en est de même avec l’utilisation par les particuliers de produits phytosanitaires dans leurs jardins. L’utilisation abusive fut bien souvent décriée. Une proposition de loi visant à prohiber l’utilisation de pesticides dans les jardins privés et espaces verts publics a été votée par le Parlement. Elle s’appliquera dès 2022 et sera précédée deux ans auparavant de l’interdiction d’avoir en sa possession de tels produits hors usage professionnel (Assemblée Nationale, 2014). Un nouveau mouvement apparaît également au sein des villes, celui de ne plus lutter contre les adventices. La ville de Nantes a décidé de laisser les “mauvaises herbes” se développer sur les trottoirs, au bord des caniveaux, des arbres. Elle propose ainsi un changement des consciences auprès de la population. En effet, les adventices sont en majorité considérées par les individus comme un manque d’entretien et donc une forme de saleté. L’exemple de Nantes vient contrer cet a priori. Les vertus alimentaires de certaines espèces comme le pissenlit sont évoquées, ou encore les rôles écologiques joués au niveau de l’érosion, de la fertilité des sols, etc. Ces mesures sont bénéfiques pour la faune nocturne, les chenilles de papillons de nuit y trouvent une source d’alimentation, pour d’autres espèces cela permet le déplacement, offre une zone de refuge, etc. (Parcs & Jardins de Nantes, 2014). L’utilisation de transports doux peut également contribuer à une meilleure qualité de l’air, une réduction de la pollution sonore et la diminution du phénomène d’ “îlot de chaleur”. A Lille, des vélos en libre service ont été installés (Transpole Lille Métropole, 2014), des bus roulant au gaz naturel pour véhicules (GNV) sillonnent la ville. Ce carburant a l’avantage d’émettre moins de polluants que les autres hydrocarbures, notamment en rejet carboné. En outre, les nuisances sonores seraient réduites par l’utilisation de GNV. Sa combustion serait moins rapide et produirait moins de vibrations, soit un bruit des moteurs réduits de près de 4 dB. Un véhicule roulant au GNV émettrait ainsi deux fois moins de bruit qu’un véhicule diesel (Meyer, 2014). === La biodiversité dans la ville de demain === L’équilibre entre la faune nocturne et l’Homme se joue donc à plusieurs niveaux. Comportement de chaque individu ou planification territoriale à plus grande échelle, les différents acteurs ont tous un rôle important à jouer. Suite aux problématiques évoquées et aux potentielles solutions, la ville jusqu’alors conçue est aujourd’hui perçue de toute autre manière. Le concept de “ville durable” a ainsi surgi, porté par une campagne européenne lancée entre 1994 et 2004 (Laigle, 2007). L’équilibre entre intérêts écologiques et sociaux tend à être atteint à travers de telles démarches. Néanmoins, à quelle échelle doit-on repenser la ville durable de demain et comment cela se traduit-il ? L’échelle de la ville a tout d’abord été étudiée. C’est le cas de Barcelone en Espagne, ou encore Malmö en Suède. Toutes deux mettent en avant leurs performances énergétiques, le développement de transports doux, tourisme équitable, voire la création d’une Agence de l’Écologie Urbaine dans le cas de Barcelone. Toutefois, la préservation de la faune et plus particulièrement de la faune nocturne n’est à aucun moment souligné. Les nouveaux schémas proposés à l’échelle de la ville se montrent moins impactants pour l’environnement, mais l’objectif visé semble être plus celui de la lutte contre le réchauffement climatique (ADEME & Énergie Cités, 2009). Peut-on parler de durabilité si la biodiversité n’est pas intégrée aux démarches entreprises? La définition de ville durable donnée par l’Agence de l'Écologie Urbaine de Barcelone souligne ce constat. Elle caractérise ce nouveau milieu urbain comme étant “une ville compacte à forte densité spatiale qui présente les caractéristiques de complexité fonctionnelle, connectivité, accessibilité, diversité des populations, efficacité du métabolisme urbain, cohésion sociale” (BCNecologia, 2014). Les objectifs de ces villes ne semblent pas prendre pleinement en compte la faune nocturne dans leurs nouvelles voies d’organisation. Le cas de la cité-Etat de Singapour nuance ce constat. Tandis que la pollution sonore, atmosphérique, la gestion de l’eau, etc. sont des axes de développement énoncés, le verdissement urbain est également promu afin de créer des continuités écologiques. En parallèle, les réservoirs de nature existants sont protégés voire agrandis alors que de nouveaux sont favorisés. La faune nocturne n’est pas explicitement citée, il est possible d’y étendre toutefois les bénéfices que la faune diurne tirera de ces changements (Leitmann, 2000). À travers ces exemples, une question demeure. La ville est-elle l’échelle adéquate pour repenser le milieu urbain afin que faune nocturne et hommes s’épanouissent? La dimension de quartier a également suscité de nombreux travaux. En 2012, le Ministère du Logement de l’Égalité des Territoires et de la Ruralité a créé le label français EcoQuartier . Vu comme un premier pas vers un nouveau schéma de développement urbain, ce label serait également une étape dans la démarche de transition écologique (Ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité, 2014). Il tend également à répondre aux objectifs de la Stratégie Nationale pour la Biodiversité 2011-2020 (Ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, 2011) à travers la signature de la Charte des Écoquartiers. Le {{20e}} engagement stipule que le signataire s’engage à “Préserver et valoriser la biodiversité, les sols et les milieux naturels”. Il se traduit par la réalisation d’un inventaire, la collaboration d’un spécialiste lors de l’élaboration des plans de l’écoquartier et la création de potentiels habitats pour la faune. Un indicateur quantitatif, présentant la part de surface végétalisée, a été mis en place pour apprécier les évolutions (Ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité, 2014). Les limites dans cet engagement sont nombreuses. En effet, un seul indicateur quantitatif semble faible. Dans le cadre de la faune nocturne, il serait nécessaire d’en développer d’autres, ainsi que des indicateurs qualitatifs pour avoir une meilleure perception des espèces présentes, des habitats, continuités écologiques, interactions, etc. Des initiatives existent néanmoins. Deux axes sont souvent mis en avant: limiter les sources de destruction de la biodiversité et explorer les moyens d'accroître celle-ci (Henry, 2012). Ils se traduisent par la préservation et création d’habitats comme par la conservation et le développement d’espaces verts, de nichoirs, l’aménagement du bâtiment avec la mise à disposition de combles pour la faune nocturne (notamment chiroptères, rapaces nocturnes). Certains proposent même de récupérer leurs déjections afin de les utiliser comme fertilisant dans les espaces verts publics ou jardins. Ces milieux, ainsi que des potagers et zones de maraîchage sont favorisés. La végétalisation des toits est également envisagée. La création de ces nombreux habitats à partir d’espèces végétales indigènes permettrait d’accueillir une grande diversité faunistique. En valorisant une biodiversité, la faune nocturne serait aussi mieux intégrée. Cette démarche s’étend même jusqu’aux travaux lors de la conception de l’écoquartier, afin d’impacter le moins possible. En parallèle, la participation des habitants peut être sollicitée via la création d’une Charte de protection de la biodiversité urbaine par les habitants (Belvalette et al., 2011). Un nouveau concept émerge aujourd’hui dans la manière de repenser la biodiversité en ville, celui de biodiversité ordinaire et de biodiversité remarquable (La faune nocturne est ici concernée). L’appel à projets EcoQuartiers 2009, fondé sur cette perception, a mis au cœur des débats la place de la biodiversité en ville (CETE de Lyon, 2010). Ce concours se perpétue depuis, de nouvelles perspectives et conceptions émergent au fil des années, faisant prendre conscience aux acteurs du rôle central de la biodiversité. Toutefois, la faune nocturne urbaine est encore peu considérée. Quand les acteurs y porteront-ils leur attention? Cela constituera-t-il une prochaine étape afin de recouvrer l’harmonie entre homme et faune nocturne? == Bibliographie == * Abdullah, F., Sabri, M.S., Sina, I., Fauzee, F., Isa, S.M. 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Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit :* Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est :* Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être :* Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;:* Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est :* Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être :* Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;:* Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;:* Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;:* J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;:* J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue :* J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;:* J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;:* Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée :* Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être :* Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;:* Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;:* Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;:* Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;:* Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;:* Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;:* Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;:* Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;:* Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec :* La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que :* Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte :* Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain :* A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet :* De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est :* Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> 5byq4tq7nr6pgaezes3dk23ttbasaxd 745193 745192 2025-06-22T03:33:04Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Qu'écrit-on en général ? */Typo, élément de liste mal placé 745193 wikitext text/x-wiki <div style="text-align:center;">Comment écrire des histoires</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">[http://archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires]</div> <br> <br> <br> <div style="text-align:center;">Méthode</div> <div style="text-align:center;">Coaching Créatif et Compréhensif</div> <div style="text-align:center;">par les Solutions</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Éditions LIBERLOG</div> <div style="text-align:center;">Éditeur n° 978-2-9531251</div> <div style="text-align:center;">{{ISBN|9782953125153}}</div> <div style="text-align:center;">e-book : {{ISBN|9782953125122}}</div> = Notes de l'auteur = J'ai vu beaucoup de livres permettant l'écriture par l'exemple. Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit : * Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est :* Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être :* Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;:* Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est :* Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être :* Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;:* Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;:* Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;:* J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;:* J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue :* J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;:* J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;:* Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée :* Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être :* Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;:* Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;:* Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;:* Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;:* Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;:* Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;:* Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;:* Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;:* Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec :* La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que :* Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte :* Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain :* A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet :* De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est :* Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> enupjqu2oiqrm5gxpfmjy4mtq19xtzo 745194 745193 2025-06-22T03:34:31Z 2A02:8440:7159:54CE:BA95:9DD7:A3B0:AA5C /* Le mot */Typos, éléments de listes mal placés 745194 wikitext text/x-wiki <div style="text-align:center;">Comment écrire des histoires</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">[http://archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires]</div> <br> <br> <br> <div style="text-align:center;">Méthode</div> <div style="text-align:center;">Coaching Créatif et Compréhensif</div> <div style="text-align:center;">par les Solutions</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Éditions LIBERLOG</div> <div style="text-align:center;">Éditeur n° 978-2-9531251</div> <div style="text-align:center;">{{ISBN|9782953125153}}</div> <div style="text-align:center;">e-book : {{ISBN|9782953125122}}</div> = Notes de l'auteur = J'ai vu beaucoup de livres permettant l'écriture par l'exemple. Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit : * Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est : * Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être : * Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;:* Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est :* Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être :* Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;:* Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;:* Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;:* J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;:* J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue :* J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;:* J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;:* Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée :* Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être :* Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;:* Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;:* Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;:* Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;:* Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;:* Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;:* Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;:* Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;:* Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec :* La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que :* Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte :* Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain :* A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet :* De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est :* Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> eb2a8j6raepirh32vzfc8jczm2kqms7 745195 745194 2025-06-22T03:37:21Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* La phrase */Typos 745195 wikitext text/x-wiki <div style="text-align:center;">Comment écrire des histoires</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">[http://archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires]</div> <br> <br> <br> <div style="text-align:center;">Méthode</div> <div style="text-align:center;">Coaching Créatif et Compréhensif</div> <div style="text-align:center;">par les Solutions</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Éditions LIBERLOG</div> <div style="text-align:center;">Éditeur n° 978-2-9531251</div> <div style="text-align:center;">{{ISBN|9782953125153}}</div> <div style="text-align:center;">e-book : {{ISBN|9782953125122}}</div> = Notes de l'auteur = J'ai vu beaucoup de livres permettant l'écriture par l'exemple. Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit : * Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est : * Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être : * Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;: * Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est : * Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être : * Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;: * Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;: * Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;: * J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;: * J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue : * J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;: * J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;: * Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée : * Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être :* Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;:* Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;:* Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;:* Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;:* Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;:* Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;:* Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;:* Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;:* Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec :* La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que :* Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte :* Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain :* A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet :* De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est :* Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> 4k7ep48i25zakgmqs3p36ilzfg0l27f 745196 745195 2025-06-22T03:39:51Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Les phrases */Typos 745196 wikitext text/x-wiki <div style="text-align:center;">Comment écrire des histoires</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">[http://archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires]</div> <br> <br> <br> <div style="text-align:center;">Méthode</div> <div style="text-align:center;">Coaching Créatif et Compréhensif</div> <div style="text-align:center;">par les Solutions</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Éditions LIBERLOG</div> <div style="text-align:center;">Éditeur n° 978-2-9531251</div> <div style="text-align:center;">{{ISBN|9782953125153}}</div> <div style="text-align:center;">e-book : {{ISBN|9782953125122}}</div> = Notes de l'auteur = J'ai vu beaucoup de livres permettant l'écriture par l'exemple. Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit : * Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est : * Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être : * Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;: * Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est : * Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être : * Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;: * Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;: * Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;: * J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;: * J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue : * J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;: * J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;: * Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée : * Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être : * Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;: * Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;: * Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;: * Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;: * Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;: * Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;: * Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;: * Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;: * Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec :* La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que :* Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte :* Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain :* A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet :* De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est :* Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> os4inni7llq2ovwrqm7g3bemmqxnyso 745197 745196 2025-06-22T03:42:42Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Poésie et éveil */Typos 745197 wikitext text/x-wiki <div style="text-align:center;">Comment écrire des histoires</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">[http://archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires archive.org/details/CommentEcrireDesHistoires]</div> <br> <br> <br> <div style="text-align:center;">Méthode</div> <div style="text-align:center;">Coaching Créatif et Compréhensif</div> <div style="text-align:center;">par les Solutions</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Éditions LIBERLOG</div> <div style="text-align:center;">Éditeur n° 978-2-9531251</div> <div style="text-align:center;">{{ISBN|9782953125153}}</div> <div style="text-align:center;">e-book : {{ISBN|9782953125122}}</div> = Notes de l'auteur = J'ai vu beaucoup de livres permettant l'écriture par l'exemple. Or il faut avant tout se suivre soi pour écrire. Nous mettons en avant les procédés permettant d'écrire. Le cheminement vers la création se fait très souvent de la même manière. Ce livre me sert à mes ateliers d'écriture. Le lire vous donnera certainement de la clarté dans vos réflexions sur l'écriture. Écrire un genre de texte c'est utiliser des contraintes. Nous parlons donc d'écritures avec contraintes. Ces contraintes doivent avant tout donner l'envie d'écrire. Ensuite comprendre les autres permet de pleinement les combler. Nous énonçons les techniques ou technologies permettant de diffuser sa connaissance. Je n'essaye pas d'amadouer le lecteur mais lui propose les procédés permettant d'écrire et d'évoluer. On écrit toujours mieux quand on pense d'abord à soi. Ensuite on s'intéresse au lecteur pour ne penser qu'à lui quand on lui parlera. N'attendez pas pour écrire ! Écrivez dès que l'envie vient ! == Légende == Les mots en gras sont les liens vers les chapitres. Les mots soulignés sont les sites web. Les phrases en italique sont des thèmes ou recherches à effectuer permettant d'écrire ses propres notes. == Licence == Ce livre est sous licence CREATIVE COMMON by-SA. Vous pouvez redistribuer le livre et le modifier en citant l'auteur. Vous trouverez plus d'informations à ce site web : <div style="text-align:center;">[http://fr.creativecommons.org/ http://fr.creativecommons.org]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2006</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES et PARIS 2009</div> <div style="text-align:center;">[http://www.comment-ecrire.fr/ http://www.comment-ecrire.fr]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire'''</div> = Écrire = Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler. Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble. Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé. D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense. Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien. On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche. On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant "si"...'' == Écrire c'est quoi ? == Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu. Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif. Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ? Alors on cherche, puis on '''Trouve des partenaires''', pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important. On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir. === Mes notes === ''Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... '' == Trouver à écrire == L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant. Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes. Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire. === Mes notes === ''Qu'est-ce que j'aime écrire&nbsp;?'' ''N'hésitez pas à l'écrire...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aimer écrire == On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude. Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style. On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas. === Mes notes === ''Quand est-ce que j'aime écrire ?'' == Qu'écrit-on en général ? == On écrit : * Des émotions, souvenirs, et appréhensions. * L'image de ce qu'on est ou perçoit. * Ce qu'on pense, son avis. On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement. Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire "si...". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. === Mes notes === ''Écrire une lettre pour soi...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le mot == Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible. Un mot c'est : * Des sons ou des lettres. * Une histoire ou un secret. * Une signification, le sens du mot. En effet les mots existent depuis la préhistoire<ref name="ftn1">cf documentaire vidéo "Le sacre de l'homme", 2007, Fougea</ref>. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. Un mot c'est peut-être : * Une association de mots. * Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet. Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté. Se renseigner sur l'histoire d'un mot<ref name="ftn2"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Auteur Claude Duneton, "Au plaisir des mots", "Les Origomots"</div></ref> permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés. === Mes notes === ''Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...'' ''Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.'' == La phrase == Une phrase nominale c'est&nbsp;: * Un mot central. * Des phrases verbales autour ou un dialogue. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase verbale c'est : * Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet. * Une action – Un verbe. * Une qualification, un objet – Le complément. * Une métrique – Les syllabes. Une phrase c'est peut-être : * Une explication – "C'est.." * Une relation – "Oh, c'est bien !" * Une sensation – "J'aime..." * Une musique – "Il pleut, il pleut bergère." * De l'humour – "Lire c'est délire." * Utile – "J'aime l'amour." * Du temps – "Vous perdez votre temps." Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent&nbsp;: * Un sujet. * Un verbe. * Peut-être un complément. Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur. Une phrase complexe peut posséder&nbsp;: * Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe. * Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par "que". * Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe. Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom. Voici un exemple de proposition subordonnée relative&nbsp;: * J'aime celles qui adorent. Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée. La même phrase plus courte&nbsp;: * J'aime les fans. Une phrase courte est mieux comprise. Voici un exemple de dialogue : * J'ai dit&nbsp;: "Je suis drôle." Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive&nbsp;: * J'ai dit que j'étais amusant. Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique. Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle&nbsp;: * Je suis chez mon amie, où je m'amuse. Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase. La même phase plus précise sans proposition subordonnée : * Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux. Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases. === Mes notes === ''Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.'' == Les phrases == Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous. Des phrases ce sont peut-être : * Un dialogue. * Un poème. * Une chanson ou ballade. * Une histoire. * Une narration. * Une description ou analyse. * Une information ou explication. * Un texte injonctif. Un dialogue c'est&nbsp;: * Un discours direct. * Des changements d'interlocuteurs. * De la ponctuation avec des guillemets ou tirets. Un poème c'est&nbsp;: * Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers. * Des glissements de sens ou métaphores. * Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots. * Une mise en forme graphique. * Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles. Une chanson est de la même forme qu'un poème avec&nbsp;: * Plus de répétitions. * De la musique qui peut prendre le dessus. Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif. Une histoire possède&nbsp;: * Un scénario. * Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales. * Un héros réel ou fictif. * Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés. * Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis. Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu. Une narration possède&nbsp;: * Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ? * Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait. * Une chronologie. * Des pronoms. Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. Une description possède&nbsp;: * Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit. * Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait. * Un point de vue. Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain. Une argumentation possède&nbsp;: * Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre. * Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes. Une information ou explication&nbsp;: * Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur. Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec&nbsp;:* Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne. * Une organisation chronologique. * Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre. === Mes notes === ''Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...'' == Manque de vocabulaire == Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela. Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe. Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues. Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de '''Trouver un partenaire''' complémentaire. Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications. === Mes notes === ''Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire une histoire'''</div> = Écrire une histoire = Écrire une histoire peut être un point de départ pour commencer à inventer. On crée une situation inattendue pour le lecteur mais voulue par l'auteur. Le lecteur aime être guidé. Alors n'hésitez à l'orienter grâce à votre objectivité. === Mes notes === ''Écrire sur une situation récente et inattendue...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une première histoire == Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens. Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit. Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit. Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens. Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants. L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur. En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. === Mes notes === ''Écrire une histoire à partir de votre vécu...'' == Écrire une histoire tout seul == Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire. On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire. On peut alors écrire en se disant "si...". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style. Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien. Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations. En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après. === Mes notes === ''Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...'' == Écrire une histoire en groupe == Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits. Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue. Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant "si...", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens. Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet. Celui qui mène le brainstorming permet :* De se confronter avec la réalité. * De trouver un sens, qui fera la raison du livre. * D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant "si...", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond. * De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit. * D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme. Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire. === Mes notes === ''Avec le chapitre '''Créer ses ateliers''', au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants..''. <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Corriger la structure de son texte == Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé. On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction. Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. À nous donc de le toucher vers la bonne direction. Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte. D'autres événements intriguent. Ils accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers. Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres. Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. === Mes notes === ''Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour soi'''</div> = Écrire pour soi = Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait. Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi. Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé. On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours. === Mes notes === ''Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...'' == Rêver == Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves. On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste. Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté. En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque. Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent. En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident. === Mes notes === ''Imaginer ou écrire un rêve...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Chercher la vérité == Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite. Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité. Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation. Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes, permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement. === Mes notes === ''Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...'' ''Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.'' == Avoir un style == Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant "si..", permet de créer un début de style. Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer. Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme. Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir. === Mes notes === ''Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...'' == Devenir positif == Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus. Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture. Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller. === Mes notes === ''Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...'' <div style="text-align:center;"></div> == Pourquoi écrire ? == On écrit :* Pour soi - Au début on se parle à soi. * Pour savoir ce que l'on est en train de faire. * Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres. * Pour garder une trace de sa vie. * Pour raconter le bon côté de sa vie. * Pour exposer quelque chose. * Pour se comprendre. * Pour imaginer une histoire et la revivre. * Pour se présenter au travail. * Pour s'épanouir. * Pour anticiper le futur. Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication. Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses. Écrire sert pour celui qui écoute à :* Sa technique. * Son style. * S'épanouir. * Préparer sa communication. * Se présenter. Écrire sert pour celui qui communique à :* Garder des traces de ses dires. * Aller dans le fond des choses. === Mes notes === ''Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...'' == La perception du lecteur == Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant. Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :* Ses secrets. * Sa vie. * Ses souhaits. * Son objectivité. Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans la communication, aiment en premier :* L'écriture. * Le côté limpide. === Mes notes === ''Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...'' == Comment écrire ? == Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir. Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant "si...", en utilisant son oisiveté. Puis …* Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire. * Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler. * Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts. * Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens. * Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé. === Mes notes === ''Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Par quoi commencer ? == Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :* Histoire – Texte imaginé. * Chanson – Musique et refrains. * Ballade - Entre la chanson et l'histoire. * Poème - Texte à vers. * Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers. * Nouvelle - Anecdote longue. * Roman - Histoire longue avec des scénarios. * Histoire drôle. * Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante. * Sketch - Histoire drôle à mettre en scène. * Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène. * etc. On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner. Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires. === Mes notes === ''Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...'' == On m'oblige à écrire == On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites. Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :* Des idées. * Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire. * Un plan. * Le texte. Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous. === Mes notes === ''Écrire sur votre incertitude...'' [[Image:|top]] == Pourquoi ? == On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères. Après avoir écrit on :* Peut distinguer ses limites. * Se perçoit mieux. * Se comprend mieux. * Rêve. * Utilise l'écriture comme exemple. * A envie de chercher d'autres émotions. * Veut être compris. * A envie d'échanger ce qu'on s'est dit. * Veut voyager, pour écrire autre chose.<br/> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;">On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.</div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> <div style="margin-left:0cm;margin-right:0cm;"></div> === Mes notes === ''Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...'' == Avoir un avis == Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs. Un avis c'est :* Un début de compréhension. * Une évolution humaine. * Une compréhension des autres. * Un filtre humain sur des informations. * Se sociabiliser. Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres. Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle. === Mes notes === ''Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...'' == Avec quoi écrire ? == On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis. On s'informe selon ses orientations. Le journalisme<ref name="ftn3"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf Chapitre '''Être journaliste'''</div></ref> permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer. À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. === Mes notes === ''Écrire sur une conférence que vous avez vue...'' ''On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Le fond ou la forme ? == Il existe deux genres d'écrivains :* Écrivains attachés à la forme ou la communication. * Écrivains attachés au fond ou à l'écoute. Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore. Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue. Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres. Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond. === Mes notes === ''Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...'' == Bien écrire == Pour bien écrire il faut :* Rêver – Notre environnement fait rêver. * Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer. * Se dire comment les choses sont faites. * Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise. * Se dire "si..." pour trouver à écrire. * Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix. On travaille plus :* Sa technicité, si on est dans l'écoute. * Le fond, si on est dans la communication. Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres. Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout. === Mes notes === ''Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...'' == Créer un rythme == Pour créer un rythme rapide, il faut :* Utiliser des verbes d'actions. * Créer des phrases courtes. Pour créer un rythme lent, il faut :* Expliquer au maximum ce qu'on pense. * Ne pas utiliser de verbe d'action. * Utiliser les participes. * Ajouter des mots de liaisons. * Mettre des virgules. Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible. === Mes notes === ''Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...'' ''Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.'' ''Comparer les deux écrits.'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire avec une contrainte'''</div> = Écrire avec une contrainte = Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés. Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte. Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement. Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... === Mes notes === ''Écrire en défendant un voisin détesté...'' == Les contraintes == Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire. On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul&nbsp;:* Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité. * Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description. * Faire commencer ses phrases par certains mots comme "si" ou "j'aime". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif. * Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie. * Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris. * Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers. * Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité. * Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br/> On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:* Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination. * Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête. === Mes notes === Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte. == Écrire un poème == Pour écrire un poème, il faut avoir du vocabulaire, afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot, se prononçant de la même manière, à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation. Mais il y a une astuce, si on n'a pas beaucoup de vocabulaire : Il suffit d'avoir des rimes préparées. On peut faire facilement des rimes en "er". Cela peut servir pour le slam. Un beau poème donne des émotions. Il faut que le lecteur se sente entraîné par ses sentiments, pour que le poème soit réussi. À certains moments, le lecteur est dans cette condition. Il existe toutes sortes de poèmes comme les limericks, les sonnets, les fables. En général ces poèmes ont une restriction thématique, avec les fables ou les limericks. Une fable est un poème avec personnages fictifs, ou des animaux et une morale. Un limerick est humoristique, sarcastique, grivois, irrévérencieux ou irréligieux. Sinon, la contrainte peut être structurelle, avec les limericks<ref name="ftn4"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cinq vers rimés (rimes A-A-B-B-A)</div></ref> ou les sonnets. On demande alors des vers, avec un certain nombre de syllabes, ou pieds. On peut aussi demander certains genres de rimes. Les genres de rimes sont groupées, en fonction de l'éloignement de différentes rimes. Vous pouvez trouver de nouvelles références de poèmes chaque jour. Après avoir écrit des poèmes, on peut se laisser tenter par une ballade, puis une chanson. === Mes notes === ''Écrire un genre de poème choisi...'' ''Faire une recherche des structures poétiques sur WIKIPEDIA.'' == Corriger un poème == Corriger, ou relire un poème, permet de savoir l'émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme, en poésie, ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix. On cherche d'abord à remplacer certaines comparaisons par des métaphores, en rapport avec l'émotion produite. Relire son poème à haute voix, ou avec quelqu'un d'autre, permet de trouver des sensations. Le rêve crée la métaphore. Les vers possédant des pieds pairs sont plus harmonieux. Le "e" muet se prononce, mais on relit les apostrophes avec le mot. Il faut donc éviter le "e" muet, peu envoûtant. Éclaircir son poème permet de mieux transmettre l'émotion. De même, assortir les singuliers avec les singuliers, les pluriels avec les pluriels permet de créer une cohésion. Le hiatus ce sont deux syllabes identiques, côte à côte, qui produisent un son identique. C'est peu harmonieux donc à éviter. Par contre le hiatus est intéressant pour la surprise. Ainsi les rimes peuvent être suivies en A-A-B-B pour homogénéiser. On peut aussi alterner en A-B-A-B afin de diversifier. On peut aussi déplacer une rime, tout à la fin, pour créer un effet de surprise, puis reprise, afin que le lecteur s'intéresse à la fin du poème. L'alexandrin est un vers en douze pied très harmonieux. Il est difficile à réaliser. En effet il nécessite de compter chaque pied de vers, en coupant le rythme, deux ou trois fois, afin de le rendre lisible. Dans la poésie classique, on parle de "richesse de rimes", lorsque deux rimes sont d’égale résonance. "aimer" et "viser" c'est plus joli que "aimer" et "narrer" ou "aimer" et "penser". === Mes notes === ''Corriger un poème selon quelques unes des règles qui vous semblent importantes...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Écrire une ballade == La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds. Le tout se joue sur trois rimes, avec des fins de vers organisées comme ceci&nbsp;: A-B-A-B-B-C-B-C. Cela crée un rythme harmonieux à chanter. Les trois couplets se terminent par le même vers. Le demi couplet final, qui se nomme "envoi", commence par un beau mot, "Amour" ou "Belle", par exemple. La ballade se termine par les rimes B-C-B-C, dans ce demi-couplet. Il y a en tout vingt-huit vers. Un poème qui se chante possède des rythmes répétés et harmonieux. Vous pouvez vous servir du chapitre précédent, afin de '''Corriger votre poème''', pour qu'il soit chanté. === Mes notes === ''Écrire une ballade à chanter...'' == Créer ses ateliers == Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes. Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument. Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire. Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver. À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous. === Mes notes === ''Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...'' == Le slam == Le slam, c'est inventer des poèmes devant les autres. Pour faire du slam il faut :* Fonctionner sur son intuition. * Avoir un avis qui évolue. * Préparer des rimes passe-partout. * Rimer pour s'entraîner. * Être engagé dans une activité au moins. * Ne pas hésiter à parler devant un public. Il faut d'abord faire lire un poème, puis se le lire. Puis on improvise avec de la préparation et une bonne mémoire. On peut aussi lire le poème que l'on vient d'écrire. On peut choisir des rimes préparées, qui peuvent passer partout, que l'on peut changer facilement. Ensuite, le vocabulaire et la mémoire aident contre le trac. Le plus important est de dire des rimes, afin de ressentir une émotion. Pour montrer que l'on évolue, on peut aller à des ateliers de slam, puis de lectures de contes. La lecture de contes, c'est lire une histoire et la redire en gardant la trame. Il y a aussi le théâtre d'improvisation, les exposés à présenter. Toute présentation devant un public est à apprendre<ref name="ftn5"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Cf "Grand Slam de poésie" ou "Le Slam, poésie urbaine"</div></ref> pour slamer. === Mes notes === ''Préparer des rimes. Aller à ou '''Créer un atelier''' libre de slam, dans un café ou une médiathèque...'' [[Image:|top]] == Écrire un éloge == Pour écrire un éloge, il faut d'abord trouver des éléments, à la fois objectifs et convaincants, à propos de celui pour qui, ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse. La fin d'un éloge comble le lecteur, ou l'auditeur, par une emphase. Il faut ensuite écrire son éloge, en changeant de thèmes ou de points de vus objectifs et positifs. L'objectivité améliore les phrases positives. L'objectivité n'est jamais complète. C'est pourquoi il faut la chercher. La fin devient de plus en plus élogieuse. Un éloge s'écrit en hyperbole. Il faut combler le lecteur, ou l'auditeur, au départ, pour qu'il adhère à la fin, par la forme et le fond de l'éloge. === Mes notes === ''Écrire une emphase, sur vous ou sur quelqu'un...'' == Écrire un conte == Lorsqu'on veut expliquer une idée et que l'on manque d'idées pour que les autres comprennent, on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l'essentiel. On essaye, alors, de préparer des animaux ou plantes, en choisissant ceux qui représentent le mieux ce que l'on veut expliquer. On va ensuite utiliser les personnages qui ne veulent pas comprendre, comme étant ceux qui ont le mauvais rôle. Puis, on se choisit un personnage qui va faire vivre la morale du conte, le message à donner. En se disant "si.." on peut écrire l'histoire, ou la raconter à quelqu'un, en '''lecture de contes'''. En effet, au début, les contes n'étaient que dits. === [[Image:|right|top]]Mes notes === ''Écrire un conte avec des animaux de compagnie...'' == Lecture de contes == La lecture de contes, c'est improviser une histoire vivante, en fonction du scénario d'un conte. On ne se souvient que de la trame du conte, quand on raconte. On ne récite pas, mais on invente des émotions, ou dialogues. Il faut alors improviser et créer des attitudes, puis faire ressentir son émotion, quand on revit cette histoire. Certains auditeurs innocents permettent de savoir si on montre la bonne émotion. On peut être aidé par un décor adapté, ou une ambiance joueuse, car celui qui regarde doit jouer avec vous, pour s'imbriquer dans l'histoire. Lorsqu'on se suit, l'histoire prend un caractère émotionnel important. La lecture de conte demande à jouer avec ses sensations, pour montrer le meilleur de soi. === Mes notes === Participer à un atelier de lecture de contes... '''''Créer ses ateliers''', racontant des histoires, qui parlent du quotidien, de nos limites...'' == Écrire un exposé == Un exposé est présenté aux autres. Il n'y a donc pas besoin de savoir écrire, mais plutôt de savoir se mettre en valeur. Les premiers exposés apprennent son domaine à un public, qui a été averti du thème avec un résumé de la conférence. Ils peuvent être retravaillés, ensuite, avec les questions du public. Il faut que celui qui entende comprenne les idées essentielles et pourquoi elles s'offrent à lui. C'est pourquoi un exposé se présente généralement comme ceci :* Quand et Pourquoi ? (Introduction) * Comment ? (Exposé) * Sinon... (Conclusion) Le début de l'exposé met en place une histoire, avec des recherches historiques ou sémantiques. On donne une raison à l'exposé. Ensuite, on explique, avec ses connaissances, de façon plus ou moins étayée, en fonction du temps imparti. On peut faire participer le public, en lui demandant d'agir ou en s'interrogeant. On définit le temps imparti, en se présentant l'exposé. Il ne faut pas oublier les questions que l'on se pose, lorsqu'on se critique. On utilise alors son perfectionnisme. La conclusion ouvre vers d'autres recherches, en résumant ce qui a été expliqué. Tout doit être clair et précis. Il faut sans cesse se rattacher à ce qui vient d'être présenté, pour montrer que ce que l'on dit a du sens, en toute objectivité. Il faut être précis et créatif, tout en expliquant les mots, méthodes et termes de son domaine. Ensuite, choisir des exemples, démontrant ce qu'on dit, permet de s'adresser à tous et à toutes. Il faut savoir expliquer avec des exemples que tout le monde connaît. Il faut toujours écrire le plan sur des fiches, avec une fiche par vue. Cela permet d'éviter le trou de mémoire et le stress négatif. Plus un exposé est préparé, mieux on le réussit. Plus un exposé est court, mieux on le comprend. Si l'exposé est long, il doit capter l'auditeur avec des phrases chocs. Plus un exposé est créatif, ou recherché, plus il est attrayant. Un exposé documenté possède une suite pour soi. Il mène vers d'autres chemins. Certains ateliers de communication, culture et expression, permettent de réaliser un exposé, tout en apprenant à se présenter. Il y en a au Conservatoire National des Arts et Métiers. === Mes notes === ''Exposer un projet personnel pour vous, puis pour les autres...'' == Écrire un discours == S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc. Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet. Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges. Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées. On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours. Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public. === Mes notes === ''Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Apprendre à former == Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance. Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire. Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres. Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer. Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation. Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons. Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication. Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation. === Mes notes === ''Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. '' ''Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. '' ''Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...'' == Apprendre un métier == Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer. Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peut ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture. Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible. === Mes notes === Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire. == Mon premier sketch == Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres. Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public. En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants. Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques. Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule. Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être écouté. Ensuite, utiliser l'humour, afin de se montrer ridicule, permet de devenir malin. === [[Image:]]Mes notes === ''Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...'' == Écrire une romance == Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour&nbsp;? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes. Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre. Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman. Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle. Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire "si..", pour imaginer ces histoires parallèles. Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer. On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun. Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes. Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées. === Mes notes === ''Assembler des histoires écrites en un roman...'' == Créer un scénario == Un scénario sert à travailler des œuvres d'une autre dimension, qu'un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d'un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte, ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif, ou bien d'un style peu visité. Le scénario peut donc servir à résumer une future œuvre, que ce soit un roman, une bande-dessinée, une musique ou un film. Le roman va donc permettre d'étayer un travail d'introspection, permettant de détailler le scénario. On s'intéresse alors à une thématique, portant sur certains détails, ou un travail de fond, afin de mettre en valeur une majeure partie de son futur travail de détails. La thématique peut être un visuel des personnages, comme un simple manque décelé par ses lecteurs. On met aussi dans le scénario ce qui peut s'oublier. Ce qui gêne doit être revu ou enlevé. Seule sa thématique choisie et le rendu comptent. Travailler un scénario, même s'il n'est pas fini, permet d'éduquer son esprit à la thématique travaillée. Ce qui est important, c'est l'évolution de son travail, pas l'objectif de résultat. === Mes notes === ''Écrire un scénario, afin de travailler son histoire sur une thématique, portant sur certains de ses détails...'' == Créer un scénario de roman == Un scénario de roman se construit avec l'imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l'environnement du roman. L'imagination ou le vécu permettent d'intriguer le lecteur, avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage, afin qu'il se rapproche de son imagination. Ce sujet parle du quotidien, même si c'est de la science-fiction, mais on peut cacher ce quotidien, grâce aux personnages, ou à la situation. C'est alors qu'on peut créer un scénario en se disant "si...". Ce scénario est amélioré ensuite en écrivant le roman. === Mes notes === ''Écrire un premier scénario d'histoire, sur un sujet qui vous concerne chaque jour...'' == Créer un personnage == On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l'inconnu avec son ego et les autres. C'est pourquoi développer son ego et son humilité, avec les autres, permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité, suffisamment longtemps. Écrire sur un personnage nécessite que ses habitudes touchent. Il faut que le lecteur comprenne pourquoi on a été touché, avec une mise en situation et une description qui fixent le lecteur. On peut alors créer une vie qui correspond à ce qu'on voit en lui, prise sur l'expérience quotidienne, qu'elle soit imaginée ou réelle. L'environnement du roman permet de situer le personnage. On peut ajouter des éléments en fonction de la situation, pour renforcer ses caractères. Un personnage qui parle au lecteur c'est son quotidien. === Mes notes === ''Créer un héros qui a toutes les qualités que l'on a...'' == Écrire un livre == Un livre c'est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n'est pas terminé, si le lecteur nous le dit. Le début d'un livre permet de donner envie de lire. La relecture du début permet d'ajouter du mystère, du détail, son envie, ce qui manque en somme. Tout doit être exact et précis. Un livre est structuré en chapitres, pour que le lecteur distingue cette structure lui aussi. Tout ce qu'on pense doit être écrit, d'une manière ou d'une autre, avec un simple avis ou des détails. Le lecteur intellectuel aime le détail et le suspense. C'est lui qu'il faut chercher, car il lit beaucoup. On écrit un livre en délivrant un maximum de cartes de son jeu. Il faut rester sur le même objectif, pendant le temps que le livre se construit. Les réflexions et son oisiveté créent le livre. Autrement dit, utiliser son amour du détail, sur le sujet du livre, permet ne pas changer de thème. On écrit dès qu'on en a l'envie. On étudie alors le thème en l'explorant sur tous les angles. Il y a deux manières d'écrire : Mettre en place un scénario au début, ou au fur et à mesure. Il est préférable de créer son scénario au fur et à mesure, si le thème n'a pas été suffisamment exploré. On écrit alors différentes histoires, ou analyses, sur le même thème. Ces textes sont mélangés, s'il s'agit d'un roman. Le scénario et les intrigues créent les chapitres. Ils sont organisés en chapitres, pour des analyses ou explications. Les chapitres sont donc à peu près égaux. Ils décrivent plus une ambiance donnée par l'auteur, ou bien une façon d'écrire, une intrigue. Il faut cependant définir comment on voit ses chapitres dans un roman. Tout doit être pensé dans un livre. Pour écrire un livre, il faut avoir fait de la politique. Les meilleurs livres ont une idéologie, un sens qu'on veut comprendre après avoir lu. Ils sont donc réfléchis et pensés à l'avance. Nos premiers livres ne sont jamais pensés à l'avance, mais possèdent de la fraîcheur. Les meilleurs livres permettent de se construire, de trouver des éléments sur soi, d'évoluer. Il faut plaire au lecteur, tout en osant lui apprendre ce qu'il ne sait pas. === Mes notes === ''Trouvez des relations entre certaines histoires, ou analyses, afin de déceler un thème, ou une relation dans vos écrits.'' ''Comblez les manques ou détails que vous souhaitez ajouter dans des histoires ou analyses annexes.'' ''Créez un livre organisé en chapitres. Si vous utilisez un ordinateur, il existe pour cela un outil libre et gratuit comme LIBRE OFFICE. '' ''Recherchez avec le traitement de textes les mots avec peu de détails comme "est", "fait", "suis", etc. Ajoutez du détail ou améliorez le sens à la place de ces mots.'' ''Sauvegardez votre livre électronique en le dupliquant à au moins deux endroits différents.'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Écrire pour les autres'''</div> = Écrire pour les autres = On écrit toujours pour les autres. Il est à chaque fois intéressant de montrer ses textes, pour savoir où l'on va. Maîtriser votre vie avec les autres est votre atout maître. Si vous êtes dans la communication vous vivez pour les autres. Ce que vous écrivez se comprend facilement. Il faut donc expliquer à quiconque dans l'écoute qu'il peut apporter la communication de soi aux autres. On s'enrichit alors plus vite, tout en se montrant comme un professeur dans l'écoute. Si vous êtes dans l'écoute, plus on se différencie de l'autre, plus on apprend avec lui. Si on pense à une méprise éventuelle, elle serait venue un jour ou l'autre. Le mieux est donc d'anticiper, plutôt que de subir. Aller à la rencontre des autres permet d'écrire pour eux. === Mes notes === ''Écrire une lettre à quelqu'un...'' == Ce que le lecteur aime == Le lecteur aime :* L'amour. * Rêver. * S'informer. * Le mystère. * Le suspense. * Penser. * La générosité. * L'extrême. * Le voyage. * Les gens. * Les genres. * Apprendre. Un texte court possède certains de ces attraits. Travailler un roman ou une histoire consiste à créer plusieurs histoires, par rapport à ce que le lecteur recherche. Dans le roman, changer les fils de l'histoire et en créer de nouveaux permet d'ajouter du suspense. En créant de petites histoires, on peut ensuite les disséminer ou les insérer. === Mes notes === ''Écrire une histoire qui a pour titre une des passions du lecteur...'' == Se critiquer == Se critiquer, c'est trouver ce qu'il y a de mieux en soi. On y arrive en regardant ses défauts. Mais ils viennent souvent d'une peur qui nous repousse. Si on n'a plus peur de nos défauts, nos qualités se révèlent, car nos en avons tous, il faut juste trouver avec qui les exprimer. Connaître ses défauts permet de réagir, quand on est galvaudé ou renié. Mais cela permet aussi d'écrire sur ce monde imparfait. Nos écrits deviennent alors plus réalistes, car nous recherchons une vérité. Le lecteur lui aussi essaie de résoudre un problème, en lisant. === Mes notes === ''Écrire sur ses défauts. Chercher à s'améliorer ou à remplacer un défaut par une qualité...'' ''En effet on veut intuitivement combler ses défauts, si on les connaît. L'important est d'être d'accord avec soi.'' == Raconter les autres == Quand on est sensible ou créatif, il n'y a aucun problème à écrire, en ayant envie de s'épanouir. Observer les autres et se souvenir permet de trouver comment écrire sur soi et sur eux. L'écriture permet de se mettre en valeur. Mais elle sert avant tout à raconter d'autres vies. Elles sont à mettre en valeur, grâce à son ego et l'observation. C'est à ce moment que l'on montre comment on perçoit son environnement, pour se comprendre encore mieux. On observe les autres et on comble leurs mystères, avec son ego. La logique et la recherche du sens servent à créer des personnages, exagérés ou sensibles. Il est plus facile d'exagérer un personnage que de le construire, comme quelqu'un d'introverti. Le mieux est d'observer, de noter, pour trouver une histoire et choisir un modèle, si la création manque. En se relisant, l'écriture se révèle à soi, à force d'aller vers les autres. Au final, on construit la façon de penser que l'on perçoit, car toute façon de penser est un simple avis. === Mes notes === ''Écrire sur les personnes de son quartier ou village...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Mettre en place un projet == Un projet c'est :* Un début vers une destination, une fin. * Des objectifs permettant de le réaliser. * Construit avec les autres. Un projet ça peut être tout ce que l'on veut. Avec les autres on peut en effet imaginer toutes sortes d'objectifs. C'est pourquoi certains projets se réalisent plus facilement que d'autres. Pour mettre en place un projet il faut d'abord écrire ce qu'il apporte à ceux qui en bénéficient. Décrire à qui il s'adresse crée donc la première étape. Une autre étape se construit avec la définition de la fin du projet. Ensuite on écrit des objectifs permettant de combler les manques, afin de mettre en place son projet. Pour trouver les manques, on fait défiler son scénario à partir de la fin, en se demandant comment on passe à l'étape suivante. Lire son projet aux autres permet de le mettre en valeur, en le critiquant. On cherche alors les erreurs qui peuvent se produire, en donnant alors des objectifs secondaires. On définit donc les risques ou failles éventuelles. On met alors en place un plan d'évolution du projet, en cherchant des erreurs de coordinations. Des problèmes secondaires se comblent avec des acteurs ou objectifs secondaires. On met en place une présentation du projet, reprenant les éléments importants. On cherche enfin des partenaires au projet, qui comblent nos défauts, ou ajoutent des atouts. Il faut connaître :* Le domaine du projet. * La présentation d'un projet. * Le pragmatisme. Vous pouvez consulter dans le livre des chapitres comme '''Écrire un exposé''' ou '''Critiquer'''. Ils vous aident à mettre en place votre projet. === Mes notes === ''Écrire son projet que l'on souhaite réaliser...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Auteur créatif ou lecteur == Les auteurs qui inventent et écoutent lisent moins que ceux qui souhaitent profiter des écrits des autres. Seulement leurs écrits sont repris par des auteurs qui lisent beaucoup. Construire un nouveau texte ne s'écrit pas comme une partition de musique. Il ne suffit pas de changer cette partition. Il s'agit de combler un manque que l'on a trouvé. Il s'agit de modifier ce qui se comprend mal. On décèle les éléments qui se comprennent mal, lorsqu'on cherche à comprendre ce qui a été écrit. Le sens puis le style sont primordiaux dans un texte. Inventer c'est se poser des questions, autour de ses limites. Le créateur devient alors un génie, car il permet aux autres d'avancer. Nos limites sont, pour certaines, une accessibilité aux autres. Ceux qui lisent et qui inventent repoussent les limites humaines, en se posant les bonnes questions, celles qui font avancer les autres. Leurs écrits sont suffisamment travaillés pour présenter leur invention ou idée. === Mes notes === ''Écrire sur ses limites...'' == Écrire pour tous == Il existe une façon d'écrire qui permet d'être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire. Plus le lecteur s'évade moins il a l'impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C'est comme cela qu'il aime l'auteur. Il devient indépendant tout en lisant. Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur. En enlevant les fautes de sens, puis en étayant ses écrits, on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases, mais laisser la poésie ou l'humour, ce qu'on a aimé. Il faut se méfier de ce qu'on n'aime pas, car une peur peut empêcher de se libérer. Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser, ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l'objectivité, le sens, le suspense. L'objectivité n'est jamais complètement aboutie. La recherche de l'objectivité puis du sens est donc constante. Il ne faut pas dire comment on se voit soi, mais plutôt décrire une vie quotidienne, pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu'on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie. Il retrouve l'envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté. L'humour permet d'écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l'humour et la poésie. Il faut connaître les atouts de l'écriture pour tous, comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus. === Mes notes === Écrire une histoire qui plaît à soi, puis au lecteur... == Voir son incertitude == Nous avons tous été incertains. Si nous ne pensons pas cela, c'est qu'il y a des questions à se poser. Que ferions nous si nous devions prendre une décision dans l'incertitude ? Nous aurions selon notre conscience une chance sur deux de nous tromper. Il faut donc croire que l'honnêteté de nos choix s'acquière avec les décisions prises. Comment faire autrement ? En écrivant son incertitude, on peut alors prendre des décisions quelques jours après cette incertitude. En parlant avec quelqu'un, après avoir écrit, on peut lever son manque d'assurance. Il faut peut-être poser des questions à son entourage, car l'incertitude, par définition, n'est pas compréhensible. Il faut aussi comprendre pourquoi on en est arrivé là, à chaque fois. Ensuite on tente d'éviter ce scénario qui possède l'origine de ses défauts. Certains de nos défauts sont cachés par une peur quelconque. Retrouver confiance en soi en s'affichant cette peur peut, petit à petit, expliquer cette dernière, pour la prendre au ridicule. Nous voyons que beaucoup de personnes prennent des décisions dans l'incertitude. Une façon de se démarquer serait donc de devenir honnête, en étant suffisamment indépendant, grâce au jugement porté sur soi. L'humilité permet de trouver ses défauts, tout en se mettant en valeur pour les autres. Si on ne veut pas se connaître, on finit par prendre des mauvaises décisions. On se fie aux autres pour juger. On va jusqu'à juger les autres sans se connaître. On ne sait rien des autres parce qu'on ne se connaît pas. Voici donc la recette pour devenir connu par son honnêteté, source de bonheur. Il faut avoir sa liberté de penser et combler les raccourcis qu'on a toujours pris dans son enfance. La liberté de penser s'acquière en ne dépendant pas moralement des autres. On se crée des règles qui permettent d'être autonome. On a tous voulu atteindre des objectifs grâce à l'intuition, afin de gagner du temps. Une intuition non comprise ou non écrite se perd. Comprendre petit à petit ses travers permet de montrer ses atouts. Un jour, on croit qu'on a très vite et très bien évolué. Nos défauts se sont comblés en les comprenant. Cela permet de prendre des décisions dans le bon sens. Donc on évolue vers ce sens audible. Un jour peut-être on nous félicitera pour une décision prise. Qu'importe... L'important est d'expliquer comment on l'a réalisée. Il faut alors montrer ce que l'on imaginerait, afin de vérifier que l'on ne se trompe pas. Notre indépendance nous satisfait. Nos prises de décisions nous renforcent. Nous avons une expérience de valeur transmissible. Il ne faut cependant pas oublier nos travers enfouis, car nous les connaissons. Nous voulons juste les oublier. Pourquoi ne pas les écraser par la recherche de sa vérité&nbsp;? [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Écrire sa biographie en cherchant ce que l'on peut améliorer...'' == Réveiller son talent == Savoir se détendre et savoir penser pour s'améliorer soi permet de réveiller son talent. Travailler sa mémoire en apprenant des textes et en les lisant aux autres permet de se comparer à ce qui existe. Ensuite les rêves permettent de se construire, donc d'évoluer. On ne peut réveiller son talent sans faire travailler son esprit détendu, prêt à évoluer. On évolue doucement sur certains points et très vite sur d'autres. Alors il faut discuter avec les personnes à l'opposé de soi, pour travailler ce qui va lentement chez soi. Ensuite les autres pensent que l'on a complètement changé. On devient alors indépendant. Lorsqu'on est sur les limites d'autrui, on devient accessible. En effet l'humain aime évoluer quand ses peurs sont évacuées. Lorsqu'on se spécialise, seules les personnes de notre métier nous comprennent. En travaillant ses limites et en écrivant avec ses limites on tente de comprendre l'humain. Écrire comment nous sommes faits permet d'être lu ou écouté. Mais cela permet aussi d'écrire. On peut alors comprendre comment on conçoit la communication par son instinct. On peut donc expliquer comment on fonctionne. On devient un professeur ou un artiste de l'écriture. La mise en condition permet de se galvaniser et de rentrer dans un état idéal, pour montrer son talent. La mise en condition s'apprend au théâtre, en communication. === Mes notes === ''Écrire sur un point qui fait défaut. Trouver pourquoi ce point est négatif et le chemin qui permettrait de le combler...'' == Critiquer == Critiquer est ce que l'on fait le plus. Mais ce n'est pas ce que l'on fait de mieux. Nous critiquons en confondant notre intuition et nos préjugés. L'intuition décèle ce qui ne convient pas. Mais, sans la définir avec des mots, elle est faussée par des préjugés, voire une culture, si cette dernière n'évolue pas. Seul quelqu'un d'humble peut critiquer les autres. Il sait construire pour les autres en pensant à l'intérêt général. Il sait faire abstraction de lui, afin de comprendre autrui, pour voir ses différences et qualités. Si on ne sait pas s'oublier pour comparer, son jugement est au mieux raisonnable, au pire non appréciable ou sans valeur. L'écoute permet de critiquer mais l'égocentrisme fausse tout jugement. L'humilité permet de le refouler. L'égocentrisme sert avant tout à se mettre en valeur. Se comparer aux autres avec son ego est souvent risible pour quelqu'un d'humble. === Mes notes === ''Écrire sur vous sans vous valoriser ou vous dévaloriser...'' ''Écrire ensuite sur quelqu'un qu'on a du mal à comprendre avec la même méthode...'' ''Se relire..'' == Trouver un partenaire == À force d'être toujours dans le même domaine, on devient insatisfait. En n'apprenant plus, on se lasse de la vie. Il faut donc trouver un partenaire différent de soi. Une institutrice a remarqué que certains élèves avaient le parcours que l'on croyait. D'autres changeaient complètement par un événement important ou leur envie de la différence. Pour trouver un partenaire il faut savoir prendre les meilleurs atouts de son côté. Si on est dans la communication il faut prendre un partenaire prolifique ou bien pragmatique. Si on est dans l'écoute il faut prendre un orateur, un commercial, un communicant capable de nous transcender. Pour choisir un partenaire, on écoute son intuition ou son cœur en faisant abstraction de sa culture et de ses préjugés. Il faut envisager comment on peut avancer avec cette personne. S'attendre au pire comme au meilleur permet de distinguer ses limites. Son partenaire le sait ou il faut le lui dire un peu. === Mes notes === ''Écrire sur un ami que vous comprenez peu afin de réaliser un projet avec lui...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Utiliser son écoute == Quelqu'un qui écoute s'élude afin de comprendre les autres. Il sait donc critiquer. Il peut servir de conseiller. Les orateurs cherchent les personnes dans l'écoute. Il leur arrive des problèmes quand ils perdent le pragmatisme de leurs conseillers. Trouver un orateur permet, avec lui, de mieux expliquer. En effet le pragmatisme est non seulement créé par l'oubli de soi, mais en plus déformé par la mauvaise écoute des autres. Il faut écrire pour être facilement compris par l'orateur. On regarde alors ses textes plus tard, après les avoir oubliés. On ne comprend alors pas certaines phrases. Il faut alors combler ces fautes de sens. === Mes notes === ''Écrire à ou sur quelqu'un afin de le comprendre...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Améliorer ses textes'''</div> = Améliorer ses textes = <div style="text-align:center;"></div> Si nous ne nous améliorons pas, nous sommes perdus, car nous vivons grâce à nos problèmes. Comment pourrions nous apprécier la vie sans avoir des soucis, permettant de se remettre en cause ? Nous cherchons tous à être aiguillé. Par défaut nous prenons ce qu'il y a de connu. Dommage car nous restons aigri avec le si peu de nouveautés. Pourtant l'urgence de tout faire tout de suite nous pousse à faire le strict minimum. Dommage car ceux qui cherchent améliorent aussi le monde. Pour ma part j'étais dans l'écoute. Découvrir ce qu'on faisait avec la communication me dégoûtait. Mais je me suis aperçu que ces deux mondes antagonistes se parlaient de moins en moins. À quoi bon réfléchir pour les autres s'ils ne nous comprennent pas ? Je savais pourtant que parler ne servait à rien, quand il n'y avait rien derrière. Je savais que, lorsqu'on parlait à tue-tête, on ne pouvait plus réfléchir. Seulement on connaît les autres en leur parlant. Il faut donc que ceux qui écoutent aillent vers ceux qui connaissent l'humain. Tant pis si cela crée de mauvaises aventures. Ensuite on saura les éviter. Il faut aussi que ceux qui comprennent l'humain se subjuguent à comprendre les petits savants. Ils les aideraient forcément. Au moment où chacun se rend malade, en fustigeant ou énervant son voisin, pour des raisons souvent stupides, il faut savoir que discuter avec courtoisie crée beaucoup moins de regrets. La courtoisie ce ne sont pas que des manières. C'est mettre en valeur l'inconnu. En tous les cas les problèmes se résoudraient plus facilement avec plus d'amis, qu'avec son propre monde aigri et amorphe. Alors nos hésitations deviennent du courage. Nos connaissances parlent de nous en bien. Nous sommes soutenus par nos voisins. Au final nous ne voyons le mal dans l'humain que pour éviter ce qui se comprend facilement. Notre temps sert par contre à comprendre d'autres atouts. === Mes notes === ''Écrire sur un problème résolu...'' ''Le faire lire...'' == Communication et écoute == L'écriture sert avant tout à s'épanouir. On s'épanouit quand on évolue très vite dans un domaine qu'on connaît peu. Les domaines que l'on connaît peu sont méconnus, par le constat que l'on s'est spécialisé. On peut avancer plus précisément quand on a l'esprit homogène, à la fois dans l'écoute et vers l'ouverture. Quand on regarde des enfants, on voit que certains écoutent beaucoup et que d'autres communiquent énormément. À force de grandir on peut rester têtu et ne pas changer de domaine de prédilection. On voit que les enfants qui écoutent parlent avec ceux qui écoutent, de même avec les enfants dans la communication. Pour écrire, il faut parler de quelque chose de sensé pour être intéressant. Ceux qui grandissent avec des personnes complètement différentes peuvent communiquer quelque chose de sensé au mieux. === Mes notes === ''Écrire quelque chose qui parle sur quelqu'un que vous souhaitez comprendre...'' == Faire les bons choix == Quand on commence l'écriture loisir et créative, on écrit pour soi. Mais arrive un moment où l'on s'intéresse aux autres. À ce moment là on évolue vite car on comble des lacunes. Il ne faut alors qu'essayer de garder cette attitude. En effet, lorsqu'on s'intéresse aux autres, on aime mieux écrire, car on apprend en même temps. On trouve des compromis. Alors le lecteur nous trouve plus complet. Nous nous disons qu'il existe des erreurs mais nous pouvons les contourner, en travaillant notre style ou le fond du texte, tout en pensant au lecteur. Le lecteur ne distingue peut-être pas les imperfections que l'on voit. En effet l'émotion provoquée par un texte peut cacher des erreurs personnelles. Ou bien ce sont ses pensées qui sont erronées, sans avoir influencé le texte. Le lecteur distingue à la fois le contenu et la technique de l'écriture. On a donc une réelle appréciation de sa propre écriture. Alors on avance plus vite. Écrire sous contrainte devient nuisible si cela n'évolue pas. Pour éviter cela, on écrit avec ses envies, qui créent la fraîcheur du texte. Il ne faut pas malmener cette fraîcheur en retravaillant trop le texte. Les imperfections ce sont les fautes de sens ou d'orthographe, pas la façon d'écrire, plus difficile à modifier. Une faute de sens est une phrase que l'on ne comprend plus ou mal, quand on se relit plus tard. On améliore son vocabulaire grâce à un dictionnaire de noms communs ou des synonymes. === Mes notes === ''Écrire sur son avenir...'' ''Lire en cherchant les choix à effectuer ou à éviter afin d'arriver à cet avenir...'' == Relire son texte == Lorsqu'on relit son texte on peut y ajouter des idées. On y ajoute du sens. Puis ensuite on trouve des fautes de style, de sens. On corrige son texte. Plus tard ou tout de suite, on peut trouver des fautes d'orthographe. Le texte devient abouti. Quand on se relit, on peut trouver des fautes de sens. Ce sont des phrases que l'on ne comprend pas parce que tout n'a pas été écrit. Il faut donc supprimer cela, si on ne sait pas comment améliorer le sens ou ajouter d'autres détails. On peut aussi ajouter du sens, en retravaillant le style. Le mieux est d'ajouter du sens, en gardant le rythme du texte original. Le style se travaille avec son intuition. Notre cœur nous dit si nous aimons ou si nous refoulons. En évoluant notre cœur nous aide correctement. Quelqu'un d'autre a forcément les mêmes sensations que soi. Il faut savoir les divulguer d'abord vers soi, puis aux autres. Les fautes d'orthographe ou de grammaire viennent d'une émotivité orale. On ressent les choses oralement, ce qui pousse à penser au présent ou au passé par exemple, voire à mettre des mots grossiers. Il faut savoir que le but est d'expliquer facilement ce qu'on sait aux autres. Il faut donc laisser les mots courants<ref name="ftn6"><div style="margin-left:0.499cm;margin-right:0cm;">Un langage courant n'utilise ni des mots grossiers, le langage familier, ni de beaux mots rares, le langage soutenu. </div></ref> décrivant bien les situations ou personnages. Les mots "chose" ou "être" sont donc à bannir lorsqu'on écrit. Il faut dire "élément" ou "exister" par exemple, en fonction du contexte. Rares sont les romans narrés grossièrement, excepté lorsqu'il y a un style avec du rythme et de la personnalité. Une fois le style retravaillé, il faut revoir sa conjugaison et sa grammaire avant de se relire. === Mes notes === ''Corriger un texte selon ce chapitre...'' == Retravailler le style == Quand on commence à écrire il y a des imperfections sur le style et le sens. Des rythmes manquent ou sont trop accentués, trop imparfaits. Des phrases très courtes suivent des phrases hachées et longues. Une phrase longue peut alors devenir plusieurs phrases courtes. Les erreurs de style ce sont ce qui empêche au lecteur de comprendre. Se relire et se mettre à la place du lecteur permet de trouver si ce qu'on écrit lui dit tout. On peut ajouter des phrases, en relisant avant le texte. On ajoute alors un rythme à ce qu'on a écrit. Mais souvent les fautes de style ce sont des répétitions comme pas assez de participes, des verbes qui peuvent être remplacés par des noms communs, des explications trop longues, des mots qui ont le même sens dans la même phrase. Il faut donc simplifier ce qui est mal écrit tout en ajoutant du sens. Ensuite il faut regarder le rythme des phrases pour ne pas y toucher. Regarder ce rythme et en ajouter un permet de trouver de la saveur. === Mes notes === ''Lire un texte avec quelqu'un et le corriger...'' == Corriger un peu plus tard == Les fautes de styles sont très proches des fautes de sens. Une faute de style est due à un manque de technique. C'est une erreur sur la façon d'écrire. Une faute de style se répare en se préparant et en vérifiant ce que l'on dit. Une faute de sens se crée à cause d'un manque de contenu. On a oublié d'écrire certains détails. Plus on se comprend, moins ce genre de faute revient. Le lecteur, lorsqu'il lit, se pose des questions. Il ne trouve peut-être pas immédiatement réponse à ses questions. Les fautes de style et de sens se voient après avoir écrit sur ce qu'on ne connaissait pas, ou après avoir écrit trop vite. C'est tout à fait normal. Seulement le lecteur veut tout savoir. Il existe quatre solutions pour écrire sur ce qu'on ne connaît pas :* Corriger le sens en cherchant plus d'explications et d'objectivité, puis retravailler. * S'inventer un style inventif, qui va répondre aux questions que le lecteur se pose. Autrement dit ne pas hésiter à parler dans le vague, en exprimant son point de vue. Un point de vue étayé est très important. Ça n'est pas grave de donner un point de vue approximatif, car l'humain n'a pas réponse à tout. * Le lecteur peut améliorer le style de l'auteur, car il sait que certaines choses ne plaisent pas. En effet il est difficile de savoir ce qui ne plaît pas chez soi, sans le confronter. On accepte le lecteur avec le temps. * Ne pas écrire sur un point qui serait un détail si on ne le connaît pas assez. On peut cependant imaginer d'expliquer sur de l'illusoire. Seulement le lecteur doit s'en rendre compte. Sinon on ajoute une allusion dans le sujet. Il ne faut pas prendre le risque de perdre le sens de ce qu'on écrit. === Mes notes === Corriger un vieux texte peu relu... <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Aller dans la bonne direction == Nous aimons lire un sujet qui intéresse. Notre envie d'évoluer peut nous empêcher d'aimer des textes intéressants, s'ils ne concernent pas notre domaine. Il est donc possible d'aimer un livre que nous avions refoulé avant. On apprend plus vite lorsqu'on écrit, car on retient mieux son écriture. Ainsi écrire, après avoir lu, est primordial. Se lire soi est intéressant, parce qu'on apprend sur soi. En effet on ne suit jamais assez ses intuitions. On lit donc ses propres textes pour évoluer et tracer de nouveaux chemins. Écrire pour l'avenir, c'est écrire quelque chose d'utile. Il faut donc avoir des projets en tête, pour se fixer un avenir. Ses projets doivent être écrits. Savoir ce que l'on connaît permet d'apprendre sur soi. Les domaines que l'on connaît se situent-ils sur les limites les plus actuelles de l'humain ? Le lecteur veut avancer donc il faut le renseigner sur son quotidien et son évolution. Pourquoi change-t-il&nbsp;? Les raisons du changement sont dans notre environnement. Les raisons communes de nos changements sont dans les médias les plus lus ou écoutés. Certains livres peuvent aider. Les limites de l'humain les plus importantes, en ce début de siècle, sont la politique et l'environnement. Ces deux domaines sont liés. Tout le monde veut comprendre la politique en temps de crise. Seulement des pouvoirs ou lobbies s'exercent pour nous écarter de la réalité. Les limites inexplorées sont aussi dans la science, les nouvelles technologies, la santé, le participatif, les œuvres libres. Ces limites ont en relation soit le progrès, soit le social. Vous vous dites qu'il y a certains domaines que vous connaissez mieux que d'autres. Attention ! Il faut savoir que, bien que certains domaines soient importants, les médias tentent de nous empêcher de les connaître. On peut comprendre cela pour la politique, le participatif, le social, les œuvres libres. Les raisons sont diverses, mais cela peut évoluer. Quelqu'un qui s'intéresserait à ces domaines serait vu positivement, s'il ne faisait qu'en parler, en tant que simple néophyte. Aussi nous sommes tous personnellement à la pointe dans notre domaine. Ne pouvons-nous pas aller d'un domaine vers un autre ? La réflexion et le questionnement avec les autres, sur nos limites, nous apportent cette réponse. === Mes notes === ''Écrire un texte sur une limite inexplorée de l'humain...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Être journaliste'''</div> = Être journaliste = Nous devrions tous être journalistes. Qui peut être plus informé qu'un journaliste ? Pensez-vous qu'ils disent tout&nbsp;? === Mes notes === ''Écrire sur ce qu'on pense du journalisme. Tenter d'en parler avec un journaliste.'' <div style="text-align:center;"></div> == Interviewer == Pour poser des questions il faut avoir en tête ces 5 questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Si votre article ne contient pas ces éléments, dans chaque paragraphe, il ne devient pas intéressant. Ce questionnement ne sert pas qu'au journaliste. Il permet de construire des textes objectifs. L'article doit être compréhensible par un plus grand nombre. Ainsi il est intéressant de notifier un nombre de lignes. S'intéresser à celui qu'on écoute permet de le mettre en valeur. Trouver ce qui relie l'interviewé avec soi permet de poser des questions. Ensuite, la découverte d'une nouvelle relation peut nous en faire découvrir d'autres. Si celui qu'on écoute est dans la production, son métier et son savoir ont toujours une approche différente. On aime parler de ce qu'on sait faire. Le lecteur aime apprendre. Si celui qu'on écoute est responsable, il sait qu'il a quelque chose à apporter. S'intéresser à lui permet de voir ce qu'il veut transmettre. A-t-il pris des décisions importantes pour nous ? Il existe différentes façons de trouver une relation avec celui qu'on interpelle :* L'événement sur lequel on travaille. * La découverte de quelqu'un, d'un objet. * Le domaine de l'interviewé. * L'âge identique ou pas et les activités. * Le passé si l'interviewé est nostalgique. * Le charme car on doit charmer les lecteurs. * La politique car le journaliste en fait. Apprendre à écrire vite, simplement et bien permet de répondre à l'actualité. Cela s'acquiert en évoluant. L'écriture devient une technique servant aux autres. === Mes notes === ''Écrire une interview après avoir posé des questions à quelqu'un. Interviewer avec un petit cahier et un crayon...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|middle]]</div> == Être attractif == Des rubriques codifiées permettent au lecteur de s'y retrouver. Être clair et précis permet de simplifier ou d'étayer. La simplicité et l'accroche influencent le lecteur pour qu'il s'attarde sur l'article. Le titre doit être explicite, les premières lignes fidélisantes, le contenu objectif. L'objectivité donne du sens. Pour être attractif dans un prospectus, il faut les relations les plus immédiates possibles entre les photos, puis les titres, puis le début des articles. La suite de chaque article utilise sa façon de présenter l'information et sa simplicité, qui permet de garder le lecteur jusqu'à la fin. On a tous un talent, pour présenter les idées des autres. Le connaître permet de devenir journaliste. La présentation du journal permet d'attirer le chaland. Le lecteur est attiré par la créativité ou des compromis. Par exemple les photos de petites tailles montrent des détails. Les grandes photos peuvent tout montrer. Les articles déterminent quelles photos sont adéquates. === Mes notes === ''Télécharger gratuitement SCRIBUS pour votre ordinateur et visionner sur FRAMABOOK.ORG ou DAILYMOTION une aide sur SCRIBUS.'' ''Refaites l'exercice FRAMABOOK à votre façon.'' == Imprimer son journal == Pour écrire un journal il suffit d'avoir un ordinateur et une imprimante laser. Les lasers sont beaucoup plus économiques. SCRIBUS est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur entièrement gratuit. Il permet de créer des petits prospectus. Le logiciel LIBRE OFFICE et le projet OPEN CLIPART permettent d'écrire un livre. LIBRE OFFICE peut servir à écrire une biographie ou un livret. [[Image:|right|top]] === Mes notes === ''Aider une association ou un groupe, avec un prospectus ou livre mis en place selon ce qu'ils souhaitent...'' == Écrire une biographie == Écrire une biographie demande de la recherche et nécessite le respect des personnes, pour lesquelles les recherches se dirigent. Il faut se méfier de soi ou des autres, car la mémoire ou la perception peuvent être défaillantes. Ainsi chercher les preuves et le sens sont primordiaux. Si on souhaite réaliser une biographie entièrement réelle, il faut effectuer :* Des recherches généalogiques. * Des recherches de documents anciens. * Des photos d'objets retrouvés. Le journalisme est la clé du travail. Il faut sans conteste s'assurer que les sources choisies sont correctes. La généalogie est très souvent correctement écrite, mais manque d'informations du quotidien. Elle permet de créer un réseau d'amis autour de la biographie à créer. En France les départements fournissent des informations généalogiques à partir de 100 ans en arrière. Les cimetières et les personnes âgées permettent de commencer l'arbre généalogique. Les archives en ligne sont gratuites et diffusées à partir de 150 ans d'âge. Des sites web annexes existent. Sinon les archives départementales sont disponibles à partir de 100 ans d'âge. Les cartes postales, écrites au dos, nécessitent d'étudier l'auteur et de faire au pire un simple travail de journaliste, au mieux de la psychologie, du détail ou de la psychanalyse. On cherche les correspondances avec les personnes vivantes. Si le destin est identique l'interview devient nécessaire. Les documents audio, les vidéos ou photos nécessitent une numérisation, afin de garder des traces visibles ou audibles du passé. Ces documents permettent d'enrichir la biographie, en créant éventuellement le site web de la biographie. Il faut disposer des droits de diffusion et vérifier les restrictions demandées par les auteurs, voire par les personnes visionnées. Si les acteurs sont dans un lieu public, on peut ne pas demander l'autorisation. Cependant l'accord pour les interviews nécessite de retranscrire les dires selon l'homogénéité des propos tenus. Il faut garder l'objectivité tout en laissant la trame et le sens. Numériser avec la meilleure qualité possible les originaux permet que leurs copies respectent au mieux le document. Les vieux documents possèdent généralement un meilleur support que ceux dont on dispose actuellement. On peut utiliser la reconnaissance de caractères pour terminer la numérisation des textes. Contacter la famille proche permet de récupérer aussi des objets, pour les prendre en photo. Ainsi le lecteur s'identifie et imagine les personnes de la biographie. Au final on dispose d'un livre et d'un centre de ressources, qui peut servir à présenter le livre. On a enrichi sa vie avec celle d'un autre ou avec sa propre vie. Si il n'y a pas assez d'écrits, il est possible de créer un roman biographique, afin de mettre en scène des personnes qu'on imagine, sans avoir la preuve qu'ils sont bien comme cela. Le roman biographique est plus accessible pour les autres, car on adapte les personnages à ce que l'on souhaite. On crée les personnages ou bouts de personnages manquants. === Mes notes === Écrire sur ses ancêtres... == Les Forums == Les forums sont la participation de chaque citoyen dans un groupe. Il vous reste donc à définir ce groupe, pour participer à votre projet à construire. L'information permet d'écrire. Nous sommes tous dépendants de certaines sources. C'est pourquoi accepter de changer de sources et débattre permet d'échanger ses propres informations, pour vérifier si on est sur la bonne voie. Personne n'ose dire réellement pourquoi il fait certains choix. Il faut savoir demander en fonction de l'interlocuteur. S'intéresser à lui permet de demander. Des associations ou partis veulent nous faire réfléchir pour construire l'avenir. Parler et construire avec les autres permet de mettre plus facilement en place ce que l'on souhaite faire. On va dans des cafés citoyens, des conférences participatives, des rencontres multimédia, des groupes d'utilisateurs. On va donc dans des forums où le débat est constant. Participer dès le début permet d'avancer au mieux. On se crée un réseau ou on participe à un groupe de réflexion. On peut alors monter sa structure et définir ses objectifs. Un réseau permet de créer une structure. L'homme n'est rien sans les autres. Le mieux est donc de faire confiance à ceux qui aident. On oublie quelquefois cela. Il faut donc réfléchir sur celui qui a donné l'information la plus importante. Elle n'est pas forcément celle que l'on croit. === Mes notes === ''Participer à un forum sur son domaine de prédilection...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Son site web == On vous indique souvent de créer votre blog. Le mieux est de créer votre site web. L'avantage de cette solution est d'être indépendant de tout hébergeur. On fait, grâce aux sauvegardes du site web, sa liberté et son autonomie. Des documents existent pour sauvegarder sur le web ses données et fichiers web. Des hébergeurs gratuits installent des squelettes de sites web libres comme Joomla ou Wordpress, ceci sans publicité. Wordpress est simple à manipuler et évolue rapidement. Il faut donc savoir ce que l'on veut. Le mieux est de taper votre logiciel ou site web suivi de "libre" ou "open source". Faire connaître son site web peut être gratuit par le référencement gratuit. === Mes notes === ''Chercher sur Internet "Free Wordpress", ou "Free Joomla", ou "hébergement gratuit sans-publicité"...'' == Pour aller plus loin == On peut tester son journalisme chez Agora Vox. Agora Vox signifie en grec la voix des forums. Il n'y a pas besoin d'avoir un beau style pour être journaliste. Vérifier ses informations et être précis permet de se faire respecter. L'écriture d'un article doit avant tout être comprise. Agora Vox est un site de journalistes amateurs contrairement à Rue 89, qui est réservé aux journalistes possédant leur carte. Rue 89 est médiatisé. Sur les sites participatifs le journaliste est critiqué. Ses polémiques sont démaquillées. Cela permet donc de savoir ce que vaut un article. On évolue très rapidement en écrivant sur ces sites. On a encore confiance aux médias, avec une ligne éditoriale. Une ligne éditoriale est une censure. Le lecteur doit connaître cette ligne éditoriale, afin ne pas se tromper de voie. Cependant les forums du web se mettent en place petit à petit. Le forum est un échange avec un modérateur. Pour être compris maintenant il faut être dans l'écoute et savoir répondre. La censure a posteriori censure après parution. Les forums avec une censure a posteriori sont les plus libres. Cette censure est possible et idéale sur Internet, car elle censure peu en général. On voit des articles plus ou moins intéressants sur Agora Vox. Les plus intéressants sont non liés aux médias traditionnels. Dans ces articles, dès qu'il y a critique d'un système sans proposition, les internautes critiquent à leur tour nerveusement. On prend parti donc les positions se ferment. Le public est proche du 50 % de satisfaits. Quand il y a proposition et critique, les internautes s'attachent aux dysfonctionnements de la critique. La critique se construit en fonction du passé de l'auteur ou de l'article. Donc on demande les compétences ou les sources. S'il existe une mauvaise introduction ou une introduction prenant parti, peuvent adhérer 50 % de lecteurs. Une introduction neutre avec des propositions prenant un parti pris positif, c'est du 60 % de satisfaits voire plus. Quand il n'y a que des propositions l'internaute est convaincu, car il ne peut pas contredire les polémiques inexistantes. On fidélise en informant le lecteur. Donner des informations permet de le nourrir. Les lecteurs les plus intéressants ajoutent ou marquent leur position. On ajoute alors des informations à son article. Éviter de prendre position permet d'enlever la contradiction. Il y a toujours 30 % d'insatisfaits. Sinon on ne donne que des informations exclusives. Ce sont les scoops. Les scoops du net sont des informations, pas que des vidéos contrairement à ce que montre la télévision. On retient la majorité de ce qu'on lit. Écrire permet de retenir presque tout ce qu'on a compris. Son avis est alors mieux retenu, que les lectures des autres. Inconsciemment l'internaute qui n'écrit pas d'article veut poser des questions sans forcément chercher ailleurs. Il préfère écrire, puis revenir, plutôt que de se renseigner ailleurs afin de contribuer. Le travail des salariés est en général répétitif. Cela empêche la réflexion. La sur-médiatisation des polémiques et le désir d'ascension sociale vont alors fausser le discours des internautes. Le journalisme qui consiste à vérifier ses sources fonctionne avec l'Internet. L'adresse web commençant par http est l'adresse de la ressource diffusée. Il faut s'assurer que cette adresse est fiable à chaque fois qu'on en découvre une. Pour vérifier la cohérence du site web on vérifie les critiques sur les forums libres que l'on connaît. Il faut connaître l'avis de chaque camp&nbsp;: Droite, gauche, anarchiste, etc. On agrandit alors son réseau de sites web amis. Si on n'est pas journaliste, alors on ne veut chercher que les polémiques pour donner son avis négatif. On veut alors que ce soient les autres qui réfléchissent. On voit beaucoup d'articles refusés chez Agora Vox, dans lesquels les auteurs ne construisent pas. Un article doit être relu, afin de déceler ces problèmes de construction. Les articles refusés sont cependant repris par des internautes journalistes lecteurs, lisant leurs articles refusés. === Mes notes === ''Écrire son avis sur un site participatif, dans lequel les avis sont visibles dès qu'ils sont envoyés...'' <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;"></div> <div style="text-align:center;">'''Publier'''</div> = Publier = Pour être publié, il n'y a pas que les maisons d'éditeurs. Aussi lorsqu'on édite avec elles, il y a le risque que les exemplaires de son livre soient détruits si on ne vend pas assez vite. Il est préférable de se faire connaître avant avec des textes que l'on aménage, pour créer un recueil ou un livre. Un recueil est un regroupement de textes, tandis qu'un livre possède une cohésion organisée en chapitres. Disposer d'une licence CREATIVE COMMON explique au lecteur qu'il peut distribuer le livre. La licence CREATIVE COMMON seule est une licence entièrement libre, sans aucune restriction. Quand on y ajoute by, il faut référencer l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by SA permet le partage des conditions initiales à l'identique. L'œuvre peut être modifiée en respectant les conditions de diffusion initiales. La licence CREATIVE COMMON by NC n'autorise aucune utilisation commerciale exceptée celle de l'auteur. La licence CREATIVE COMMON by ND n'autorise aucune modification de l'œuvre sans l'accord de l'auteur. On peut cumuler certaines de ces licences libres. == Les WIKIS == Si on souhaite écrire par plaisir, il existe les WIKIS. On peut écrire de simples textes sur WIKIPEDIA, WIKIO, WIKTIONARY ou tout autre WIKI, en fonction de la charte du WIKI. La licence, généralement diffusée sur ce genre de sites web, est la CREATIVE COMMON By SA. On devient auteur si on écrit avec son compte WIKI. WIKIBOOKS permet de diffuser un livre, en exportant son livre en WIKIMEDIA sur LIBRE OFFICE. Son compte WIKI permet alors de devenir auteur libre. === Mes notes === ''Avec une recherche que vous avez faite, améliorer le WIKI correspondant en vérifiant les droits, si on n'est pas l'auteur du texte à ajouter...'' == Demander des numéros ISBN == Quand on possède une série de documents électroniques conséquente, il faut, dès lors, demander des numéros ISBN à l'AFNIL ([http://www.afnil.org/ www.afnil.org]). Si on a peu de textes, le mieux est de se réunir en coopérative ou association d'édition, avec d'autres auteurs. On peut ainsi diffuser ses œuvres. On imprime son livre en créant à partir du numéro ISBN un numéro EAN et son code barre. Les logiciels qui les créent sont gratuits. On met aussi son numéro d'éditeur sur le livre électronique. Il faut respecter la présentation du livre, selon ceux qu'on a déjà lus. Le résumé du livre est sur le dos de la couverture. Pour chaque livre, il y a les notes de l'auteur, une biographie, voire un épilogue pour les romans. Pour les livres analytiques, il y a un sommaire au début, une table des matières et les sources utilisées à la fin. === Mes notes === ''Au bout d'un certain nombre de textes écrits, vérifier s'il est possible ou pas d'en diffuser certains...'' == Imprimer une reliure == Quand son document électronique semble prêt on peut imprimer à moindre coût son œuvre sur une imprimante laser. Si on décide de relier son œuvre, cela permet d'imprimer facilement au format A4 ou A5. On achète une relieuse avec ses consommables. Si on souhaite imprimer en format A5 ou A4 une relieuse à spirales et des reliures solides en acier permettent de créer un livre correctement. On peut imprimer deux pages identiques par feuille pour créer du A6 sur une page A5. === Mes notes === ''Vérifiez comment il est possible d'imprimer économiquement...'' [[Image:]]''Regardez combien de personnes possèdent des e-books ou livres électroniques.'' == Imprimer un livre == Pour créer un véritable livre relié, imprimez en brochures pour thermorelier. On obtient alors des livrets de 40 pages, qui ont le format du papier imprimé, divisé par deux. Si vous imprimez votre brochure sur du A4, le format de votre livret est du A5. On plie les brochures correctement. On perce deux trous symétriques dans la pliure, puis on les relie, avec un fil suffisamment solide. On noue avec un nœud de chaise, ou 3 nœuds simples bien serrés. Une relieuse à spirale nécessite quant à elle moins de travail, en coûtant un peu plus sur les consommables. Le livre est en général mieux fait avec. On peut facilement tourner les pages. On n'imprime pas en mode brochure, mais juste en recto-verso pour créer le livre. Une thermorelieuse ou bien une relieuse à spirales s'utilisent avec un ensemble de thermoreliures ou de spirales. Pour thermorelier il est nécessaire de se procurer un massicot. Il permet de couper les brochures. Puis ces dernières sont mises dans la thermoreliure. On colle grâce à la thermorelieuse. Sinon une spirale passe par les trous créés par la relieuse. Votre livre est prêt. Il reste à le diffuser. == Créer un livre électronique == Il existe deux formats de livres électroniques :* Le format PDF, format largement diffusé pour l'impression, mais inapproprié pour les livres électroniques, les smartphones * Le format EPUB, format libre de livre électronique prévu pour la lecture électronique Pour créer un fichier PDF, il suffit d'exporter votre création en PDF. N'utilisez pas l'impression pour créer votre PDF, mais exportez les polices de caractères. En effet l'impression crée votre livre en images. Des outils libres existent pour créer un fichier EPUB. CALIBRE ou SIGIL permettent de convertir un fichier OPEN ou LIBRE OFFICE en EPUB, en gardant les informations écrites. Il faut convertir avant de sauvegarder en EPUB. Il existe aussi des plugins pour OPEN OFFICE et LIBRE OFFICE, notamment writer2epub. writer2epub exporte bien les tableaux, s'il arrive à les exporter. == Faire un dépôt légal == Vous pouvez protéger votre création courte, en vous envoyant un recommandé avec avis de réception. Leur enregistrement est gardé 10 ans. Le recommandé électronique protège mieux votre document, grâce à la signature électronique, en gardant le document électronique envoyé. Sinon il faut prouver que le recommandé n'a pas été ouvert. Signez sur les fermetures. Avant de publier votre livre, vous devez déposer vos droits d'auteur, tout en demandant une autorisation de publication. C'est le dépôt légal. L'année et le lieu du dépôt légal est imprimée sur chaque livre diffusé. Le dépôt légal protège l'auteur selon la date d'enregistrement du livre. Il faut envoyer son livre, s'il est généraliste, à PARIS. Cependant ils peuvent ne pas accepter l'auto-édition. On peut au moins faire le dépôt légal dans sa région, si l'impression est régionale. Vous devenez alors un auteur régional. Le livre est accompagné de l'imprimé du dépôt légal à remplir. Cet imprimé correspond à celui de la ville capitale de sa région en trois exemplaires. === Mes notes === ''Allez vous informer sur le dépôt légal à [http://www.bnf.fr/ www.bnf.fr].'' ''Avec vos numéros ISBN faites un dépôt légal afin de diffuser votre œuvre en e-book ou impression...'' <div style="text-align:center;">[[Image:|top]]</div> == Diffuser son livre == Pour diffuser son livre, il faut posséder un réseau d'amis, ou bien référencer son site web. Il est aussi possible de s'auto-éditer, puis de se référencer dans certains réseaux, comme DILICOM, voire ELECTRE, grâce à un numéro SIRET et certains codes NAF. Se référencer chez DILICOM et ELECTRE nécessite une distribution papier, laissant 30 % de marge aux libraires, les frais de port en moins. L'auto-édition et le compte d'auteur nécessitent d'aller contacter chaque plate-forme de librairies. Le compte d'auteur est plus cher et moins intéressant que l'auto-édition. Il est possible de vendre son livre sur certains sites web, comme IN LIBRO VERITAS, THE BOOK EDITION, LULU, BoD, PRICEMINISTER, DAWSON, EPAGINE, des sites web d'annonces. Il faut faire sa publicité en utilisant ses relations. Certaines personnes, ou de petits éditeurs, acceptent de référencer dans des réseaux de libraires. === Mes notes === ''Se créer un réseau de relations afin de faire lire ses textes et de lire les textes des autres...'' = Synthèse = Le chapitre de synthèse est sous licence Creative Common by SA. == Histoire == L'écriture est née pendant la préhistoire. Au départ ce n'était qu'un moyen de calcul. C'est l'oisiveté qui a permis de créer les mots. Nous avons alors évolué vers de nouvelles sociétés. == Poésie et éveil == Avec : * La musique on apprend à vivre en société. * L'architecture on apprend à construire une société. * La poésie on renforce son ego en construisant pour se comprendre, afin de comprendre les autres. Il suffit pour cela d'utiliser sa volonté d'apprendre, de construire, ou d'évoluer pour rechercher sa vérité. On se dit que : * Les érudits sont incompréhensibles. * On comprend ceux qui sont comme nous. * On ne retient pas tout. Comment savoir ce qu'il faut faire ? En essayant de se comprendre par la poésie. La poésie permet alors de comprendre les autres. L'autodidacte : * Sait évoluer par lui-même en écrivant. * Se dit «si...» afin d'arriver à un objectif qu'il veut. * Peut devenir écrivain ou apprendre aux autres. Savez-vous comment il fait ? Il recherche avec le passé à construire l'avenir, par la passion, qui est la volonté d'atteindre les objectifs du court et du long terme. L'écrivain : * A un ego surdimensionné. * A évolué en écrivant, sans doute par la poésie. * Se pose des questions sur lui sans avoir peur. Pourquoi n'a-t-il pas peur ? Parce qu'il sait que se comprendre soi est essentiel. La poésie permet : * De se convaincre et de convaincre. * De se comprendre et d'apprendre aux autres. * De se faire face sans avoir peur de soi. Il suffit d'écrire en rimes sur nos pensées du moment. Puis, l'envie d'évoluer et l'écriture nous changent petit à petit. La poésie c'est : * Des rimes et métaphores qui nous orientent. * Un texte beau à entendre et à comprendre. * Avec peu de hiatus, avec donc peu de confrontations de voyelles. * Pouvant se chanter en ballade ou avec des notes. On part de notes connues, puis notre poésie invente des notes, pour créer des chansons. == Pourquoi écrire ? == Sans la créativité :* Nous ne voulons pas avancer, * Alors nous voulons détruire, * Puis nous voulons tout nous accaparer, * Nous nous renfrognons dans un monde irréel, * Et nous perdons notre écoute. Écrire c'est :* Construire avec sa créativité. * Faire des projets. * Se comparer. * S'améliorer. * Se comprendre. * Analyser. Écrire c'est :* Retenir plus qu'en lisant ou entendant. * Retenir pour construire. * Devenir autonome. * S'intéresser à l'essentiel. * Être intéressant pour soi et les autres. * Renforcer son ego. On écrit quand :* On a rien à faire. * On réfléchit. * On veut garder une trace de quelque chose. * On veut communiquer avec quelqu'un. Alors on prend une feuille est on se dit si... La passion c'est quoi ? Parfois une envie :* Nous éveille et nous turlupine, * Nous avons alors envie d'atteindre des objectifs, * Ces objectifs que nous nous fixons viennent de soi, * Notre esprit se fixe vers ces objectifs, * Le travail nécessaire devient alors futile. Un style c'est :* Une façon de réfléchir. * Frais au tout début. * Technique si on évolue. * Toujours imparfait au départ. * Imparfait pour soi. On est lu :* Pour pouvoir évoluer. * Pour se faire peur. * Pour critiquer le fond ou bien la forme. * Par ses proches, des auteurs, des lecteurs. * En sachant ce que le lecteur souhaite. En évoluant* On améliore son style. * On a peur au départ puis on se renforce. * Ou bien on trouve des partenaires pour le fond. * On trouve de nouveaux repères. * On change son avis et on le renforce. * On perd de vieux repères nuisibles. On commence à écrire* Quand on a envie de retenir quelque chose. * Quand on ne fait rien et que l'on pense. * Quand on veut mettre en place un projet. Alors on écrit sur une feuille blanche en se disant "si...". Écrire c'est* Chercher la vérité, * Car nous cherchons tous une vérité. * Qui est la source de notre bonheur, * Car notre esprit est satisfait de nos recherches. * On est alors prêt à évoluer (en se détendant). On écrit d'abord pour soi, plus tard pour les autres. Écrire d'abord pour soi permet de :* Mettre en place un projet. * Comparer avec ce qui se fait. * D'avoir un avis. * D'évoluer. Un projet c'est :* Un point de départ vers une destination. * Fait avec les autres pour soi puis les autres. * Une conclusion de soi et des autres. La conclusion permet de créer de nouvelles envies Plus on grandit plus on comble des raccourcis. Mais certaines peurs nous empêchent d'évoluer.* Écrire une peur permet de la confronter à la réalité. * Écrire permet de se rapprocher de la réalité. * Écrire permet de combler des raccourcis. On retient alors mieux ce que l'on fait. Pour écrire :* Il faut ne rien faire et penser. * Puis notre esprit réagit à ce qu'on a écouté. * On ne sait pas trop quoi penser. * Mais en se disant ”si” on écrit sur une feuille. * On garde alors des traces et on se connaît mieux. * On diffuse sa réflexion. Pour se différencier* Si le monde est dans l'action réfléchir. * Trouver mieux c'est trouver plus abouti. * Débattre de son avis permet d'évoluer. * Écouter son cœur ouvre des portes si on se connaît. * Se comprendre soi avec les autres permet de connaître la société. La courtoisie :* C'est mettre en valeur l'inconnu, * Pour mieux s'enrichir, * Afin d'évoluer avec les autres, * Puis pour les autres. Comment écrire bien ? Écrire bien c'est :* S'adresser aux autres en se construisant, * Et en se confrontant aux limites de l'humain. * Alors, en se confrontant à l'inconnu, * On réagit mieux à l'inattendu, * Et on se connaît mieux. == Pour aller loin == On diffuse&nbsp;:* Avec les forums et le web. * Avec ses propres ateliers et une présentation. * Avec une contrainte qui plaît. * Sur papier ou oralement. Il faut avoir évolué après avoir diffusé. Le perfectionnisme permet d'évoluer. Nous sommes toujours bons dans notre domaine. Mais :* On évolue plus vite avec des personnes différentes. * Un partenaire antagoniste nous parle réalité. * Nos limites sont aussi nos discussions avec eux. * Devenir autonome se fait toujours avec les autres. On confronte alors ses peurs et on évolue. Un génie :* Réfléchit sur une ou des limites de l'humain. * Est constamment sur cette limite. * A une réflexion aboutie en écrivant. * Commence sur le plus facile et va vers les détails. * Écrit et diffuse ce qu'il a écrit. Les limites de l'humain à explorer sont dans :* La politique et l'environnement. * Le social. * La science. * Les nouveaux supports de diffusion. Certaines sont refoulées ou incomprises. Une philosophie permet de les comprendre. On se différencie :* En étant dans la réflexion au lieu de l'action. * En allant vers la communication si on écoute. * En allant vers l'écoute si on est communicatif. * En évoluant sur les limites de l'humain. Nous sommes tous faits de la même manière. Cependant nous sommes tous différents. Si nous savons communiquer à notre manière :* Nous sommes écoutés, reconnus * Nous évoluons avec les autres, pas comme eux * On ne nous oublie pas selon une communication == Chercher la vérité == Pourquoi chercher la vérité ?* Notre esprit a besoin de sa vérité. * Les émotions ne permettent pas de faire des choix cohérents. * Celui qui est rationnel et soutenu est heureux. * Connaître notre avenir permet d'anticiper. * Si nous ne trouvons pas réponse à nos questions nous sommes malheureux et affaiblis. Chercher la vérité c'est* Adapter notre esprit à son environnement. * Pour mieux comprendre cet environnement. * Afin d'évoluer et de redevenir serein * On devient heureux parce qu'on se satisfait. * On abandonne alors la recherche du bien matériel. * Par la recherche de son bien-être mental. La réflexion platonique* Consiste à faire des hypothèses, * Pour les vérifier par expériences. * Si on cherche la vérité on gagne en assurance. C'est une réflexion de toute personne civilisée. Quelle est la vérité économique ?* Notre économie est basée sur l'énergie. * Cette énergie peut être illimitée (thorium,helium 3). * L'énergie permet de créer des grands travaux. * Ces grands travaux permettent l'irrigation, * Qui peut même irriguer des déserts avec l'énergie. Or on nous dit que tout se raréfie. Quelle est la vérité sociale ?* La société du divertissement a été la même utilisée pour l'esclavagisme aux États-Unis. * Même des partis de gauche ne favorisent pas l'écriture et le développement personnel. * On nous parle de l'histoire de l'oligarchie sans nous apprendre l'histoire des nations et du progrès humain, basé sur notre créativité. Quand on sait cette vérité* On sait qu'il faut arriver à cet objectif créatif. * On cherche à redevenir cohérent. * On veut être dans une société idéale, * Que l'on peut trouver. Il suffit de chercher la vérité. = Biographie = Matthieu GIROUX a appris le français en aimant le charme que possède cette langue poétique. Il appréciait la mise en concurrence sur les différentes matières. Mais il pensa au fur et à mesure que cette concurrence détruisait la poésie de l'apprentissage. Des interrogations sur la nécessité de savoir vite ont été posées quand il a repris une écriture personnelle. Il écrivit des poèmes et les fit lire. Puis des nouvelles éveillèrent certains lecteurs. Il commença alors à écrire sur la façon de trouver les mots qui conviennent, grâce aux interrogations ou affirmations des autres. Il redécouvrit l'écriture et sa poésie plus belle, car de nouveau découverte. Il mit alors en place le site web www.comment-ecrire.fr. Ce site web permit de conseiller les amateurs d'écriture. Informaticien, il écrit aussi des livres ou des articles dans son domaine, dans l'écriture, la politique. Il utilise le pragmatisme dans ses pensées, afin d'expliquer aux autres ce qu'il comprend. En 2013 il publie la suite de ce livre sur [http://www.devenircreatif.com/ www.devenircreatif.com]. = Sources utilisées = Les articles sont une expérience écrite de Matthieu GIROUX. Les références sont présentes dans les bas de pages. Il a ensuite utilisé son site web d'écriture et son entourage pour améliorer ce livre. Les images viennent du projet OPEN CLIPART. Elles illustrent et expliquent parfois des procédés, techniques ou technologies. <div style="text-align:center;">{{ISBN|978295312515}}</div> <div style="text-align:center;">Droits d'auteur Octobre 2008</div> <div style="text-align:center;">Dépôt légal RENNES 2009</div> <div style="text-align:center;">Imprimé en France en Avril 2011 par :</div> <div style="text-align:center;">JOUVE1, rue du Docteur-SauvéBP 353101 Mayenne cedex</div> ---- <references/> l4n0pkc4e8imqx9kkv3588tzenkcmgv MediaWiki pour débutants/Miscellanées/Un MediaWiki privé ou ouvert pour votre organisation 0 68630 745177 544244 2025-06-21T12:21:33Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* Le secteur marchand */Correction d'une faute de français 745177 wikitext text/x-wiki {{MediaWiki}} Avant-propos. Cet article est une traduction partielle et adaptée de [http://www.daymuse.com/services/cms/mediawiki cette page]. ==Introduction== Si votre organisation cherche à stocker, à classifier et à relier entre eux des documents, des informations et des médias, alors un site Web wiki peut convenir. Les wikis sont généralement utilisés comme des ressources encyclopédiques sur des thèmes particuliers. Vous êtes probablement plus familier avec le logiciel que nous utilisons, MediaWiki, par le biais de Wikipedia. En effet, c'est un des sites les plus importants et les plus visités dans le monde sur Internet. Et Wikipédia repose sur la plate-forme MediaWiki qui fonctionne dans les coulisses de la scène. La Fondation Wikimedia soutient Wikipedia et d'autres grands projets, lesquels sont fondés sur le système collaboratif du wiki en utilisant des serveurs, en exploitant les ressources de la presse et plus généralement les ressources numériques mises à disposition par les services publics. ==Qu'est-ce que le logiciel libre MediaWiki ?== MediaWiki est un moteur de wiki spécifique. Il fut créé à l'origine pour Wikipédia. Cependant il est maintenant utilisé par plusieurs projets de la Fondation Wikimedia. Il est également utilisé par des milliers d'organisations à travers le monde pour abriter des bases de connaissance publiques ou privées. Comme MediaWiki est open source, ce logiciel peut être utilisé librement par tout le monde sans conditions particulières. ==Le Wiki et son utilisation== Vous avez sans doute remarqué que votre organisation crée constamment des informations et des données. <br>Ces données peuvent comprendre : :* du texte :*des images :*de la vidéo :*ou du code. Le cadre de la création des données est donc vaste et il peut couvrir le champ allant des processus de support client externes jusqu'aux flux de travail internes. Le problème est que votre organisation ne possède pas de moyen pour, d'une part, stocker ces informations et, d'autre part, pour les restituer facilement à ses acteurs. Alors que votre organisation, en tant que regroupement d'apprenants, acquiert des connaissances régulièrement. Dans ce contexte, un wiki peut aider à procurer un emplacement central fiable pour stocker et diffuser ces informations. Mais pas seulement, car un wiki peut aussi fournir : *les versions des données (historique) *et des outils de collaboration. En outre, par l'intermédiaire d'une configuration fine des droits d'accès au wiki et des permissions, les wikis peuvent être rendus : *privés c'est-à dire accessibles uniquement aux participants d'une organisation ou à certains de ses participants jouant un rôle particulier, *ou rendus publics et rester ouverts à tous les visiteurs. Il faut aussi constater que les wikis peuvent être rendus privés dans certains espaces, mais rester publics dans d'autres espaces. <br> Pensez-y comme bibliothèque de votre organisation. ==Le système du Wiki et son application à certains secteurs== ===Le secteur marchand=== Si les acteurs de votre organisation appliquent tous les mêmes procédures, les mêmes méthodes de prospection et les mêmes processus de travail au sein de l'organisation, vous pouvez définir les attentes globales de vos clients et en même temps satisfaire ces attentes, puisque tout le monde travaille selon le même "modèle". <br> La présence de ces processus internes orientés vers la clientèle, permet de mettre en place des évolutions spécifiques, et d'en valider le résultat ou pas. Avec ces données, vous pouvez cheminer par itérations successives, et vous prospérez lentement, comme toute organisation dans laquelle une incitation marchande a été impulsée. Un problème surgit fréquemment au sein des entités privées. Il provient de la perte des connaissances et du savoir-faire consécutive aux départs des acteurs de l'organisation qui se retirent ou qui la quittent pour une autre organisation. Les Wikis peuvent pallier cette perte en contribuant à maintenir au sein de l'organisation, les connaissances et le savoir-faire acquis.<br> En outre, par un effet de synergie, les Wikis contribuent à créer de la valeur ajoutée en permettant aux participants de l'organisation, d'utiliser les connaissances acquises par tous les autres acteurs de celle-ci, au jour le jour. ===L'enseignement et l'enseignement supérieur=== Les collèges, les universités et les établissements d'enseignement supérieur produisent annuellement des volumes de recherche importants. On estime que la production totale de la recherche scientifique doublera tous les neuf ans. Cela fait beaucoup de données, et elles sont en augmentation constante. De plus, ces données doivent être stockées, indexées et cataloguées.Alors que MediaWiki est généralement un excellent outil pour stocker et classifier des données ; il montre vraiment sa valeur par son apport à la recherche scientifique. <br>C'est un cas de traitements informatiques lourds qui nécessitent au préalable la mise en place de : * nuages de tags * mots-clés * recherches multi-critères. Cela s'effectue par le biais des extensions du Wiki Sémantique. Cet outil facilite la restitution des informations contenues dans des sites MediaWiki. <br>Il peut aussi faciliter considérablement l'utilisation des données dans les publications scientifiques ou les projets à venir, tout en réduisant les coûts, et en augmentant l'accès aux informations scientifiques. ===Les administrations publiques=== Saviez-vous que le gouvernement américain utilise MediaWiki pour créer des bases de données et des bibliothèques de connaissances internes ? *Ainsi, ''Bureaupedia'', utilisé par le FBI, stocke les connaissances pour ses analystes afin que leurs idées ne sont pas perdus lors du départ de ceux-ci. *Le Département d'Etat utilise MediaWiki pour garder la trace des activités de veille, des affaires internationales et des données de diplomatie dans leur ''Diplopedia''. D'une manière générale, les gouvernements produisent de nombreuses connaissances qui peuvent être perdues à cause du transfert des employés, de leur départ à la retraite ou de la cessation de leur emploi. Dans ce contexte, les wikis aident les gouvernements à maintenir les connaissances et le savoir-faire internes lesquels peuvent avoir pris des décennies pour être acquis. Ces encyclopédies thématiques et spécialisées constituent souvent une valeur fondamentale dans l'organisation. [[Catégorie:MediaWiki pour débutants (livre)|!]] i6cydimr03j60l84di010uesb22rh21 Vol balistique et missiles balistiques/Trajectoire balistique de l'arme lancée 0 69967 745180 710739 2025-06-21T15:33:23Z Boznicc 121108 Faute d'orthographe 745180 wikitext text/x-wiki {{Vol balistique}} La trajectoire balistique - qui ne concerne que le (ou les) objet(s) lancé(s) - prend la suite de la phase propulsée. Elle va donner au missile balistique toute sa puissance militaire. La phase propulsée vient de se dérouler au-dessus du territoire du lanceur. Il lui est assez facile de maîtriser son espace aérien et d'en assurer la réussite.<br> Dans la phase suivante, la phase balistique, l'arme va se diriger vers sa cible en s'éloignant du lanceur entièrement dans l'espace, sans vraie défense possible de la part de l'adversaire car la contre-attaque y est particulièrement difficile<ref group=note>On présente plus loin la problématique de la défense anti-missile balistique </ref>. Le lanceur utilise ainsi un moyen particulièrement sûr d'atteindre sa cible. Ce qu'il ne pourrait pas faire d'une autre façon sans risquer de s'opposer à l'adversaire, avec des avions bombardiers par exemple. L'objet de cette page est de s'intéresser à cette trajectoire balistique. On l'a vu, c'est une courbe elliptique. L'ellipse est d'autant plus grande que la vitesse au moment du lancement est plus forte. Plus le lancement est rapide, plus l'intersection de l'ellipse avec le Terre - le point où l'arme va arriver - est lointaine. Et donc plus la portée est grande. Pour une même portée, la mathématique (simple) montre qu'il y a deux ellipses qui atteignent le même point. La réalité physique va en privilégier une à cause des problèmes d'échauffement liés à la rentrée dans l'atmosphère. Cette même contrainte va peser aussi sur les portées les plus grandes et mettre en évidence une portée maximum pratique. Il existe aussi un portée minimum. Il s'en déduit qu'un missile balistique lance entre ces deux portées ce qui lui confère un énorme champ d'action. == Trajectoires balistiques (principe)== [[Image:Ellipse jjm.png|250px|right]] La trajectoire balistique est une ellipse dont le centre de la Terre est l'un des foyers. Une ellipse a deux foyers ( <math>F</math> et <math>F'</math> sur le schéma ci-contre). On se souvient des piquets du jardinier placés à chacun des foyers de l'ellipse qu'il va tracer à l'aide d'une corde (en rouge) ficelée à chaque piquet. Le centre de la Terre peut donc se trouver à l'un ou l'autre des foyers. Il y a donc deux trajectoires elliptiques possible selon le foyer utilisé pour y placer le centre de la Terre. On appelle trajectoire ''tendue'' et trajectoire ''plongeante'' les deux trajectoires à utiliser pour une arme qui va aller du point <math>B</math> ou elle été lancée au point <math>D</math>, la cible. Ce que montre la figure 1 ci-dessous où la mise à feu du missile balistique se situe en <math>A</math> et le début de la phase balistique de l'arme en <math>B</math><ref group="note">Dans le cas de ces deux trajectoires les ellipses sont « larges ». Les foyers <math>F</math> et <math>F'</math> sont proches l'un de l'autre, beaucoup plus que dans le schéma "du jardinier" où l'ellipse est plus "allongée"</ref>. [[File:Missile balistique 20.png|left|400px]] Ces deux trajectoires se distinguent (schéma ci-contre) par une différence importante du trajet atmosphérique lors de la phase ultérieure de rentrée dans l'atmosphère. Dans le cas de la trajectoire tendue le parcours est plus long et subit donc plus d'échauffements. La rentrée dans l'atmosphère est une phase difficile. Aux très grandes vitesses l'échauffement dû à la résistance de l'air pose un problème technique de matériaux destinés à la protection thermique<ref group="note">La rentrée dans l'atmosphère est décrite plus loin</ref>. Plus d'échauffement demande plus de protection, donc plus de poids à lancer. Un parcours atmosphérique très long conduit à des échauffement excessifs qui ne seraient combattus que par des protections particulièrement lourdes. Avec une conséquence : le missile balistique peinerait à les lancer aussi loin, sauf à accroître considérablement sa puissance et donc sa taille (un problème pour les sous-marins). Pour ces raisons, les missiles balistiques n'utilisent que la trajectoire plongeante. [[File:Missile balistique 7.svg|center|800px]] == Trajectoires à portée maximum == (figures 2 et 3 ci-dessus)<br> Les contraintes d'échauffement lors de la rentrée atmosphérique pèsent aussi sur la définition de la portée maximum. Plus la portée est grande, plus la vitesse de l'arme a été forte à son lancement, plus aussi l'angle de rentrée dans l'atmosphère "s'aplatit" (figure 3). On a vu (figure 2) que la vitesse donnée à l'arme connait une limite. Elle doit être inférieure à {{unité|8|km/s}} sous peine de satelliser et donc de placer l'arme continûment dans l’espace, ce qui est interdit par les Traités des Nations Unies relatifs à l'espace extra-atmosphérique (1967<ref group="note">{{Ouvrage | langue = fr | titre = Traités et principes des Nations-Unies relatifs à l'espace extra-atmosphérique | éditeur = ONU | lieu = New-York | année = 2002 | pages totales = 76 | isbn = 92-1-200258-7 | lire en ligne = http://www.unoosa.org/pdf/publications/STSPACE11F.pdf }}</ref><ref group="note">Ces Traités n’interdisent évidemment pas à l’arme un parcours dans l’espace pourvu qu'il soit bref.</ref>). Si, mathématiquement, la portée maximale du missile balistique avec une vitesse au lancement très légèrement inférieure à {{unité|8|km/s}} est de {{unité|20000|km}} soit la demie circonférence de la Terre (figure 2, trajectoire en noir avec point d'arrivée en <math>D_4</math>), la rentrée dans l'atmosphère s'y ferait sous un angle presque nul. L'arme arriverait parallèle au sol avec un énorme - et physiquement impossible - parcours dans l'atmosphère.(figure 3, cas <math>D_4</math>). Dans le cas où la vitesse au lancement est un peu moins proche de la vitesse de satellisation (point d'arrivée en <math>D_3</math>) l’arme rentrerait dans l’atmosphère avec un parcours très long, lui aussi physiquement impossible (figure 3, cas <math>D_3</math>). Sauf à dépenser un surplus énergie considérable au lancement de l'arme en la dotant d'un bouclier thermique particulièrement lourd afin de résister aux contraintes thermique considérables d'un long parcours dans l'atmosphère, quasi tous les missiles balistiques de dernière génération fournissent une portée de {{unité|10000|km}} et un peu plus (ce qui correspond à une vitesse au lancement d'environ {{unité|7|km/s}}), largement suffisante parce qu’elle correspond au besoin stratégique des pays qui en sont dotés, compte tenu de leur géographie. ==Autres portées disponibles== [[File:Missile balistique 24.png|right|300px]] Un missile balistique, généralement, ne lance pas en deçà d'une distance minimum, environ {{unité|500|km}} pour des vitesses de l’ordre de {{unité|4|km/s}} et {{unité|1000|km}} pour {{unité|7|km/s}} (figure 1, ci-dessous). Le point le plus proche n’est donc pas à une distance nulle, ce qui n'est évidemment jamais recherché dans l'emploi de cette arme. Il se trouve que la convergence des algorithmes de guidage pendant l'exécution logicielle du calcul de la trajectoire est complexe à réaliser lorsque l'ellipse devient presque totalement aplatie, ce qui est le cas dans un tir extrêmement proche. Résoudre cette complexité étant coûteux et sans intérêt militaire, la distance minimum est admise sans difficultés. La portée de l'arme se situe entre les deux extrêmes que sont les portées minimales et maximales (ci-contre). La portée desservie est impressionnante (plusieurs centaines voire milliers de kilomètres) à quoi s'ajoute le fait (caractéristique des trajectoires) que la vitesse à l'arrivée est la même sur toute la portée. Ce qui veut dire qu'une portée faible, {{unité|2000|km}} par exemple, peu être atteinte par deux missiles balistiques très différents:<br> - soit par un missile balistique de deuxième génération à deux étages peu élaborés de portée maximum {{unité|2000|km}};<br> - soit par un missile balistique de dernière génération de portée maximum {{unité|10000|km}} mais utilisé pour un tir à {{unité|2000|km}} seulement. La différence réside dans la vitesse d'arrivée de l'arme: quelques km/s dans le premier cas et elle pourrait être interceptée par des missiles sophistiqués de défense anti-missiles <ref group="note">La défense anti-missile balistique est traitée plus loin</ref>; près de {{unité|7|km/s}} dans le second cas. Aucune interception n'est à ce jour réalisable avec une chance convenable de succès. Ce qu'il convient donc de souligner, c'est que la classification encore adoptée aujourd’hui selon les portées maximum peut induire en erreur. Les missiles de génération intermédiaire ne sont que des étapes dites de courte, de moyenne ou de portée intermédiaire, avec leurs insuffisances à lancer leur arme plus vite. Ce qui est très difficile techniquement et ne se réalise que progressivement ''via'' des générations successives de missiles balistiques de plus en plus élaborés. L'objectif de tous les États qui réalisent des missiles balistiques est toujours d'en venir à la génération la plus élaborée, celle des missiles balistiques à très grande portée maximale. [[File:Missile balistique 1.svg|center|800px]] ==Conclusion== La figure ci-dessus à droite rappelle en les caractérisant à titre de conclusion le trois trajectoires balistiques types de l'arme (ou des armes) d'un missile balistique.<br> La mise à feu du missile balistique se fait en <math>A</math>. La phase propulsée du missile balistique le conduit à trois points de lancement possibles (<math>B_1</math> à <math>B_3</math>) accessibles à partir du point <math>A</math> où il a été tiré. Ils définissent les trajectoires elliptiques (le centre de la Terre en étant l'un des foyers avec choix de la trajectoire plongeante) qui couvrent toute la portée de <math>D_1</math> à <math>D_3</math> en passant par tous les points intermédiaires <math>D_2</math>. Un missile dit de longue portée (<math>D_3</math>) fournit à l'arme une vitesse au lancement un peu inférieure à la vitesse de satellisation ({{unité|7|km/s}}) qui lui donne une portée allant de {{nombre|1000}} à {{unité|10000|km}} avec la même vitesse à l’arrivée dans l’atmosphère, soit {{unité|25200|km/h}} ou encore Mach 20 (tous chiffres approximatifs). Même après le freinage dû au parcours atmosphérique présenté plus loin la vitesse de l'arme alors qu'elle va exploser interdit à tout missile de défense anti-aérienne quel qu’il soit de l’intercepter et de la détruire<ref group="note">Les missiles tactiques destinés à la destruction des avions (vitesse d’environ Mach 2) peuvent être améliorés pour détruire des cibles plus rapides (Mach 3 à 4) qui correspondent aux vitesses fournies par les missile balistiques lents. Dans l’état actuel de la technologie ils sont incapables de détruire une arme de vitesse bien plus grande lancée par un missile balistique abouti (voir le chapitre « [[Vol balistique et missiles balistiques/Défense contre les missiles balistiques|Défense contre les missiles balistiques]] »).</ref>. == Notes == <references group="note"/> nk0z8q3hwocjjr540r9raypxykuyieo 745181 745180 2025-06-21T17:22:49Z DavidL 1746 745181 wikitext text/x-wiki {{Vol balistique}} La trajectoire balistique - qui ne concerne que le (ou les) objet(s) lancé(s) - prend la suite de la phase propulsée. Elle va donner au missile balistique toute sa puissance militaire. La phase propulsée vient de se dérouler au-dessus du territoire du lanceur. Il lui est assez facile de maîtriser son espace aérien et d'en assurer la réussite.<br> Dans la phase suivante, la phase balistique, l'arme va se diriger vers sa cible en s'éloignant du lanceur entièrement dans l'espace, sans vraie défense possible de la part de l'adversaire car la contre-attaque y est particulièrement difficile<ref group=note>On présente plus loin la problématique de la défense anti-missile balistique </ref>. Le lanceur utilise ainsi un moyen particulièrement sûr d'atteindre sa cible. Ce qu'il ne pourrait pas faire d'une autre façon sans risquer de s'opposer à l'adversaire, avec des avions bombardiers par exemple. L'objet de cette page est de s'intéresser à cette trajectoire balistique. On l'a vu, c'est une courbe elliptique. L'ellipse est d'autant plus grande que la vitesse au moment du lancement est plus forte. Plus le lancement est rapide, plus l'intersection de l'ellipse avec la Terre - le point où l'arme va arriver - est lointaine. Et donc plus la portée est grande. Pour une même portée, la mathématique (simple) montre qu'il y a deux ellipses qui atteignent le même point. La réalité physique va en privilégier une à cause des problèmes d'échauffement liés à la rentrée dans l'atmosphère. Cette même contrainte va peser aussi sur les portées les plus grandes et mettre en évidence une portée maximum pratique. Il existe aussi un portée minimum. Il s'en déduit qu'un missile balistique lance entre ces deux portées ce qui lui confère un énorme champ d'action. == Trajectoires balistiques (principe)== [[Image:Ellipse jjm.png|250px|right]] La trajectoire balistique est une ellipse dont le centre de la Terre est l'un des foyers. Une ellipse a deux foyers ( <math>F</math> et <math>F'</math> sur le schéma ci-contre). On se souvient des piquets du jardinier placés à chacun des foyers de l'ellipse qu'il va tracer à l'aide d'une corde (en rouge) ficelée à chaque piquet. Le centre de la Terre peut donc se trouver à l'un ou l'autre des foyers. Il y a donc deux trajectoires elliptiques possible selon le foyer utilisé pour y placer le centre de la Terre. On appelle trajectoire ''tendue'' et trajectoire ''plongeante'' les deux trajectoires à utiliser pour une arme qui va aller du point <math>B</math> ou elle été lancée au point <math>D</math>, la cible. Ce que montre la figure 1 ci-dessous où la mise à feu du missile balistique se situe en <math>A</math> et le début de la phase balistique de l'arme en <math>B</math><ref group="note">Dans le cas de ces deux trajectoires les ellipses sont « larges ». Les foyers <math>F</math> et <math>F'</math> sont proches l'un de l'autre, beaucoup plus que dans le schéma "du jardinier" où l'ellipse est plus "allongée"</ref>. [[File:Missile balistique 20.png|left|400px]] Ces deux trajectoires se distinguent (schéma ci-contre) par une différence importante du trajet atmosphérique lors de la phase ultérieure de rentrée dans l'atmosphère. Dans le cas de la trajectoire tendue le parcours est plus long et subit donc plus d'échauffements. La rentrée dans l'atmosphère est une phase difficile. Aux très grandes vitesses l'échauffement dû à la résistance de l'air pose un problème technique de matériaux destinés à la protection thermique<ref group="note">La rentrée dans l'atmosphère est décrite plus loin</ref>. Plus d'échauffement demande plus de protection, donc plus de poids à lancer. Un parcours atmosphérique très long conduit à des échauffement excessifs qui ne seraient combattus que par des protections particulièrement lourdes. Avec une conséquence : le missile balistique peinerait à les lancer aussi loin, sauf à accroître considérablement sa puissance et donc sa taille (un problème pour les sous-marins). Pour ces raisons, les missiles balistiques n'utilisent que la trajectoire plongeante. [[File:Missile balistique 7.svg|center|800px]] == Trajectoires à portée maximum == (figures 2 et 3 ci-dessus)<br> Les contraintes d'échauffement lors de la rentrée atmosphérique pèsent aussi sur la définition de la portée maximum. Plus la portée est grande, plus la vitesse de l'arme a été forte à son lancement, plus aussi l'angle de rentrée dans l'atmosphère "s'aplatit" (figure 3). On a vu (figure 2) que la vitesse donnée à l'arme connait une limite. Elle doit être inférieure à {{unité|8|km/s}} sous peine de satelliser et donc de placer l'arme continûment dans l’espace, ce qui est interdit par les Traités des Nations Unies relatifs à l'espace extra-atmosphérique (1967<ref group="note">{{Ouvrage | langue = fr | titre = Traités et principes des Nations-Unies relatifs à l'espace extra-atmosphérique | éditeur = ONU | lieu = New-York | année = 2002 | pages totales = 76 | isbn = 92-1-200258-7 | lire en ligne = http://www.unoosa.org/pdf/publications/STSPACE11F.pdf }}</ref><ref group="note">Ces Traités n’interdisent évidemment pas à l’arme un parcours dans l’espace pourvu qu'il soit bref.</ref>). Si, mathématiquement, la portée maximale du missile balistique avec une vitesse au lancement très légèrement inférieure à {{unité|8|km/s}} est de {{unité|20000|km}} soit la demie circonférence de la Terre (figure 2, trajectoire en noir avec point d'arrivée en <math>D_4</math>), la rentrée dans l'atmosphère s'y ferait sous un angle presque nul. L'arme arriverait parallèle au sol avec un énorme - et physiquement impossible - parcours dans l'atmosphère.(figure 3, cas <math>D_4</math>). Dans le cas où la vitesse au lancement est un peu moins proche de la vitesse de satellisation (point d'arrivée en <math>D_3</math>) l’arme rentrerait dans l’atmosphère avec un parcours très long, lui aussi physiquement impossible (figure 3, cas <math>D_3</math>). Sauf à dépenser un surplus énergie considérable au lancement de l'arme en la dotant d'un bouclier thermique particulièrement lourd afin de résister aux contraintes thermique considérables d'un long parcours dans l'atmosphère, quasi tous les missiles balistiques de dernière génération fournissent une portée de {{unité|10000|km}} et un peu plus (ce qui correspond à une vitesse au lancement d'environ {{unité|7|km/s}}), largement suffisante parce qu’elle correspond au besoin stratégique des pays qui en sont dotés, compte tenu de leur géographie. ==Autres portées disponibles== [[File:Missile balistique 24.png|right|300px]] Un missile balistique, généralement, ne lance pas en deçà d'une distance minimum, environ {{unité|500|km}} pour des vitesses de l’ordre de {{unité|4|km/s}} et {{unité|1000|km}} pour {{unité|7|km/s}} (figure 1, ci-dessous). Le point le plus proche n’est donc pas à une distance nulle, ce qui n'est évidemment jamais recherché dans l'emploi de cette arme. Il se trouve que la convergence des algorithmes de guidage pendant l'exécution logicielle du calcul de la trajectoire est complexe à réaliser lorsque l'ellipse devient presque totalement aplatie, ce qui est le cas dans un tir extrêmement proche. Résoudre cette complexité étant coûteux et sans intérêt militaire, la distance minimum est admise sans difficultés. La portée de l'arme se situe entre les deux extrêmes que sont les portées minimales et maximales (ci-contre). La portée desservie est impressionnante (plusieurs centaines voire milliers de kilomètres) à quoi s'ajoute le fait (caractéristique des trajectoires) que la vitesse à l'arrivée est la même sur toute la portée. Ce qui veut dire qu'une portée faible, {{unité|2000|km}} par exemple, peu être atteinte par deux missiles balistiques très différents:<br> - soit par un missile balistique de deuxième génération à deux étages peu élaborés de portée maximum {{unité|2000|km}};<br> - soit par un missile balistique de dernière génération de portée maximum {{unité|10000|km}} mais utilisé pour un tir à {{unité|2000|km}} seulement. La différence réside dans la vitesse d'arrivée de l'arme: quelques km/s dans le premier cas et elle pourrait être interceptée par des missiles sophistiqués de défense anti-missiles <ref group="note">La défense anti-missile balistique est traitée plus loin</ref>; près de {{unité|7|km/s}} dans le second cas. Aucune interception n'est à ce jour réalisable avec une chance convenable de succès. Ce qu'il convient donc de souligner, c'est que la classification encore adoptée aujourd’hui selon les portées maximum peut induire en erreur. Les missiles de génération intermédiaire ne sont que des étapes dites de courte, de moyenne ou de portée intermédiaire, avec leurs insuffisances à lancer leur arme plus vite. Ce qui est très difficile techniquement et ne se réalise que progressivement ''via'' des générations successives de missiles balistiques de plus en plus élaborés. L'objectif de tous les États qui réalisent des missiles balistiques est toujours d'en venir à la génération la plus élaborée, celle des missiles balistiques à très grande portée maximale. [[File:Missile balistique 1.svg|center|800px]] ==Conclusion== La figure ci-dessus à droite rappelle en les caractérisant à titre de conclusion le trois trajectoires balistiques types de l'arme (ou des armes) d'un missile balistique.<br> La mise à feu du missile balistique se fait en <math>A</math>. La phase propulsée du missile balistique le conduit à trois points de lancement possibles (<math>B_1</math> à <math>B_3</math>) accessibles à partir du point <math>A</math> où il a été tiré. Ils définissent les trajectoires elliptiques (le centre de la Terre en étant l'un des foyers avec choix de la trajectoire plongeante) qui couvrent toute la portée de <math>D_1</math> à <math>D_3</math> en passant par tous les points intermédiaires <math>D_2</math>. Un missile dit de longue portée (<math>D_3</math>) fournit à l'arme une vitesse au lancement un peu inférieure à la vitesse de satellisation ({{unité|7|km/s}}) qui lui donne une portée allant de {{nombre|1000}} à {{unité|10000|km}} avec la même vitesse à l’arrivée dans l’atmosphère, soit {{unité|25200|km/h}} ou encore Mach 20 (tous chiffres approximatifs). Même après le freinage dû au parcours atmosphérique présenté plus loin la vitesse de l'arme alors qu'elle va exploser interdit à tout missile de défense anti-aérienne quel qu’il soit de l’intercepter et de la détruire<ref group="note">Les missiles tactiques destinés à la destruction des avions (vitesse d’environ Mach 2) peuvent être améliorés pour détruire des cibles plus rapides (Mach 3 à 4) qui correspondent aux vitesses fournies par les missile balistiques lents. Dans l’état actuel de la technologie ils sont incapables de détruire une arme de vitesse bien plus grande lancée par un missile balistique abouti (voir le chapitre « [[Vol balistique et missiles balistiques/Défense contre les missiles balistiques|Défense contre les missiles balistiques]] »).</ref>. == Notes == <references group="note"/> o2c1mrm8xe67rq1avhwy164epolvvnw Normannique (de Normandie) 0 77677 745183 740919 2025-06-21T20:17:27Z 2A01:CB18:1150:4600:3863:603F:97E7:2779 /* L'avantage de son utilisation : */Correction de l'usage du verbe pallier et d'une faute d'accord 745183 wikitext text/x-wiki Le normannique de Normandie, ou simplement ''normannique'', est la recomposition unifiée de la langue scandinave qui fut parlée en Normandie depuis le début du Xe siècle et dont l’existence est attestée au moins jusqu'au XIIe voire au XIIIe siècle. [[Fichier:Localisation_Normandie.png|vignette|upright=1.25]] [[Fichier:Flag of Normandy.svg|vignette|upright=1.25]] == L'avantage de son utilisation : == - Permet de désigner sous une forme unifiée les différents termes normanniques qui jalonnent les études normandes, sans devoir recourir constamment à un compromis entre les différentes graphies très variables des mots norrois (la forme classique du vieux norrois étant elle-même un compromis entre les différentes attestations norses) et, à plus forte raison, des mots classés dans la catégorie anglo-scandinave. En particulier, cela touche les institutions typiquement normandes, à l’exemple du droit normand : droit de varech (ᚹᚨᚷᚱᛖᚲᚺ – ''vagrekk''), délit d’hanfare ou d’hamfare (ᚺᚨᛗᚠᚨᚱᚨ – ''hamfara''), etc. Pour atteindre cet objectif, plusieurs formes ont dû être reconstituées à partir de l’ancienne langue norroise, pour pallier la perte d’un grand nombre de formes avec le temps, en raison du caractère seulement oral de cette langue. == Historique du Normannique == Visiblement, le Normannique s'est étendu essentiellement dans toute la partie Nord de la Normandie et correspond plus ou moins à la ligne Joret actuelle. Il est nommé de plusieurs façons suivant les régions de Normandie, mais aussi et surtout suivant les historiens. Le ''Normannique unifié de Normandie'' regroupe ainsi les appellations : « norrois », « norse », « dane », « danois » ou « daneiz », « dace », etc. On ne pourrait établir avec assurance le remplacement des variantes locales du français d'oïl par le normannique, bien que la toponymie, l'anthroponymie et l'évolution démographique de l'époque semblent plus que favorables à l’hypothèse de cette substitution temporaire. Le normannique a ainsi été longtemps parlé sur les côtes normandes, avec un prédominance dans le pays de Caux, le Cotentin et le Bessin. Même à Bayeux la langue normannique semble être devenu largement prédominante, alors que le milieu urbain reste généralement défavorable à l’adoption spontanée d’une langue non-majoritaire dans un milieu à fortes relations économiques (à cette époque, le latin et les parlers d’oïl seuls servaient de langues commerciales et diplomatiques avec les autres peuples en France). En effet, Guillaume Longue-Epée envoya son fils Richard Ier de Normandie en séjour pour qu’il y apprenne le Normannique :<blockquote>Mais a Baieues en a tanz / Qui ne sevent si daneis non. ''Mais, à Bayeux, il y a beaucoup de gens / Qui ne connaissent que la langue nordique'' '''(Chronique des ducs de Normandie – Benoît de Sainte Maure – XIIe Siècle)'''</blockquote>Finalement, elle se serait progressivement effacée du fait de l'utilisation unilatérale pour des raisons diplomatiques des dialectes latins par les élites de ce qui est alors l’État féodal normand. Le Normannique serait alors restée un certain temps une langue populaire plus officieuse qu'officielle mais qui a néanmoins baptisé une grande partie de la Normandie comme en témoigne l'étude de la toponymie. == Le choix du mot « normannique » == === Origine === Le terme ''normannique'' désigne couramment la toponymie anglo-scandinave propre à la Normandie. Il se décompose ainsi : nor-mann-ique. C’est à dire littéralement ''ce qui est propre aux normands'', le mot « normands » désignant lui-même à la fois les habitants de la Normandie et les anciens peuples scandinaves. [[Catégorie:Normandie]] [[Catégorie:Normand]] [[Catégorie:Normannique (de Normandie) (livre)]] [[Catégorie:Langue normande (livre)]] {{DEFAULTSORT:Normannique}} __INDEX__ tof17fx4r9wd06au9zbph657e1kl392